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Comme à l’accoutumée, l’Yonne sera à l’honneur au Salon de l’agriculture 2020. Le carrefour international accueillera différents acteurs de notre savoir-faire artisanal au cours de deux journées de mise en valeur organisées sur le stand régional Bourgogne Franche-Comté les 27 et 28 février.

PARIS : Cinq thématiques serviront de fil d’Ariane à ces retrouvailles annuelles vécues sur le fameux salon professionnel francilien. « Goûter », « Visiter nos pays », « Déguster », « Picorer » et « Découvrir » seront les mots d’ordre de cette concentration de savoir-faire artisanal qui permettra aux nombreux visiteurs de cette exposition universelle, consacrée à l’agriculture et à ses diverses filières de se forger leur propre opinion.

Durant deux journées, dans le hall 3 de l’immensité du parc des expositions de la Porte de Versailles, différents ambassadeurs de notre patrimoine n’hésiteront pas à se surpasser pour vanter les mérites et les bienfaits de ce terroir, bourguignon, dont nous sommes fiers, cela va de soi !

Côté cuisine, c’est le chef du « Moulin de la Coudre », bel établissement « Logis de France » à VENOY, Jean-Pierre VAURY, qui régalera les curieux de recettes culinaires icaunaises, à base de produits salés et sucrés dont il a le secret.

 

 

L’opportunité sera aussi donnée d’apprécier la succulente saveur d’un morceau de Soumaintrain, accompagné de son verre de l’AOC Irancy avec une animation proposée par le groupement « Gastronomie et Promotion des produits régionaux ».

Il y sera également présenté un livret de jeux à vocation ludique et pédagogique grâce auquel les jeunes pousses à l’instar des adultes découvriront les différentes étapes de fabrication des fromages.

 

Yonne Tourisme assure la promotion de ces prochains rendez-vous…

 

Autre suggestion découverte intéressante : le pop-corn 100 % made in Yonne, concocté avec minutie et originalité par la maison GRAMM’S. Les frères RIVALLAIN devraient remporter tous les suffrages des adorateurs de cette confiserie agréable à croquer en bouche.

On notera aussi les préparations à base de légumes secs de la ferme de Bruno MEAN (Cruzy-le-Châtel) –lentilles, pois chiches, graines de courge, coriandre – ainsi que les gourmandises à base de miel de l’apiculteur Adérald CARON (ADE FABRIK), localisé à Charbuy.

Notons la participation des artisans de pratiques séculaires et ancestrales : celles des esthètes des métiers anciens qui exercent leur labeur à la construction du château d’inspiration médiévale de GUEDELON.

Quant à l’agence de développement économique, YONNE TOURISME, elle figurera, quoi de plus normal, en bonne posture sur ce stand afin de présenter ses futures opérations telles que « Vélo et Fromage » ou la fameuse « Family Week », qui sera déclinée à la Grange de Beauvais les 28 et 29 mars prochains.

 

 


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Le Pôle environnemental arrive bientôt à maturation. Les dernières équipes de professionnels du BTP  s’activent sur le chantier afin de le rendre viable dès que possible. Il y aurait presque un caractère d’urgence, désormais, à le voir s’achever. Certes, il y a les échéances municipales. Mais, quoiqu’il en soit, l’édifice, ayant nécessité une enveloppe budgétaire de plus de trois millions d’euros, devrait être inauguré après les élections. Quant aux trois premiers occupants, des structures délibérément positionnées sur le secteur de l’économie verte, ils piaffent d’impatience de prendre possession de leurs bureaux…

AUXERRE : Branle-bas de combat dans les locaux de la Communauté de l’Auxerrois ! L’instant se veut solennel et surtout communicatif. Et pour cause, le Pôle environnemental, toujours en phase de construction dans le périmètre du parc des expositions, lève enfin le voile sur ses futurs locataires. Les premiers, du moins, qui se présentent au nombre de trois.

Le panel de personnalités qui assiste à la gestation du concept est à la hauteur de l’évènement : Guy FEREZ, président de l’Agglomération et édile d’Auxerre, son premier adjoint, Guy PARIS, le spécialiste de l’économie en la personne de l’adjoint municipal, Didier MICHEL. Sans omettre le premier cercle des directeurs de service et autres exégètes du développement économique du sérail.

