On connaît l’appétence des élèves fréquentant l’établissement public local d’enseignement agricole des Terres de l’Yonne à se distinguer au niveau des titres honorifiques, chaque année. Une fois de plus, comme devait le signaler l’édile de la commune de Venoy, Christophe BONNEFOND, lors de la cérémonie des vœux, un de ces jeunes gens a encore reçu une récompense de la bourgade périphérique d’Auxerre. Et excusez du peu : la médaille de la commune ! Elle a été remise à Gaëtan CHIGNARDET ; il a terminé sur le podium d’un concours hexagonal…
VENOY: Le garçon est plutôt du genre taiseux quand son professeur, Philippe PETIT, lui tend le micro afin d’exprimer son ressenti après avoir reçu des mains du maire, Christophe BONNEFOND, la médaille de la commune, une belle distinction honorifique à exposer dans sa chambre. Quelques mots de remerciements à l’égard de son établissement et de son enseignant. Serait-ce de la timidité ? Ou la parfaite maîtrise de l’intériorisation d’une joie pourtant bien réelle ?
Nonobstant, on ne peut que saluer le brillant parcours de Gaëtan CHIGNARDET, élève de la classe de terminale du lycée agricole en section Bac Pro techno et production, qui a participé à l’opération nationale, « Dix de Conduite », une animation annuelle portée par la Gendarmerie nationale et l’assureur mutualiste, GROUPAMA, autour de la découverte de la conduite automobile. Sauf que là, il y avait un particularisme : la déclinaison de ce concours se pratiquait sur les engins agricoles, en l’occurrence le pilotage d’un tracteur !
Qualifié pour la finale nationale qui se disputait à Besançon en présence de vingt-quatre concurrents – plus de 6 000 lycéens prenaient part à cette épreuve dès les premiers tours de la compétition ! -, le jeune scolaire devait in fine accéder à la troisième marche du podium. Troisième sur six mille : il n’y a pas à dire mais le jeune homme peut intégrer une exploitation agricole les yeux fermés quant à la conduite de ces fameux tracteurs qui font toujours rêver les plus petits !
Thierry BRET
Dans le cadre de la Semaine de l’industrie, France Travail Yonne, en partenariat avec la Mission Locale du Senonais, Cap Emploi, le Conseil Départemental, la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais, la Communauté d’agglomération du Gâtinais en Bourgogne, l’UIMM, la CCI, Territoires d’industrie et l’Éducation Nationale, ont organisé début décembre une découverte d’ateliers, inspirés de « La Fabrique 4.0® », une unité mobile Industries et Métiers de la Métallurgie (UIMM), et un job dating dédié aux métiers de l’industrie.
SENS : Les jeunes et les demandeurs d’emploi ont été particulièrement ciblés par cette initiative conjointe mutualisant plusieurs partenaires. Des ateliers inspirés de « La Fabrique 4.0 », une initiative de l'UIMM sous la forme d'une unité mobile de formation, visant à promouvoir les métiers de l'industrie et à faciliter l’orientation professionnelle, ont été présentés durant deux jours à des demandeurs d’emploi, des lycéens et des collégiens. L’objectif était simple : sensibiliser les participants aux métiers de l’industrie par des immersions en réalité augmentée et virtuelle, voire la reconstitution d’une ligne de production….
France Travail, la Mission Locale et Cap Emploi jouent le rôle crucial de facilitateurs en identifiant les profils susceptibles de suivre des formations et de se reconvertir, tout en valorisant la diversité des métiers liés à l’industrie, parfois méconnus. Un job dating autour des métiers de l’industrie a permis de mettre en relation les candidats et les entreprises locales, favorisant l'emploi sur le territoire.
Ce rendez-vous a également permis de présenter divers dispositifs d'accompagnement à l'embauche tels que les formations en entreprise, les préparations opérationnelles à l’embauche, les périodes d’immersion, et les contrats aidés, afin d'augmenter les chances de succès pour les candidats et les recruteurs.
L’événement s’inscrivait dans le cadre de la Semaine des métiers de l’industrie, organisé nationalement depuis 2011 afin de valoriser l’industrie et ses acteurs en proposant des événements pédagogiques et de découverte des métiers : visites d’entreprises, job dating, forums des métiers, webconférences, interventions en classe, expositions…
Chaque année, ce rendez-vous contribue à renforcer l’attractivité du secteur, précisément auprès des jeunes. Il promeut aussi la mixité des métiers et la place des femmes dans les différentes filières.
Thierry BRET
Pour qualifier son travail de prospectiviste au service de l’emploi, il utilise une expression à vocation agricole. « 2025 sera l’année de la récolte ! ». Logique, en vérité, car depuis deux ans, à la tête de sa structure entrepreneuriale, issue de la franchise hexagonale éponyme, Philippe BOUVEAU ne cesse de semer des petites graines gratifiantes, auprès des différents secteurs de l’économie qu’il rencontre. Petit à petit, l’oiseau fait son nid. Avec le « MERCATO de l’Emploi » qui se développe dans l’Yonne, notre interlocuteur envisage l’avenir avec sérénité et confiance…
AUXERRE: Ce qui caractérise le plus Philippe BOUVEAU, c’est sa tranquillité apparente. Un calme presque olympien – cela tombe bien dans une année de JO ! – qui lui permet de parler de lui et de son avenir de la manière la plus posée. Le garçon, dirigeant de la structure « MERCATO de l’Emploi » sur l’Auxerrois, aurait-il des raisons de s’inquiéter alors que la préoccupation principale des milieux entrepreneuriaux est précisément le recrutement pour combler les manques dans les effectifs ?
Devant lui, une eau pétillante. Son ordinateur est à portée de main, tout comme son téléphone. Depuis deux ans, Philippe maximise les opportunités professionnelles pour se faire connaître dans le sérail économique. Celui de l’Auxerrois, en priorité, mais pas seulement ! Une stratégie qui commence à porter ses fruits…Sa niche de prédilection, les PME et les TPE. Celles qui ne possèdent pas forcément les bons outils pour assurer leurs besoins en recrutement ; a contrario, des grosses entreprises déjà pourvues de services DRH.
Aujourd’hui, il rayonne bien au-delà de son territoire naturel. Des missions qui le poussent à se rendre en Seine-et-Marne, dans l’Aube et bien sûr, dans tout le territoire de l’Yonne.
Des postes de cadres et de parcours qualifiés en priorité !
Pourtant, après deux années d’exercice et de tests en grandeur nature de ses potentialités de recruteur, Philippe BOUVEAU s’octroie un nouveau terrain de jeu. Celui des PME qui sont en peine d’encadrants et d’agents de maîtrise. Une catégorie socio-professionnelle correspondant davantage à ses aspirations personnelles.
« Dès le 01 janvier, je vais me concentrer sur la recherche de personnels qualifiés pour mes clients, explique-t-il déterminé, c’est-à-dire des cadres et des directeurs de site… ».
Lui-même n’hésite pas à se former. Il suit le processus pédagogique devant le mener à la certification pour l’accompagnement des managers. Un sérieux plus que ce label devant lui ouvrir de nouveaux marchés dès l’année prochaine. Il s’intéresse autant aux jeunes qui désirent intégrer l’emploi que les seniors en recherche du Graal, de plus en plus confrontés à la précarité économique.
Une lettre d’informations pour fidéliser sa clientèle
La grande innovation de cette fin d’année, c’est le lancement de sa lettre d’informations. Une newsletter périodique lui permettant de cibler à date plus de 250 entreprises, fidèles à ses méthodes et à son état d’esprit en matière de recrutement.
« J’ai gagné en maturité dans ma relation à l’autre, confie-t-il, lui qui est membre du réseau d’affaires, « Essentiel » se réunissant régulièrement dans l’Auxerrois.
« Le relationnel, c’est très important, ajoute-t-il, c’est comme dans l’approche d’un mandat qui se vit à deux, c’est une vraie connexion pour renforcer la confiance à l’autre… ».
C’est sûr, avec une telle mentalité et la soif de la gagne, 2025 devrait sourire à Philippe BOUVEAU et à son « MERCATO de l’EMPLOI » très footballistique dans sa sémantique !
Thierry BRET
Outil que l’on doit se servir au quotidien pour mieux appréhender la liberté de conscience, notamment dans la pratique ou pas d’un culte quelle que soit la religion, la laïcité n’est jamais trop éloignée de la pensée des sachants et des intellectuels dans l’Hexagone. Comme l’a encore démontré il y a quelques semaines la Journée nationale qui lui était consacrée dans sa ville de prédilection, Auxerre, berceau originel de cet état d’esprit qui nous conduit à aller vers la liberté, l’égalité et la fraternité…
AUXERRE: Plus que jamais, la laïcité est au cœur de l’actualité en France. Un rôle qui demeure à bien des égards primordiaux auprès de toutes les strates de la population, qui grâce à elle et sa découverte dès la plus jeune enfance à l’école, offre en le garantissant par la République le libre exercice du culte et du choix de la pratique (ou pas) d’une religion. Une laïcité qui se veut généreuse et dont il faut parler avec enthousiasme et optimisme même si parfois elle est malmenée au gré de l’actualité.
Il y a quelques jours et sous un froid quasi polaire, bon nombre de représentants de structures associatives qui en défendent ses valeurs et son existence sont venus à Auxerre aux côtés des représentants de la préfecture et de la Ville dans cet antre de la laïcité que représente le petit square éponyme du centre-ville, témoigner de la force séculaire de cette dimension intellectuelle qui au-delà de ses considérations éthiques et philosophiques régissent notre République.
Des principes vertueux qui sont par ailleurs rappelés sur le fronton des édifices publics par ces trois mots : liberté, égalité et fraternité. Un juste retour aux sources puisque la commémoration de la fameuse loi du 09 décembre 1905, visant la séparation des églises et de l’Etat, a été actée oralement lors de la venue du Président du Conseil à l’époque – l’équivalent du Premier ministre actuel sous la Vème République -, Emile COMBES.
Une page d’histoire de notre pays, que personne ne manquera de célébrer une fois l’an, dans ce square orné d’une douzaine de portraits de figures sociétales de notre Nation.
Un discours improvisé de Souleymane KONE tout à son honneur
Il revenait ainsi à Souleymane KONE, élu auxerrois, conseiller municipal délégué aux Anciens Combattants mais aussi de la Francophonie, de prononcer quelques mots. D’origine malienne, le garçon sait de quoi il parle lorsqu’il évoque les bienfaits de la laïcité, lui le gaulliste de toujours.
« Aucun discours ne pourrait suffire pour vous remercier tous, lance-t-il à la petite assistance de vaillants défendeurs de la laïcité, présents face à lui – on y voit les représentants de la Libre Pensée, de l’UFAL, de la Ligue de l’Enseignement, etc. -, la laïcité a toujours du sens aujourd’hui, aussi bien sur le plan national que sur le plan international. La laïcité, grâce à vos actions et à votre travail, c’est garantir que le ciment qui nous unit tous soit maintenu… ».
D’ailleurs, l’élu d’Auxerre s’interroge : « s’il n’y avait pas eu la laïcité en France, au vu du contexte international, on se demande ce que l’on serait devenus… ».
Une laïcité dont la pratique bienfaitrice aura été anticipée par la République française, l’ayant intégrée dans sa Constitution. Auxerre peut donc s’enorgueillir d’être le berceau de cette laïcité avec le fameux discours d’Emile COMBES.
« Ma voix est même insignifiante face à l’œuvre que vous portez, souligna en guise de conclusion Souleymane KONE, empreint à de l’émotion.
Mettant un terme définitif à un discours non écrit mais improvisé de la part de l’élu auxerrois, à qui l’on pardonnera quelques petites hésitations dans le phrasé lors de sa prise de parole au pupitre.
Les 120 ans de laïcité vu d’Auxerre en 2025 ? Un grand évènement à venir…
Quant à Michel CANET, président de l’UFAL 89 (Union des Familles Laïques) de l’Yonne, il évoqua la genèse de ce square de la laïcité porté par cinq structures associatives laïques (la Libre Pensée, la Ligue des Droits de l’Homme, l’Observatoire de la Laïcité, la Ligue de l’Enseignement et l’Union des Familles Laïques).
Puis, il aborda un anniversaire qui devrait être commémoré comme il se doit à Auxerre avec les cent vingt ans de la promulgation du texte de loi de 1905 – « on devrait faire quelque chose de plus important à cette occasion… » - avant de rappeler ce qu’est l’UFAL, qui prône les mêmes droits pour tous.
« Nous nous adressons à toutes ces familles qui doivent être les acteurs de la liberté de pensée en France et sur notre territoire… ».
Un constat lourd de signification enfin de la part de Michel CANET qui intervient régulièrement dans les écoles pour prôner les vertus de la laïcité : « les enfants sont très réceptifs à nos paroles, précise-t-il, ce sont surtout leurs parents qui devraient revenir sur les bancs de l’école pour parfaire leur connaissance sur la laïcité… ».
Sans commentaire, non ?
Thierry BRET
Avec une moyenne de 5,8 médecins pour 10 000 habitants, le département de l’Yonne était toujours en situation de crise en termes de praticiens installés sur notre territoire au 31 décembre 2023. Une densité bien éloignée de la moyenne nationale qui s’établissait alors à 8,2 médecins pour dix mille habitants. En début d’année, on recensait sur nos terres 195 praticiens inscrits en libéral. 2023 aura vu l’arrivée de vingt nouveaux médecins pour seize départs. Un solde positif qui n’a pas semblé se réitérer pour l’année en cours, avec quinze départs de praticiens observés contre cinq nouvelles installations seulement…Inquiétant ?
AUXERRE : Les chiffres sont officiels. Ils émanent de l’Agence Régionale de Santé de Bourgogne Franche-Comté. Ils traduisent un contexte de crise persistante pour le département le plus septentrional de notre contrée. « Un vrai déficit par rapport à la moyenne nationale », selon Damien BORGNAT, responsable de la Direction Territoriale de l’ARS dans l’Yonne. La densité se rapportant à la présence médicale en terre icaunaise s’est élevée fin 2023 à 5,8 médecins pour dix mille habitants. Un chiffre se situant bien en deçà de la moyenne nationale qui s’établit dans le même temps à 8,2.
Pourtant, le cadre de l’agence sanitaire tente de nuancer ses propos, tenus lors d’une conférence de presse, faisant office de bilan sur pléthore de sujets : « la tendance 2023 est en fait une stabilisation de cette saignée avec l’arrivée d’une vingtaine de médecins pour seize départs. Mais, cela est moins bon en 2024 même si l’année n’est pas encore terminée avec une quinzaine de départs pour seulement cinq arrivées… ».
Bref, un contexte délicat et difficile pour l’Yonne qui demeure toujours en zone rouge dans une situation de déficit en matière de présence médicale, notamment dans les zones rurales.
Le rôle prégnant des assistants médicaux…
Pour y faire face, l’Agence Régionale de Santé encourage l’optimisation le plus possible du « temps médical ». « Nous avons mis en place un certain nombre de dispositifs de « l’aller vers », explique Damien BORGNAT.
Parallèlement, il y a aussi l’enjeu des assistants médicaux, une stratégie qui est depuis plusieurs mois encouragée par le Conseil départemental et la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie : celle-ci commence à porter ses fruits sur le territoire.
A date, une trentaine d’assistant(e)s médicaux apportent une sérieuse plus-value dans le mode opérationnel de la médecine généraliste sur notre secteur. De l’avis du directeur territorial de l’ARS, « ce gain de temps pour le médecin se traduit dans les faits par une progression des objectifs à 10 % de la patientèle supplémentaire à accueillir dans les cabinets où le dispositif a été mis en place… ».
Pas de recette miracle mais des dispositifs à mettre en place
Autre subtilité fonctionnelle : l’apparition d’un nouveau métier, celui des infirmières et infirmiers en pratique avancée.
« Le département de l’Yonne est plutôt en pointe sur ce sujet, constate Damien BORGNAT, il a même accueilli le congrès régional de la corporation il y a peu. Rappelons que l’Yonne est l’un des départements les plus dynamiques avec notamment la présence de ces professionnelles en zone urbaine. Six de ces personnes sont réparties dans différents points à l’heure actuelle… ».
Un vrai motif de satisfaction pour le porte-parole de l’Agence Régionale de Santé.
A contrario, il l’avoue humblement : « on ne va pas se mentir mais la situation est difficile mais on a de la volonté pour trouver des solutions… ».
Mais, alors, existe-t-il une recette miracle permettant d’endiguer ce phénomène de désertification médicale au nord de la Bourgogne Franche-Comté ?
« Il n’y a malheureusement pas de formule magique, souligne Damien BORGNAT, c’est une longue liste de procédures et de dispositifs qui permettront d’atténuer cela… ».
Les saines vertus de la téléconsultation
Avec en toile de fond, la porte ouverte à la formation. « Pour que cela fonctionne bien, précise Adeline ESCRIHUELA, adjointe à la direction territoriale de l’ARS Yonne, il faut qu’il y ait des médecins qui soient maîtres formateurs afin d’accueillir des internes pour que cela leur dégage du temps médical. Les praticiens vont également gagner du temps médical via les assistants médicaux initiative encouragée par le Conseil départemental et la CPAM, ainsi que les infirmières en pratique avancée. C’est, à titre d’exemple, une heure de consultation réservée aux patients qui souffrent de pathologies chroniques… ».
A cela, il faut ajouter les dispositifs se rapportant à la téléconsultation. « C’est du temps optimisé et de la réactivité, ajoute l’interlocutrice de l’ARS, sous 48 heures, grâce à la téléconsultation, il y aura une réponse pour des besoins en dermatologie… ».
Les bienfaits de la cellule « installation » pour faciliter la venue des médecins
L’arrivée des « docteurs juniors » devrait conforter ce panel de solutions optimistes. L’ARS accompagne les projets immobiliers les concernant, avec l’agrandissement d’un cabinet médical en anticipant et en promouvant la maîtrise de stage sur le territoire. Des « docteurs juniors » qui seront accueillis par des maîtres de stage agréés avant de les installer dans les cabinets.
A l’exemple de la Maison de Santé située à Avallon qui vient de déménager récemment avec en perspective l’agrandissement de cabinets sur un second plateau médical.
A ce titre, une cellule « installation » a même vu le jour, elle englobe l’Agence Régionale de Santé, la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie et le Conseil départemental de l’Yonne en se réunissant très régulièrement afin d’étudier chaque cas d’installation de praticien, avec un focus tout particulier sur les dentistes.
« L’objectif de cette cellule est de pouvoir anticiper les difficultés qui pourraient survenir, ajoute Damien BORGNAT, il nous faut limiter les accrocs à l’installation de nouveaux thérapeutes ! ».
Des résultats jugés probants, depuis que cet outil tripartite est opérationnel sur notre territoire, aux dires du responsable de l’ARS Yonne. Une manière de se débarrasser du pessimisme ambiant avant la bascule en 2025 ?
Thierry BRET