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La filière des services à la personne recrute en ce début d’année 2022. Dès aujourd’hui, la Région Bourgogne Franche-Comté développe des évènementiels à travers la contrée pour mieux faire connaître les formations et les jobs qui permettent d’y accéder. Une semaine de découverte des nouvelles plateformes qui pourraient bien changer des vies et améliorer celles des seniors…

 

DIJON (Côte d’Or) : L’opération se déroule jusqu’au 11 février. Elle émane de la Région Bourgogne Franche-Comté. Logique, l’organisme accompagne les demandeurs d’emploi ayant besoin de suivre un cursus de formation. Afin de répondre à la forte tension observée sur les recrutements, l’institution a souhaité mettre en place des actions spécifiques à la filière des services à la personne. Un pan de l’économie extrêmement important au vu du vieillissement de la population.

En étroite osmose avec Pôle Emploi, et l’ensemble des Conseils départementaux, la Région porte un projet partenarial autour de huit plateformes de professionnalisation, une par département, qui s’adressent à la fois aux demandeurs d’emploi et aux salariés.

Ainsi, chaque apprenant à accès à des solutions de formation sur-mesure, bénéficiant d’un large choix de modules complémentaires venant accroître l’expérience déjà acquise. En outre, ces modules mixent les différents publics (demandeurs d’emploi et salariés) favorisant le partage et l’enrichissement des compétences. Enfin, preuve de la souplesse du dispositif, on peut intégrer ces formations à toute période de l’année.

In fine, ces huit outils proposent près de 600 places de formation par an pour un coût global de quatre millions d’euros. Intéressés par l’initiative, les demandeurs d’emploi peuvent profiter des aides régionales existantes à cet effet pour suivre ce parcours.

 

En savoir plus :

Pour consulter les offres de formation de la région, rendez-vous sur J’aimaplace.org ou composez le 09.71.04.73.78.

 

Thierry BRET

 

 


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Le constat est alarmiste. La précarisation de couches entières de la population se traduit de manière très visible dans le mal-logement. Et rien ne semble y changer. A un peu plus de soixante jours de la présidentielle, la Fondation Abbé Pierre fait part de son extrême inquiétude. Son 27ème rapport venant d’être publié ne fait qu’accréditer les faits. Vincent VALLE, président de l’Office Auxerrois de l’Habitat a souhaité réagir sur la politique du logement social…

 

AUXERRE : Pauvreté des plus jeunes générations, ménages impactés de plein fouet par une inflation expansionniste des prix sur les produits les plus élémentaires et sur l’énergie, service d’accompagnement social totalement engorgé, quartiers populaires à la dérive car souvent trop oubliés… : le constat dressé par la Fondation Abbé Pierre en matière de logement fait froid dans le dos, à la lecture du volumineux mais très complet rapport sur cet item en France.

Publié il y a peu, le 27ème rapport de l’emblématique fondation tombe comme un pavé dans la mare, éclaboussant tout au passage, à quelques semaines des échéances électorales présidentielles. La crise sanitaire qui perdure depuis bientôt deux ans n’a rien arrangé, en sus.

En outre, le document dresse un bilan critique du quinquennat écoulé sur le mal-logement. Force est de constater que l’on est loin, très loin, des promesses de campagne qui proposaient un « choc de l’offre » de logements et un accès important au logement d’abord. Alors que l’Hexagone recense plus de 300 000 personnes privées de domicile fixe !

 

 

La diminution des ressources de l’OAH : une réelle problématique…

 

Un document que n’aura pas manqué de compulser le président de l’Office Auxerrois de l’Habitat, Vincent VALLE. Celui-ci a souhaité réagir à l’issue de sa lecture.

«Les alertes lancées par la Fondation Abbé-Pierre et la Fédération des OPH, relatives à la politique du logement social du quinquennat – que l’OAH approuve - trouvent aussi leur écho dans l’Auxerrois, commente-t-il, la baisse des loyers imposée aux bailleurs sociaux via le dispositif de Réduction de loyer de solidarité (RLS) depuis 2018, pour compenser la baisse des APL, a eu pour conséquence une perte de recettes de 8 % pour l’OAH. Cette diminution de nos ressources nous a contraints à revoir à la baisse nos investissements consacrés à l’entretien de notre bâti ancien, dont l’âge moyen est de quarante ans… ».

Pourtant, Auxerre est engagée dans un vaste programme de renouvellement urbain, pour un montant total de 90 millions d’euros financés par l'OAH pour les sept prochaines années.