Il est vrai que le concept est plutôt flatteur pour l’institution communautaire qui finance les travaux avec l’aide de subsides émanant des partenaires habituels. Ce Pôle environnemental (rare concept de cette envergure conçu en Bourgogne Franche-Comté, voire au niveau hexagonal) fera office d’incubateur de start-up mais aussi d’hôtel d’entreprises pour structures confirmées in fine. Offrant ainsi de nouvelles et ambitieuses perspectives économiques à un bassin qui a choisi de privilégier l’économie circulaire et le développement durable à d’autres pistes de réflexion.

 

 

 

Un nouveau centre d’accueil dédié à l’économie verte…

 

 

Le projet a évolué au fil des ans. De la conception purement pédagogique autour de l’écologie telle qu’elle avait été imaginée jadis, il est devenu un lieu d’accueil pouvant recevoir son lot d’entrepreneurs brillants et ayant de la jugeote pratico-pratique.

Une circonvolution à 360 ° qui ne chamboule pas forcément ce qui avait été pensé au départ mais qui en améliore la finalité et les objectifs. Auxerre va donc bénéficier de ce nouveau centre d’accueil destiné à attirer des entreprises un tantinet branchées sur leur segment d’intervention. Faisant la part belle à l’Economie sociale et solidaire, circuits courts et autres structures de proximité.

Lorsque le projet a été proposé, l’ADEME s’est engouffré dare-dare dans la brèche en apportant son accessit. D’ailleurs, l’édifice, même s’il n’est pas un bâtiment reconnu autonome en matière énergétique, n’en recevra pas moins un précieux sésame : le fameux label HQE (Haute Qualité Environnementale). Sa toiture y accueillera des panneaux photovoltaïques. A proximité, une mare qualifiée de pédagogique créera un biotope. La présence d’une pompe à chaleur géothermique complètera l’ensemble.

Bref, ce que Guy FEREZ désigne communément comme le « bras armé des politiques publiques écologistes » sera en fait un excellent réceptacle pour y initier l’essor de nouveaux possibles économiques en maille directe avec l’environnement.

 

 

 

 

Une inauguration devant survenir après les municipales…

 

L’accompagnement de ces entités entrepreneuriales sera l’un des fers de lance de ce pôle qui a requis les services, après l’appel d’offres usuel, de l’organisme BGE Nièvre Yonne.

A terme, le site auxerrois atteindra son rythme de croisière dès que la quinzième structure sera dans ses murs. Les sociétés locatrices occuperont des bureaux ergonomiques et équipés de taille diverse selon leurs moyens financiers.

Sachant qu’il sera nécessaire de procéder au distinguo entre les start-up, hébergées au sein de l’incubateur, et les structures bénéficiant déjà d’une certaine expérience, orientées vers l’hôtel d’entreprises après l’aval d’un comité éthique.

 

 

 

La mise en œuvre de cet éco système profite de la manne financière négociée par le biais d’une convention avec l’incubateur régional qui déposera dans l’escarcelle des porteurs de projets une enveloppe pouvant s’élever jusqu’à 22 000 euros sur deux années au maximum. Un précieux auxiliaire pour bien débuter leurs activités !

Plusieurs entreprises ont été identifiées en amont. Les trois premières (AK-TEAM, ECOLLANT et PHENIX – voir articles de présentation à paraître) auront le privilège d’ouvrir le bal, devenant les néophytes à vouloir intégrer ce lieu entre fin mars et début avril.

Il ne restera plus ensuite à officialiser grâce à son inauguration l’ouverture de ce pôle innovant de l’économie verte.

Un rendez-vous qui, s’il n’est pas encore programmé en termes de date et horaire (et pour cause !), compte tenu des élections municipales des 15 et 22 mars, permettra à la détentrice ou au détenteur de l’écharpe tricolore de la ville de s’illustrer sur une veine économique à peine installé…

 

 

 

 


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Les exercices professionnels se suivent et se ressemblent avec une certaine persistance et lassitude dans le milieu du bâtiment et des travaux publics départemental. Déjà présent au sortir de l’année 2018, le doute s’installe un peu plus dans les têtes pensantes de la filière, qui à l’heure des bilans n’y trouvent pas leur compte. C’est le cas du président de la FFB 89, Xavier PAPIN, forcément déçu de constater, une fois de plus, que le marché icaunais patine dans l’inertie. Explications…

AUXERRE: Une fois encore, la montagne du BTP dans l’Yonne aura accouché d’une souris au terme d’une année 2019, qualifiée de très décevante par l’un de ses observateurs attitrés, le président Xavier PAPIN, porte-étendard de la puissante Fédération départementale des entrepreneurs et des artisans du BTP.

