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Il a beau côtoyer de très près les membres du gouvernement, lors de ses pérégrinations professionnelles dans la capitale de l’Hexagone – à l’instar du Ministre de la Transition écologique en charge des transports, Jean-Baptiste DJEBBARI  - le président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté n’est pas un adepte de la langue de bois ! Pour éviter un scénario noir qui se profile à l’horizon en défaveur de la filière, il demande à l’Etat d’intervenir auprès des collectivités locales pour qu’elles puissent mieux affronter les dérives inflationnistes du moment…

 

BESANCON (Doubs) : C’est une partie de billard à deux bandes qui se joue à l’heure actuelle dans l’Hexagone. Elle est soutenue mordicus par le toujours très médiatique président de la Fédération Régionale des Travaux Publics (FRTP) de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN.

Ce dernier en appelle à l’Etat pour qu’il accompagne les collectivités locales dans la neutralisation de l’inflation. Logique, car si accompagnement actif il y avait de la part de la gouvernance, cela permettrait à ces dernières de pouvoir mieux affronter la vertigineuse envolée de l’inflation, surtout celle qui s’applique à leurs coûts de fonctionnement.

Un sérieux sujet d’inquiétude pour les acteurs de la filière des Travaux Publics qui craignent une chute abyssale de l’investissement local en 2023. La résultante ne se ferait pas attendre avec le décrochage de l’activité, pouvant jusqu’à menacer l’existence des entreprises et la survie des emplois.

 

60 % de dépendance du chiffre d’affaires de la filière à la commande publique…

 

Vincent MARTIN est on ne peut plus explicite dans ses arguments qu’il a fait connaître par le biais d’un communiqué de presse : « le chiffre d’affaires de notre secteur d’activité dépend pour près de plus de 60 % de la commande publique, explique-t-il, en particulier du bloc communal, intercommunal et départemental… ».

L’inquiétude est donc très vive pour la filière qui emploie, rappelons-le pour la contrée, plus de onze mille salariés accueillis dans mille cent entreprises avec un chiffre d’affaires réalisé à la clé flirtant les deux milliards d’euros.

La source du tourment venant éprouver le charismatique leader régional de la FRTP repose sur la décision du gouvernement de ne pas indexer la dotation globale de fonctionnement (la fameuse DGF) sur l’inflation. Moyennant quoi, cela revient à amputer très sérieusement les ressources des collectivités locales en 2023, et de réduire par un effet gigogne implacable leur besoin en réalisations d’infrastructures, synonymes de chantiers !

 

 

« Or, la précédente baisse des ressources imposée par l’Etat, entre 2013 et 2016, de l’ordre de 11,5 milliards d’euros aura fait chuter l’investissement local de 18 %, et celle de l’activité des travaux publics de 20 % ! ».

Un scénario funeste que ne souhaite pas revivre le président de la puissante fédération régionale. En outre, la décision de l’exécutif tombe comme un cheveu dans la soupe car l’année 2023 correspond à la période de mi-mandat municipal, traditionnellement favorable à l’engagement de nombreux projets.

 

 

Une transition énergétique mise à mal par l’envolée des prix…

 

Autre signe de désagrément : la mise en œuvre du « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN). La profession craint que ce nouvel objectif ne vienne grever l’investissement local dans certains territoires ruraux et péri-urbains.

Reste la transition énergétique – au moment où le secteur est également frappé de plein fouet par les restrictions de carburant imputables aux mouvements sociaux dans les raffineries - : celle-ci, souligne Vincent MARTIN, « nécessite au premier chef le concours des collectivités locales pour réaliser des investissements de proximité sur l’ensemble du territoire ».

Si la hausse des coûts de ces produits énergétiques se poursuit – cela en prend allègrement le chemin ! – cela risque, là-aussi, de freiner les capacités d’investissement des élus locaux dans les années à venir.