« L’OAH devra aussi parallèlement réhabiliter plus de mille logements, entre 2025 et 2034, suite à la Loi Climat et Résilience qui interdira à la location des logements aux diagnostics de performance énergétique classés en E, F et G, ajoute le président de l’organisme. Au regard de l’explosion des coûts de l’énergie ces derniers mois, supportée aussi par nos locataires – dont les APL ne couvrent que le loyer et non les charges - la rénovation de nos bâtiments est d’autant plus urgente ! ».

On l’imagine aisément. Toutefois, cette urgence à investir dans le bâti ancien va devoir composer avec la hausse des coûts des matériaux (environ 10 %).

« La loi de Finance 2022 prévoit malgré tout de maintenir le principe de la RLS qui fragilise les finances des bailleurs, conclut Vincent VALLE.

 

Thierry BRET

 


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Lutter contre les freins à l’emploi et accompagner les personnes en recherche d’un travail est le principe fondamental de ce cycle formatif d’un trimestre qui accueille une douzaine de stagiaires à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Sous l’astucieux vocable de « DIGIT’ELLES », clin d’œil référentiel à la maîtrise du digital indispensable pour retrouver le chemin de la vie active, la chambre consulaire a reçu la visite de la sous-préfète d’Auxerre, Dominique YANI, ce vendredi.

 

AUXERRE : Depuis le 16 décembre, une douzaine de jeunes femmes sont immergées dans un cycle pédagogique intense à la CCI de l’Yonne. Nom de code de ce parcours : « DIGIT’ELLES » !

S’adressant à un public exclusivement féminin, ce dispositif de trois mois n’a d’autres objectifs que de remobiliser et réinstaurer la confiance en soi de ses bénéficiaires. Soit un total de 329 heures de cours théoriques à suivre au centre de formation du vénérable organisme.

Soixante-dix heures de ce copieux programme étant destinées à l’incursion en territoire entrepreneurial pour mieux humer et s’imprégner des tendances actuelles, côté professionnel.

Composé de découvertes numériques, mais aussi de communication et de bureautique, ce stage va permettre à 70 % de ses suiveuses d’accrocher un emploi à leur escarcelle dès son terme. Sachant que les 100 % de ses participantes auront pu peaufiner du mieux possible leur projet professionnel pour y parvenir.

Le cycle accueille des personnes inscrites à Pôle Emploi, ainsi que les bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés. Bref, des femmes ayant l’envie de bien faire et de booster leur quête d’un job en accumulant de nouvelles expériences didactiques enrichissantes.

 

 

Des personnes motivées et déterminées pour relever les défis…

 

Vendredi, le groupe a reçu la visite de la sous-préfète d’Auxerre et secrétaire générale de la préfecture Dominique YANI. Celle-ci a été accueillie par le président de la CCI de l’Yonne Thierry CADEVILLE. Signalons également la présence à leurs côtés de Marc LEPRETRE, délégué régional d’OPCO-EP, l’organisation paritaire administrée par des représentants des employeurs (U2P, CPME ou fédérations de branche) et des représentants de salariés (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, CGT-FO). Les correspondants de Pôle Emploi et de la Direction départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de la Protection des Populations de l’Yonne (DDETSPP) assistaient à cette rencontre.

Dominique YANI s’est félicitée de la mise en place de ce processus pédagogique, en phase avec les objectifs de l’Etat de lutter contre les freins à l’emploi.

« Ces douze personnes sont motivées et ont montré lors de nos échanges toute leur détermination pour relever ces nouveaux défis, devait-elle déclarer par le canal des réseaux sociaux.

Quant à Thierry CADEVILLE, il a insisté sur l’importance pour les entreprises de trouver des ressources assurant des fonctions tertiaires, formées, polyvalentes et rapidement opérationnelles.

Ce dont ont le plus besoin aujourd’hui les entrepreneurs de l’industrie, de l’artisanat, du commerce et des services de notre territoire !

 

Thierry BRET

 


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Une de plus à mettre dans la besace. Autrefois sous les couleurs de la Grande-Bretagne, la marque MG bat aujourd’hui pavillon chinois depuis que le puissant groupe SAIC a mis la main dessus. Cela n’empêchera nullement le distributeur automobile JEANNIN, l’un des plus représentatifs sur son secteur d’activité dans la région, de la proposer bientôt à Troyes. Après l’avoir déjà placée parmi ses objectifs de vente dans l’Yonne.

 

AUXERRE: Il est prescrit le temps où MG et ses sémillants roadsters s’affichaient sur nos routes avec cette dimension identitaire toute britannique qui était la sienne. Rattachée à une autre référence mythique de la construction automobile : ROVER, depuis disparue bel et bien des radars de la commercialisation !

