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L’an passé, à la suite du mouvement des « Gilets Jaunes », une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat, dite « Prime MACRON », exonérée de charges sociales et d'impôt sur le revenu, dans la limite de 1 000 euros, avait été instituée. Le versement de cette prime facultative avait connu un véritable succès auprès notamment des petites entreprises.

TRIBUNE : La loi de Financement de la Sécurité sociale pour 2020 a reconduit le principe de cette prime exceptionnelle. Le succès de cette nouvelle prime « pouvoir d’achat » sera-t-il lui aussi reconduit cette année ? Les premiers constats que nous faisons semblent montrer le contraire. Pourquoi ?

Probablement parce qu’une condition supplémentaire a été posée : désormais, la prime « Pouvoir d’achat » est conditionnée à la mise en œuvre d’un accord d’intéressement.

Rappelons le mécanisme de cette prime : les employeurs de droit privé et les salariés sont concernés par le versement de la prime. La prime doit être attribuée à l'ensemble des salariés ou à ceux dont la rémunération est inférieure à un plafond défini par accord collectif ou décision unilatérale de l’employeur (DUE). L’ensemble de ces bénéficiaires doit être lié à l’entreprise par un contrat de travail à la date de versement de la prime.

 

Quelles en sont les conditions de versement ?

 

Pour bénéficier de l'exonération, l'employeur doit mettre en œuvre un accord d'intéressement. À titre dérogatoire, les accords conclus entre le 01er janvier 2020 et le 30 juin 2020 peuvent l'être pour une durée minimale d'un an (au lieu de trois ans).

Selon le texte initial de la Loi, seules sont dispensées de l'exigence d'avoir un accord d'intéressement, les fondations et associations à but non lucratif reconnues d'utilité publique autorisées à recevoir des dons ouvrant droit à une réduction d'impôt.

 

 

Quant aux modalités de mise en place, elles sont les suivantes : le montant de la prime, le plafond permettant de limiter le champ des bénéficiaires (facultatif) et la modulation de son niveau entre les bénéficiaires (facultatif), doivent être prévus, au choix de l’employeur, par un accord d'entreprise ou de groupe ou par Décision Unique de l’Employeur (DUE).

 

Limites des exonérations de charges fiscales et sociales

 

La prime est exonérée de toutes les charges sociales (y compris CSG/CRDS) et de l’impôt sur le revenu, dans la limite de 1 000 euros, uniquement pour les salariés, dont la rémunération perçue au cours des douze mois précédant son versement, est inférieure à trois fois la valeur annuelle du SMIC sur la base de la durée légale du travail.

Le versement de la prime ne doit pas se substituer à des éléments de rémunération déjà existants dans l’entreprise (primes contractuelles ou conventionnelles, usages, etc.).

La prime doit être versée avant le 30 juin 2020. Il semble bien que ce soit la contrainte supplémentaire posée par le législateur d’obliger à la conclusion conjointe d’un accord d’intéressement qui soit le réel frein au développement de cette mesure.

Les chefs d’entreprise y voient une contrainte, une lourdeur administrative, voire se demandent où est le piège ? Et finalement, ils ne font rien.

L’Administration aurait-elle entendu ces réserves ? En partie seulement : dans une instruction du 15 février 2020, elle vient d’étendre à toutes les associations d’intérêt général (et non seulement aux seules associations d’utilité publique – catégorie particulière d’associations bien peu présente dans l’Yonne)  la dispense de négocier un accord d’intéressement pour pouvoir verser cette prime exceptionnelle.

Le résultat n’a pas été long à se faire sentir : nos clients associations nous interrogent à nouveau pour la mise en place de la prime.

Si le législateur souhaite effectivement généraliser ce coup de pouce au pouvoir d’achat, plébiscité par les salariés et les employeurs, l’enseignement est simple à tirer : qu’il fasse simple !

 

Lionel LEBLANC

 

Un article réalisé avec le partenariat de la Chambre Professionnelle des Experts-comptables et Commissaires aux comptes de l’Yonne

 


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L’industrie 4.0, à base de haute technologie, se présente comme l’un des atouts majeurs de la nouvelle ère industrielle qui se présente à nous. Un irréductible passionné de robotique collaborative, et de surcroît jeune entrepreneur de son état, Ned CEKIC relève le défi dans le nord de l’Yonne depuis le 01er janvier. Proposant à l’aide de sa structure l’usage de la cobotique et l’application de ses vertus aux industriels qui ont besoin d’améliorer leur processus de fabrication…

COURTOIS-SUR-YONNE : A 46 ans, Ned CEKIC présente un profil professionnel hautement qualifié. Ingénieur en robotique et en informatique industrielle, le néo-entrepreneur maîtrise son sujet sur le bout des ongles.

Logique, il a bénéficié en amont d’une longue expertise de plus de deux décennies parmi des poids lourds incontestables de l’entrepreneuriat à la française : les groupes ALSTOM et SAINT-GOBAIN !

