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Seraient-ils chanceux les 164 collaborateurs de l’entreprise de service public, qui assure la gestion du réseau de distribution d’électricité dans l’Yonne ? Fichtre, oui ! A la contemplation des deux mille mètres carrés du flambant neuf édifice qui regroupe les activités tertiaires de la structure, on se prendrait presque à rêver de pouvoir exercer son savoir-faire dans un cadre aussi fonctionnel qu’idyllique. Erigé au beau milieu de la zone « AuxR_Parc », le nouveau site ENEDIS rassemble en un même lieu équipes techniques et administratives…

 

APPOIGNY: Ergonomique. Moderniste. Pratique. Esthétique. On pourrait continuer ainsi la liste à profusion ! Tant le nouveau site auxerrois d’ENEDIS se révèle aux yeux de ses visiteurs sous ses meilleurs atours. Ceux de la fonctionnalité et du confort réunis. Ceux de l’optimisation des surfaces et d’un agencement bien maîtrisé. L’idéal pour travailler en somme dans de bonnes conditions !

Sur un espace où folâtraient il y a peu encore lapins de garenne, lièvres, renards et perdrix ! Un endroit qui a changé totalement d’affectation au grand dam des chasseurs du cru ! Mais, ainsi va la vie…

Bienvenue donc dans cette fameuse zone – non pas la « 51 » ! – mais bien celle d’activités « d’AuxR_Parc », à la surprenante calligraphie nominative !

Une zone économique qui ne demande qu’à prospérer après les installations d’YCARE et d’ENEDIS. D’ailleurs, Magloire SIOPATHIS, édile local et vice-président du Conseil communautaire de l’Auxerrois en charge de la mobilité et de la politique de transport, le confirme dès les premiers mots de son intervention : « sur les vingt-cinq lots qui découpent ce vaste secteur, onze d’entre eux sont déjà réservés pour accueillir de nouvelles entreprises… ».

D’ici deux à trois ans, on devrait y voir un peu plus clair dans le plan d’occupation de ce concept de développement économique, qui est implanté à quelques encablures seulement de la bretelle de l’autoroute A 6.

 

 

Un site implanté rue Jules Verne : un sacré clin d’œil !

 

Pour l’heure, tous les regards convergent vers ces nouveaux locaux, dorénavant occupés par l’un des spécialistes de la distribution d’électricité ENEDIS. Opérationnel depuis le 01er février, le site de 22 000 mètres carrés qui se décompose en plusieurs édifices (celui du stockage de matériels, le pôle des activités tertiaires, et celui des locaux techniques) est implanté rue Jules Verne.

Un sympathique clin d’œil, (est-il volontaire ? Sans doute pas !), pour rappeler que le célèbre auteur de « Vingt mille lieues sous les mers », de « L’Ile mystérieuse » ou de « Robur le Conquérant » considérait l’électricité comme l’avenir de l’énergie.

Il la qualifiait d’ailleurs dans ses œuvres futuristes « d’âme de l’univers », voire « d’âme du monde industriel » ; son exploitation à des fins fantastiques illustrant plusieurs de ses ouvrages. En mettant en vedette le fameux submersible « Nautilus », vaisseau de l’emblématique Capitaine Némo !

 

 

Un seul mot pour résumer l’ensemble : la transversalité !

 

En coupant le ruban tricolore de cette vitrine professionnelle, située à proximité des grands axes routiers de l’Yonne, on peut se demander à quoi pensait réellement Robert POGGI, le directeur régional d’ENEDIS en Bourgogne. De la fierté de voir ses collaborateurs disposer d’un tel univers ? Sans doute ! De bénéficier désormais d’une implantation optimale afin de pouvoir rayonner avec davantage d’efficacité sur le territoire ? Il va sans dire !

Regrouper en un même endroit les équipes techniques et administratives de la société offre ainsi une réelle harmonisation dans l’approche du travail et plus de confort dans l’exercice des activités. C’est indéniable.

