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Francis CHOUVILLE compte sur vous ! Sur votre générosité, votre sens du civisme et de la citoyenneté. Votre altruisme aussi, auprès de ces jeunes gens qui désirent embrasser une future carrière en s’immergeant au cœur de la structure. L’appellation fleure bon la Gascogne. Mais, les fameux Cadets de la Gendarmerie nationale n’opèrent pas sur ce sympathique territoire où l’on se sustente de magrets de canard et de cassoulets aux saveurs onctueuses ! Ils sont bel et bien basés dans l’Yonne…

 

AUXERRE: Intégrer les Cadets de la Gendarmerie nationale, c’est avant tout découvrir les différents métiers de ce corps d’armée en s’appropriant les valeurs primordiales du respect et du devoir de mémoire.

C’est aussi, se donner l’opportunité de pouvoir rejoindre un jour entre 16 et 18 ans cette structure par le prisme du Service national universel (SNU). Un véritable tremplin qui se veut être l’antichambre de l’emploi. C’est aussi se rapprocher en y déposant déjà un pied de cette grande maison que représente la Gendarmerie nationale.

En côtoyant de très près les officiers de la réserve citoyenne du corps militaire, ces jeunes gens bénéficient d’un enseignement éclectique où le sens civique possède ses lettres de noblesse.

Côté formation, les cadets sont aux premières loges pour s’imprégner des subtilités inhérentes à la profession. Officiers et sous-officiers d’active mais également ceux de la réserve opérationnelle dispensent leurs cours théoriques et pratiques à cette jeunesse en besoin de repères.

A raison d’une formation, entièrement gratuite, qui s’étale sur une douzaine de jours pendant les périodes de vacances scolaires, les néophytes sont plongés parmi les différents services de la Gendarmerie tout en recevant des cours de civisme ou en participant à des actions sur le devoir mémoriel.

Le sport est un autre versant de ce cursus complet qui comprend aussi des exercices de cohésion de groupe ainsi que des travaux d’expression et de rédaction.

Bref, autant de matières intéressantes à assimiler qui suppose un effort d’analyse et de synthèse des connaissances reçues.

 

Trouver les fonds nécessaires auprès du tissu économique…

 

Le rôle de l’association que préside Francis CHOUVILLE est capital. C’est elle qui assure la logistique et l’intendance de ce petit monde qui évolue dans un cadre bien normé avec ses uniformes, ses transports, ses hébergements et sa nourriture pendant les missions.

« Si notre association bénéficie de l’indéfectible soutien de la Gendarmerie nationale, souligne son responsable, elle ne dispose pas de mannes financières intarissables… ».

Heureusement, plusieurs collectivités de l’Yonne, à commencer par la première d’entre elles, soit le Département, offrent leurs oboles pour subvenir aux besoins des futures recrues. Mais, cela ne suffit pas malheureusement.

L’Association des Cadets de la Gendarmerie nationale a donc opté pour une autre solution en cette période de vache maigre conjoncturelle : se tourner vers les entreprises du tissu économique régional pour solliciter leur aide.

Sur ce point, Francis CHOUVILLE dispose d’un joker de luxe dans la concrétisation de cette stratégie qui commence à faire des émules dans le sérail entrepreneurial : le directeur de GROUPAMA Yonne Jacques BLANCHOT. Par ailleurs, lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie, et pourvu d’un réseau appréciable de connaissances…

 

Thierry BRET


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Le directeur départemental des services de l’Education nationale Vincent AUBERT attend beaucoup de la mise en place opérationnelle de ces fameux tests indolores sur notre territoire. A l’instar de la préfecture de l’Yonne et de l’Agence régionale de Santé qui en dévoilaient les arcanes pratico-pratiques lors d’une conférence de presse…

AUXERRE : Sont-ils plus faciles à appréhender ces fameux tests salivaires au plan psychologique ? Assurément, oui ! De l’avis de toutes celles et ceux qui éprouvent encore des difficultés à devoir subir la présence de ces écouvillons à la longueur interminable dans le fond de leur appendice nasal !

Un désagrément que ne connaîtront donc pas les jeunes scolaires des classes maternelles et élémentaires de l’Hexagone.

