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C’est officiel. L’information émane de Dieusmonde TADE, le président fondateur de l’association Lune d’Afrique Internationale, lui-même. Le premier festival franco-africain devant unir les producteurs de cacao du continent noir aux producteurs viticoles de l’Yonne se déroulera du 26 au 30 octobre à Auxerre. A défaut d’en connaître le contenu, le lieu, lui, a été rendu public par son instigateur : il s’agira de la maison de quartier Rive Droite.

 

AUXERRE : La photo fait office de symbole. C’est celle de la première pierre posée de manière officielle en France dans la capitale de l’Yonne. Préfecture qui accueillera à l’automne prochain le premier festival international du Choco Vins, mariant astucieusement les produits issus du cacao à la saveur acidulée et sucrée des vins de Bourgogne.

La directrice de la maison de quartier Rive Droite Sandrine VONIN a formalisé l’accueil de cette future manifestation alimentaire en validant les dates de réception de cet évènement, devant réunir les producteurs de cacao en provenance des pays de l’Afrique équatoriale (Côte d’Ivoire, Ghana,…) et les viticulteurs du terroir.

 

 

Rappelons que cette manifestation est placée sous l’égide de la structure associative Lune d’Afrique Internationale, dont le président-fondateur n’est autre que l’Auxerrois Dieusmonde TADE.

Un prix spécial est annoncé en hommage à l’ancien président du comité des sages de l’Association nationale des producteurs de café et de cacao de Côte d’Ivoire, Sansan KOUAO, décédé il y a peu. Une distinction, considérée comme un encouragement au monde paysan africain dont les meilleurs acteurs seront récompensés lors de ce festival.

 

Thierry BRET

 

 


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L’évènement revêt de la plus haute importance pour l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie. Première organisation professionnelle fédérant les acteurs des cafés, hôtels, restaurants et établissements de nuit de France, la structure a pour mission régalienne la défense et la promotion des indépendants qui peinent aujourd’hui à trouver chaussure à leur pied en matière de recrutement. A l’amorce de la nouvelle saison, il y a urgence ! C’est l’objectif du futur webinaire, proposé le 28 février.

 

AUXERRE : Le premier syndicat patronal du secteur CHRD (Cafés, hôtels, restaurants, discothèques) met les bouchées doubles en cette fin de saison hivernale. Chaque minute compte pour se préparer du mieux possible à l’accueil des consommateurs. Dilemme : il va falloir gérer la sacro-sainte épreuve des recrutements, synonymes de bonne fonctionnalité des établissements et de son corollaire, le chiffre d’affaires.

Une difficulté qui n’a fait qu’empirer après les deux années noires, occasionnées par la crise sanitaire. La filière a perdu près de 140 000 emplois ! Impensable ! Condamnant les chefs d’entreprise à se retrousser les manches, à ne plus dormir la nuit à cause des risques de « burn-out », voire à mettre la clé sous le paillasson. 

Se rapprochant de Pôle Emploi, avec lequel elle a noué un solide partenariat durant cette période complexe, l’antenne départementale de l’UMIH de l’Yonne proposera le 28 février un webinaire. Objectif de cette initiative numérique : expliciter le fonctionnement de la plateforme de recrutement de l’établissement public en charge de l’emploi dans l’Hexagone. Un outil, baptisé « Maintenant », y sera largement présenté.

« Ces initiatives existent et sont probantes, confie Corinne ROGUIER, secrétaire générale de l’UMIH 89, elles ont été mises à disposition du grand public par Pôle Emploi mais ne sont pas encore suffisamment connues. C’est la priorité de cet exercice qui se déroulera durant une heure… ».

 

 

Une rémunération minimum supérieure à 5 % du SMIC…

 

Au-delà de l’aspect technologique de ce support et de son approche opérationnelle, le webinaire détaillera également les aides aux recrutements et à l’embauche.

D’autant que de nombreux postes sont à pourvoir avec la venue de la belle saison. Et que les candidats potentiels ne doivent plus être rebutés par une image obsolète des métiers de la filière.