« De notre côté, rappelle Vincent MARTIN, les entreprises de travaux publics continuent de s’engager avec détermination et responsabilité dans la transition énergétique. Mais, comment faire face à l’inflation et à la baisse des ressources des collectivités locales pour y parvenir ? ».

Il y a donc urgence à trouver des solutions pérennes afin de préserver le secteur. La FRTP a sa petite idée sur la question.

« Il faut que l’Etat propose des incitations fortes à l’investissement local, en particulier, la réintégration des opérations d’aménagement dans l’assiette du FCTVA et son élargissement aux travaux de sécurisation des ouvrages d’art, le déploiement rapide des crédits de paiement du « fonds vert », l’harmonisation des calendriers d’attribution de la DETR et de la DSIL, ainsi que la simplification de leurs critères d’instruction, l’actualisation des montants d’attribution pour tenir compte de l’inflation et le report des crédits non consommés sur l’année suivante… ».

Avant qu’il n’y ait réellement péril en la demeure pour la filière des Travaux Publics en France, Vincent MARTIN agit avec sa fédération en espérant des réponses concrètes et rapides de l’Etat.

 

Thierry BRET

 


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Le Gâtinais est un micro-terroir  commun à l'Yonne, la Seine-et-Marne, mais aussi le proche Loiret. Bienvenue dans la Venise du Gâtinais, le pays des véritables « Praslines MAZET » de surcroît, bienvenue à Montargis, où proche de la gare, l'hôtel-restaurant « La GLOIRE » se dresse avec une certaine élégance…

 

MONTARGIS (Loiret) : Dans les années 70, un couple de restaurateurs quitte leur relais routier pour se tourner vers une cuisine plus gastronomique en acquérant l'établissement. L'un de leurs apprentis, Jean-Claude MARTIN, leur succéda, après avoir épousé leur fille !

Avant cela, le jeune Jean-Claude fut parisien, chez LEDOYEN, précisément, sous la férule de Guy LEGAY, un chef exigeant et truculent (Guy a écrit récemment un petit ouvrage à propos des  sauces que je vous conseille !).  Le chef MARTIN fit du homard son cheval de bataille culinaire, et longtemps brilla au fronton de l'établissement une étoile Michelin des plus réputées. Désormais, tant en cuisine qu'en salle, c'est la génération suivante qui est aux affaires !

 

 

On doit pouvoir se mettre à table au-delà de 13 heures !

 

De pousser la porte de ce restaurant revêt un côté un brin rassérénant, et l'on s'y sent bien. La musique d'ambiance est aux ordres des PLATTERS (« You are my destiny) avant de succomber dans les années 80, aux charmes de la jolie Sophie MARCEAU, qui alors adolescente, flirtait au son de « Dream » - gros succès de ces années-là ! - lors d'un langoureux slow, danse désormais passée de mode, car totalement non politiquement correcte !

« On vous a téléphoné ! » me tance alors la cheffe de rang alors qu'il n'est que 13h10. Incroyable ! Comment expliquer qu'à moto, répondre au téléphone n'est guère conseillé ! Mais, bref, passons : ce serait dommage vraiment, que demain, nos restaurants traditionnels n'accueillent leurs clientes et clients - vous savez ces « ploucs » qui les font vivre....- qu'entre midi 17 et 12h32 !

Une jeune et aimable serveuse m'apporte alors un « Américano » de belle facture avec quelques mises en bouche dont un délicieux velouté Parmentier. Pour le verre de vin, j'eus moins de chance : au départ le blanc - fort bon sauvignon du coin, peut-être du Loir-et-Cher qui en produit de délicieux - était tiède, tandis qu'ensuite le rouge bordelais était glacé.

 

 

Ah, les délices du champignon de Paris, le meilleur des champignons…

 

En entrée, je pris le homard à l'impeccable cuisson. Cependant, même produites localement, je ne suis pas certain que les lentilles constituent une alliance de choix avec ce prince de la mer....Passant à mes côtés, j'en profitais pour zyeuter le très beau chariot de desserts. Ensuite, ce fut le poulpe à l'orange, plutôt bien cuit, et belle complémentarité avec l'agrume. Dans l'assiette, toutes ces mini-purées me firent alors penser aux années du film « La Boum » !