Histoire de pure logique, en somme pour ces chères têtes blondes qui n’étaient pas sur le papier les destinataires prioritaires des tests antigéniques habituels, ressemblant davantage à un supplice exotique plutôt qu’à une solution bienveillante à la santé.

Dans l’Yonne, deux établissements sont concernés dans un premier temps par le lancement de ces tests à Auxerre et à Avallon. Ces vérifications permettront d’augmenter la capacité de contrôle de cette frange de la population moins pénalisée par les effets néfastes de la COVID-19.

A l’annonce du démarrage imminent de cette nouvelle campagne de dépistage dans le milieu scolaire, le directeur départemental des services de l’Education nationale Vincent AUBERT s’est dit très satisfait de la mise en route de ce dispositif.

Les quatre cents premiers volontaires ont d’ores et déjà identifié pour tester cette méthodologie plus accessible au plan physiologique et d’une facilité désarmante qui requiert toutefois l’impérieuse autorisation des parents.

Quant aux résultats de ces prélèvements de salive, traités par un laboratoire, ils seront révélés sous un delta temporel extrêmement rapide en vingt-quatre heures.

Second satisfecit pour Vincent AUBERT : il n’y a pas pour l’heure de dégradation à observer au niveau sanitaire dans les établissements scolaires de notre département. Une bonne nouvelle qui vient donc s’additionner à la précédente.

 

Thierry BRET

 


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La crise de la COVID-19 a débuté en France il y a presque un an. Des vies ont été profondément bouleversées. Les restaurants et les bars, notamment, ont été fermés pour préserver la santé d’autrui. Ces fermetures n’ont pas été sans conséquence. Et ce, pour les étudiants. Perte de jobs, perte de logement, décrochage scolaire : comment parviennent-ils encore à subvenir à leurs besoins ?

TRIBUNE: D’après l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques), 21,8 % des jeunes français âgés de 18 à 25 ans se sont inscrits au chômage au troisième trimestre 2020.

Au total, sur un an, le taux de chômage a progressé davantage pour les jeunes (+ 2,6 points) que pour les autres classes d’âge. Ces chiffres se lient avec la crise sanitaire actuelle. Le chômage chez les jeunes a donc un impact important et ce d’autant plus lorsqu’ils sont étudiants.

Ces derniers doivent alors jongler entre les cours des universités et leurs besoins physiologiques si nous suivons la pyramide du psychologue Abraham MASLOW. Avec la perte d’un job étudiant, les cinq besoins de cette pyramide sont remis en cause. Leur environnement devient rapidement anxiogène. 

Depuis le #étudiantsfantomes, beaucoup se sont mobilisés. Un groupe de travailleurs du numérique a décidé de créer un site Internet : Etudiantsfantomes.fr ainsi qu’une page sur les réseaux sociaux tel que Twitter et Instagram afin que les étudiants puissent témoigner anonymement ou non pour partager leurs sentiments.

Ils se confient par ailleurs : « Globalement, ce qui revient majoritairement, ce sont des incertitudes et de l'anxiété face à celles-ci. On est tous dans cette situation-là plus ou moins, mais pour les étudiants c'est encore plus lourd à supporter parce qu'il y a une pression concernant la réussite scolaire. Et ça s'ajoute à la précarité financière de certains et à l'absence de contacts humains qui sont vraiment primordiaux pour les jeunes de 20 ans aujourd'hui. »

« Sans job étudiant, je ne sais même pas si je pourrais payer le loyer du mois de mars sincèrement. » https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/ted/

Autre témoignage recueilli un peu plus loin :

« Je galère à payer mon loyer et toutes les factures qui vont avec. Je maigris car je ne mange quasiment rien et ça a grandement affecté les études l’année dernière. Je  devais trouver un travail pour réussir à payer mon loyer : je donnais des cours particuliers. Cela m’a permis d’arriver limite à la somme requise par mois avec les APL mais maintenant je n’ai plus rien ». https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/anonyme-25/

 

 

 

Une mobilisation nécessaire des milieux associatifs et syndicaux…

 

Les associations et les syndicats se mobilisent pour aider ces jeunes en détresse. Des distributions alimentaires sont organisées pour leur redonner un peu d’espoir.

