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Une réorganisation stratégique en interne permet dorénavant à l’ancien responsable des vitrines commerciales Ford et Opel sur le département de l’Yonne de rebondir en termes de perspectives de carrière. En endossant l’habit de directeur de la marque Ford sur la plaque Est Auto des points de distribution que compte le groupe AMPLITUDE sur sa zone de chalandise, Olivier LANSIAUX accroît ainsi son influence managériale…

AUXERRE : Satisfait de ce début d’année, Olivier LANSIAUX ? Assurément ! Le cadre Icaunais du groupe AMPLITUDE qui œuvre au sein de la filiale « PLANETE AUTO », étrenne depuis quelques semaines sa nouvelle auréole professionnelle : celle de directeur de marque du constructeur américain, FORD, sur la zone de chalandise Est de la société auboise.

Intégré au sein de la structure depuis 1994, le garçon avait tout d’abord fait ses gammes en aiguisant son appétit professionnel sur les produits automobiles de la marque phare du groupe qui rayonne bien au-delà de son territoire originel.

Puis, en 2011, il avait ajouté dans sa besace la direction des concessions Opel à Auxerre et à Sens. Avec l’agrandissement de la zone de couverture commerciale d’AMPLITUDE qui pousse ses limites vers le Loiret (Orléans) et dans le Cher (Bourges), le brassage des cartes en matière de stratégie a été nécessaire en ce début d’année.

 

 

D’autant que la Nièvre, avec sa nouvelle vitrine de Nevers, est venue grossir depuis peu ce terrain de jeu en expansion, propice à la commercialisation des nombreuses nouveautés attendues de la marque.

AMPLITUDE comptabilise aujourd’hui treize concessions. Elles sont réparties en trois secteurs géographiques sous la forme de « plaques » : celle comprenant Orléans et la région Centre, la seconde qui s’articule sur l’axe Auxerre, Sens, Chaumont et Troyes qui échoie désormais au manager auxerrois ; et enfin la dernière zone sectorielle qui englobe la Côte d’or et le Jura avec ses villes phares que sont Dijon et Dole.

En acceptant cette mission, Olivier LANSIAUX gagne en transversalité au niveau de son management. Une pierre de plus à son édifice…

 


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Penser l’économie et partager les richesses ne sont pas des idées nouvelles. D’abord, en Mésopotamie vers 4000 avant JC. Puis, avec le Code d’Hammourabi (1700 av JC). Enfin, en Inde, grâce au Chânakya (340 av JC). Ces principes abordent la répartition des richesses et parlent du bien-être (précurseur du B.N.B., le Bonheur national brut). A travers l’histoire, n’oublions pas aussi les dogmes religieux et philosophiques : Ancien et Nouveau Testament, le Coran, Xénophon et Aristote, Pline l’Ancien, Marx, Keynes, Friedman…L’argent et sa répartition, le patrimoine, le travail, la production : ce sont autant d’éléments qui focalisent l’attention des responsables des états depuis les toutes premières civilisations…

 

TRIBUNE : Aujourd’hui, la répartition des richesses et les inégalités sociales conduisent aux discussions et autres revendications. La stratégie économique et financière des états en dépend. Des chiffres qui sont proprement vertigineux : 83 % du patrimoine mondial est détenu par 8,4 % de la population. Tandis que les 1 % des plus fortunés contrôlent 46 % dudit patrimoine…

Pour la France, la fortune de Bernard ARNAULT (101 milliards de dollars US) pourrait financer deux fois le déficit de la Sécurité sociale. 10 % des plus riches détiennent 50 % du patrimoine de l’Hexagone…

Ces chiffres étonnants soulignent les inégalités dans le monde, sans aucune volonté de stigmatiser les plus riches !

La richesse créée et  à partager se définit via le fameux P.I.B. (Produit intérieur brut, généré par les agents économiques). Chaque activité (sociétés, commerçants, artisans…) rédige tous les ans une déclaration fiscale. Le but de la comptabilité en France est de calculer le montant de l’impôt à payer. Entre le chiffre d’affaires déclaré et le bénéfice imposable, on met en valeur quelques soldes intermédiaires de gestion.

Le plus important de tous demeure incontestablement la valeur ajoutée. La somme de ces valeurs ajoutées équivaut au P.I.B. Celle-ci correspond au total de la production vendue – le total des consommations (matières premières consommées, achats marchandises…).

Ensuite, vient la répartition de la valeur ajoutée. Qui « profite » de cette dernière et qui la finance ? Qui en réclame le plus ? Il s’agit d’un rapport de force pour déterminer ce qui est le plus important !

 

L’implacable règle de l’euro investi et de l’euro gagné…

 

La suite de la liasse fiscale nous éclaire sur la répartition. Les salariés déclarent que sans eux, l’entreprise n’existe pas (salaires, charges sociales, formations, participations…).

Quant aux actionnaires (dividendes versés), ils justifient leur rémunération : sans le capital qu’ils investissent, il n’y a pas d’entreprise ! L’Etat (impôts) édicte ses règles. Les banques, quant à elles, pratiquent les agios, les intérêts d’emprunts. Parfois, les investissements sont impossibles si elles ne suivent pas.

