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On ne pouvait rêver de meilleur invité pour discuter de ce véritable sujet de société lundi soir à la Halle aux Grains à Toucy. Spécialiste des questions sanitaires à l’Assemblée nationale, le parlementaire Les Républicains Jean-Carles GRELIER, député de la Sarthe, effectuera le déplacement en Puisaye à l’invitation e son homologue de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE. En saura-t-on davantage sur l’avenir de la santé dans nos territoires ?

TOUCY : L’ouvrage a fleuri il y a quelques jours parmi les meilleures librairies de l’Hexagone. Gageons que ce « Plaidoyer pour l’avenir de la santé », publié aux éditions du Rocher, captera l’intérêt de celles et ceux qui sont préoccupés de près ou de loin par l’évolution des soins dans notre pays.

Elu de la Sarthe, Jean-Carles GRELIER participera à une table ronde ce lundi 03 février en Puisaye dans le cadre des rencontres intellectuelles concoctées par les Ateliers de l’Yonne, laboratoire d’échanges ouvert aux élus du territoire à l’initiative de Guillaume LARRIVE, le parlementaire LR de la première circonscription.

Membre de la Commission des affaires sociales, l’intervenant du soir en provenance de Paris aura eu le temps d’analyser avant sa prise de parole l’état des lieux de la pratique des soins sur la contrée nord-bourguignonne.

Une table ronde territoriale précèdera en effet son intervention. Y participeront Pascal GOUIN, directeur du centre hospitalier d’Auxerre, Patrick BUTTNER, vice-président de la Communauté de communes de PUISAYE-FORTERRE en charge des questions de santé et le docteur Bernard CHARDON, conseiller pour la santé du président du Département, Patrick GENDRAUD.

Ce dernier, présent à cette conférence débat, donnera son ressenti personnel dans une phase introductive aux côtés de Guillaume LARRIVE, maître de cérémonie de ce concept trimestriel qui avait offert lors de la précédente session une conférence passionnante autour de la transition écologique avec Julien AUBERT.

 

 

 

 


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L’exercice d’une prise de parole de cette nature est taillé sur mesure. Pour délivrer des messages forts et percutants qui doivent marquer les esprits d’une assistance à l’écoute du moindre indicateur potentiel. Une sorte de traceur indélébile de ce que pourrait être la conjoncture liée à la nouvelle année débutante et ses perspectives. Et à ce jeu-là, celui qui fut le plus prolixe pour venir s’exprimer à la tribune de la Maison de l’Entreprise lors de la traditionnelle cérémonie des vœux du monde de l’industrie n’était autre que Jean-Dominique DAGREGORIO. Le nouvel homme-lige, patron de la société NOGUES, à la cause indéfectible de l’UIMM et à la défense de ses valeurs. Compte rendu… 

AUXERRE : Bien sûr, il y avait en vedette américaine de ce premier rendez-vous annuel propre à la sphère patronale et économique le philosophe, politologue et essayiste Luc FERRY, ex-ministre de l’Education nationale. Promis à un grand succès d’audience (ce qui se confirmera par la suite) tant le personnage décline son propos avec le verbe facile, une aisance naturelle dès qu’il se place devant un micro et une méthode analytique passionnante et étayée, ponctuée d’un sens de l’humour à tenir en éveil le spectateur même le plus assoupi !

Bien sûr, il y eut l’intervention protocolaire du nouveau préfet de l’Yonne, fraîchement émoulu sur notre territoire, Henri PREVOST, qui petit à petit et à force de contacts officiels répétitifs grâce aux cérémonies de vœux commence à se constituer le réseau idoine et nécessaire dans l’optique de pouvoir gérer de manière optimale ses futurs dossiers.

Il y eut même une courte mais dynamique intervention d’un Guillaume LARRIVE au meilleur de sa forme dans l’entre-deux de la soirée. Le député de la circonscription ne pouvait manquer une telle opportunité de prendre la parole devant un parterre, aussi dense et représentatif de l’entrepreneuriat local, histoire là-aussi de marquer les esprits.