Nous étions alors en 2005. Le leader du marché automobile et du poids lourd de Chine, SAIC, basé à Shanghai, engloutissait dans son empire ce vestige mécanique de la perfide Albion ! La multinationale pèse désormais 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires, emploie près de 145 000 collaborateurs et vend près de 6 millions de véhicules à l’année. C’est par le truchement de l’une de ses filiales, NANJING, que ce puissant consortium possède par ailleurs la marque qui nous interpelle ce jour : MG.   

En 2020, 230 000 automobiles à l’estampille de ces célèbres initiales ont été vendues hors de Chine ! La priorité est donnée désormais au 100 % électrique. Premier essai concluant avec le ZS EV qui demeure l’un des SUV électriques les plus abordables du marché. Nouvelle approche de pure séduction avec le Marvel R dont on devrait entendre bientôt parler dans le landerneau puisque distribué à Auxerre et à Sens, et prochainement dans l’Aube, à Troyes, par le concessionnaire JEANNIN Automobiles.

 

 

Implantation d’une nouvelle vitrine commerciale à La Chapelle-Saint-Luc…

 

Plus précisément à La Chapelle-Saint-Luc, en proche périphérie de la capitale auboise. C’est là que l’ex-star des sixties so british va pouvoir s’écouler auprès des consommateurs en recherche de nouveautés à partir d’une nouvelle vitrine commerciale, devant s’ériger de terre.

« Nous avons remporté le panneau de l’enseigne, explique Cathy TOZEYRE, la spécialiste de la communication interne/externe du groupe JEANNIN qui caracole loin devant sur le marché, avec plus d’une dizaines de marques à commercialiser ! Nous n’avions pas encore obtenu la marque sur l’Aube : c’est fait ! ».

 

 

Dans un premier temps, les futurs acquéreurs de ces modèles fabriqués dans l’esprit de la transition écologique devront fréquenter une structure éphémère, le temps que la future concession prenne corps dans l’une des zones très attractives et industrielles de La Chapelle-Saint-Luc où est prévue l’implantation de la construction. Cela ne sera que passager.

 

 

Une puissance s’affirmant dès le démarrage !

 

Devant débutés au printemps, ces travaux devraient s’achever quelques douze mois plus tard dans un environnement ergonomique et fonctionnel de huit cents mètres carrés où seront accueillis deux marques, MG et MAZDA. Mais, dans l’Yonne, les concessions du groupe JEANNIN sises à Auxerre comme à Sens proposent déjà à l’achat la fameuse marque.  

Que dire de ce Marvel R électrique, qui possède une planche de bord insolite avec un grand écran vertical de près de vingt pouces, qui ne devraient pas déplaire aux férus de technologie !  

Offrant une autonomie de 400 kilomètres, ce concurrent des SUV produits par KIA, TOYOTA et DACIA, embarque à son bord sous le capot deux motorisations électriques cumulant 180 chevaux. Voire de 288 chevaux selon une autre variante ! L’obtention du cent kilomètre/heure au démarrage est obtenue en moins de cinq secondes : c’est tout dire sur la réelle capacité de puissance de cette petite merveille. Quant à la charge de la batterie, elle est annoncée par le constructeur à 43 minutes pour passer de 5 à 80 % ! On peut la toucher entre 40 000 et 50 000 euros. Un modèle idéalement bien positionné sur le segment de l’électrique…

 

Thierry BRET

 


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Il est de ces mots quelque peu malmenés depuis ces deux dernières années. De ces mots gravés sur la façade de nos mairies, et dont le poète Paul ELUARD se targuait d’écrire son nom : liberté. C’est drôle. Mais en poussant la porte de cet estaminet à la peinture défraîchie, c’est immédiatement ce que l’on ressent. Au sol quelques carreaux sont cassés. Au mur, il y a des affiches de Saint-Vincent du siècle passé : bienvenue au DOLET !

 

AUXERRE : Le poêle ronronne mollement en ce jeudi hivernal, pour le plus grand plaisir des clients-copains ou des habitués. Le comptoir est en formica, star des sixties, magnifiquement évoqué dans la chanson « La Montagne » par Jean FERRAT. La facétieuse grenouille y a même élue domicile ! Sur les vitres en verre dépolie, quelques fleurs peintes d’antan par le regretté Toto….Ah ! J’allais oublier : à l’extérieur, se trouvent des toilettes à la turque d’une impeccable propreté.

Bienvenue au « Dolet », ce bistrot de quartier auxerrois, sis à l’angle des rues du port Gerbault et Étienne Dolet. Des comme ça : il n’y en a plus guère, raison de plus pour en pousser la porte, et découvrir - ou redécouvrir - cet univers bistrotier en fin de vie dans notre pays.

