Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Venue à Joigny, en convalescence pour prendre le bon air, la jolie parisienne qu'était Jacqueline, ne quittera plus dès lors la cité des maillotins, en y ayant rencontré l'amour, en la personne du jeune cuisinier Michel LORAIN. Désormais,  Michel et Jacqueline ne feront plus qu'un…

 

JOIGNY: Après leur mariage, en 1958, le jeune couple reprend « La Côte Saint-Jacques », à la suite de Marie et Louis, les parents de Michel. De leur union naîtront Jean-Michel, puis sa sœur, Catherine. Dans cette bonne auberge de bord de route, on se régale d'une excellente cuisine soignée et traditionnelle. Le menu y précise même : le steak tartare sauce anglaise,  préparé à votre goût par Mme LORAIN ! Le restaurant ne désemplit pas, et nombre de Peugeot 404, Simca 1300, et autres Citroën DS stationnent le long de la  RN6 d'alors.

Mais en 1966, l'ouverture du premier tronçon de l'A 6 entre Paris et Avallon (sans limitation de vitesse !), diminue drastiquement le trafic routier de la mythique nationale.  Pour l’établissement, le compte n'y est plus, avec un chiffre d'affaires divisé par deux. Les LORAIN ne sont pas du genre à baisser les bras. Ils se rendent même en Angleterre, pour y contacter des voyagistes londoniens Michel, le chef-bâtisseur, se dit aussi, que pour faire sortir les automobilistes de l'A6, il serait ingénieux de raffiner sa cuisine, la rendant plus gastronomique. 

 

Un palais raffiné dans l’art de la sommellerie…

 


Au cœur de ces  grandes années du guide Michelin d'alors, Michel et sa brigade vont se battre entre deux voyages au marché de Rungis pour y dégoter les meilleurs produits. En 1971, « La Côte Saint-Jacques » décroche sa première étoile, et double la mise cinq ans plus tard. Mais, Michel veut plus pour sa ville natale. Alors, toujours fidèlement secondé par Jacqueline, il va s'en donner les moyens. Durant toute cette progression « pneumatique », Jacqueline part à l'assaut de la sommellerie, un monde essentiellement masculin jusqu'alors. Elle s'y fait une place de choix, plutôt de précurseur et y est reconnue en qualité de palais raffiné lors des dégustations !

 

  

Trois étoiles au Michelin : « La Côte Saint-Jacques » est au firmament…



En 1986, rejoint depuis peu par Jean-Michel,  « La Côte Saint-Jacques » de Jacqueline et Michel LORAIN décrochent alors les convoitées trois étoiles Michelin (établissement qui vaut le voyage dixit le guide !) qui trente ans durant, brilleront le long de cette RN 6 qu'ils auront tant servi. A la fin du siècle dernier, avec élégance, les parents transmirent le relais de la succession à Jean-Michel, leur fils. Joigny, grâce à la famille LORAIN, est connue de par le monde aujourd’hui...
Cette dame élégante, aimée de ses enfants et petits-enfants, s'en va rejoindre son cher Michel, disparu l'an passé. Au revoir Madame, la gastronomie française et la ville de Joigny peuvent légitimement vous dire merci.

Gauthier PAJONA

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La Puisaye, c'est la Corse de l'Yonne, m'affirma voici quelques années un boucher qui en était originaire ! Il est vrai que cette atypique région icaunaise ne manque pas d'un charme certain, avec entre autres, ses multiples hameaux, ses axes routiers montants et descendants, bordés d'arbres majestueux, qui donnent l'impression de nous enserrer de façon protectrice !

 

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Après une petite halte  rafraîchissante toucycoise, au « Bistrot de l'Atelier » tenu par la souriante Corinne et l’excellent Thierry (deux très bons commerces voisins sont à signaler avec la charcuterie ainsi que la  réputée pâtisserie Durand), direction Saint-Sauveur-en-Puisaye, en passant par Fontenoy ! Il fait bon se promener dans cette petite cité chargée d'histoire ! Las : comme partout en France, nombre d'échoppes commerciales y sont désormais fermées à tout jamais, dont la maison de la presse. Entre la majestueuse Loire et la tranquille Yonne, le cœur balance ici !

En contrebas de la place principale, se trouve « A Table », un discret restaurant à la jolie terrasse. Cela tombe bien tandis que midi sonne, en ce jour ensoleillé. Installons-nous paisiblement ! Après l'affluence récente de la fête des mères,  la quiétude est de mise en ce mardi ! L'ambiance locale, plus ligérienne, incite à goûter un Sancerre rouge de belle tenue.