Par ailleurs, quatorze syndicats appellent à une journée de mobilisation le 16 mars. Dans un communiqué, ils font le point sur la situation avant de revendiquer onze idées qui selon eux doivent être mises en place.

Ils déclarent : « De plus en plus d’étudiant·e·s sont obligé·e·s de se tourner vers des organismes de distribution alimentaire toujours plus surchargés ou renvoyé·e·s à une solidarité familiale ». Ils y ajoutent : « Les jeunes sont les premier·ère·s à subir les effets de la crise économique sur l’emploi. »

D’autres associations agissent pour aider les étudiants. Ô Cœur de la Rue distribue de la nourriture aux sans-abris.

Voyant que les étudiants vivaient une situation de plus en plus précaire, ils ont décidé d’avoir une seconde cible.

Anissa MEDDEB, une des deux fondatrices de l’association, se livre : « 70 % de nos bénévoles sont justement des étudiants car nous avons actuellement un partenariat avec l’EM de Strasbourg. En échangeant avec eux, ils nous ont confié qu’ils ne pouvaient pas manger à leur faim. Certains d’entre eux venaient marauder le soir en ayant avalé qu’un seul repas de la journée par difficulté financière. »

Aujourd’hui, la situation est très précaire pour certains d’entre eux. Ils essayent de survivre tant bien que mal en allant à des distributions alimentaires. Ou, en tentant de retrouver du travail. Pas si simple, en vérité…

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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Les acteurs de l’insertion professionnelle l’intéressent. Tout autant que les managers et autres dirigeants des structures entrepreneuriales des secteurs privés et publics. A la tête de son cabinet de formation, Loïc CHEVALLARD agit en qualité de coach impliqué, s’engageant vers des voies novatrices qui lui permettent de désamorcer des situations complexes, voire inextricables. Sa méthode : provoquer le déclic au niveau des consciences.

CHEMILLY-SUR-YONNE : Les conflits qui éclatent en entreprises ne possèdent plus de secrets pour ce coach de l’Yonne. Il offre en effet l’opportunité aux managers de pouvoir renforcer la cohésion sociale et l’engagement qu’il soit individuel ou collectif dans un contexte très anxiogène.

Celui que les entrepreneurs de l’Hexagone traversent à l’heure actuelle du fait de la pandémie ne manque pas de piquant, convenons-en !

Invité à partager ses retours d’expériences et à prodiguer d’utiles conseils auprès de l’Institut des Dirigeants, un atelier pédagogique initié par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, le responsable d’ADN Potentiel utilise des outils qu’il a su développer au fil du temps. Notamment dans les domaines complémentaires que sont les neurosciences et la psychologie humaine.

D’ailleurs, sa ligne directrice professionnelle n’est autre que cette formule dont il a fait son leitmotiv : « être un déclencheur de déclics pour managers ». Il nous livre en quelques réponses ses réflexions sur son entreprise et ses projets…

 

 

Des projets pleins la tête dont la rédaction d’un ouvrage…

 

Pourquoi avoir nommé votre entreprise, ADN Potentiel ?

A la naissance, nous avons tous une mémoire cellulaire et génétique. C’est-à-dire un potentiel. Nous pouvons l’activer, le faire évoluer dans le temps comme notre ADN, à l’aide de facteurs internes (notre vécu) et externes. Soit l’environnement dont les managers que nous avons eu dans notre vie peuvent jouer un rôle clé s’ils sont inspirants.

Quels sont les services que vous proposez ?

Il s’agit d’apporter une meilleure compréhension des profils des équipes, avec une communication et un management adaptés. Il faut aider l’entrepreneur à identifier le potentiel des candidats, en créant des conditions favorables à leur plein épanouissement. En les fidélisant, on se prémunit de situations potentiellement conflictuelles.

Regardons vers l’avenir. Quels projets allez-vous encouragé en cette année 2021 ?

Dans le cadre du développement de l’activité, j’ai recruté une collaboratrice afin de m’accompagner dans ma stratégie de communication. Cela présage de belles perspectives pour la suite avec la mise en place de nouveaux partenariats. Parallèlement, je prépare avec la complicité d’un co-auteur un livre sur l'entreprise et le management aux côtés d’autres experts et d’universitaires.

Cet ancien manager commercial grands comptes intervenant dans la formation est aussi un passionné par la transmission des savoirs. Les relations humaines et la dimension stratégique au sein des organisations l’interpellent tout autant.

L’idée d’entreprendre lui est donc venue de son entourage professionnel. Des dirigeants, des partenaires l’ont fortement incité à créer sa propre entreprise, au vu de ses interventions qualitatives, ses ateliers et formations assurés en afterwork.

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 


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Maudite crise sanitaire ! Elle aura fait voler en éclats la premier Festival des Solutions écologiques au printemps 2020. Que de regrets pour ses organisateurs ! Plus de deux cents dossiers, émanant de citoyens, d’associations, d’entreprises, de collectivités, de lycées, avaient été approuvés par le jury. Las, la Région fut contrainte de reporter puis d’annuler cet évènement en présentiel en le déclinant sous une forme digitale. Mais, cette année, le Conseil régional espère aller jusqu’au bout de l’initiative…

DIJON (Côte d’Or) : Le rendez-vous est d’ores et déjà prévu à l’automne. Du 06 au 12 septembre, bien que le lieu d’accueil ne soit pas encore défini. Peut-être y verra-t-on un peu plus clair dans l’évolution de la crise sanitaire à ce moment-là ?

C’est ce que souhaite la meilleure ambassadrice de l’initiative qui a pour objectif de valoriser les projets permettant de préserver l’environnement et le climat. Elle le martèle depuis le commencement de son mandat mais la transition écologique demeure l’un des credo préférés de la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY.

Alors, profiter d’une conférence de presse pour baliser dans les grandes lignes la philosophie de la future édition du Festival des Solutions écologiques lui revenait de droit.

D’autant que l’année dernière, la COVID-19 avait passablement entachée le bon déroulement de cette manifestation promise à un joli succès avec plus de deux cents dossiers sélectionnés par le jury.

Ce second rendez-vous automnal connaîtra-t-il un sort funeste similaire à l’année 2020, du moins sur sa représentation en présentiel ? Tout le monde retient son souffle et croise les doigts en espérant le contraire au niveau de ses organisateurs !

Pour autant, le schéma reste le même. La sélection des projets les plus opportuns en matière de valorisation écologique concernera les particuliers lambda, le tissu associatif, les collectivités, le milieu scolaire (lycées) et universitaire, les centres de formation, les entreprises. Aider toutes ces structures dans leur besoin d’investissements représente le ciment de cette judicieuse opération. Surtout que le coup de pouce accordé par la Région peut s’élever jusqu’à 22 000 euros.

Le dépôt des dossiers doit s’effectuer avant le 28 mars 2021. Après, selon la formule consacrée, il sera trop tard.

 

 

Trois possibilités pour bénéficier du soutien de la Région…

 

Il est donc prioritaire pour celles et ceux des acteurs concernés par l’environnement de se mobiliser. Les items qui pourraient être distingués par le jury ne manquent pas : la mobilité, l’habitat, la consommation, l’agriculture, la biodiversité, l’alimentation, etc.

L’évènement de l’automne s’il se réalise en conformité avec son cahier des charges proposera conférences, rencontres-débats, expertises sur la biodiversité, l’environnement et la transition écologique. Trois modes opératoires sont à découvrir en cas de participation.

On peut s’inscrire à ce festival afin d’y présenter une initiative ou d’y organiser un évènement spécifique en lien avec la transition écologique. La Région versera alors une aide au fonctionnement de 500 à 2 000 euros pour soutenir l’action.

Deuxième possibilité : le projet d’intérêt collectif valorisé au cours de ce festival nécessite une aide à sa réalisation (construction d’un potager, achat de ruches ou d’un four solaire). Une aide à l’investissement sera alors octroyée par la Région dans une fourchette de 1 500 à 20 000 euros.

Enfin, présenter une initiative mais sans le besoin d’une aide financière est également du domaine du possible. Le Conseil régional  l’optimisera en matière de communication en relayant son existence grâce à une campagne d’information.

 

En savoir plus :

Festival des Solutions écologiques

Du 06 au 12 septembre 2021

Inscription avant le 28 mars 2021

Contact : alexandra.perrin@bourgognefranchecomté.fr

 

Thierry BRET

 


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