Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
puisaye forterre
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_small.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png
Puisaye Forterre

C’est dans l’extension flambant neuve dont vient de s’équiper AUXERREXPO que s’est tenue la 4ème édition de la journée « Si on parlait tourisme ». Elle est devenue en quelques années un rendez-vous incontournable pour les acteurs et professionnels du secteur. Une journée faite de rencontres, d’ateliers et de tables rondes pour s’imprégner des nouvelles tendances et mieux répondre aux attentes des touristes de demain… 

AUXERRE : S’il est un secteur qui a toujours su s’adosser aux nouvelles technologies, c’est bien celui du tourisme : hier le Minitel, aujourd’hui Internet, demain l’Intelligence Artificielle… Toujours aux avant-postes pour proposer une offre en adéquation avec les nouvelles habitudes de consommation. Retenu au Sénat pour des travaux, l’ancien ministre en charge du Tourisme et élu de l’Yonne, Jean-Baptiste LEMOYNE, est néanmoins intervenu en préambule de la matinée par vidéo interposée, rappelant notamment les atouts de notre département en la matière : « l’offre de l’Yonne peut d’autant plus attirer qu’un ras-le-bol s’exprime aujourd’hui face à des destinations ultra-prisées et l’on voit désormais des territoires dans lesquels les populations rejettent l’afflux trop nombreux de touristes. Cela tombe bien ! Nous avons de l’espace et une offre conséquente, qu’elle soit culturelle, paysagère, patrimoniale ou œnotouristique et nous pouvons leur ouvrir très largement les bras ! ».

Autre grand témoin de la journée, Christian MANTEI, président d’Atout France, l’agence de développement touristique hexagonal qui, au titre de « professionnel du tourisme », aime se présenter comme « acteur de l’industrie de la curiosité ».

Un terme approprié quand on sait que le poids économique du secteur représente aujourd’hui 8 % du PIB national soit environ 225 milliards d’euros et 11 % du PIB mondial. Mais à ses yeux, la promotion d’un territoire doit avant tout s’accompagner par une plus grande connaissance de l’autre : « bien comprendre les visiteurs dans leurs cultures, c’est forcément une ouverture à l’autre et c’est cela qui est passionnant ! La rencontre entre ceux voulant mettre en valeur leur territoire et les voyageurs qui souhaitent le découvrir, c’est quand même le cœur du métier… ».

 

  

Une excellente pêche pour la Grange de Beauvais !

 

Depuis bientôt trente ans, l’association de la « Grange de Beauvais » œuvre à la sauvegarde et à la rénovation du domaine éponyme autrefois rattaché à l’abbaye de Pontigny. Son président emblématique, Patrick HENRY, était présent : « je suis venu à la pêche ! ». En quête d’informations sur les nouvelles technologies, mais aussi de potentiels partenaires, dans la perspective d’un agrandissement de la boutique actuelle, surfant en cela, sur la métamorphose de l’abbaye de Pontigny qui est en train de s’opérer sous l’égide de la fondation François SCHNEIDER : « tout est prêt pour que l’on prenne notre envol et donne une dimension touristique à la Grange… ».  La « pêche » a été bonne et plusieurs contacts pris : « avec un brasseur local, plusieurs vignerons, un artisan proposant des savons, des musées… ». Même les deux voitures « Morgan » de belle livrée trônant à l’entrée du parc des expositions ont retenu son attention : « pourquoi ne pas imaginer des balades automobiles qui passeraient par la Grange et l’abbaye… ? ».

 

 

 

Une BD originale pour booster le tourisme

 

Bourguignon basé à Autun, Florent BOITHIAS est venu pour sa part en voisin, avec dans son escarcelle une bande dessinée et une idée qui devrait faire son chemin : utilisateur régulier de la ligne TGV Paris/Lyon, la plus fréquentée d’Europe avec 52 millions de personnes l’empruntant chaque année, il a effectué une randonnée à vélo de Paris Gare de Lyon à celle de Lyon Part-Dieu, en suivant au plus près la ligne ferroviaire, afin de recenser les paysages, villages et autres points d’intérêt entraperçus un bref instant quand on roule à 300 km/h. Une bande dessinée au titre évocateur, « Sortis des rails », réalisée avec le concours de l’illustrateur Etienne MATTHIEU vient de paraître, qui retrace l’épopée cyclotouriste. L’Autunois est déjà sur un autre projet : « créer une application qui permettrait aux voyageurs dans le train de donner un nom à tout ce qu’ils peuvent voir par la vitre, avec l’idée qu’ils y reviennent un jour s’y promener… ». De quoi intéresser des régions comme le Sénonais, le pays d’Othe ou encore le Tonnerrois, aujourd’hui traversées par la ligne à grande vitesse.