 

 

Transversalité est donc le qualificatif le plus approprié afin de définir les attributions novatrices de ce site. Un endroit répondant aux critères favorables des enjeux environnementaux. Le bâtiment bénéficie en effet du label Haute Qualité Environnementale (HQE). Des panneaux photovoltaïques couvrent précisément une quarantaine de places de l’immense parking adjacent qui peut en contenir cent-trente-trois.

Notons, au passage, que les véhicules bleus à l’estampille d’ENEDIS s’électrisent et se rechargent avant chaque déambulation à l’aide d’une vingtaine de bornes implantées in situ.

 

 

Un projet structurel qui n’est pas isolé…

 

La construction d’autres infrastructures similaires se prépare en Bourgogne à moyenne échéance. Robert POGGI le précisera durant son discours introductif à la cérémonie inaugurale : « ENEDIS souhaite s’inscrire pleinement dans la prise en compte de l’écologie pour la réalisation de ses projets immobiliers ».

Le curseur de ces investissements est placé sur la conciliation de la performance industrielle et celle de l’approche durable au cœur des territoires.

Rappelons que sur le département de l’Yonne, ENEDIS figure physiquement sur trois zones : à Sens où l’entité génère toutes les interventions sur le secteur de la partie septentrionale, à Auxerre qui permet de couvrir la zone centre-ouest du territoire et enfin à Avallon, où est administré la zone méridionale.

 

En savoir plus :

Parmi les personnalités présentes, on remarquera Jean-Noël LOURY, président du Syndicat départemental d'Energies de l'Yonne, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département de l'Yonne, Dominique CHAPUIS, président de l'Association des Maires Ruraux de l'Yonne, Mahfoud AOMAR, président de l'Association des Maires de l'Yonne, Magloire SIOPATHIS, vice-président du Département de l'Yonne et maire d'Appoigny, Arminda GUIBLAIN, conseillère départementale et maire de Monéteau, Jean-Luc LIVERNEAUX, maire de Gurgy, Dominique CHAMBENOIT, maire de Chevannes, etc.   

 

Thierry BRET

 

 


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Perceneige est sûrement l'une des communes les plus septentrionales de l'Yonne. Au loin, on aperçoit les imposantes cheminées fumantes de la centrale de Nogent. L'Aube, depuis ce village agricole, n'est qu'à quelques kilomètres de là…Installons-nous au « Relais ».

 

PERCENEIGE : C'est avec plaisir que l'on pousse de nouveau la porte de ce restaurant-bar, qui était fermé depuis quelques temps déjà. La souriante Isabelle et sa brocante sont parties du côté de Thorigny-sur-Oreuse, m'a-t-on dit !

La décoration est un peu allégée depuis lors. Mais, l'imposant comptoir demeure, autour duquel les paysans (noble mot s'il en est !) discutent tracteur et rendement. Le mini-golf, sûrement moins à la mode qu'antan, est toujours là dans le jardin.

Un patron débonnaire propose l'apéritif. Il explique ensuite qu'entrée et dessert sont en libre-service. En général, le buffet d'entrées est bien rarement fabriqué maison, sauf au relais de Courtemaux, proche de Courtenay !

Hélas, c'est le cas ici. Toutes ces entrées se ressemblent avec leur assaisonnement « gélatino-acide » si caractéristique : salade de betteraves, salade piémontaise...

Plutôt qu'un choix de six entrées industrielles, ne vaudrait-il pas mieux trois entrées seulement, mais faites maison ?

 

 

 

Où sont les oignons qui rissolent, les lentilles qui glougloutent ?