 

Le bistrotier aime ses clients : ils le lui rendent bien…



Au comptoir, c’est sieur Hervé. Avec son pantalon en Tergal tout droit sorti de feu les usines vosgiennes BOUSSAC, et son pull qu’un copain douanier a dû lui fourguer sur sa dotation, il ne manque pas d’une certaine allure. Jadis, cet avallonnais travailla au restaurant « La Courte paille » de Cussy-les-Forges. A l’époque, on y pratiquait de la vraie cuisine : patates épluchées, vraie vinaigrette, tarte aux pommes maison….

Tout cela fut chamboulé à l’aube des années 90, lorsque notre bistrotier et dame Ginette s’installèrent ici. L’équation est en ces lieux d’une grande simplicité, malgré quelques identités tout à fait remarquables : Hervé aime ses clientes et clients, qui le lui rendent bien. Chaque matin, il ouvre avant 6 heures, afin que les éboueurs débutent leur tournée par un café chaud.

Parfois, c’est vrai, il a du mal à desserrer la mollette du fût de bière. Tel Saint-Bernard, « Seb » de chez COURTOIS Bourgogne Boissons accourt.

« Un client comme Hervé, on ne peut le laisser  tomber » affirme ce sympathique professionnel !

 

 

Le plus important est que cela plaise aux clients !



Bon, autant l’avouer tout de go : à l’instar de votre serviteur, Hervé de Montréal - dans l’Avallonnais et non point dans la belle province !- ne comprend pas tous les canons et subtilités de la société actuelle. Pour entretenir sa mémoire, il fait ses additions à la main sur d’anciennes liasses informatiques apportées par de gentilles clientes-secrétaires, et il n’a point de portable, car cela ne sert à rien. CQFD ! Alors un conseil, vous qui passerez par hasard, n’allez pas lui demander si il est plutôt LinkedIn ou Instagram ! Demandez-lui plutôt, d’avisés conseils le moment venu quant aux pieds de tomate !

Au comptoir, c’est selon, même si notre homme apprécie le vigneron Yvon VOCORET, qui lui livre son petit chablis, récemment tasteviné, lors du chapitre automnal au château du Clos-Vougeot. Cette jolie distinction laisse de marbre notre bistrotier, car le plus important, c’est que cela plaise aux clients ! Ce solide bon sens règne en maître dans ce petit estaminet, pour le plus grand plaisir de Marc, Philippe, Eric, Delphine, Jean-Pierre, Pascale et les autres…

 

Des tarifs non prohibitifs que ceux pratiqués par certaines chaînes…

 


En cuisine, la cheffe, c’est dame Ginette ! Sur sa gazinière quatre trous - ressemblant peu ou prou à celles de la marque ROSIERES vantée par Paul BOCUSE dans les années 70 !- elle réalise des merveilles de simplicité gourmande. Chaque jour correspond à un plat différent : saucisse lentilles, chou farci, bœuf bourguignon, poule au pot, rôti de porc au jus... En dessert : mousse au chocolat, pommes au four et chaque automne, une étonnante tarte aux coings.
La formule comprend le plat, une assiette de fromages ainsi que le dessert pour 11 euros. Avec le café : 1 euro en sus et 2,5 euros avec un « p’tit quart » de vin. A comparer avec les tarifs prohibitifs sans âme culinaire aucune, de bien des chaînes. Ici, c’est un vrai restaurant ouvrier, avec toute la noblesse qui en découle…

 

 

Se précipiter au DOLET avant qu’il ne soit trop tard !


Ce midi-là, ce fut un sauté de sanglier accompagné de pâtes et endives braisées, une assiette de fromages - toujours servie avec du beurre -, puis une exquise crème caramel à la paisible cuisson (le cas échéant, le dessert est constellé de micro-bulles). Dans sa petite salle patinée d’âme, notre homme envoie une vingtaine de couverts. A ce moment-là, mieux vaut ne pas le déranger !

« Minou, encore deux couverts » aboie-t-il avec délicatesse à la cheffe ! Et à 14 heures, on vous servira encore !
Alors, à l’instar des chanteurs BENABAR et RENAUD qui s’en vont manger « Chez les Corses », nous autres icaunais, devons-nous précipiter au DOLET. Car demain, définitivement, il sera trop tard.

 

En savoir plus :

Les + : sens de l’accueil, convivialité, bonne cuisine : tout y est !

Les – : le café n’est pas des meilleurs dirons-nous ! Sacré Hervé !

 

Gauthier PAJONA

 

Référence


Le DOLET

13, rue Étienne Dolet

89000 Auxerre

Fermé samedi/dimanche.

Contact 03.86.46.88.58., de 06h à 19h.


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