 

 

Des offres qui s’adressent tant aux visiteurs de passage qu’aux résidents habituels

 

A la fois maire de Coulanges-la-Vineuse, élue communautaire, vigneronne et présidente de l’Office de Tourisme de l’Auxerrois, Odile MALTOFF ne pouvait bien sûr que souscrire à une telle journée : « d’année en année, on raccroche des gens supplémentaires. C’est une journée qui fait du bien et crée du lien entre tous, on y pioche ce que l’on veut, une conférence, un atelier, un rendez-vous… ».

Partageant avec la fougue qu’on lui connaît sa passion pour un territoire aux multiples facettes et à l’éventail touristique si large : « le domaine du tourisme est un secteur « pétillant », avec tellement de choses intéressantes à faire et à voir, qui s’adressent d’ailleurs autant aux personnes venant nous visiter qu’aux habitants qui résident sur le territoire… ».

Avec ce cri du cœur à l’attention des récalcitrants n’ayant pas encore fait le choix de quitter l’autoroute A6 pour s’aventurer sur les routes buissonnières du grand Auxerrois : « on n’est pas « sur-tourismé »… On a de la place ! ».

 

Dominique BERNERD

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Aider les entreprises en difficulté fait partie de l’ADN de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne. Un message que n’a cessé de rappeler son président, Didier BARJOT, lors de l’assemblée générale qui s’est tenue jeudi dernier dans les locaux du CIFA de l’Yonne, en présence d’une trentaine d’adhérents.

AUXERRE : Est-il lieu plus symbolique que le CIFA pour accueillir une assemblée de chefs d’entreprise ? Son directeur, Lilian GARCIA en témoigne : « C’est un triptyque : pas de chefs d’entreprise, pas d’apprentis, pas d’apprentis, pas de centre d’apprentissage ! ». L’année 2024 aura été marquée par la prise de fonction de Didier BARJOT en qualité de président de la CPME 89, bien décidé à « transformer l’essai » en 2025, pour être au plus près des entreprises en difficulté et leur apporter l’aide nécessaire. Mais, c’est bien connu : « le nombre fait la force », un message que n’a pas manqué de rappeler le patron de la « Farandole Gourmande » en préambule de la soirée : « Il est indispensable de diffuser autour de nous, auprès des chefs d’entreprise, l’importance d’une organisation comme la nôtre. Plus nous serons nombreux, plus nous serons forts ! RSE, loi de finances, nouveaux impôts qui risquent d’être mis en place…, les défis ne manquent pas… ».

 

 

Un copieux programme pour le premier semestre !

 

A commencer par celui de relever le nombre d’adhérents en 2025, mais Didier BARJOT se veut confiant, suite à l’appel à cotisations envoyé à 180 personnes : « Les adhérents sont pour nous le nerf de la guerre. C’est d’autant plus important que nous avons besoin de mandataires pour représenter localement les PME dans les différentes instances de la société civile. Plusieurs mandats sont à renouveler cette année et en 2026, ce seront les élections consulaires à la CCI et la CMA… ». Plusieurs rendez-vous sont au programme en ce premier semestre, comme ceux proposés par le Pôle Femmes, les 10 avril, 15 mai et 19 juin, ainsi qu’une soirée « Loi de Finances » le 19 avril prochain, suivie le 25 avril d’une soirée « Nouveaux adhérents ». Un évènement de grande ampleur est d’ores et déjà prévu à l’automne autour du thème de l’entreprenariat, avec la présence d’un invité surprise. Également à l’affiche, une formation au sauvetage secourisme du travail (SST), à l’attention des adhérents salariés et de leur personnel, avec un double objectif : « acquérir les compétences nécessaires à la prévention des risques professionnels et gérer la gestion des urgences sur le lieu de travail… ». Financée par la CPME, elle se déroulera sur deux jours à des dates restant à caler, « très certainement en semaines 41 et 42… ».