A ce titre, la nouvelle grille salariale, venant d’être négociée, entrera en vigueur au niveau national au premier avril. Le 16 décembre à l’occasion de la seconde réunion paritaire de négociations sociales sur la grille des salaires, le collège patronal, composé des quatre organisations (GNC, GNI, SNRTC et UMIH), a proposé une rémunération minimum supérieure à 5 % du SMIC dès le premier niveau.

Cette grille se traduit par une augmentation moyenne de 16,33 % par rapport à la grille actuelle.

Une progression qualifiée d’historique pour la branche corporatiste au terme de ces négociations. Ce coup de pouce significatif devrait susciter davantage de vocations dans la filière. Surtout qu’en parallèle, les syndicats dont la CFDT travaille à l’amélioration des conditions de travail des salariés du secteur, considéré souvent comme pénible.

 

Redorer le blason d’une filière, porteuse d’emplois…

 

Les organisations patronales ont fait savoir qu’elles ont bien l’intention de traiter le sujet. Elles ont proposé un calendrier social sur le premier semestre 2022 afin de continuer les discussions portant sur l’attractivité de la branche.

Seront abordés lors de ces échanges constructifs les problématiques liées au travail le week-end mais le travail le jour dominical. Des pistes de réflexion autour du treizième mois ne sont pas à exclure de ces entretiens.

« Tout cela va dans le bon sens, a confirmé le président de l’UMIH de l’Yonne, Eric MOUTARD, il est temps de redorer le blason de notre profession et de pouvoir embaucher ! ».

 

 

En savoir plus :

L’UMIH 89 et Pôle Emploi 89 organisent un webinaire ce lundi 28 février à 15 heures,

Le jour J, il faudra cliquer sur le lien ci-après : https://cutt.ly/EPhlO3d

 

Thierry BRET

 

 


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« Chers amis de France Inter, et allez..., ce matin encore ce 20 février 2022, c'est le tour d’une députée LREM qui parle de son expérience de jeune parlementaire. Quelle « audace », cette interview d'une jeune députée LREM ! Bien entendu, j’aurais pu en rester là, être en colère ou pas, et ne rien vous dire... parce que certains d'entre vous (pas tous j’espère) allez prendre la remarque d’un quidam quelconque (comme moi qui signe ce papier) en vous disant : encore un criticailleur de journalistes, un criticailleur des rues et/ou des ronds-points (pour rester poli). 

 

BILLET : Que se passe-t-il... à/sur France Inter ?  Pourquoi si peu d'indépendance ? Où est le pluralisme qui respecte les auditeurs ?  Elle est où l'égalité du temps de parole en ce temps d’élection ?

Cousues de fil blanc, ces interviews, sur un ton feutré, comme celle de ce matin, 20 février 2022 : elles sont insupportables ! D’autant qu’elles n’apportent rien de rien, sinon de faire un peu de pub (copinage peut-être ?) à une avocate qui va retrouver (peut-être) la vie civile et son cabinet d’avocate, si j’ai bien entendu car, avec mon amie-amour,  je buvais mon café tout en regardant le ciel nuageux.

Les bras ne m'en tombent pas (cette expression est redevenue trop à la mode), bien au contraire, mes bras montent au ciel et je me dis en écoutant cette interview si pauvre, si petite !

Ô mon dieu, qu’est devenu France Inter ?

Encore un journaliste (en l’occurrence une) qui ne respecte pas ce si beau métier.  À « l'Huma », journal d’opinion, on peut comprendre qu'on privilégie des interviews de communistes mais sur France Inter ? Radio de tous (?) les Français, qu’ils soient noirs, blancs, jaunes, rouges...de toutes confessions...

 

Des médias qui n’ont pas les mains libres et sont inféodés aux politiques…

 

Bref, vous ne devez pas sortir souvent des studios et vos masques vous couvrent les oreilles, semble-t-il, sinon vous entendriez bon nombre d’auditeurs qui s’indignent de ces grosses ficelles et de ce genre d'interviews...