 

 

 

Un excellent tartare mais pas coupé au couteau…

 

 

En entrée, la croustade de fruits de mer est accompagnée de façon plutôt originale par des crevettes roses de type bouquet, à l'impeccable fraîcheur. C'est bon, même si du coup, la croustade refroidit tandis que l'on déguste les crevettes.  !
En plat principal, le tartare est agrémenté de bonnes frites non grasses, ainsi que d'une salade bien assaisonnée. Evidemment, on eut préféré un tartare minute coupé au couteau (mais ne rêvons pas, cela  n'existe plus guère !) plutôt qu'une viande directement sortie d'un emballage d'une marque, que je ne peux vous citer que par charade interposée ! Premièrement, le fait d'être à deux. Secundo, un département où nombres de villes comprennent des arènes !

Pour terminer l'assaisonnement, il est proposé une bouteille de Tabasco, en version barbecue sauce, qui outre-Atlantique accompagne les travers de porc, ou plutôt les baby back ribs !

 

 

 

Le petit geste commercial appréciable : la gratuité du café !

 


Tout comme l'entrée,  le plat est plutôt copieux. En dessert, l'île flottante est bonne. Elle semble être faite maison, notamment grâce à l'onctuosité de la crème anglaise.
Les cafés sont offerts aimablement, avant le plaisir de retrouver nos artères poyaudines !

 



En savoir plus

Les - : en entrée, la salade de chèvre est proposée à 18 euros. Ce qui semble un tarif excessif pour pareil mets. Peut-être pourrait-elle être déclinée moins chère, en version moins copieuse aussi, une salade en guise d’entrée ou de plat principal.

Les + : le service est aimable, la quiétude de la terrasse est appréciable.

Contact :

A Table

7, Grande Rue

89520 Saint-Sauveur-en-Puisaye

Tel : 03.86.74.22.95.

La première formule est servie à 22 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Cinq facteurs ont prêté serment au centre de tri de Saint-Denis-lès-Sens, une soixantaine sur la région Bourgogne-Franche-Comté depuis le début de l’année. Une tradition qui perdure depuis plus de deux cents ans.

 

SAINT-DENIS-LES-SENS : L’événement était à marquer d’une pierre blanche pour les cinq nouvelles recrues qui rejoignaient les 65 000 facteurs de La Poste, une cérémonie en bonne et due forme perpétuée depuis plus de deux siècles. Par décret du 29 août 1790 relatif aux Postes et Messageries, promulgué par proclamation du roi, les commissaires aux postes, administrateurs et employés furent tenus de prêter serment « de garder et observer fidèlement la loi due au secret des lettres ». Tout manquement devait être dénoncé aux tribunaux.

 

Un serment qui se prête sur la valeur confiance…

 

« La prestation de serment n’est pas qu’une formalité administrative » précise le directeur d’établissement Kemal OZKARA, s’adressant aux facteurs.

« L’engagement que vous allez prendre est l’acte fondateur de vos vies de postiers. Cet engagement vise à maintenir la confiance de nos clients, de nos collaborateurs car la confiance est une valeur cardinale pour La Poste ».

Alex CONNAULT, colonel réserviste de la Gendarmerie nationale et manager à la direction des ventes s’est montré très attaché à ce serment qu’il a lui-même prêté il y a une vingtaine d’années.

« Une des plus grandes preuves de confiance que l’on peut donner et qui a une valeur juridique, c’est le recommandé »

Kemal OZKARA d’ajouter que ça montre également « la pérennité de l’entreprise pour continuer à embaucher, on prépare La Poste de demain. Donc pour ça, on a besoin de renouveler nos départs en retraite pour maintenir une qualité de service importante pour nos clients ».

 

 

 

« On bouge tout le temps et c’est dynamique… »…

 

Parmi les agents qui prêtaient serment ce jour-là : Johanna est factrice depuis juillet 2021. Elle a obtenu un CDI. « Je suis passionnée par le métier de facteur depuis que je suis toute petite. Je trouve que c’est un métier exceptionnel ». « C’est une fierté et ça donne encore plus envie ».

Pour Justine, entrée à La Poste il y a huit ans « par hasard », c’est également une fierté. Ce qui lui plaît le plus, c’est « la relation avec les clients, le fait d’être indépendant et libre une fois dehors ».

Catline a intégré La Poste en mai 2018 puis a signé un CDI en novembre dernier. « On bouge tout le temps, il n’y a aucune journée qui se ressemble. C’est dynamique ».