 

Des « Casques Bleus » pour prévenir des dangers qui guettent les entrepreneurs

 

L’Yonne était l’un des derniers départements de Bourgogne Franche-Comté à ne pas avoir mis en place le dispositif « Casques Bleus », créé pour prévenir et répondre aux entreprises en difficultés professionnelles et à la détresse de leurs dirigeants. Un outil entièrement gratuit, soutenu par l’APESA (Association d'Aide Psychologique aux Entrepreneurs en Souffrance Aiguë), la FFB, la CCI de l’Yonne, ainsi bien sûr, que la CPME 89, pouvant apporter un soutien concret et immédiat, comme par exemple, un accompagnement psychologique auprès d’un professionnel local à raison de cinq séances offertes. Le dispositif entrera en fonction en avril prochain et appel est lancé auprès des chefs d’entreprise sensibilisés à cette cause, afin de créer dans tout le département, un réseau de « sentinelles » bénévoles, susceptibles d’aller auditer si besoin les entrepreneurs en difficulté.

 

 

L’interview

Didier BARJOT s’est également prêté au jeu des questions/réponses à l’issue de cette assemblée générale.  

Votre confédération comptait 85 adhérents dans l’Yonne en 2024, comment expliquez-vous ce chiffre somme toute relativement modeste ?

Je rappelle que la CPME au niveau national est le premier syndicat patronal par le nombre d’entreprises adhérentes. Il est vrai que notre département a été plus ou moins en souffrance et on l’a payé. Nous avons dû faire face, comme d’ailleurs d’autres départements de Bourgogne Franche-Comté, à l’après COVID et beaucoup d’entreprises ont disparu. Pour d’autres, la trésorerie est toujours un peu juste et la première chose recherchée est de faire des économies. Il arrive aussi parfois que le chef d’entreprise ne voit pas l’intérêt d’adhérer à un syndicat, mais le climat actuel est anxiogène et c’est en train de remonter. L’on devrait parvenir à une centaine d’adhésions d’ici un mois, une impulsion qui est peut-être liée également à la nomination de notre nouveau président national Amir REZA-TOFIGHI…

Ce climat anxiogène, vous le ressentez auprès de vos adhérents ?

On a eu une fin d’année dernière compliquée, liée pour beaucoup, à la situation politique en France et à l’instabilité. Une année d’élections, comme on a connu en 2024, avec les législatives et c’est tout le pays qui s’arrête. Vice-président régional, c’est un constat que je fais aussi au niveau de la Bourgogne Franche-Comté et il en est de même au niveau national… 

La guerre commerciale lancée par Donald TRUMP avec le reste du monde va forcément impacter les PME françaises : une inquiétude de plus ?

Comment pourrait-il en être autrement quand vous voyez que le président américain annonce une augmentation de 200 % de taxes sur les vins et les spiritueux, bien sûr que cela va avoir de fortes répercussions, surtout pour une région viticole comme la nôtre ! Tout le monde aujourd’hui s’interroge… 

Existe-il des secteurs en tension aujourd’hui dans le réseau PME ?

Toujours les mêmes difficultés à recruter dans les secteurs du service et de l’hôtellerie-restauration. Un manque de collaborateurs qui nous a fait perdre du chiffre d’affaires et peut-être que ce chiffre, si on l’avait aujourd’hui, cela permettrait d’avoir cette stabilité qui nous manque. Et on sait très bien que si une entreprise n’investit plus ou très peu et n’embauche plus, il y a danger… 

 

Dominique BERNERD

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Inaugurée dans la zone des Vauguillettes, la nouvelle station multi-énergies portée par les Moulins DUMEE mise sur le GNV, le bio-GNV et bientôt l’hydrogène. Une avancée clé pour la transition écologique du Sénonais…

 

SENS: Officiellement présentée en mai 2024 lors de la traditionnelle pose de la première pierre, la nouvelle station multi-énergies de la zone des Vauguillettes a fait sensation le jour de son inauguration avec la démonstration d’un ravitaillement d’un des quatre camions au gaz des Moulins DUMEE. A l’initiative du projet, le PDG de l’entreprise sénonaise Hervé de ROMEMONT continue dans une voie écoresponsable. Il mise aujourd’hui sur une future infrastructure de distribution d’hydrogène au sein de cette station dite « évolutive ».

Cette station d’énergies GNV et bio-GNV s’inscrit dans une logique de transition écologique menée parallèlement par le territoire. « Positionnée au cœur de la zone d’activité et à la proximité directe des axes autoroutiers et de la rocade de Sens, cette station sera le cœur de cette nouvelle économie qui prendra vie en Sénonais » assure également Marc BOTIN, président de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais.