Force est de constater que l’espérance tant souhaitée au début de la nouvelle année 2019 n’aura pas été au rendez-vous de ce qui avait été escompté lors du tombé de rideau le 31 décembre.

A l’heure du bilan, Xavier PAPIN ne se berce d’aucune illusion pour expliquer ce que vit à l’heure actuelle la filière sur notre territoire.

Convaincre les donneurs d’ordre locaux, qu’ils soient privés ou publics, de faire travailler les entreprises locales ne représente plus, à ses yeux, une priorité mais bel et bien un devoir.

Comme l’année dernière, Xavier PAPIN relève que la baisse de l’offre rencontrée dans le département accentue l’hétérogénéité des situations vécues par les entreprises.

Certes, les plus importantes d’entre elles peuvent prétendre encore rebondir dans une conjoncture toujours assez morose. Elles réalisent, en effet, majoritairement leurs travaux hors du département icaunais.

 

 

 

Pas d’indicateurs optimistes dans l’Yonne hormis l’emploi…

 

Les structures dites « intermédiaires », c’est-à-dire employant entre dix et vingt salariés, se focalisent davantage sur la commande publique, synonyme d’affaires. Mais, la baisse de ce marché est désormais indéniable et n’a jamais été une source de garantie absolue de pouvoir démarrer un chantier.

Reste en bout de course les plus petites de ces entités professionnelles, qui n’exercent leurs compétences presque exclusivement sur le territoire immédiat de leur établissement. Ces dernières souffrent terriblement : c’est une évidence.

Côté chiffres, l’Yonne ne présente pas d’indicateurs positifs à faire sauter au plafond les responsables du syndicat patronal. A la fin août 2019, et sur une période de douze mois glissants, le nombre de logements mis en chantier a décru de 32,7 % ! Malgré les 19,2 % de logements autorisés. Sachant que le logement demeure le principal vecteur de croissance et d’activité de la filière.

 

 

Quant aux chiffres collectés pour le bâtiment non résidentiel neuf, ils se situent sur une veine similaire : inappropriés pour rendre le sourire au patron de la FFB 89. Il y a eu – 36,3 % de surfaces de locaux mises en chantier en 2019 pour 27 % de surfaces de locaux autorisés.

La seule note d’optimisme enregistrée dans ce tableau atone à broyer du noir vient de l’emploi salarié. Il a cru de 0,6 %. Une augmentation, sous forme de légère embellie, qui sera compensée par la baisse du recours à l’intérim : soit – 3,9 % en moyenne des trois derniers mois à fin juin 2019.

Une lueur, toutefois, illumine ce ciel passablement assombri par ces résultats de mauvais aloi. C’est la volonté que souhaitent impulser Xavier PAPIN et ses troupes à vouloir changer les choses dans le landerneau en espérant en modifier le constat à terme.

Cela passe par le développement de nouvelles solidarités auprès des entrepreneurs qui sont en proie à de plus importantes difficultés. Cela permettrait de renforcer le travail de ces entreprises dans le département. Voire d’y attirer des compétences novatrices, gage d’un potentiel regain d’attractivité.

 

 

 


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Le gâteau d’anniversaire n’offre que deux bougies à souffler. Ce qui traduit encore l’aspect juvénile de la structure qui, petit à petit, fait son nid dans le paysage de l’Yonne. Pourtant, après Auxerre, la marque des FESTINS rencontre aujourd’hui le succès dans le Sénonais. Régalant au passage celles et ceux qui effectuent journellement la liaison par chemin de fer entre Paris et la ville la plus septentrionale de notre département pour se rendre à leur travail. Via une application qui leur permet de réserver leur repas au camion-dépôt avant de l’emporter à bord du train.