Bref, vous avez beau dire et répéter, presque chaque matin, « France Inter est la radio la plus écoutée de France », beaucoup d’auditeurs ne sont pas dupes et moins polis que moi.

Chers amis de France Inter, ce n'est pas une colère, c’est un constat !

Et loin de moi de critiquer tous les journalistes (de France Inter ou d’ailleurs...) mais vous devriez vous battre pour plus de pluralisme car même si vous vous en défendez, vous n’êtes pas libres et certains ne sont que les porte-paroles de l’AFP (ou d’agences équivalentes) et trop souvent les porte-paroles de LREM et du chef de l’Élysée. 

Ai-je eu raison de passer du temps pour vous dire cela ?

Malheureusement, je sais que comme vous le faites lors des émissions de 8h20 où vous claironnez « appelez-nous » même deux minutes avant l’interview alors que depuis 30 à 40 minutes, les auditeurs retenus pour l’antenne ont été choisis et que vous n’en passerez qu’un ou deux après avoir dit et répété aussi «ce matin il y a de très nombreux appels, appelez-nous vite, joignez le standard au 01 45 24 70 00 ». Là aussi la ficelle est grosse !

Par souci de non anonymat, je signe de mon nom Gérard Gaillard, auditeur régulier de France Inter.

 

Gérard GAILLARD

 


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L’annonce aurait presque de quoi surprendre à la lecture liminaire de son contenu. Mais, pourquoi pas après tout, puisqu’elle est pleine de bon sens ! Les artisans, agriculteurs, aides à la personne, voire…les retraités, sont invités à prendre contact avec la société de transport qui propose des activités à temps partiel au sein de sa structure. Lesquelles ? Celles de conducteurs d’autocars !

 

PROVINS (Seine-et-Marne) : Vous en rêviez ? Vous pouvez le faire ! Qui plus est si vous désirez cumuler un job supplémentaire à votre métier actuel, voire si vous vous ennuyez ferme à la retraite, parfois propice à de grands désarrois au plan de l’intellect.

De dix à vingt postes de conducteurs d’autocars sont disponibles à date sur le département de l’Yonne. Origine de cette offre : l’entreprise de transport routier de voyageurs et organisatrice de voyages, PROCARS, dont le berceau social historique se situe dans le sud de l’Ile-de-France, dans cette jolie cité médiévale de Provins.

Depuis décembre, la campagne de recrutement de la structure s’est déployée via les réseaux sociaux afin de sensibiliser le maximum de personnes à la connaissance de ces offres dont sera assurée la formation.

 

 

Des postes à pourvoir très nettement féminisés…

 

Le profil type des candidats potentiels suppose de posséder ou pas le permis D, nécessaire à la conduite des autocars. La société préparera à l’obtention de ce précieux sésame, celles et ceux des postulants qui tenteraient leur chance.  

Une fois opérationnels, ces nouveaux conducteurs seraient affectés sur les lignes des transports scolaires, l’une des prestations importantes assurées par PROCARS sur les départements de Seine-et-Marne et de l’Yonne.

Ces postes, ouverts aux femmes (40 % des effectifs de conductrices à l’heure actuelle au sein de la structure) comme aux hommes, sont disponibles de suite.  

Précisons que d’autres fonctions sont également visées par cette campagne de recrutements importante. Notamment dans les domaines des études, de la maintenance et de l’exploitation où le niveau bac + 2 peut être requis.

PROCARS privilégie également les forums de l’orientation et de l’emploi où sa présence est symbolisée par un stand pour propager la bonne parole et les messages positifs autour de cette filière des transports collectifs, pourvoyeuse d’emplois.

 

En savoir plus :

Les candidatures sont à transmettre à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 


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Opération intéressante que celle menée il y a peu par deux partenaires du lycée des métiers de l’hôtellerie et de la restauration Vauban à Auxerre. METRO et Le BORVO, producteur de saumon fumé, ont organisé un master class mettant en exergue la gamme de pains conçus par BRIDOR, l’un des incontournables de la filière industrielle sur ce registre.  