Enfin, du côté de l’entreprise, il y a la part des bénéfices non distribués, les dotations aux amortissements et les provisions : sans une structure juridico-sociale à la clé, l’activité n’est pas envisageable.

Le débat reste toujours ouvert : il n’est d’ailleurs pas prêt de se refermer.  Aujourd’hui, la priorité est donnée aux actionnaires.

Dans certains modèles de calculs,  le taux de croissance des dividendes futurs est réputé constant sur un horizon infini. De plus, afin d’encourager les actionnaires, le délai de retour sur investissement (pay-back) court sur une période de douze mois.

Lorsque l’entreprise investit un euro, elle doit gagner un euro (plus le coût du financement !) au bout d’un an. Avec des taux d’emprunts très bas, le coût bancaire du financement des investissements devient moins coûteux que le taux du dividende versé : c’est à méditer !

Entre alors en ligne de compte, les arbitrages. Coût du capital et coût de la banque. Les salariés attendent alors une hypothétique augmentation de salaire. Les plus pauvres cherchent un abri et les consultants modélisent la répartition des richesses.

Alors à quand, l’instauration du Bonheur national brut ? « La richesse n’est pas la quantité d’argent mais la façon dont on l’utilise… ». Comme l’a si bien écrit l’auteur brésilien Paulo COELHO.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Entrepreneurs et décideurs économiques étaient conviés par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, mardi soir, à prendre part à Auxerre à un exercice devenu aussi traditionnel que la cérémonie des vœux chaque année : la présentation dans ses moindres détails de la nouvelle loi de finances…

AUXERRE : Pour poser les jalons de ce rendez-vous annuel ô combien nécessaire à la saine compréhension dudit texte, le directeur de la chambre consulaire en personne, Jérôme MAYEL, accueillait, plutôt décontracté, les « courageux » participants à cette séance explicative, placée néanmoins sous de bons augures.

En effet, les deux intervenants qui feraient office d’orateurs dans les minutes à suivre n’étaient autres que les présidents de la Chambre départementale des notaires de l’Yonne, Me Laurent TOPIN, et son homologue, à la tête de la chambre départementale des experts-comptables, Marc DEMONTEIX.

 

 

Bref : un tandem de poids et de choc pour s’infiltrer parmi les méandres tarabiscotés des technocrates de Bercy qui ont concocté ce texte approuvé ensuite par les parlementaires.

Il fallait profiter de l’esprit de vulgarisation et de la capacité adaptative de nos deux intervenants, esthètes dans l’art de la synthèse, pour que les chefs d’entreprises, tous secteurs confondus, ne se perdent pas dans ce dédale d’alinéas fort touffus.  

 

 

 

 

Certes, la loi de finances ne fut pas abordée dans ses moindres circonvolutions intellectuelles mais bien dans ses grandes lignes.

L’exercice, agrémenté de slides visualisés à l’écran, permit aux deux spécialistes de la filière du chiffre et du droit d’analyser durant une heure et demie, avant de se soumettre au traditionnel jeu des questions/réponses, un texte, manifestement aussi complexe que celui voté l’année dernière.

L’indispensable collation qui suivit dans une salle annexe de l’amphithéâtre de la CCI de l’Yonne permit aux entrepreneurs de disserter à loisir et en vis-à-vis avec les intervenants ; sans aucun doute sur des points précis et particuliers

 

 


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Alors que débute le 05 février le Salon des Entrepreneurs au Palais des Congrès à Paris, le réseau Entreprendre Bourgogne affiche un bilan de santé très positif à l’entame de la nouvelle année. Dans l’Yonne, le nombre de ses adhérents progresse. Tutoyant ainsi la cinquantaine de membres. A l’échelle régionale, la Nièvre dispose désormais de méthodes de développement similaires à celles de ses voisins bourguignons. Prometteur…

DIJON : Voilà un réseau d’entrepreneurs qui se porte à merveille. Où convivialité rime toujours avec efficacité. Celle des comités d’engagement, par exemple, qui étudient de manière minutieuse les dossiers de candidature de futurs lauréats. Soutenus par la suite grâce à des avances financières sous la forme de prêts qui émanent d’établissements prêteurs. C’est-à-dire des banques !

Celles qui ont décidé d’interférer en faveur de porteurs de projets ambitieux n’hésitant pas à dynamiser l’attractivité territoriale de leurs nouvelles trouvailles.

Rien qu’en 2019, le réseau bourguignon a organisé 27 de ces indispensables comités. La résultante en fut simple : cela aura permis de désigner vingt-cinq lauréats dont quatre implantés dans le seul département de l’Yonne.

Toutefois, derrière ces chiffres qui sembleraient presque anecdotiques en les lisant, il faut relever le nombre d’emplois créés à l’issue de ces coups de pouce salutaires : cent-cinquante !

Une manne quasi providentielle dont ne peut se départir ce territoire de Bourgogne qui ne caracole pas dans le peloton de tête de la création de postes. Alors, oui, les bienfaits de ce réseau sont vertueux !