La pause glacée arrive alors sans liquide aucun, avant un paleron de veau, morceau peu usité et fort bon, proposé ici façon blanquette. Bonne idée que l'adjonction de quelques lamelles fraîches de champignons de Paris ! Feu mon ami, Michel RICHARD, chef français émigré aux Etats-Unis, trouvait d'ailleurs que c'était le meilleur des champignons.

 

 

 

 

Plus de « Paris/Brest » sur le chariot de desserts : la rançon de son succès…

 

Arrive alors le moment du chariot de desserts. Ce chariot : il a disparu corps et âme de nos restaurants, mis à part à la maison BOCUSE de Lyon, et chez deux à trois illuminés. Désormais règne le dessert à l'assiette : un grand contenant, contrairement au contenu !

Ce chariot est le symbole de la maison, et l'on ne peut que féliciter les pâtissiers de ce travail quotidien. Sorbets, entremets, tartes et gâteaux sont ici  bien rassemblés ! 

Bien sûr que tout fait envie. Aussi se régale-t-on avec l'onctueux sorbet banane, l'œuf à la neige nappée de sa succulente crème anglaise, et autres succès à la pistache.

Quant au « Paris/Brest », il a prématurément disparu, car victime de son succès fort mérité sûrement ! Des desserts au dosage actuel de sucre subtil ce qui les rend souvent meilleurs.

Un café-meringue que je partageais de bon cœur avec l'une des gamines de la maison, qui me confia ce jour-là, qu’elle n'alla pas à l'école, car se sentant malade. Gageons que cette petite mignardise contribua à son prompt rétablissement !

 

 

En savoir plus :

Les + : le chariot de desserts est un modèle du genre. Applaudissements réitérés aux pâtissiers !

Les - : on doit encore pouvoir arriver au restaurant à 13h10, me semble-t-il ! Ce n'est pas encore l'heure du goûter, non ?! Quant au pain, il ne m'a pas semblé inoubliable...

 

 

Contact :

Hôtel-restaurant La GLOIRE

74, avenue du Général de Gaulle

45200 MONTARGIS

Téléphone : 02.38.85.04.69

Fermeture : mardi, mercredi et donc ouvert le dimanche !

Formule pour déjeuner à partir de 29 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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C’est un peu comme un jeu vidéo, mais en nettement mieux ! D’autant que le simulateur de conduite d’engins agricoles – huit exemplaires conçus par la PME hexagonale ACREOS viennent d’être acquis pour une enveloppe de plus de 673 000 euros par l’EPL des Terres de l’Yonne, une première en France – offre l’opportunité de suivre la progression pédagogique du pilote néophyte, notes à l’appui. Un sérieux atout afin d’améliorer ses potentialités techniques dans le cadre de son cursus.

 

VENOY : On n’arrête ni le progrès, ni la technologie ! Surtout celle se rapportant au numérique et à l’imagerie virtuelle. Vous en voulez une preuve concrète ? Très facile ! Il suffit de visiter l’espace dédié, ouvert depuis peu, qui a été mis en place au sein de l’EPL des Terres de l’Yonne, une entité pédagogique comprenant sur le même site de La Brosse, le CFA agricole de l’Yonne, le lycée agricole La Brosse et le CFPPA 89, pour en apprécier les effets !

Là-bas, dans cet antre de l’enseignement agricole et viticole – on peut y ajouter aussi le volet de l’équestre et de l’horticole, entre autres -, se vit une expérience unique en Bourgogne Franche-Comté. L’initiation à la conduite d’engins agricoles, mais sous un format bien moins académique que d’ordinaire ! A l’aide de simulateurs électroniques, élaborés par un spécialiste dans la conception, la fabrication et la commercialisation d’outils pédagogiques, réservés à l’apprentissage de la conduite d’engins en tout genre : la structure mosellane, ACREOS.