 

AUXERRE: Le pain, c’est bon. Et les Français, friands de ce produit du quotidien, en sont de gros consommateurs, comme chacun le sait. Mais, on n’est pas obligé de le déguster frais. Ainsi, le pain congelé peut servir de base nutritive à de multiples préparations en le travaillant différemment. Parfois, par nécessité. A l’instar de ce que vit le lycée des métiers Vauban qui ne peut être livré que par un seul boulanger pour ses besoins journaliers.

Insuffisant, donc, pour l’une des figures de l’établissement, Serge GOULAIEFF, meilleur ouvrier de France (MOF) catégorie maître d’hôtel et l’une des têtes pensantes pédagogiques du lycée.

« Nous avons été dans l’obligation de regarder ailleurs, plaisante-t-il, d’où notre intérêt porté sur l’offre de BRIDOR".

L’industriel fabrique une large gamme de pains, venant entre autres alimenter le restaurant d’application, « La Gourmandise ». Un site qui accueille son potentiel de clients réguliers tout au long de l’année.

Un pain qui visiblement ne laisse pas de marbre les consommateurs. Le gâchis au niveau de la perte est beaucoup moins important avec cette production qu’avec du pain traditionnel.

« Logique, rétorque Serge GOULAIEFF, la clientèle consomme jusqu’au bout le morceau de pain, plus petit et calibré à un repas, qui accompagne les mets sur la table du restaurant. Elle le mange volontiers et l’apprécie d’autant... ».

 

 

Même les restaurateurs s’y mettent pour optimiser leur productivité…

 

Lors de cette séance initiatique, conçue en présence de plusieurs professionnels de la restauration et de la formation aux métiers de la filière, l’objectif était de montrer aux élèves de la mention cuisine, cuisinier en dessert de restaurant l’utilité pour eux que parfois il ne fallait pas perdre du temps à préparer du pain, que l’on peut le transformer ainsi que les croissants pour en faire des productions salées.

Conséquence, les testeurs du jour eurent l’opportunité gourmande de savourer différentes variantes de pains, fabriqués par BRIDOR, mais aussi du pain retravaillé, et pas seulement la baguette.

Aujourd’hui, et toujours dans le souci d’améliorer la productivité, les grandes toques de la gastronomie s’interrogent sur le besoin de passer une commande auprès d’un boulanger ou de servir à leur table du pain d’excellente qualité mais… surgelé.

 

 

Une qualité que défend bec et ongle BRIDOR. L’industriel demeure à ce jour l’un des plus gros consommateurs de beurre à l’appellation AOP Charentes-Poitou pour concevoir ses viennoiseries.

La démarche pédagogique du lycée Vauban et de ses partenaires, aussi insolite fut-elle, ne va pas, non plus, à l’encontre de l’artisanat traditionnel.

« C’est une autre approche, confie Serge GOULAIEFF, elle existe et nous ne pouvons l’ignorer. Bien sûr, l’ensemble du corps professoral de l’établissement travaille avec des boulangers artisanaux. Mais, il faut aussi montrer à nos apprenants que ce pain surgelé a pris de l’importance auprès des consommateurs. Y compris les restaurateurs qui l’ont adopté de plus en plus dans leur cuisine, évitant ainsi d’avoir oublié de passer une commande, en faisant cuire le pain à l’instant le plus propice, et en limitant les doses à leur réel besoin ».

 

 

Une première qui devrait en appeler d’autres…

 

Une première au niveau de l’initiative. Celle-ci devant se dupliquer à l’avenir, à l’instigation de METRO, auprès d’autres lycées hôteliers ou de centre de formation par l’apprentissage.

On pense automatiquement au CIFA de l’Yonne, dont deux de ses représentants, Delphine ENGELVIN et Maxime LAUZET, assistaient aux premières loges à cette séance de dégustation, animée par les spécialistes du fabricant industriel.

Quant aux restaurateurs, dont Cornélius DELAMINNE « Le Moulin de Corneil » à Mézilles, il a confié s’être régalé à l’issue de la démonstration gustative, proposant charcuteries, foie gras et plateau de fromages !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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