 

Avec la raréfaction constatée actuellement du beau métier de cuisinier, on peut malheureusement craindre que de plus en plus de « restaurants » procèdent de la sorte, désormais. A l'instar des trop nombreuses chaînes qui enlaidissent nos entrées de ville. L'honnête cuisine faite maison (l'oignon qui rissole, la daube qui mijote, les lentilles qui glougloutent…) aurait-elle pris du plomb dans l'aile ? On peut hélas le craindre.... Ce serait dommage pour la réputation culinaire de la France, mais hélas, les faits sont là.

La tomate farcie et son riz nappé d'une sauce industrielle sont du même acabit. On mange sans se régaler. Quant aux desserts, installés dans l'armoire réfrigérée, la pâle imitation d'un gâteau basque à la crème incertaine (de surcroît le froid n'arrange rien...), et l'entremet nappé d'un sirop chocolaté à l’origine industrielle ne sont vraiment pas terribles.

 

 

Une empreinte culinaire à reconstruire…

 

Alors qu'à cinquante mètres de là, dehors, un cerisier attend qu'on le soulage de ses fruits rougeoyants. Un clafoutis tout simple (beurre, lait, œuf, farine, sucre) serait quand même bien meilleur que tous ces « machins industriels »....

C'est triste ! On a l'impression de se retrouver dans un restaurant sans aucune âme culinaire. Sans cuisinière ou cuisinier, tout simplement....
Félicitations aux repreneurs des établissements ! Ils sont bien  souvent courageux. Mais, là, « Au Relais », il ne manque plus désormais que de la cuisine-maison. Comme au restaurant du canal à Migennes avec une gamme tarifaire identique…

 


En savoir plus :

Les - : absence de cuisine faite maison.

Les + : le service est aimable et souriant.

Contact :

Le Relais

27, Rue des Coquelicots

89260 PERCENEIGE

Tel : 03.86.88.93.66.

Fermeture le mercredi

Menu à 15 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Un peu haut « perché », le cadre de cette assemblée générale extraordinaire ? Celle devant accueillir la totalité ou presque des associés qui constituent le premier cercle financier de la SAS Pôle Son Vibration Acoustique. L’atypisme de l’esthétique théâtre de Brienon-sur-Armançon collait à merveille avec l’ambitieux concept, dévoilé par les instigateurs de ce rendez-vous entrepreneurial faisant appel à une levée de fonds. Prometteuse, en vérité, puisque la récolte s’est montrée in fine alléchante, avec 135 000 euros à la clé…

 

BRIENON-SUR-ARMANCON : Pas mal, pas mal, la première levée de fonds proposée par les porteurs du projet, déjà bien avancé, de la future SAS Pôle Son Vibration Acoustique ! Il n’aura suffi que de quelques semaines pour récupérer la coquette somme de 135 000 euros auprès de potentiels investisseurs du cru, entrant au capital social de la future entité, afin de mettre de l’eau dans les rouages de ce qui devrait être à terme une aventure entrepreneuriale très surprenante.

Une déclinaison professionnelle aux réelles opportunités de développement, tant sur l’Hexagone, qu’à l’international. Plutôt rare comme expérience à vivre dans le landerneau icaunais…

Une enveloppe financière qui, ajoutée aux investissements initiaux injectés par les irréductibles supporters du projet, porte les fonds à 150 000 euros. Une levée de fonds qui en appelle désormais une autre puisque les porteurs du projet souhaitent atteindre le chiffre tout rond de 200 000 euros figurant au capital social. Celle-ci devrait se mettre en place dans les prochains jours et se clore vraisemblablement fin septembre.

Des prolongations dont auront évoqué longuement les contours les participants de cette assemblée générale. Ecoutant très attentif les recommandations expertes fournies par Me Harold FORESTIER, du cabinet FIDAL, qui, en bon pédagogue, en expliquera le moindre détail.

 

 

Déjà une vingtaine d’associés dans cette aventure insolite de l’entrepreneuriat…

 

A date, une vingtaine de personnes ont apporté leur contribution financière participative à ce projet. De tout âge (de 22 à 78 ans selon la formule consacrée qui n’aurait pas déplu à HERGE !) et de toutes orientations professionnelles.