Une PME qui prône les vertus du « made in France » - elle a réalisé plus de 3,5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2018 – et jongle avec aisance sur la technologie du numérique pour avancer dans le processus pédagogique qu’elle a créée.

 

Un projet de 673 000 euros financés par des fonds européens…

 

C’est avec le concours financier d’un Fonds européen de développement régional (FEDER) que l’EPL des Terres de l’Yonne a réussi le brillant tour de force de l’acquisition de huit de ces « Rolls-Royce » de la simulation digitale pour en doter son site de Venoy. Autant dire une rareté dans le microcosme de l’enseignement agri/viticole de la contrée, pour ne pas dire plus à l’échelle de l’Hexagone ! Soit pour être précis une enveloppe budgétaire s’élevant à 673 420 euros !

Quant aux possibilités offertes par ces appareils de premier cri, elles sont multiples avec les engins agricoles, les tracteurs télescopiques, les moissonneuses, les tracteurs enjambeurs à vocation viticole…Bref : un melting-pot d’opportunités didactiques qui séduisent déjà depuis leur récente installation autant les élèves que leurs enseignants ! Pourquoi ? Parce que la machine leur propose une approche plus que réaliste de la situation. Sensations garanties derrière les manettes ou le volant de ces instruments très utiles à leur formation.

 

 

Apprendre à piloter des engins agricoles sans consommer de carburant !

 

Sous l’œil attentif du proviseur adjoint du lycée La Brosse, Eric PRESTAT, plusieurs élèves ont assuré une séance de pilotage lors d’une visite démonstrative organisée avec la presse. Vertueux, le dispositif l’est à plus d’un titre. D’une part, l’initiation à la conduite s’effectue tranquillement et sans aucune prise de risque. D’autre part, la formation est on ne peut plus écologique car ne consommant aucun carburant ! Même les professionnels de la filière agri/viticole, invités à découvrir les possibilités offertes par cet appareillage newlook, se sont pris au jeu du fait de la qualité fonctionnelle de ce qui leur était proposée.

 

Thierry BRET

 

 


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De l’aveu même du président de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment de l’Yonne (CAPEB) Jean-Pierre RICHARD, la onzième assemblée générale qu’il avait à présider ces jours-ci depuis la prise de ses fonctions était, et de loin, la plus intéressante à animer. Est-ce la présence d’une noria d’élus du territoire qui donna toute sa saveur à l’évènement statutaire ? Ou le choix des sujets d’actualité (le recrutement, la formation, la réforme du RSA…) qui en pimenta l’exercice ? Toujours est-il que ce fut un grand millésime !

 

APPOIGNY : 2022, synonyme de grand cru pour la CAPEB de l’Yonne ? Une certitude, de l’avis du président qui tient les manettes de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment, Jean-Pierre RICHARD depuis un peu plus d’une décennie, jamais une assemblée générale, exercice annuel statutaire et obligatoire, ne fut d’une telle intensité du côté de la passion. Ni au niveau de la convivialité.

Devait-on cela à la présence, nombreuse, des élus du territoire qui convergèrent vers l’hôtel Mercure, lieu de ce rendez-vous de début de week-end afin de tâter le pouls de la filière ? Ou en fonction du choix des items qui furent abordés lors de débats nourris autour des grands sujets d’actualité ? Voire peut-être des deux ? En tout cas, le responsable de ce syndicat patronal du bâtiment qui fédère plus de six cents professionnels ne cacha pas sa satisfaction à l’évocation de cet évènement lors de son bilan.

 

Le succès du retour à l’emploi des allocataires du RSA…

 

Même si le contexte actuel ne prêtait pas à la franche rigolade – le coût de l’énergie et les difficultés à pouvoir s’approvisionner en carburants -, les entrepreneurs du bâtiment purent exposer l’ensemble des problématiques cartes sur table face aux élus qui écoutèrent les doléances avec grand intérêt.

Ce fut le cas du sénateur Jean-Baptiste LEMOYNE ou du président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD. On remarqua la présence du conseiller départemental et maire d’Appoigny, Magloire SIOPATHIS, qui s’épancha longuement sur la formation et l’éducation, des clés importantes pour le devenir de la filière. Un avenir qui fut aussi abordé sous le prisme du recrutement avec la conseillère départementale Sonia PATOURET, lors d’un débat enrichissant sur la réforme du RSA. Une transformation profonde du dispositif ayant pour vocation première de remettre les allocataires sur le chemin du travail, après avoir été formés comme c’est le cas avec le concept « Brique par brique », initié à l’hiver 2021 et au succès évident. A date, ce sont plus de 1 700 personnes qui ont été ramenées ainsi dans le giron de l’employabilité. Qui dit mieux ?!

 

 

Le remboursement des PGE : gare aux dépôts de bilan…

 

Naturellement, le recrutement fut une autre thématique qui nécessita du temps de parole pour les intervenants. Le grand problème de l’instant se nomme les emplois qualifiés à pourvoir dès que possible pour les entrepreneurs de l’Yonne. Rien ne semble être simple dans un contexte économique plus que délicat.

Autre sujet d’inquiétude : les perspectives de fermeture des entreprises face à une situation économique qui tourne au ralenti. « Les carnets de commandes commencent à s’amenuiser, confie Eric GUYOU, le vice-président de l’organisme, les chantiers sont impactés par les retards imputables à la conjoncture internationale et les délais de fabrication. L’aluminium flambe et ce sont les serruriers, les fabricants de fenêtres qui trinquent… ».

A cela, il sera bon d’ajouter les amortissements inhérents au PGE, le Prêt garanti par l’Etat. Bon nombre de structures entrepreneuriales vont éprouver les pires des difficultés pour s’en accommoder…

Rayon de soleil de cette assemblée : l’élection de Sylvie GRUPE, au poste de seconde vice-présidente. Un choix qui permettait à l’intéressée d’être reconduite dans ses fonctions…

La quarantaine de personnes clôtura cet exercice autour d’excellentes agapes : histoire de profiter de l’instant présent né de ces belles retrouvailles. Carpe diem !

 

Thierry BRET

 

 


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Intérieurement, il ne peut que jubiler, le président de « Toucy Animations » Christian VIAULT. Renouer avec une tradition séculaire, cette foire exposition artisanale et commerciale qui puise ses origines les plus lointaines à l’époque moyenâgeuse, lui fait chaud au cœur ! Surtout après ces deux années de mise à l’écart du calendrier, imputable à cette satanée pandémie dont la planète a encore du mal à voir le bout du tunnel. La 46ème édition de ce rendez-vous perpétue l’esprit de la manifestation : le bien-vivre et la découverte…

 

TOUCY : Trois ans, déjà ! Une absence bien trop longue pour les suiveurs de cet évènement à la vocation populaire. Un de ces rendez-vous incontournable que l’on biffe sur n’importe quel agenda. A l’instar du fameux « Beau Marché », la foire exposition artisanale et commerciale de la ville phare de Puisaye possède ses aficionados qui ne manqueraient pour rien au monde sa visite plus que de courtoisie. Histoire de deviser sur le temps qui s’égrène, de rencontrer les forces vives de l’économie commerçante de ce secteur géographique à potentialité, de retrouver aussi des visages connus et de vieilles connaissances autour d’une charcuterie à déguster, accompagné de son petit verre de vin. Bref : un rendez-vous à vivre en famille ou entre amis qui remet du vague à l’âme, surtout après la morne période traversée avec cette COVID-19 !

 

Un aéropage de personnalités pour renouer avec la tradition…

 

Une excellente thérapie de groupe, en somme, qu’ont pu vivre les représentants de la classe politique et institutionnelle du territoire lors de l’inauguration officielle de cette animation. Pas une de ces personnalités ne s’est fait porter pâle sous le coup des dix heures, ce jeudi 06 octobre, afin de participer à la fameuse inauguration, accueillie comme il se devait Place des Frères Genet. Un instant solennel qui cumulait les temps forts, cette année, avec la découverte, non loin de là, de l’antenne de la Mission Locale et celle, à côté, de la Maison France Services. Du « trois en un » très appréciable qui démontre que les choses ne cessent de bouger positivement à Toucy !

On remarquera un plateau de choix parmi ces invités. Preuve s’il en est que dans les agendas surchargés de ces porte-voix de l’attractivité icaunaise, la foire exposition de Toucy conserve toute son aura. Même après trois années passées dans la case perte et profit !

L’ancien ministre en charge du Tourisme et des PME/PMI de retour au Sénat, Jean-Baptiste LEMOYNE, détendu et souriant, était de la partie. Il le confiera en aparté : il n’aurait voulu manquer ce rendez-vous inscrit sur ses tablettes depuis longtemps.

De même, la sous-préfète de l’Yonne, Naïma RAMALINGOM, découvrira avec grand intérêt cette illustration évènementielle locale de la vie artisanale et commerciale de la Puisaye.

 

 

 

Bien sûr, il y avait aussi les fidèles de ce rendez-vous, habitués à couper le ruban tricolore devant donner le top départ de cette manifestation s’étalant sur quatre journées depuis le jeudi jusqu’au dimanche.

On peut citer le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, son collègue du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Gilles DEMERSSEMAN, la conseillère départementale de l’Yonne Irène EULRIET, son homologue Gilles ABRY, etc.

Mention spéciale à Michel KOTOVCHIKHINE, l’édile de Toucy, qui mena les opérations de découverte de ce site d’exposition en sa qualité de force accueillante, aux côtés du président de Toucy Animations Christian VIAULT, avec un réel enthousiasme. Enfin, nouvel impétrant parmi cet aéropage de personnalités, le député de la circonscription ayant succédé à Guillaume LARRIVE, soit le représentant du Rassemblement National Daniel GRENON. Régional de l’étape – le parlementaire a officié en qualité de commerçant durant de longues années dans la cité de Puisaye – prit soin de découper méthodiquement le ruban tricolore inaugural, avant de restituer la paire de ciseaux.

 

 

Un budget de près de 50 000 euros mais l’évènement de l’année pour Toucy Animations…

 

Puis, le cortège s’ébranlera lentement, de manière quelque peu désordonné, depuis le parvis de la rotonde jusqu’à l’intérieur de celle-ci, cheminant lentement au gré des stands et des contacts relationnels avec les exposants. Du pôle automobile placé à l’extérieur en pénétrant ensuite sous l’immense chapiteau qui accueillait la quarantaine de professionnels, répartis dans divers univers.

Les officiels y remarqueront les adhérents de l’Association des artisans d’art de l’Yonne (une petite vingtaine), placés à l’entrée de la rotonde, avant de s’immerger vers le pôle gastronomique et restauration. Un espace de convergence agréable pour les gourmands et les gourmets !

 

 

Comme à l’accoutumée, la foire fait aussi la part belle aux acteurs de l’ameublement, de la transition énergétique, de l’habitat, de l’isolation, des vêtements, des produits de bouche – le public a eu l’occasion de se délecter de nectars du cru, de chocolats, voire de produits effervescents…- ; autant d’items devenus référentiels pour ce type de manifestations, comme ce fut le cas il y a peu au parc des expositions d’Auxerre qui accueillait la foire automnale.

Même si le nombre d’exposants est légèrement en baisse par rapport à la dernière édition datant de 2019 (les résultantes de l’après-COVID qui pénalisent aujourd’hui la plupart des manifestations publiques), Christian VIAULT estime que ce rendez-vous conserve tout son rayonnement en Puisaye-Forterre, voire au-delà. Un concept qui a nécessité un budget de près de 50 000 euros et qui représente la plus importante des réalisations de Toucy Animations à l’année.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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