 

 

 

Avec en prime, un petit tacle adressé à la municipalité auxerroise qui selon ses dires n’a toujours pas su prendre la réelle mesure de l’électrification de la ligne ferroviaire reliant la capitale de l’Yonne à la halte obligée de Laroche-Migennes !

Bien sûr, il y aura nécessairement la prise en main de cette soirée concoctée devant un amphithéâtre plein comme un œuf (Luc FERRY n’était pas revenu en de telles circonstances dans l’Yonne depuis 2011) par Claude VAUCOULOUX. On l’a déjà dit et écrit mais le délégué général de la Maison de l’Entreprise, du MEDEF et de l’UIMM, possède une faconde particulière dans sa manière à animer ce type d’évènementiel. Toujours avec élégance, minutie et tact, mettant à l’aise ses interlocuteurs en sachant maîtriser le temps.

Bref, si un jour, il doit se reconvertir, Claude VAUCOULOUX n’aurait aucun mal à faire carrière dans cette approche physique et visuelle de la communication orale, un exercice qui lui sied à ravir !

 

 

 

 

Le recrutement : le mouton noir de l’actualité économique icaunaise…

 

Si Etienne CANO, président du MEDEF départemental, écourta son intervention, préférant laisser aux branches professionnelles le soin de pouvoir s’exprimer, Xavier PAPIN et Jean-Dominique DAGREGORIO usèrent davantage d’arguments oratoires pour présenter le bilan de la saison écoulée et les perspectives de leurs secteurs respectifs d’activité.

L’un, le premier, en sa qualité de président de la puissante Fédération départementale du Bâtiment. Le second, et c’était sa grande première en qualité d’orateur officiel – il a succédé à André BEX à ce poste en juin dernier – réalisa un baptême du feu de belle facture dans cette salle à la contenance de près de 300 places.

Pour Xavier PAPIN, l’exercice lui aura servi de répétition. Quelques jours avant l’organisation d’une cérémonie similaire qui sera donnée dans les locaux de la fédération rue de l’Ocrerie.

 

 

Mettant l’accent sur la fragilité des entreprises et la faiblesse de leurs marges avec de surcroît des trésoreries difficiles, le président de la FFB ne put cacher son désarroi face à la situation symptomatique de l’Yonne où un tiers des logements n’a pas été mis en chantier par rapport à l’exercice antérieur.

« Il serait grand temps, lâcha-t-il, péremptoire, que les donneurs d’ordre prennent enfin conscience qu’il est nécessaire de faire travailler les locaux s’ils veulent soutenir le développement de l’économie dans l’Yonne… ».

Un pavé dans la mare qui espérons-le fera quelque peu bouger les lignes dans un avenir proche.

 

 

A quand l’entente parfaite autour du programme « Territoire d’Industrie » ?

 

Quant à Jean-Dominique DAGREGORIO, il déplora tout de go le manque de solutions à court terme à apporter sur l’un des sujets les plus récurrents et alarmistes qui préoccupent les chefs d’entreprise aujourd’hui : celui du recrutement. Nous y reviendrons dans le détail par ailleurs en développant son intervention.

Il salua également le concept « GISAéro », rassemblant des entreprises de la région ayant comme dénominateur commun la filière aéronautique. Une vraie réussite, à ses yeux, à poursuivre sans renâcler.

Le dirigeant de NOGUES eut un mot de conclusion dur mais tellement réaliste sur la convention « Territoire d’industrie », programme de développement initié l’année dernière sous la tutelle de l’Etat et de la Région qui n’a pas encore reçu d’écho favorable dans l’Yonne.

 

 

Ce texte indispensable pour être éligible aux financements facilitant le développement économique territorial n’a toujours pas reçu l’onction nécessaire des forces vives de notre territoire !