Désormais, comme le rappela le président temporaire de la SAS Pôle Son Vibration Acoustique Serge GARCIA (le président de l’association DEFI SON devrait passer la main dès le mois d’octobre conformément à ses désirs), le dépôt de demande d’aides publiques va se concrétiser dans les prochains jours auprès des services ad hoc de la Région Bourgogne Franche-Comté. Objectif : un abondement à montant équivalent de la part de l’organisme régional. La Caisse des Dépôts, via sa filiale, la Banque des Territoires, pourrait être amené à faire de même. Ce serait un sérieux coup de pouce envers le lancement de cette fusée porteuse d’espérance pour l’attractivité économique du territoire et l’employabilité locale.

Les associés de cette nouvelle aventure devaient recevoir au cours de cette rencontre leurs attestations officielles, un document faisant foi de leur investissement financier dans le concept.

Le Pôle Son Vibration Acoustique devrait être opérationnel dès septembre, avec la nomination de trois cadres qui en piloteront la destinée : un directeur exécutif, un directeur en charge de la stratégie, de la communication et de la médiatisation et enfin, un encadrant devant gérer la cellule recherche et développement.

Quant aux perspectives, elles sont bonnes : les premiers contrats avec une dizaine de partenaires industriels déjà en liste d’attente devraient se signer dès le début de l’automne.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il n’a pas osé tomber la veste. Pourtant, l’astre diurne a écrasé d’une chaleur de plomb l’assistance, nombreuse, qui, peu avant midi, participait à la cérémonie protocolaire inaugurale de la nouvelle menuiserie à l’estampille de MOBIL WOOD. Sur le site, futuriste et extraordinaire, d’ULTERIA, proche de Saint-Bris-le-Vineux. Un endroit ayant procuré bien-être et allégresse au président du Département, Patrick GENDRAUD, ravi…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Heureux d’être là, dehors alors que le soleil pointe dans le ciel à son zénith et que les températures sont presque caniculaires, le président du Conseil départemental de l’Yonne ? En tout cas, le chef d’orchestre de l’organe institutionnel icaunais n’aurait manqué sous aucun prétexte ce rendez-vous inaugural, concocté en ce lieu quasi « magique », répondant au doux nom à la consonance mythologique d’ULTERIA !

Un concept sorti de terre comme un nouveau monde il y a plusieurs mois qui accueille, ne serait-ce que dans l’unité de production de MOBIL WOOD, concepteur de mobilier, plus de quatre-vingts personnes ! Alors, forcément, Patrick GENDRAUD s’est fait un malin plaisir à se rendre sur place pour y humer l’air ambiant – pas une brise maritime, néanmoins, à cause de la touffeur – même s’il devait le préciser à moult occasions : « le Département n’a pas fourni la moindre contribution financière… ».

 

L’économie doit être au service de l’humain…

 

Et de cela, il semble le regretter l’ancien maire de Chablis. Mais la loi NOTre est passée par là, avec la suppression de la compétence économique aux départements ! Sic.

Nonobstant, ce n’est pas en « hypothétique » créancier que le président de l’exécutif de l’Yonne a tenu à célébrer cette phase inaugurale de la nouvelle menuiserie hyper fonctionnelle de l’entreprise, chère à ses deux mentors intellectuels : Alexis NOLLET et Sébastien BECKER.

 

 

Humaniste dans l’âme - une vertu qu’il revendique même par vents et marées et Dieu sait que la tempête souffle en rafale à l’heure actuelle -, Patrick GENDRAUD est connecté avec ce qui se vit ici. Dans cet antre de l’holocratie et du management partagé. Dans ce site où la préservation de la nature se respire goulument à plein nez.