SENS : C’est une manne de clientèle qui ne cesse d’augmenter chaque année. Près de 4 300 personnes effectuent au quotidien le trajet reliant la capitale de l’Hexagone à la ville du nord de l’Yonne. Des déplacements qui s’inscrivent dans un cadre purement professionnel.

Cette aubaine stratégique apparaît comme indéniable pour l’un des référents des arts culinaires, de la réception et du traiteur de notre contrée, FESTINS de BOURGOGNE. La société artisanale de CHEMILLY-sur-YONNE ne pouvait passer à côté de ce filon de consommateurs avides d’être interpellés par une offre de restauration rapide mais de belle facture quant à sa gamme de produits proposés et au niveau de la qualité.

Déjà testées durant une saison à Auxerre, il n’en fallait pas davantage pour décliner à son tour les prestations de service de TOQTOQUE sur le Sénonais. Si dans la capitale de l’Yonne, la cible potentielle visée concernait au tout début les particuliers désireux de dîner tranquillement à leur domicile sans ressortir de leurs pénates, à Sens, l’enseigne de ce prêt-à-consommer à l’estampille des FESTINS s’est immédiatement intéressée à celles et ceux qui empruntaient la voie ferroviaire pour se rendre sur leur lieu de travail.

Une application numérique a même été créée à leur intention sur smartphone afin de pouvoir réserver son repas et venir le récupérer au camion-dépôt, désormais positionné depuis janvier en zone des Vauguillettes dans les locaux du Village d'entreprises de la Chambre de Commerce et d'Industrie, entre 12 h et 14 h.

 

 

Viser les travailleurs nomades mais aussi la clientèle sédentaire…

 

Le concept de réservation commence à obtenir ses premiers résultats encourageants. Même si 80 % de la clientèle préfèrent encore prendre la commande en direct au point d’approvisionnement.

Il s’avère également, à la lecture des analyses initiales qui ont été réalisées par le directeur de développement de la marque, Matthieu CHAPUIS, que 50 % des clients assidus de l’offre TOQTOQUE ne sont pas nécessairement des voyageurs ferroviaires attitrés !

Bref, cela signifie que le bouche-à-oreille fonctionne plutôt bien dans le landerneau alors qu’aucune stratégie de communication n’avait été réellement déployée jusque-là. Et que la potentialité consumériste née de ce projet original et de proximité est beaucoup plus élargie qu’il n’y paraît !

Nonobstant, FESTINS a décidé de passer outre en maximisant la distribution de flyers dans les boîtes aux lettres du centre-ville. Puisque que le concept séduit celles et ceux qui ne bougent pas nécessairement de Sens la journée, autant profiter de ce cœur de cible qui désire déjeuner différemment.

 

 

Un produit d’appel dans le vent pour une clientèle rajeunie…

 

Quant aux retours de satisfaction exprimés par les habitués, ils comblent d’aise la direction des FESTINS. Les indices gradués sur une échelle de zéro à cinq tutoient les sommets, accréditant la judicieuse initiative qui est développée par le groupe de l’Yonne depuis vingt-quatre mois déjà.

L’offre de produits se décline autour de plusieurs formules comprenant entrées, plats de résistance et desserts. Parmi les spécialités alléchantes proposées, les gourmands peuvent se sustenter d’une fricassée de volaille agrémentée de morilles, de saumon à l’oseille ou à titre d’exemple à faire saliver le plus gourmet d’entre nous, un succulent rizotto au homard.

Les perspectives affichent leur insolence grâce à l’obtention de résultats à deux chiffres. Preuve que la qualité de la table, même dans une optique de déjeuner rapide sur son lieu de travail ou à son domicile ne rebute pas les consommateurs, bien au contraire, sans même trop bourse déliée.  

A l’aide de cette jeune enseigne, FESTINS de Bourgogne, groupe qui exerce ses activités sur une large zone de chalandise depuis plus de deux décennies, a souhaité en développant cette marque à la manière d’une start-up digitalisée créer un produit d’appel sympathique.