Rageur dans ses arguments, le président de l’UIMM a invité les élus du département à oublier « leurs notes discordantes à deux sous » afin de s’entendre et rendre désormais plus attractive une zone géographique en déshérence qui en a grand besoin. L’année 2020 peut désormais débuter avec cet espoir…

 

 


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Idéalement, le concept devrait être opérationnel dès les premiers jours de septembre. Logique, car il faudra alors répondre avec célérité aux attentes et besoins de celles et ceux qui travaillent au quotidien dans la zone artisanale et industrielle la plus développée du Sénonais. Eriger une crèche au beau milieu d’une zone d’activité économique ne semble donc pas utopique en soi. Le projet, encouragé par l’Agglomération et les acteurs institutionnels qui agissent dans le secteur de la petite enfance, nécessitera un investissement d’un million d’euros. Et, il va sans dire, il sera créateur d’emplois…

SENS : Son sourire illumine son visage. Il traduit un optimisme rayonnant qui fait plaisir à voir. Celui d’une jeune femme de 36 ans, farouchement déterminée à atteindre ses objectifs professionnels.

Heureuse d’apporter un service concret qui résout l’épineuse problématique de la garde d’enfants lorsque les parents actifs travaillent, Christina NGOUMBI ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

A peine la crèche « COPAINS CABANA », sortie de terre il y a peu à Paron, que déjà elle se projette sur la seconde phase évolutive de sa société, une SAS, qu’elle pilote à la perfection.

La Sénonaise sait parfaitement ce qu’elle veut. Et aujourd’hui, son regard et ses choix stratégiques se tournent vers la zone industrielle sise en bordure est de Sens : celle des VAUGUILLETTES.   

Si tout se passe pour le mieux, septembre coïncidera avec l’ouverture du deuxième établissement qui accueillera les bambins des actifs s’affairant chaque jour dans les entreprises de ce secteur géographique.

Une opportunité que ne pouvait qu’encourager les stratèges du développement économique locaux. Demain, la zone se muera en zone d’activités d’intérêt régional (ZAIR) dans le cadre du programme « Territoire d’Industrie », auquel le Grand-Sénonais a décidé d’adhérer.

 

Le plébiscite des acteurs économiques et institutionnels…

 

Et pour faciliter l’accueil de nouvelles entreprises et forces vives sur la zone septentrionale de notre département, nul n’est besoin d’être un prophète en son pays pour considérer que l’apport de services spécifiques supplémentaires sera du pain béni pour accroître l’attractivité d’un secteur et faire la différence vis-à-vis d’autres contrées de l’Hexagone.

Or, parmi les projets d’extension de qualité auxquels les décideurs politiques, institutionnels et économiques croient dur comme fer, la prolifération de services communs intègre ces priorités. Dont la présence de crèches à proximité des structures entrepreneuriales !

Or, c’est peu dire que le concept déjà fonctionnel de Christina NGOUMBI (entrepreneuse soutenue par le réseau Entreprendre Bourgogne-elle en a été lauréate officielle- et l’accompagnateur INITIACTIVE 89 qui lui a consenti un prêt d’honneur) sur la localité voisine de Paron, interpelle en haut lieu.

Validé par la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais et la Ville de Sens, le dossier est désormais en bonne voie de concrétisation.

D’autant que le Conseil départemental et la Caisse d’allocations familiales (CAF) pourvoiront à son développement. Même si la société porteuse est sous statut privé.

 

Les entretiens d’embauche débuteront en mars…

 

Dans l’absolu, le second élément à ajouter au futur triptyque de ce programme ambitieux (on sait déjà qu’un troisième établissement verra le jour au nord de Sens un peu plus tard) créera de nouvelles embauches.

Des salariés au profil professionnel, certes classique pour exercer dans cette filière mais ô combien nécessaire à l’essor de l’entreprise : auxiliaires de puériculture, éducateurs de jeunes enfants, titulaires de CAP petite enfance…

Déjà, les candidatures affluent sur le bureau de Christina. Les premiers entretiens s’effectueront courant mars.

Avant que n’ouvre la nouvelle structure, la jeune dirigeante aura pris soin de multiplier les contacts avec les services DRH des entreprises de cette zone, bien pourvue, mais aussi ceux de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Rappelons que l’institution occupe une position éminemment stratégique avec son Village d’entreprises.

Une vingtaine de berceaux devraient être mis ainsi à la disposition des parents d’une soixantaine de familles dès cet automne. Un plus indéniable pour optimiser la gestion du quotidien et le rendre plus facile pour les parents…   

 

Un article réalisé en partenariat avec l’Agglomération du Grand-Sénonais, la Ville de Sens et INITIACTIVE 89.

 

 

 

 


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La Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment est vent debout depuis plusieurs mois ! Et pas uniquement sur un champ d’action national ! Le programme d’isolation à un euro voulu par l’Etat, appliqué dans le cadre d’un coup de pouce consenti aux ménages pour qu’ils réalisent des économies d’énergie, correspond manifestement à une pilule amère qui ne se digère pas pour ses adhérents. Outre les fraudes financières déjà constatées çà et là sur certains dossiers, la CAPEB déplore surtout l’absence de qualité dans la réalisation de ces travaux et des malfaçons induites qui ne cessent de ternir le tableau…

AUXERRE: Il n’y a pas que la Direction départementale de protection des populations (DDPP) qui s’inquiète de la tournure des évènements à la suite de la mise en œuvre de ce dispositif. La CAPEB fait figure, elle aussi, d’observateur avisé pour dénoncer ce qui représente déjà à ses yeux un véritable scandale.

Si la déclinaison de ce processus partait sur de bons sentiments (l’accès au plus grand nombre de moyens techniques afin de réaliser des économies d’énergie en isolant son habitat à moindre coût), les résultats semblent le plus souvent catastrophiques.

Rappelons que l’isolation des combles à un euro n’est en fait qu’une offre commerciale, aux arguments juteux pour ses bénéficiaires, proposée par des entreprises signataires d’une charte avec le ministère de la Transition écologique.

Or, il est évident et au fil de l’eau que certaines de ces structures artisanales n’ont guère eu d’appétence à concevoir leur intervention en respectant les règles de l’art du métier. En occultant, par exemple, les notions de qualité élémentaires !

 

Des travaux exercés par des sociétés aux vertus douteuses…

 

Si la CAPEB a eu la sagesse d’attendre un peu avant de s’exprimer sur ce qui résulterait de ce dispositif, cette fois-ci, elle n’y tient plus en posant les deux pieds dans le plat.

Trop, c’est trop pour ses responsables, tant à l’échelle de l’Hexagone, que dans les délégations départementales. La qualité du travail exécuté n’étant pas au rendez-vous (ce qui porte un sérieux préjudice sur la crédibilité et le sérieux de toute la filière), le syndicat patronal a choisi d’aller plus loin en dénonçant ouvertement ce dispositif.

« Des millions d’euros en travaux ont été engloutis dans ces améliorations énergétiques, confie le secrétaire général de la CAPEB de l’Yonne, Christophe BERTEAU, alors que les réalisations sont défectueuses. Leurs auteurs ne sont pas des artisans de qualité qui respectent nos codes déontologiques en vigueur… ».

 

 

Alors qui sont-ils dans la plupart des cas ? Réponse sans ambages de la CABEB : des travailleurs détachés, en provenance des pays de l’Est, voire des gens mal intentionnés qui font payer au noir leur labeur peu honorifique.

Afin de préserver l’intérêt de la clientèle qui n’est pas toujours consciente des risques encourus, l’organisme patronal a décidé de créer une plateforme téléphonique spécifique pouvant collecter l’ensemble des plaintes qui affluent de manière officielle.

 

 

« Les chantiers de la honte » : un document qui collecte les plaintes…

 

Les textes d’application de ce dispositif sont pourtant très stricts : les entreprises qui interviennent sur ce registre précis doivent impérativement bénéficier d’une homologation qui émane des services de l’Etat. Or, aucune de celles qui réalisent ces travaux dans l’Yonne ne l’aurait en sa possession !

La CAPEB de Bourgogne Franche-Comté a pris le dossier à bras le corps. Elle assure dorénavant une prise de contact direct avec les clients bernés et forts mécontents de la situation.

Un document, baptisé « Les Chantiers de la honte », répertorie l’ensemble des témoignages accablants. Les instances nationales ont également réagi auprès des pouvoirs publics. En vain, puisqu’il n’y a eu pour l’heure aucune réaction catégorique pour endiguer ce fléau. Devenu le symbole d’une véritable nuisance vécue par l’artisanat.

 

 

L’Yonne n’est pas épargnée par ce phénomène qui se propage. La CAPEB cite l’exemple d’une jeune entreprise qui a engrangé à la suite de ces travaux un bénéfice record de seize millions d’euros. Sachant que son dirigeant n’est ni un spécialiste du bâtiment ni titulaire du moindre diplôme le qualifiant dans la profession. Il s’avère même que ce dernier pratiquerait l’art de l’esquive, ayant recours de manière systématique à la sous-traitance…

Excédée, la CAPEB tire la sonnette d’alarme et affirme à qui veut l’entendre que ce dispositif ne tient pas la route et qu’il s’avère encore plus dangereux pour la pérennité de la filière que l’essor exponentiel de la micro entreprise. C’est tout dire !

 

 

 


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Six mois de travaux auront été nécessaires pour réaménager cette agence locale de la banque verte en respectant le schéma d’uniformisation de ses points de vente régionaux. Vice-président du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne, entité qui regroupe les vitrines commerciales de l’Yonne, de Côte d’Or, de Haute-Marne et de l’Aube, Thierry BIERNE devait présenter les contours de cette stratégie lors de sa phase inaugurale ce mardi 28 janvier…

AILLANT-SUR-THOLON : Le mix est simple à retenir pour les esprits curieux ! 100 % digital, 100 % humain. Sans ambiguïté aucune, la relation humaine que souhaite distillée le Crédit agricole Champagne-Bourgogne auprès de sa clientèle, fait toujours la part belle aux échanges directs, construits sous le sceau de la confiance et de l’écoute. Et l’apport bénéfique de la digitalisation n’y change rien !

En 2019, dix-neuf agences ont vu le jour sur ce vaste territoire qui s’étale sur une partie de la Champagne et de la Bourgogne, limitrophe. Ces différentes structures ont été relookées dans le respect de trois grandes valeurs essentielles véhiculées par l’entreprise : la proximité, l’engagement et la responsabilité.

Cet aménagement a, entre autres, permis la mise en place d’un libre-service bancaire. Où l’on peut déposer immédiatement sur son compte, chèques et espèces, sans avoir à attendre l’ouverture de l’agence. Un sérieux plus puisque la clientèle a la garantie que le dépôt effectué, même un jour dominical, soit crédité sur le compte dans un delta minimal de deux heures après l’opération.

Quant aux travaux, ils sont l’œuvre d’entreprises locales. Un choix volontariste de solliciter les artisans du cru afin de dynamiser le territoire.

A ce jour, l’établissement financier compte 144 agences auxquelles il faut ajouter quatre agences identifiées en leur qualité de centre entreprise, quatre pôles viticoles et trois sites de gestion.

 

 

Une structure plus accueillante qui s’intègre dans la stratégie du groupe…

 

Directeur général-adjoint du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, Renaud CHAUMIER s’est dit satisfait de la compréhension de la clientèle en les remerciant de leur patience durant les travaux. Il rappela que le groupe comptabilisait 1 800 collaborateurs (ce qui en fait l’une des structures professionnelles les plus importantes de notre territoire) et mille administrateurs.

Jean-Michel LENOBLE, président de la Caisse locale d’Aillant-sur-Tholon, salua la pugnacité du personnel qui a continué d’accueillir les clients malgré les nuisances sonores et les contraintes imputables à cette rénovation.

En mai 2017, lorsque l’agence avait fermé ses portes les après-midi pour ne recevoir la clientèle que sur rendez-vous, beaucoup s’imaginait alors que les signes précurseurs d’une clôture définitive s’amorçaient. Il n’en fut rien dans la stratégie de développement du groupe.

Aujourd’hui, l’infrastructure se veut plus accueillante, accessible, pourvue d’un espace sécurisé la nuit, tout en privilégiant la fonctionnalité et l’ergonomie dans le travail. Ce qui facilite grandement la tâche du personnel.

Julie GOUNOT, directrice d’agence, devait clore cette série de discours en présentant l’équipe qui l’entoure au quotidien, même si elle gère en parallèle le point commercial de MONETEAU.

Il ne restait, au terme de cette inauguration, plus qu’à se prêter à l’exercice habituel pour les officiels : la découpe du ruban…  

Maryline GANDON

 


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