 

Etendre la confiance à l'ensemble des partenaires...

 

La confiance règne entre la structure et les opérateurs bancaires. Jugez plutôt : pour un euro avancé par le réseau sur un projet dédié, ce sont quinze euros de mieux qui proviennent des subsides débloqués par les établissements financiers. Bref, un effet de levier supérieur de quinze points ! Très stimulant pour les acteurs de l’entrepreneuriat !

Il existe naturellement une explication à cela. Le taux de pérennité de ces entreprises ayant reçu l’onction du réseau Entreprendre Bourgogne (REB) est de 90 % à cinq ans ! Autant dire que la marge de manœuvre se veut satisfaisante pour le milieu bancaire parfois un peu frileux à ouvrir son bas de laine.

D’ailleurs, le réseau sait qu’il peut compter sur l’appui indéfectible d’autres partenaires du même acabit. Ceux qui aident et accompagnent au quotidien les chefs d’entreprises à amorcer la pompe financière, à l’instar de la structure INITIACTIVE 89. Le travail avec cette dernière se déroule en étroite accointance dans l’Yonne.

Pour Arnaud GRAVEL, à la tête de la direction du réseau régional comme pour sa collègue, Sophie BERNARD, opérationnelle en terre icaunaise, le réseau devrait encore faire entendre sa voix cette année.

Et ce, dès le 18 juin, avec la tenue de l’incontournable Soirée des Lauréats, évènement concocté dans l’un des espaces d’accueil de Dijon. Mais aussi, lors du traditionnel Dîner des Réseaux qui sera proposé à l’automne à l’ensemble des acteurs institutionnels et économiques de la place.

Et pour celles et ceux qui en voudraient davantage, il leur restera toujours l’opportunité de prolonger les échanges lors du congrès national prévu en Alsace du 02 au 04 octobre. Le rendez-vous est biennal : donc, pas d’hésitation pour s’y retrouver !

 

 

 


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Sujet brûlant que celui-ci ! Les retraites constituent le nœud gordien des politiques de tout poil ! Le principe même de notre système de retraite par répartition repose sur les actifs : ils payent les pensions des retraités. Soit aujourd’hui, 26,9 millions d’actifs et 2,8 millions de chômeurs. Largement insuffisant pour financer les 14 millions de retraités. En 2018, le déficit des retraites était de 2,9 milliards. Une somme plutôt faible au regard des 325 milliards versés. C’est l’avenir qui fait peur : de moins en moins de recettes, de plus en plus de retraités...

 

TRIBUNE : Paradoxalement, certaines mesures comme les réductions ou les exonérations de cotisations sociales, voire les coupes drastiques dans le nombre de fonctionnaires, vont contribuer à la diminution des recettes. Alors, souhaitez-vous des compléments de revenus ? Souscrivez à la retraite par la capitalisation nous affirment nos banquiers préférés !

Le principe est simple : le montant reçu n’est que la redistribution du capital placé. L’argent placé à long terme galope sur les marchés financiers (Bourse, autres produits dérivés…), ce qui est donc très risqué.

La rentabilité d’un placement est inversement proportionnelle au risque : un invariant depuis des siècles ! La retraite par capitalisation se définit ainsi dans la pratique : je touche ce que j’épargne (éventuellement).

Ce type de retraite repose sur deux critères importants : le montant épargné et le taux de rendement dudit placement. La rentabilité devant assurer le maintien du pouvoir d’achat des sommes versées.

Aujourd’hui avec des rendements à taux zéro, plus de revalorisation du capital épargné ! Avec la baisse historique des taux, le système explose.

Certains dépôts de particuliers sont taxés par les banques : la Banque Centrale Européenne (BCE) offre des taux négatifs. Quand on épargne, on paye des intérêts…

 

La retraite par capitalisation : un risque individuel absolu. 

 

La retraite par répartition repose sur une solidarité intergénérationnelle. L’autre paradoxe de la capitalisation est de ressembler à la répartition sur le plan de la disponibilité. Lorsque nous demandons à toucher la rente du placement, il faut que l’organisme de placement détienne les liquidités pour débloquer les fonds demandés.

Si ce n’est pas le cas, la disponibilité sera assurée par les nouveaux souscripteurs ! Comme « Canada Dry », ça ressemble à la répartition mais ce n’est  pas de la répartition !

L’illusion de la capitalisation, c’est de croire que notre épargne aujourd’hui, sera capable d’ici quinze ou vingt ans, de garantir les règlements réclamés et capables de maintenir le pouvoir d’achat, compte tenu de l’inflation !

Du même niveau de croyance que la petite souris, le Père Noël et les œufs de Pâques !

Je préfère encore le « Pari de Pascal » ! Mieux encore : le livret A et les autres livrets d’épargne (comme le LEP à 1 %) : ils sont sûrs et disponibles.

Aujourd’hui, pour les plus jeunes, préparer sa retraite, c’est d’abord faire un prêt pour être propriétaire de sa résidence principale. Economiquement, faire du crédit ou épargner, c’est la même chose.

N’oublier pas la maxime suivante : « Si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de l’argent à prendre ! ». VOLTAIRE.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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