D’ailleurs, comme un sage prodiguant ses préconisations, l’élu le rappelle à la cantonade lorsqu’il livre ses propos : « ce n’est pas l’humain qui doit être au service de l’économie mais l’inverse… ».

 

Il n’est jamais trop tard pour que le Département soutienne le projet…

 

Une valeur, partagée ce jour, avec d’autres personnalités qui étaient présentes à ses côtés lors de cette manifestation. Citons Gilles DEMERSSEMAN et Isabelle POIFOL-FERREIRA, représentants de la Région, Christophe BONNEFOND, de la CA de l’Auxerrois ou de Rachel LEBLOND, l’ancienne élue locale, cheville ouvrière initiale de ce projet, aujourd’hui aboutie qu’elle a toujours soutenue depuis sa genèse.

Cela n’empêchera pas le président départemental de bifurquer quelque peu sur le terrain parfois glissant de l’écologie, une autre de ces valeurs au même titre que la tolérance et la solidarité ô combien importantes.

Un bémol, toutefois, dans les dires de l’élu icaunais, on retiendra ceci : « l’écologie, ce n’est pas de la politique ! Tout le monde doit être écologiste aujourd’hui au vu des enjeux du réchauffement (« dérèglement » suggérera Gilles DEMERSSEMAN ?) climatique actuel ». Donc, une écologie qui n’est pas une question d’étiquette…

Ultime pirouette de l’orateur, un clin d’œil plutôt malin afin de pallier l’absence initiale de contribution financière de son organisme : « Il n’est jamais trop tard pour bien faire et si le Département peut agir à l’avenir à vos côtés – une phrase adressée aux acteurs de MOBIL WOOD et d’ULTERIA – nous n’y manquerons pas ! Comptez sur moi ! ». Voilà, c’est dit ! Maintenant, il faut le faire…

 

Thierry BRET

 

 


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Acteur de la sécurité incendie mais aussi du diagnostic, du conseil et de la formation sur le territoire de l’Yonne et de l’Aube, auprès des structures publiques comme celles du privé, le groupe DAVEM (SSITEK, CFPI, PROTEKFLAM) autofinancera d’ici peu des travaux d’agrandissement de ses locaux auxerrois. Un sérieux plus qui mènera la société à doubler ses possibilités structurelles…

 

AUXERRE: Si tout se déroule pour le mieux, le dossier sera définitivement clos en 2023 ! Avec en substance, un doublement des surfaces actuelles (plus de deux cents mètres carrés supplémentaires) qui permettra au groupe DAVEM de se doter de locaux professionnels de belle envergure.

Preuve que les choses évoluent plutôt dans le bon sens : le permis de construire vient d’être signé ; il est désormais en consultation auprès des spécialistes du foncier.

L’annonce de ce futur chantier, effectué dans un futur proche au siège de la société, sis chemin de halage de La Maladière à Auxerre, a été faite par le dirigeant de l’entité, son président-fondateur, David CHOMAT.

In fine, les nouveaux locaux relookés à la sauce de l’agrandissement devraient tutoyer avec les cinq cents mètres carrés de surface, accueillir davantage de bureaux et être pourvus d’une aire de stationnement pouvant recevoir jusqu’à trente-sept véhicules.

 

 

La zone parking sera également équipée de deux bornes de recharge électrique. L’investissement de ce projet de construction est estimé à 250 000 euros. Le groupe DAVEM en assurera l’intégralité du financement avec ses fonds.

Rappelons que le groupe DAVEM et ses trois marques disposent aussi d’une nouvelle antenne localisée à Sens depuis le 01er avril. Troyes est le troisième pôle d’intérêt de ce spécialiste de la sécurité incendie. Le groupe intervient dans de nombreux secteurs pour y garantir le respect des règles sécuritaires : les centres hospitaliers et les EHPAD, les industries, l’hôtellerie-restauration, les centres commerciaux, etc. Il emploie dix-huit collaborateurs…

 

Thierry BRET

 

 


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