 

 

De plus, il se pourrait que les véhicules au biogaz détrônent un jour les véhicules électriques. Il est vrai que ces derniers affichent un taux d’émission directe de CO2 à 0 % par kilomètre, contre 20 à 50 g CO₂ par kilomètre pour le biogaz. Toutefois, ils pourraient avoir un impact environnemental bien plus élevé en termes d’émissions indirectes. La batterie, notamment, fait aujourd’hui l’objet de controverses concernant sa fabrication qui nécessite l’extraction de lithium, de cobalt, de nickel et son recyclage, pour le moment sans solution.

 

Floriane BOIVIN 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Bienvenue à Magny (800 habitants), une commune située en pays Avallonnais, à cinq minutes de l’autoroute A6. Antan, il y avait boucherie, épicerie. Mais désormais, l’unique commerce villageois multi-services, c’est « L’Embuscade ». Par chance, l’on peut y déjeuner fort bien. Ce commerce est incarné depuis six ans par son emblématique patronne, surnommée « Boubou ». En fait, son prénom est Sandrine. « Boubou », ce qu’elle aime dans la vie, ce sont ses enfants, son amoureux comme elle dit (un mari plutôt patient !) mais aussi sa clientèle au travers de cette cuisine qu’elle apprit gamine au contact de sa grand-mère, mais aussi de sa maman. Ce qu’elle aime aussi parfois, c’est aller s’attabler à une belle et bonne table étoilée ou pas, c’est selon…

 

MAGNY : Tous les jours, seule en cuisine, parfois aidée pour les desserts par Camille, sa petite dernière, « Boubou » propose avec son cœur un impeccable menu entrée, plat et dessert servi à 16 euros ; oui, à seize euros, vous avez bien lu !

Ce type d’adresse me rappelle quelque peu feu l’ami PETITRENAUD, un peu de celles qu’entre tenants de la fourchette, on se refile au comptoir, entre deux coups de blanc ! C’est grâce au sympathique chef Jérôme JOUBERT du « Rive Gauche » de Joigny (chaque lundi de chasse, il y a son rond de serviette à la table 41) mais aussi à un récent casse-croûte improvisé sur cet accueillant Formica, qu’il me fallut urgemment m’attabler ici-bas !

 

Des filets de maquereau francs du collier !

 

C’est vrai en en poussant la porte, le poêle ronronne et le comptoir semble nous faire de l’œil. Pas besoin d’insister trop longtemps pour que cheffe « Boubou » arrive tout sourire. Ah ! J’oubliais : jadis, « Boubou-Sandrine » fut comptable. Oui, mais ça, c’était avant.

Un matin, peut-être, s’est-elle dit : « J’ai envie de retrouver mes fondamentaux culinaires familiaux avant de fonder, épaulé par mon amoureux - présent chaque midi au service – le restaurant «L’Embuscade »… ».

Ce midi-là, deux entrées faites maison nous tendaient les bras : un jambon persillé, du genre franc du collier et à la gelée odorante, ainsi que des maquereaux au vin blanc. Fan de poisson bleu et de cette belle entrée de brasserie, je me suis régalé avec ce poisson (au prix modéré sur l’étal des poissonniers, autour de 12 €/kg), cuit impeccablement et bien assaisonné ! Le pain venait de la boulangerie de la Roche-en-Brénil et il était bon.

 

 

Un modèle du genre : la cuisse de pintade et sa choucroute

 

On en profite pour découvrir le vin du coin, un blanc gouleyant de la famille vigneronne GILET et conseillé par la cheffe « Boubou » qui s’enquiert à chaque table que tout aille bien.

En plat, ce fut la cuisse de pintade et choucroute, un modèle du genre avec un chou harmonieusement acide, constellé de quelques baies de genièvre (trop souvent oubliées désormais par nos bouchers-charcutiers). C’est bien bon. On se régale tandis que sur le fourneau mijote un bourguignon, le plat du lendemain.

En dessert, on peut choisir entre la spécialité maison : le nougat glacé ou une mousse chocolat, accompagné d’un financier.

 

 

 

Des clients satisfaits et rassurés !

 

Peu à peu, les habitués repartent tandis que nous prenons le café au comptoir, qui ne désemplit guère. « Boubou » leur claque la bise. Jean repart rasséréné de savoir que demain, il y aura du bourguignon accompagné d’un écrasé de pommes de terre.

Merci « Boubou », songeai-je alors en réglant cette modeste addition. Car demain, demeurera-t-il des « Boubous » dans les bistrots de nos campagnes ? Je l’espère, mais…

 

 

En savoir plus :

Les - : rien à signaler pour aujourd’hui !

Les + : une maison dans laquelle on se sent bien.

 

 

 

Contact :

 

L’Embuscade

15 Place de l’église

89200 MAGNY

Tel : 03.86.46.78.93.

Du lundi au samedi inclus.

Stationnement facile.

 


Gauthier PAJONA

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elle va prendre son envol pour la première fois au salon hexagonal de la franchise à Paris. « Elle » ? Une structure créée il y a quelques mois à peine dans l’Yonne qui fait référence au célèbre insecte pollinisateur. Celui que l’on voit avec plaisir butiner dans nos jardins. « Abeille Verte » ! L’enseigne qui est positionnée sur le segment de l’entretien extérieur des bâtiments recrute déjà de futurs franchisés. Preuve que l’ambition est là ! Et que la conquête territoriale ne fait que commencer

 

APPOIGNY: Du 15 au 17 mars se tiendra Porte de Versailles à Paris l’annuelle manifestation que bon nombre de spécialistes de la vie commerciale attendent avec impatience, afin de tâter le pouls de l’économie de la filière, le salon Franchise Expo 2025. Dans les travées du parc des expositions de la capitale, la présence de la jeune franchise icaunaise, « Abeille Verte », sera sans doute vécue avec intensité par son fondateur, Francis MOREAU. L’entrepreneur auxerrois y participera pour la première fois. Un baptême de l’air important pour le créateur du slogan qui définit sa structure professionnelle spécialisée sur l’entretien et le nettoyage des bâtiments, « en vert et contre mousse ! ».

Il faut croire que cette formule mêlant astuce humoristique et grammaticale commence à séduire les futurs franchisés qui se rallieraient bien volontiers (et moyennant un ticket d’entrée situé à 12 000 euros) à la cause de cette structure professionnelle ayant choisi en guise de mascotte une abeille du plus bel effet, tout sourire, sur les calicots.

Il y a quelques jours, dans l’un des salons de l’hôtel Mercure, Francis MOREAU faisait passer des entretiens de recrutement auprès de potentiels candidats extérieurs au territoire de l’Yonne. Celui qui désire lâcher les chevaux d’ici à 2027 – le franchiseur aimerait pouvoir s’adosser sur la présence effective dans l’Hexagone sur une dizaine de franchisés – commence à semer des graines et à poser des jalons pour assurer l’implantation de la marque écoresponsable dans d’autres départements hors Bourgogne.

 

 

Des abeilles qui travaillent en ruche avec la société BEES COM !

 

Courant mars devraient être signée l’ouverture de trois unités « Abeille Verte », à Toulouse, Tours et Angers. Sachant qu’un quatrième site est déjà prévu dans les cartons. Il est vrai que Francis MOREAU ne chôme pas. Une fois par mois, il organise des journées de découverte de la franchise, concept qu’il a été créé dès 2024 après son départ de la société « PULVERY CLEAN » où il exerçait depuis juin 2020, des rendez-vous qui lui permettent de rencontrer de potentiels maillons de la chaîne.

Le concept qu’il promeut se veut novateur. Réaliser des opérations de nettoyage, de traitement, d’enlèvement de la mousse sur les toitures, de réhabilitation des façades, allées et autres terrasses en employant des procédés s’inscrivant dans le développement durable est le socle de cette jeune entreprise. Une posture que le dirigeant revendique finalement jusque dans le choix de l’appellation.

« Le nom de la société n’a pas été choisi par hasard, confie Francis MOREAU, l’abeille est un animal qui évoque le côté collectif des choses, le travail, le naturel, tandis que la couleur verte symbolise la protection, l’espérance, l’environnement… ».

Un couplage des mots logique et qui trouve son prolongement par cette mascotte reconnaissable parmi mille !

On doit la stratégie de communication à l’entité auxerroise « BEES COM », l’agence de Michaël BERGIA qui lui-même avait déjà choisi la fameuse bestiole « bee » - le mot signifie abeille dans la langue des BEATLES ! – comme emblème. Bref, c’est une véritable ruche qui nous arrive de l’Yonne !

Une curiosité écologique qui est même plus flagrante avec le choix des produits utilisés biodégradables, développés sous sa propre marque par « Abeille Verte », soucieuse de respecter l’environnement. Quant à la politique tarifaire usitée, elle joue la carte de la compétitivité à outrance avec des prestations qui seraient moindre de 30 à 50 % par rapport à la concurrence.

  

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil