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Les élèves de classes de 4ème du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle ont eu droit à une série de démonstrations sonores sur les risques prolongés d’un environnement bruyant sur l’appareil auditif. Une opération menée avec le concours du Silex et du groupe Plastic Age…

BREVE : L’ensemble des élèves de quatrième de Saint-Joseph s’est rendu au SILEX le mardi 12 octobre pour suivre une intervention du groupe PLASTIC AGE sur les risques auditifs. Le groupe nivernais a construit son intervention autour de l’histoire des musiques amplifiées tout en présentant des connaissances plus spécifiques sur le système auditif. Un point particulier a été fait sur les conséquences d’une exposition prolongée et excessive au bruit des appareils et à un environnement bruyant. L’intervention a duré près de deux heures. Un temps d’échange est venu clôturer cette matinée. Suffisant pour prendre conscience de la problématique ?

T.B.

 


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Pour sa 23ème année, le festival « Contes Givrés » propose sur quarante communes de Bourgogne près d’une cinquantaine de spectacles généralement gratuits. Ces « contes » sont tantôt traditionnels, parfois venus de très loin, tantôt de création récente, laissant la part belle à l’imaginaire et la parole à un(e) artiste quelquefois accompagné d’un musicien.

 

JOIGNY : Aussi le programme est-il extrêmement varié, depuis l’épopée mandingue de Soundiata, l’enfant-buffle, qui remonte au XIIIème siècle, jusqu’aux fantastiques « hommes-carton » de Marien TILLET, et à la question posée par les Volubiles : être deux dans un couple, oui mais lequel ?

Au collège Marie-Noël de Joigny, le passage du festival s’est traduit par la résidence du conteur Innocent YAPI, venu animer un atelier de prise de parole en public auprès d’une classe de troisième.

Durant une semaine, les élèves ont pu bénéficier de trois heures par jour de travail sur la voix, la tenue sur scène, l’improvisation, dans une ambiance empreinte de respect et de bonne humeur.

Leur jeune professeur de français, Valentine UGO le reconnaît : ce travail a établi entre les élèves un excellent esprit de groupe. Il n’y a jamais eu de moqueries et la classe en est sortie soudée, prête à vivre une année scolaire enrichissante.

 

 

Il s’agissait en outre d’une section football qui ne connaissait les contes qu’à travers le programme de 6ème où l’on met souvent l’accent sur des récits pourvus d’une morale ou d’une leçon.

Le répertoire d’Innocent YAPI, originaire de Côte d’Ivoire, leur a permis de découvrir la tradition orale de l’Afrique de l’ouest où le lièvre Botton joue le rôle du personnage rusé, équivalent au renard de nos fables.

L’enseignante a complété cette découverte par l’étude d’un livre de Laurent GAUDE, « La mort du roi Tsongor », prix Goncourt des lycéens en 2002 et par la préparation d’une exposition en partenariat avec l’association « Joigny Baobab ». Cette action proposée par la Bibliothèque départementale de prêt a été entièrement financée par le Département de l’Yonne.

 

Claire CIUPA

 

 

 


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Venue dans l’Yonne à la rencontre des militants et sympathisants LR, Valérie Pécresse a présenté mardi matin en mairie de Venoy son projet pour l’éducation, que la candidate souhaite placer au cœur de la future élection présidentielle. Avec pour priorité absolue de remettre les fondamentaux au cœur de l’école, mais aussi d’en faire un lieu sanctuaire en y restaurant en priorité l’autorité, la discipline et la laïcité.

VENOY : C’est en dédiant son discours à la mémoire de Samuel PATY, dont on commémorera dans quelques jours le premier anniversaire de l’assassinat, que la Présidente de la région Ile-de-France a développé devant un parterre d’élus Les Républicains du département, les actions qu’elle souhaite mettre en œuvre dans le domaine de l’éducation, en cas de victoire aux prochaines présidentielles. Souhaitant être celle qui « relèvera l’école, condition de notre cohésion, voire de notre survie en tant que nation ». Avec pour priorité première, d’en faire un sanctuaire, préservé de toute forme de violence ou de désordre et en faire l’école du respect : « je le dis solennellement, aucun enfant, aucun enseignant, ne doit se rendre en classe avec la boule au ventre… ».

Face à cette violence de plus en plus prégnante, à l’image de cette enseignante agressée en plein cours la semaine dernière en Seine-et-Marne, la candidate souhaite voir impliquées les familles, en créant des « Ateliers d’aide à la parentalité » au sein des établissements et en réactivant les « Conseils de droits et devoirs des familles » qu’elle voudrait rendre obligatoires dans les villes de plus de 15 000 habitants. Des aides qui pourraient s’accompagner de sanctions à l’égard de parents soupçonnés de défaillance éducative, pouvant aller jusqu’à la suspension de leurs allocations familiales.

 

 

Un système scolaire qui ne tourne pas très rond…

 

Aux yeux de Valérie PECRESSE, le système scolaire marche parfois sur la tête, pour preuve l’obligation faite aujourd’hui à un établissement d’accueillir en son sein un élève qui aurait été exclu d’un autre collège ou lycée : « c’est une aberration totale, il va y semer à nouveau le trouble, d’autant que ces poly exclus sont souvent à l’origine des faits les plus graves ». De proposer à leur attention dans chaque département, des « structures de réinsertion scolaire », avec un encadrement renforcé et faire en sorte que les sanctions éducatives soient prononcées le plus rapidement possible et exécutées : « trop d’affaires classées sans suite, contribuant à la culture de l’impunité. Pour moi, le respect du professeur, ce n’est pas négociable ». Appelant à une école sanctuaire, en sortant de « l’omerta » qui conduirait les établissements aujourd’hui, à ignorer la réalité du « prosélytisme islamiste » pour ne pas faire de vague. Soulignant que c’est dans les quartiers le plus soumis au communautarisme, qu’il y a le moins de signalements d’atteinte à la laïcité, résultat d’une loi du silence qui ne dit pas son nom. Pour y remédier, une structure dédiée serait créée, afin de permettre à tout enseignant de dénoncer des faits de radicalisation, gérée non par l’Education Nationale, mais par les ministères de la Justice et de l’Intérieur.

Pour relever l’école, encore faut-il prioriser les savoirs fondamentaux, notamment à destination des écoles primaires, où cela pourrait se traduire par un nombre supplémentaire d’heures de cours de français et de mathématiques : « lire, écrire, compter, c’est le bagage que nous devons donner à chaque élève pour ne plus se retrouver avec 20 % de classe d’âge ne maîtrisant pas la lecture à 18 ans et ne plus être les derniers de la classe pour l’enseignement des mathématiques ».

Avec à la clé, l’instauration d’un examen d’entrée en 6e pour garantir que tous les enfants aient acquis les bases nécessaires à leur scolarité. Un dispositif qui est loin toutefois de faire l’unanimité auprès d’enseignants ou associations de parents d’élèves, qui y voient une forme de barrière sociale. Et pour les recalés à l’examen, mise en place de classes de 6e dites de « consolidation », primant le français et les mathématiques avant que ne soient introduites d’autres matières : « il faut absolument faire de la prévention de décrochage scolaire notre priorité nationale ». Dans le cadre des mesures souhaitées par la candidate, une « Réserve Education Nationale » pourrait être créée à cet effet, composée de professeurs retraités et rémunérés pour apporter gratuitement de l’aide aux devoirs et du soutien scolaire aux enfants le plus en difficultés. Une « réserve » qui pallierait aussi au remplacement de professeurs absents.

 

 

Inciter les vocations avec un plus sur la feuille de paie…

 

Ce projet pour l’éducation passe aussi par une plus grande autonomie accordée aux établissements en matière d’innovations pédagogiques, à l’aune du dispositif mis en place dans les universités, lorsque Valérie PECRESSE était en charge du ministère de l’Enseignement supérieur : « les écoles, les collèges, les lycées, ne doivent plus être les derniers échelons d’une chaîne hiérarchique étouffante, mais au contraire, des lieux d’initiatives et d’émulation ».

Face à la paupérisation de la profession, qui a désormais du mal à recruter, laissant vacants des centaines de postes, la candidate remet en cause le « bizutage institutionnel » consistant à envoyer dans les établissements les plus difficiles, les enseignants les plus jeunes, loin le plus souvent, de leur région d’origine, privilégiant l’envoi dans les quartiers, de « professeurs volontaires avec de vraies primes de fidélisation et de vrais bonus de carrière ».

Une crise des vocations qui pourrait s’accompagner d’une revalorisation des salaires pour les enseignants en début de carrière, mais sans plus de précisions sur leur montant si ce n’est qu’il faudrait pour cela rogner de 10 % le budget alloué au secteur administratif de l’Education Nationale : « une administration lourde qui coûte chez nous beaucoup plus cher qu’ailleurs et en réduire les coûts permettrait de mieux rémunérer les enseignants et valoriser l’ensemble de leurs missions éducatives… » Un remake du « dégraissage de mammouth » façon Claude ALLEGRE… ?

 

Dominique BERNERD

 


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Il y avait comme un parfum d’océan ce mercredi matin au lycée des métiers Vauban, où les élèves de BTS 2ème année Management Hôtellerie et Restauration, ont pu bénéficier d’une master class organisée par la filière ostréicole Marennes Oléron. Une formation alternant théorie et pratique, à l’image de cette fin de matinée consacrée au rituel de dégustation des différentes variétés d’huîtres de l’appellation « fine de claire ». Avec à la clé, un atout supplémentaire dans le bagage pédagogique de ces professionnels de demain.

AUXERRE : Observation visuelle et olfactive, aromes, oxygénation, longueur en bouche… Un vocabulaire qui résonne bien aux oreilles de tout amateur éclairé de vin, surtout en terre bourguignonne. L’exercice devient plus original dès lors que l’on évoque les termes de nacre, liqueur, branchies, poisson et calibre !

L’expérience sensorielle autour de la dégustation d’huîtres fait appel à un rituel qui, s’il n’est pas sans rappeler l’exercice œnologique, met en œuvre sept étapes successives, du toucher à la dégustation, en passant par l’écoute, la mise en bouche, la mastication et bien sûr, l’ouverture de la coquille.

Un parcours que les 16 élèves de BTS présents ce jour-là ont appris à découvrir, sous l’égide du directeur du groupement qualité Marennes Oléron, Nicolas BROSSARD et de son président Laurent CHIRON, lui-même ostréiculteur. Une double présence qui n’est pas anodine explique le premier : « on aurait pu passer par une structure de formation ou une agence de communication, mais on a tenu à ce qu’un professionnel soit toujours présent, pour crédibiliser le discours, que ce soit le président ou tout autre membre du conseil d’administration… ».

Une aventure entamée il y a quinze ans, en partenariat avec l’Institut Bocuse à Lyon, qui permet aujourd’hui à un millier d’élèves de grandes écoles culinaires ou de lycées régionaux, de se former chaque année à ce produit complexe et parfois mystérieux qu’est l’huître. D’autant, souligne Serge GOULAIEFF, professeur référent de la classe, que le sujet est tombé l’an dernier à l’examen restauration, où les candidats ont eu une assiette d’huîtres à préparer.

 

 

80 % des ventes de l’appellation…

 

« On va commencer calme pour ceux qui n’aiment pas les huîtres et débuter par les plus petites… ». Couteau et roue des saveurs en main, les participants s’attaquent à la « fine de claire ». Une huître peu charnue, reine des tables de fêtes de fin d’année, qui à elle seule représente 80 % des ventes de l’appellation. L’exercice est diversement apprécié, selon les goûts de chacun, mais tous jouent le jeu courageusement, avec une conscience déjà toute professionnelle. Pas si facile d’évaluer à la fois la teneur en sel, la quantité de chair en bouche, sa fermeté, la complexité de ses arômes partagés entre le minéral, le végétal ou l’animal…

« Prenez de l’air, oxygénez et mâchez bien ! ». Plus facile à dire qu’à faire, surtout lorsque l’on est confronté au produit phare de l’appellation qu’est la « pousse en claire » : un produit d’exception, particulièrement charnu et dont les saveurs explosent en bouche mais réservé à une clientèle d’initiés.

La recette d’huîtres chaudes ponctuant la dégustation de la matinée, spécialement concoctée par le chef de cuisine de l’établissement semble rencontrer plus de succès, sur fond de champignons, crème de Bresse et parmesan ! Au programme de l’après-midi : apprentissage de la technique d’ouverture des coquilles, suivi d’un exercice visuel de reconnaissance des différents types d’huîtres.

« Vous ne serez pas obligés de manger ce que vous avez ouvert… » précise Nicolas BROSSARD… Autour de lui, certains visages semblent retrouver le sourire !

 

 

En savoir plus :

Produit d’exception, la « Pousse en Claire » est élevée pendant 4 à 5 mois minimum, à une densité de trois huîtres au mètre carré. Sans nul doute l’huître la plus typée de la gamme Marennes Oléron, produite par seulement quelques professionnels avertis et réservée à une clientèle d’initiés…

 

Dominique BERNERD

 


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L’Ecole des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté fait figure d’établissement référence dans ce sérail corporatiste. Disposant de deux sites, l’un à Besançon, l’autre à Dijon, ses élèves s’y distinguent annuellement lors des résultats d’examens. Huit de ces jeunes gens ont été plébiscités lors du Conseil d’administration de la FNTP à Paris. En présence du président régional, Vincent MARTIN…

 

PARIS : C’est sûr, ce qu’ils viennent de vivre ces jeunes gens fréquentant l’Ecole des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté, ils ne l’oublieront jamais ! Huit boursiers d’excellence de cette filière ont eu le privilège d’être reçus dans la capitale lors du Conseil d’administration de la grande maison, la FNTP.

Accompagnés par le président de l’antenne régionale de la Fédération des Travaux publics Vincent MARTIN, ils ont eu l’opportunité de pouvoir échanger avec Bruno CAVAGNE, à la tête de la FNTP lors d’une cérémonie officielle.

 

 

Il est vrai que l’établissement régional a obtenu cette année encore d’excellents résultats. A titre d’exemple, sur le site de Dijon, 24 candidats sur vingt-cinq se présentant au Bac pro TP ont été reçus à leur examen avec une kyrielle de mentions. Dans le Doubs, à Besançon, les quatorze candidats présentés ont réalisé le carton plein ! De quoi satisfaire Vincent MARTIN toujours enthousiaste lorsqu’il évoque les potentialités de cet établissement qui prépare à une dizaine de métiers de la filière, depuis le niveau CAP jusqu’au Bac plus trois.

 

Thierry BRET

 


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