Il vise à s’attirer les faveurs d’un nouveau public, désireux de joindre l’utile à l’agréable en y ajoutant parmi les ingrédients incontournables à leur confort, la qualité et la traçabilité des mets dans leur mode nourricier. Réussi…

 

 

 


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Constructive et utile. C’est le sentiment qui prévaut à l’issue de la rencontre organisée le 14 février entre les professionnels de l’agriculture et les élus du département autour d’une thématique chère à la filière, l’eau. Pédagogique, la session à laquelle participait le directeur départemental des Territoires Didier ROUSSEL servira de support à la présentation des résultats d’étape inhérents aux essais agronomiques actuellement en cours de programme…

MALIGNY : Ces échanges ont été qualifiés de riche et de positif par le porte-parole de l’UPVY (Union des Productions végétales de l'Yonne), Laurent PONCET, au terme de la session. La séance de travail réunissant élus et agriculteurs avait surtout pour objectif de permettre aux intervenants de procéder à un état des lieux précis de la qualité de l’eau, l’un des précieux auxiliaires à la pratique d’une agriculture saine et respectueuse de l’environnement.

Au vu des débats et de leur intérêt passionnel, UPVY (structure qui fédère des acteurs clés de la filière agricole comme 110 Bourgogne, YNOVAE, le groupe SOUFFLET ou encore la société RUZE) n’exclut pas de reproduire le rendez-vous à période régulière.

Engagés de longue date dans la déclinaison quotidienne de l’agro-écologie, les professionnels de l’Yonne se mobilisent afin de préserver la qualité de leur matière première nourricière. Car, le territoire, il est vrai, présente des signes de faiblesse du fait de sols et sous-sols fragilisés par la présence de zones de calcaire, de sable et d’argile.

Toutefois la qualité de l’eau s’avère conforme aux normes après analyses. Un constat qui se confirme depuis près de vingt ans, période à laquelle les services de l’Etat, assurés par l’Agence Régionale de Santé (ARS), ont renforcé les contrôles sanitaires.

 

 

L’eau de l’Yonne conserve sa potabilité…

 

Une cinquantaine de paramètres physico-chimiques étaient recherchés dans chaque prélèvement d’eau en 2000. Il y en a 596 aujourd’hui ! Même dans le cas où des métabolites, c’est-à-dire des produits liés à la dégradation des molécules-mères, et des herbicides sont repérés, les taux quantifiés restent inférieurs de 2 400 à 3 000 fois à la valeur sanitaire maximale, seuil d’impact potentiel sur la santé.

Les récents prélèvements de l’eau n’ont pas démontré de situations complexes : peu reste supérieure à la valeur guide proposée par l’ANSES, soit 0,9 microgramme/litre.

Ce qui signifie que l’eau reste potable et de qualité dans notre département. Cependant, et malgré l’optimisme de ces résultats, les agriculteurs recherchent toujours la progression.

De nombreux essais agronomiques étayent cette stratégie. Certains sont à l’heure actuelle effectués sur la commune de Maligny.

Parmi les leviers de progrès testés : le désherbage mécanique proposé avec l’aide d’une bineuse, la présence de solutions de bio-contrôles et de plantes faisant office de leurres naturels pour piéger les insectes ravageurs afin de les détourner du colza ou encore des semis réalisés à des dates différentes sur les bandes de culture pour mieux déterminer la période la plus adaptée à ces essais.

 

 

Soutenir la filière colza qui reste encore une culture névralgique…

 

Cette phase de tests offre une utilité particulière pour le colza qui demeure encore essentielle dans le paysage icaunais. Et national, du fait de ses qualités protéiniques nourricières. Or, on le sait, le grenier de l’Yonne s’amenuise avec une baisse de 25 % des surfaces cultivables.

La première ressource florale destinée aux abeilles a ainsi perdu 62 000 hectares pour ne conserver que 23 000 hectares en 2019 !  

Fort de ces observations, les premiers enseignements qui ont été dévoilés lors de cette séance de travail permettent de préciser la meilleure date à laquelle les agriculteurs peuvent implanter le colza. Soit le 09 août.

Des plantations qui ne nécessitent pas de plantes compagnes avec une fertilisation localisée sur le rang et un désherbage complet. En effet, c’est ce qui correspond à un meilleur compromis entre le nombre pieds implantés, le développement de la biomasse du colza et la gestion du développement des mauvaises herbes.

Ce n’est qu’en fin de campagne, au moment de la récolte, qu’une analyse économique globale et finale analysera les stratégies les plus pertinentes et les plus respectueuses de l’environnement à développer.

Décidément, on n’arrête pas le progrès dans la sphère agricole !

 

 


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