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Treize ! Ne serait-ce pas un chiffre porte-bonheur pour les lauréats de ce rendez-vous honorifique ? Un évènement, biffé dans les agendas de celles et ceux qui créent de la valeur ajoutée à leur entreprise et qui espèrent briller sous le feu nourri des projecteurs ? Concours proposé chaque année par la Banque Populaire régionale et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat,  ce prix distinctif récompense l’audace, l’excellence et l’innovation. Trois mots incontournables qui qualifient ce que doit être réellement un entrepreneur…

 

SEIGNELAY : Ils n’ont pas d’idées les chefs d’entreprise de l’Yonne ? Que nenni, « ma brave dame » ! Ceux de l’artisanat, des services et du commerce qui ont pu longuement expliquer face à un public de spécialistes – la fine fleur de la sphère économique du cru – la vision de leurs projets professionnels ont su démontrer l’inverse !

D’ailleurs, pour avoir su titiller la fibre experte et toujours aiguisée des membres du jury, les dossiers de candidatures devraient être tirés au cordeau. Les banquiers n’ont pas, en effet, la réputation de faire les choses à moitié lorsqu’ils analysent prévisionnels en main un projet professionnel et ses perspectives !

 

 

L’humilité s’invite à ce rendez-vous…

 

Alors, oui, Yann NUNES, directeur de territoire de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté (n’omettons pas les Pays de l’Ain !), ne pouvait qu’afficher un large sourire dès sa prise de parole introductive. Le garçon marquait ainsi son soulagement après la délicate période de confinement qui aura pu perturber le déroulé des éditions antérieures.

Il est vrai que le « Stars et Métiers » se déguste, quel que soit le millésime, comme un bon vin. La convivialité y est de mise. Les sourires des lauréats traduisent leur sincérité. Il n’y a pas de tralalas superfétatoires dans la mise en scénographie de ces artisans qui bossent durs pour y arriver. L’humilité est aussi au rendez-vous. Bien exprimée, elle peut faire couler parfois des larmes…

Le cru 2022 aura permis à 31 entreprises d’être distinguées au plan régional. Dont trois sur le territoire de l’Yonne, dans les catégories suivantes : l’innovation, la responsabilité et l’entrepreneuriat. Seule la quatrième discipline, celle de l’exportation, aura fait défaut, confirmant son absence depuis plusieurs années dans le panorama de l’Yonne. A croire qu’il n’y a pas d’artisans qui écoulent leur production à l’international ?

 

 

 

Des entrepreneurs en vrais capitaines de vaisseaux…

 

Installé dans le paysage de l’évènementiel économique depuis 2007, le prix « Stars et Métiers » est aujourd’hui inscrit dans le marbre pour celles et ceux qui tentent depuis leur chance. Figurer sur le devant de la scène, trophée en main, représente un moment de joie, additionné de fierté pour ces couples d’artisans, parfois, ces associés, souvent, ou ces personnes individuelles qui réussissent leur parcours professionnel et le font savoir publiquement.

La responsabilité managériale, le dynamisme qui va de pair, la concrétisation de besoins technologiques, bref, la stature de l’entrepreneur qui se mue au fil du temps et des expériences en capitaine de vaisseau sur l’océan plus que mouvementé de l’entrepreneuriat sont autant de critères de choix qui permettent de la part d’un jury de désigner un vainqueur.

 

 

Des idées plein la tête pour faire avancer les entreprises…

 

Les lauréats ? Parlons-en, justement. Non seulement, ils ont vu tomber dans leurs besaces la coquette somme de mille euros pour leur activité. Mais, en outre, ils auront eu l’opportunité oratoire de pouvoir livrer à chaud leurs commentaires.

Ce sera le cas de Damien BELLAT, de la société éponyme, une SARL, qui concourait pour l’obtention du Prix de l’Innovation. La création d’un système de câbles chauffants antigel pour les vignes aura séduit le jury, conquis par cette mise à profit de l’automatisme au service de la viticulture.

Puis, Sébastien LUCAS accèdera à la scène. L’entrepreneur parlera de son activité, orientée vers l’impression d’étiquettes (une SASU baptisée sobrement « LUCAS Etiquettes » a été créée) et plébiscitée dans la catégorie « Responsable ». Où démarche environnementale et hausse des emplois ont su faire le reste dans le choix des jurés.

Dirigeant de la structure « ACTP Micro Injection », Eric RAGOT rejoint ensuite le plateau pour y recevoir à son tour son précieux sésame. Catégorie : « Entrepreneur ». La société stocke suffisamment de matières premières et de produits finis afin de pouvoir répondre à ses clients dans des délais très courts. Une longueur d’avance qui se sera retrouvée in fine lors de la prononciation du verdict, officialisant son prix !

Ces récompenses furent offertes sous les yeux de Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne (aux anges devant la pertinence de ces différents concepts) et Jean-Michel CHARNU, président de la SOCAMA, leader du cautionnement mutuel dans l’Hexagone, un partenaire clé du réseau des Banques Populaires et de la chambre consulaire.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les impacts du numérique sur l’environnement sont multiples. Ils sont présents à toutes les étapes du cycle de vie des ordinateurs et autres objets connectés, de l’extraction de métaux précieux employés pour leur fabrication, à leur transport et leur utilisation. Avec ce constat sans appel : le numérique représente aujourd’hui plus de 4 % des émissions de gaz à effet de serre à travers la planète. Un chiffre appelé à doubler d’ici 2025. Le sujet est d’importance et n’a pas échappé à l’association « NumYco ». Pour sa première table ronde, le jour de son inauguration, elle avait choisi comme thème, « Les enjeux environnementaux du numérique ».

 

AUXERRE : Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d’énergie. Cobalt, Indium, Silicium, Tantale…, autant de métaux rares à l’extraction particulièrement polluante, nécessaires à la fabrication d’ordinateurs ou smartphones. La simple consultation d’une vidéo en streaming pendant une heure équivaut à la consommation annuelle électrique d’un réfrigérateur !

Aux impacts environnementaux du numérique, se rajoutent aussi des impacts sociaux, rappelle Alexandre FOULON, président de « NumYco « : « dès l’instant où l’on va faire fabriquer dans des pays étrangers où les règles du travail et notamment concernant les enfants, ne sont pas tout à fait les mêmes que chez nous… ».

 

Entretenir ses appareils numériques grâce aux mises à jour régulières…

 

Autre problématique majeure, celle du recyclage et de la valorisation des anciens matériels. D’autant qu’en trente ans, la durée d’utilisation moyenne d’un ordinateur a été divisée par trois, passant de onze à quatre ans. Pour Christophe IENZER, conseiller numérique à la CCI de l’Yonne, le sujet est d’autant plus prégnant qu’il y a urgence à trouver des solutions : « je suis aujourd’hui enseveli sous une montagne d’appareils électroniques en fin de vie, sans réelles solutions proposées pour leur recyclage, avec le risque final de les voir envoyés dans des montagnes de déchets en Afrique ou enfouis dans le sol. La difficulté étant de trouver des entreprises pouvant me proposer des solutions concrètes pour me débarrasser de ces appareils et leur donner une deuxième vie, récupérer leurs composants, recycler les plastiques, etc. ».

D’où l’importance, souligne Alexandre FOULON à prioriser dans ses achats, des matériels avec une durée de vie plus longue, « et de les entretenir en faisant notamment des mises à jour régulières permettant de les conserver ainsi plus longtemps… ».  

 

 

 

Réduire l’empreinte écologique : la priorité pour tous les acteurs de l’économie…

 

Pas de solutions « miracle » mais une dynamique se met en place progressivement avec le label « numérique responsable », une démarche globale visant à réduire l’empreinte écologique, sociale et économique des technologies liées à la communication et l’information. Autant d’axes d’action multiples, dont certains restent toutefois à identifier, explique Silvère DENIS, délégué général de BFC Numérique : « nous réfléchissons à la mise en place d’un diagnostic à proposer d’abord aux entreprises numériques et demain, plus largement à l’ensemble des acteurs économiques, pour pouvoir identifier plus finement l’impact du numérique et surtout, par où commencer pour s’améliorer. Aujourd’hui, cela reste très compliqué d’identifier les axes sur lesquels on peut agir et le bénéfice que l’on peut en attendre, mais c’est un domaine qui va évoluer rapidement, ne serait-ce que par la législation… ».

 

 

Des aides financières peuvent être mobilisées en ce sens, rappelle Bénédicte DOLIDZE, coordinatrice du Pôle Transition Écologique de l’Agence Économique Régionale Bourgogne-Franche-Comté (AER-BFC) : « notamment celles de l’ADEME, mais aussi du Conseil Régional, en particulier pour les plus petites entreprises de moins de 50 salariés faisant appel à un bureau d’études extérieur, qui peuvent tabler sur des aides de l’ordre de 70 %. Il ne faut surtout pas s’en priver, au risque de rentrer dans du green-washing… ».

 

 

Un nouveau festival qui verra le jour à Sens dès l’automne…

 

De cette réflexion autour du numérique responsable, va naître à l’automne prochain à Sens, du 19 au 21 octobre, le festival « ArboreSens », premier du genre sur le territoire, consacré aux impacts du numérique sur l’environnement. Avec pour objectif, explique Cyril ALIDRA, directeur du Pôle relation usagers et transformation de l'administration de la Communauté d'Agglomération du Grand Sénonais, « de sensibiliser à la fois sur l’impact du numérique mais aussi de parler de façon positive et montrer les solutions existantes, de partager les bonnes pratiques et cela, à destination du grand public et plus particulièrement, des jeunes générations… ».

Un festival qu’il souhaite d’ores et déjà installer dans la durée et en faire un rendez-vous annuel pour créer une dynamique « d’écosystème territorial ». 

 

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil