Une volonté du don de soi. De servir la patrie afin de mieux en protéger ses habitants confrontés à de réels dangers. Un engagement permanent au service des autres…Quelques phrases prononcées par le préfet de l’Yonne Pascal JAN auront permis de mieux comprendre la solennité de l’instant présent, vécu tôt ce matin, dans le vaste hall du bâtiment préfectoral sur la portée des signatures de contrats d’engagés volontaires qui iront rejoindre leurs affectations dans les régiments de l’Armée de terre et des Sapeurs-Pompiers de Paris…
AUXERRE : C’est un acte exemplaire, méritant, et…engagé. Il se formalise par un simple paraphe apposé au bas de plusieurs documents qui en disent long sur l’intérêt de cette signature chez leurs auteurs. Petits, ils en rêvaient déjà. Devenus grands, ils en acceptent désormais le principe, en l’officialisant de la plus belle des manières, sous le regard attendri (et ému) de leurs parents, très fiers de leur progéniture. Leur jour de gloire, à eux ! Ces jeunes gens âgés de 18 à 21 ans, au nombre de dix pour cette session, qui se situent aux antipodes des clichés stériles que l’on se fait habituellement de cette nouvelle génération, inapte à l’effort et à la véritable prise de décisions si elle n’est pas virtuelle…
Dix jeunes Icaunais qui ont décidé, pour certains après avoir effectué une préparation spécifique, et après mûres réflexions de rejoindre le corps militaire de l’Armée de terre. Un évènement qui aura touché l’hôte de ces lieux, le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, peu habitué à accueillir en préfecture une manifestation protocolaire de l’armée.
« C’est un instant rare que nous vivons, devait-il préciser, pourtant nous partageons les mêmes valeurs que l’on soit représentant de la Nation civile ou de la Nation militaire… ».
Plus de 130 000 recrutements à l’année
Chaque année, le nombre de contrats d’engagement au sein des forces terrestres mais aussi des autres corps d’armée à l’instar de celui des sapeurs-pompiers de Paris s’élève à une soixantaine pour notre département, selon les informations fournies par le CIRFA, le Centre d’Information et de Recrutement des Forces Armées de l’Yonne. Dans l’Hexagone, ce sont plus de 130 000 nouvelles recrues (femmes et hommes de 17,5 à 32 ans) qui rejoignent les rangs, via différentes spécialités professionnelles. En tout, on recense seize domaines d’activités dont l’artillerie, l’infanterie, l’informatique, le renseignement, le génie de combat, les forces spéciales, l’administratif mais aussi la restauration, le BTP, la santé, le sport, la musique ! In fine, il existe 117 spécificités professionnelles !
Cette session, comprenant neuf garçons et une fille, comprenait de nouvelles recrues pour l’infanterie, la cavalerie blindée ou encore les fameux sapeurs-pompiers de Paris. C’était le cas de la demoiselle…
Une jeunesse altruiste ayant le sens des valeurs
Côté motivations, il y eut un peu plus d’éléments sur les intentions de ces jeunes gens lors de la signature des documents. L’un après l’autre, les nouveaux engagés livrèrent leurs impressions, micro à la main, avec plus ou moins d’émotivité, devant le préfet et le lieutenant-colonel Emmanuel VARLET, délégué militaire départemental de l’Yonne, et du sergent-chef, Clémence DIDIER, adjoint au responsable du CIRFA.
Morceaux choisis : « j’ai voulu m’engager pour vivre des aventures, pour donner du sens à ma vie, pour rendre fiers mes parents, parce que je suis fan de chars d’assaut, parce que je voulais être parachutiste, pour servir mon pays, pour trouver ma place dans un métier qui me corresponde, pour m’aider à me surpasser pour soutenir les plus démunis… ».
N’est-elle pas belle la jeunesse française, pleine d’optimisme et d’altruisme ?! En tout cas, l’aperçu qui nous a été proposé à la préfecture de l’Yonne, mardi matin, plaide en sa faveur…
Thierry BRET
Prendre le temps de la réflexion tout en préservant l’existant. C’est en substance la sage décision prise par l’exécutif régional sur le dossier de l’harmonisation des règlements de transport scolaire en Bourgogne Franche-Comté et qui ne veut pas traiter le sujet à la légère. Un travail d’analyses déjà initié depuis quelques mois et qui devrait se poursuivre au cours de la nouvelle saison. En attendant, les conditions d’accès aux services de transport scolaire restent en vigueur, sous le prisme de la gratuité, pour tous les élèves internes inscrits dans des établissements publics comme privés afin de pouvoir en bénéficier…
DIJON (Côte d’Or) : C’est l’un des aspects importants de la rentrée 2024. Une thématique sur laquelle a longuement insisté la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, lors de sa toute première conférence de presse de la nouvelle saison. Devant de nombreux journalistes, conviés à participer à cet exercice oratoire dans l’une des salles de réunion de l’Hôtel de la Région, la première des élues de Bourgogne Franche-Comté, assistée de ses directeurs techniques, a tenu à donner sa position sur ce sujet. Un thème que la vénérable institution a ajouté parmi ses nombreuses compétences depuis le 01er septembre 2017, dans sept de ses départements (sauf le Territoire de Belfort) qu’il s’agisse des circuits ou des conditions d’accès au service.
Ce sont ainsi, au quotidien et en période d’activités scolaires, plus de 130 000 élèves qui bénéficient de ces transports. On recense ainsi plus de 3 000 circuits de ramassage scolaire qui sont organisés ; des circuits qui complètent aussi les possibilités d’acheminement existantes vers les établissements scolaires via le réseau ferroviaire régional et les lignes routières interurbaines, MOBIGO.
Un nouveau règlement des transports scolaires aux avancées conséquentes
Afin d’harmoniser les conditions d’accès aux transports scolaires pour l’ensemble des élèves des sept départements de Bourgogne Franche-Comté concernés sous le sceau de l’équité et de l’élimination des disparités pouvant exister d’un département à l’autre, la Région s’est donc lancée dans un important travail de réflexion. Explications de la présidente : « Cette évolution vise à mettre un terme aux inégalités de traitement provoquées par une multitude de règlements à l’œuvre dans différents départements. Une évolution qui doit tenir compte de la gratuité totale des transports scolaires sur le territoire, dans les secteurs où la Région est compétente… ».
Une réflexion qui n’est pas encore tout à fait terminée. Dans son long préambule devant les représentants des médias régionaux, Marie-Guite DUFAY a même décidé de se donner un an de mieux et de différer d’une saison supplémentaire cette harmonisation des règlements, notamment sur le volet de l’enseignement privé.
Toutefois, elle ne manquera pas d’apporter une bonne nouvelle à son commentaire. « Le nouveau règlement des transports scolaires a conduit à des avancées notables, explique-t-elle, permettant notamment dès cette rentrée à tous les internes inscrits dans des établissements publics comme privés de bénéficier de la gratuité des transports sur les lignes existantes du réseau régional… ».
Rassurer les familles : le message clair envoyé par la Région
Une période estivale qui aura été également propice aux échanges, entre la Région et les Organismes de Gestion de l’Enseignement Catholique (OGEC) puisque des discussions sont toujours en cours sur l’harmonisation de leur contribution au financement du transport scolaire. Dans certains secteurs géographiques, il existe encore quelques points d’achoppement sur cette contribution.
Le maintien des services de transport scolaire en l’état ainsi que leurs conditions d’accès s’est présenté comme la meilleure des alternatives pour la présidente de la Région BFC, préférant laisser du temps (une année de mieux) aux négociations avec les établissements d’enseignement catholique afin qu’elles puissent se dérouler dans des conditions optimales.
Dans l’absolu, et cela aura pour vocation de rassurer les parents d’élèves – Marie-Guite DUFAY aura beaucoup insisté sur ce point -, tous les élèves, y compris ceux nouvellement inscrits au transport scolaire pour cette rentrée 2024/2025 pourront donc être acheminés vers leurs établissements de manière gratuite sur les réseaux de transport MOBIGO existants ; via les circuits scolaires habituels ou les lignes régulières, sans omettre les transports ferroviaires.
Thierry BRET
Dites, Mesdames et Messieurs les organisateurs de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne et du CIFA réunis à l’occasion du concours du Meilleur Apprenti cuisinier du département : ne pourriez-vous pas intégrer, parmi le jury de dégustation professionnel de ce prometteur concours annuel, quelques journalistes ayant un faible pour les vertus épicuriennes afin de tester les plats au moment de l’envoi ?! Rien que la lecture des recettes de ce menu spécifique, concocté ce mardi au centre de formation icaunais, mettait déjà l’eau à bouche…
AUXERRE : Proposé par la fameuse Amicale des Cuisiniers de l’Yonne (ACY) dont les deux chevilles ouvrières demeurent son président Jean-Marie LAMOUREUX et son prédécesseur, Daniel AUBLANC, le traditionnel concours du Meilleur Apprenti cuisinier de l’Yonne s’est déroulé dans l’antre ultra moderne du centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage, le CIFA à Auxerre, ce mardi. Une épreuve s’étalant sur la journée ou presque pour les trois compétiteurs (et leurs commis, il ne faut pas les oublier) qui furent mobilisés sur le pont de l’imaginaire fertile au fond de l’assiette dès 09h30 jusqu’à 14 heures !
Quatre heures et demie derrière les fourneaux, ça calme ! Même pour les férus de gastronomie qui aiment s’essayer casseroles à la main…
Il est vrai que le menu à réaliser dans ce laps de temps imparti à la compétition était plutôt évocateur sur le papier. La feuille de route technique que chacun des candidats eut en sa possession à la minute précise où le défi se lançait.
Un copieux menu à préparer en plus de quatre heures
En guise d’entrée : des œufs mollets. Oui mais pas n’importe lesquels, évidemment ! Elaborés façon en gelée ravigote aux légumes croquants – tiens, tiens, on dirait du Cyril LIGNAC dans l’énoncé ! -, à concevoir pour six personnes. Gare aux quantités dans ce cas-là, il ne faut pas que le prétendant au titre se trompe dans les proportions ! Une mise en bouche des plus prometteuses à goûter pour le jury de dégustation, composé de quelques toques de référence de la gastronomie nord-bourguignonne : Guillaume ROYER (Les Griottes), Gilles GOURDIN (de l’Amicale), Thierry REUILLER (une valeur sûre des Festins de Bourgogne), Eric GALLET (Le Bourgogne), Michel GAUTHIER (de l’ACY) et Yohann ROLLAND (L’Ataraxie).
En guise de plat de résistance, notre trio de compétiteurs – trois candidats seulement inscrits pour cette finale départementale alors que la Bourgogne demeure une contrée référentielle de la gastronomie hexagonale, cela en deviendrait presque ridicule et les organisateurs ne cessent pourtant de solliciter les bonnes volontés chaque année…-, un mets à la texture classique pour notre territoire, avec son poulet sauté façon bourguignonne agrémenté de ses pommes cocotte (logique pour un poulet !), à élaborer dans le cas présent pour quatre personnes.
Quant au dessert, il s’agissait d’un entremets froid à base de riz au lait et d’appareil à bavarois, avec son riz maltais aux oranges et ses segments, le tout nappé de son coulis. Là aussi pour six personnes.
Soyez persévérants et ne lâchez rien !
De quoi nous mettre en appétit, nous l’avons annoncé en préambule de cet article, et nous titiller les papilles, foi de notre confrère et ami, Jean-Luc TABOUREAU, esthète en la matière pour suivre et narrer dans les colonnes du quotidien régional tous les épisodes « concours », proposés durant la saison par le CIFA de l’Yonne.
Pendant l’exécution de ces recettes, les candidats étaient surveillés par un trio, là-aussi, de jurys, experts dans la production des plats. On retrouvait là, Matthias DIAS GONCALVES, le nouveau propriétaire et chef du « Soleil d’Or » à Montigny-la-Resle, et deux représentants de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne, Dominique COURTAIN et Manu DELANNOY.
Géré par les Maîtres Cuisiniers de France, ce concours départemental était présidé au niveau du jury par un artiste des fourneaux, le MOF Cuisine originaire de Bourgogne mais ayant construit sa prestigieuse carrière au sein de beaux établissements tels le Ritz, le Royal Montceau, le restaurant Prunier et l’exotique Mamounia (hommage ému à REGINE !) à Marrakech, Gabriel BISCAY.
Un président qui a pris plaisir à participer à cette manifestation. « Vous avez la chance en prenant part à ce concours de vous ouvrir des portes que vous ne pouvez même pas imaginer ! Soyez persévérants et ne lâchez rien… ».
Des mots encourageants et sympathiques à l’adresse de Nolan FORMIGA (Le Grill Saint-Martin), troisième de l’épreuve et Marcel CAMARA (QUILLIN Traiteur) qui termine à la deuxième position.
Lauréat de cette édition 2024, et réalisant son apprentissage « Aux Terrasses », le fameux gastronomique étoilé de Tournus, administré sous la houlette du chef Jean-Michel CARETTE (l'un des sujets traités par notre chroniqueur gastronomique Gauthier PAJONA pour la rubrique "L'Aile ou la Cuisse"), c’est le jeune Gabriel ENFERT qui s’est donc octroyé la première place de ce concours, qualificative pour l’épreuve régionale devant avoir lieu fin septembre ou début octobre. La finale nationale, quant à elle, sera accueillie dans le temple des arts de vivre et de la gastronomie nationale, à Lyon, capitale des Gaules !
Thierry BRET
Native de Mongolie, la jeune Egshiglen GAN ERDENE, arrivée il y a à peine trois ans dans l’Hexagone sans maîtriser le moindre mot de notre langue a été plébiscitée ce week-end par les membres du bureau départemental de la Société des Membres de la Légion d’Honneur (SMLH) et son charismatique président, Baudoin DELFORGE. Un plébiscite qui fait office d’encouragement pour son intégration en seconde année d’une grande école…
SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Un encouragement. Agrémenté d’un coup de pouce, symbolisé par un chèque de mille euros. La jeune Mongole, âgée de vingt ans, pose le temps de la prise de vue, tout sourire aux côtés de ses généreux donateurs, Baudoin DELFORGE et Jacques GILET. Deux chevilles ouvrières de l’antenne départementale de la Société des Membres de la Légion d’Honneur !
Arrivée en France en 2021, la jeune fille a quitté sa lointaine Mongolie et sa capitale, Oulan-Bator, alors qu’elle ne connaissait pas un mot de notre langue. Aujourd’hui, la demoiselle qui a obtenu avec une mention très bien son baccalauréat va intégrer à la prochaine rentrée la seconde année de préparation qui pourrait la propulser ensuite en cas de réussite vers une grande école à Dijon !
Discrète, modeste, mais très déterminée lorsqu’elle a pris la parole pour remercier les représentants de la Société départementale de la Légion d’Honneur, la jeune asiatique s’est félicitée de la qualité de son accueil dans le département de l’Yonne. Sa prise de parole comme celle de Baudouin DELFORGE eut lieu à la mairie de Saint-Georges-sur-Baulche en présence de la première élue, Christiane LEPEIRE.
La transmission des valeurs et la prime à l'encouragement...
« Nous sommes heureux d’avoir remis ce chèque à cette jeune fille, a expliqué le président de la Société des Membres de la Légion d’Honneur 89, elle nous a impressionné par ses facultés d’adaptation à la vie française. Cette demoiselle souhaite devenir ingénieure : la SMLH lui apporte son soutien dans le cadre de la transmission de ses valeurs… ».
Depuis deux saisons, la vénérable institution encourage les jeunes (apprentis, étudiants) issus de milieux moins favorisés et qui aspirent à une intégration optimale au sein de notre société en leur remettant un chèque. Une opération qui a eu lieu cette fois-ci avec le concours de l’association DYGE (De l’Yonne aux Grandes Ecoles) qui vise à lutter contre la sous-représentation des Icaunais dans les études supérieures et à contribuer au développement économique de notre territoire.
Thierry BRET
Il s’est fait pédagogue, l’adjoint au maire d’Auxerre en charge du Logement, de l’Habitat et de la Vie associative ! C’est sur ce dernier registre que le président de l’OAH (Office Auxerrois de l’Habitat) Vincent VALLE accueillait il y a peu une délégation, composée de vingt-cinq jeunes gens, issus du CIF, le programme du Centre International de la Francophonie, piloté par le Lions Club de France. Présentant la richesse patrimoniale de l’Abbaye Saint-Germain à son auditoire, l’élu a salué l’initiative du club service qui renforce les liens entre les peuples…
AUXERRE: Dans le grand hall d’entrée de l’abbaye Saint-Germain, cadre d’exception patrimonial s’il en est, l’adjoint en charge du Logement, de l’Habitat et de la Vie associative s’est voulu surtout très explicatif dans sa démarche oratoire. Face à lui, de jeunes gens aux couleurs de peau différentes, aux pratiques religieuses éclectiques, mais, ayant comme dénominateur commun cette folle envie dans l’âme de tout comprendre et tout assimiler des propos qui résonnaient dans l’espace ! Le trait d’union entre ces vingt-cinq ressortissants de pays répartis aux quatre coins du globe : la francophonie !
Eux, ils ont écouté avec réel intérêt l’orateur municipal. En scrutant avec de grands yeux le moindre centimètre carré de cette construction majestueuse, chargée d’histoire. Pas sûr que tous aient déjà vu une abbaye dans leur existence !
Vincent VALLE avait dû le remarquer lui aussi : il enfonça le clou méthodiquement en insistant davantage via le verbe sur l’histoire de cet endroit peu banal. Il parla de travail, de formation, de savoirs transmis auprès de jeunes moines. Captivant ainsi l’assemblée qui se forma en demi-cercle autour de lui. Un peu en retrait, les deux présidents des deux clubs Lions auxerrois, Rives de l’Yonne et Phoenix, Pierre-Nicolas JOLIOT et Jacques GAUTHIER écoutèrent eux-aussi, accaparés par les renseignements fournis par l’édile.
« On dit que Saint-Patrick a été formé ici même par Saint-Germain, ajouta doctement le président de l’OAH que l’on retrouvait sur un tout autre terrain de jeu que le monde de l’habitat et du logement même s’il est lui-même adhérent du Rotary.
Puis, il présenta la guide devant officier ce jour, Camille, qui accompagnera le petit groupe deux heures durant lors d’une visite intense dans les moindres recoins de l’abbaye et ses jardins. Une guide experte et prolixe qui n’hésitera pas à utiliser des aspects ludiques pour intéresser davantage ces jeunes gens en provenance du monde aux richesses du patrimoine auxerrois.
Avant de découvrir ce lieu séculaire, le groupe et ses accompagnateurs, encadrés des membres des deux clubs service Lions locaux, visitèrent le centre de formation de l’AJ Auxerre ainsi que le fameux musée, nouvel atout touristique de l’approche du football dans l’Yonne. Des images qui feront le tour du monde avec les jeunes gens du Centre International de la Francophonie des Lions Clubs de France !
Thierry BRET