Aujourd’hui, seul, il endosse la vêture d’un dirigeant de société, une SAS, au format et à la cible parfaitement bien étudiés. Pas étonnant que l’association INITIACTIVE 89 ait flashé sur son projet, minutieusement élaboré, et approuvé par l’intermédiaire de l’un de ses conseillers, Julien LACOMBE.

Associer l’emploi qui n’a rien de futuriste de la robotique à la vision créative des entrepreneurs industriels afin que ces derniers améliorent leur mode opératoire de fabrication ne pouvait passer inaperçu dans le sérail icaunais. Le dossier se distinguait nécessairement des autres, posés sur le coin d’un bureau !

 

 

 

 

INITIACTIVE 89 s’est engouffré tout de go dans la brèche. Mais, la structure associative départementale ayant pour vocation d’accompagner les porteurs de projets via l’obtention de prêts d’honneur n’est pas la seule.

Portée sur les fonts baptismaux au premier janvier dernier, NEED ROBOTICS ambitionne de devenir très vite, et sur un plan hexagonal, une entreprise novatrice et performante. Contributrice de solutions mûrement réfléchies auprès d’industriels qui souhaiteraient éviter que leurs opérateurs ne multiplient les tâches répétitives et pénibles, ou ne portent des charges trop lourdes, synonymes de TMS (les fameux troubles musculaires du squelette).

 

 

De multiples débouchés pour asseoir sa suprématie technologique…

 

Le CETIM (Centre technique des industries mécaniques) s’intéresse de très près à cet entrepreneur à l’esprit vif qui espère une ramification rapide de son activité dans un rayonnement de deux cents kilomètres autour de sa base arrière et qui le restera : le Sénonais.

Paraphé le 08 janvier dernier, un premier contrat d’ingénierie lie la jeune start-up de l’Yonne au puissant groupe SAINT-GOBAIN WEBER. Ned CEKIC ne pouvait pas mieux démarrer sa nouvelle carrière d’entrepreneur avec autant de sérénité.

Mais, le garçon entrevoit d’autres possibilités collaboratives du même aloi avec le concept de cobotique dont il assure la promotion. Les secteurs de la santé, de la médecine, de la viticulture, de l’industrie mécanique représentent autant de filières potentielles où les débouchés offrent une sérieuse opportunité de s’affirmer.

Sachant que le coût de cellules robotisées est amortissable assez rapidement pour les PME qui opteraient dans l’achat de ces solutions pratiques (entre 80 et 100 000 euros).

 

 

Conceptualisé à partir d’une imprimante 3D, avec l’aide de partenaires (UR, YASK), l’appareil robotisé intègre après quelques mois de fabrication le site industriel de l’acquéreur afin de pallier aux manques, le plus souvent de personnel.

Une demi-douzaine d’emplois pourrait être créée d’ici cinq ans par le président de la SAS. Les profils sont déjà connus : commerciaux, automaticiens, projeteurs dessinateurs techniques, service après-vente…

 

  

Levées de fonds et partenariat utile avec les étudiants…

 

Stratégiquement, NEED ROBOTICS s’appuiera dans le cadre de son développement sur la présence d’un « tech-center » (un local de deux cents mètres carrés sera nécessaire pour accueillir les techniciens) qu’il suffira ensuite de positionner au bon endroit. Sans doute en Côte d’Or, voire en Saône-et-Loire afin de répondre aux exigences sectorielles imputables à la région Bourgogne Franche-Comté.

Quatre agences compléteraient ce maillage tactique en parallèle. Elles seraient implantées dans le Loiret, la Seine-et-Marne, l’Aube et l’Yonne, qui conserverait le siège social de la société.

Précisons qu’une première levée de fonds aura permis à l’entrepreneur de bénéficier de précieux subsides (40 000 euros) de la part du réseau Entreprendre Bourgogne et d’INITIACTIVE 89. La BPI et la Région ont également été sollicités.

Désireux aussi de transmettre son savoir aux plus jeunes des générations, Ned CEKIC s’est rapproché de l’IUT licence professionnelle robotique et industrie de Reims avec lequel il a développé une convention de partenariat.

Côté performance, il espère atteindre les deux millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2025. Il ne serait pas surprenant qu’à cette date il dépasse aisément les objectifs fixés…

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89…

 

 

 


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Pas étonnant que l’on en voit partout, à chaque carrefour, à chaque coin de rue ou sur la moindre portion d’autoroute ! Le produit phare du constructeur au lion a réalisé avec son modèle 3008 les meilleurs scores de production de l’année 2019 ! Soit près de 260 000 véhicules qui sont sortis tout droit des unités de production de Sochaux…

PARIS : Indéniable succès pour le constructeur national. Le SUV le plus fabriqué en France l’an passé aura été le fameux 3008 à la ligne si caractéristique. Le produit devance la Toyota Yaris dans l’Hexagone.

A raison de mille véhicules jour, le site de Sochaux a élaboré depuis son origine plus de 23 millions d’automobiles.

 

 

Depuis son lancement survenu en 2016, la Peugeot 3008 s’assimile à un véritable succès de la marque, permettant au constructeur français d’occuper une place privilégiée parmi les leaders de ce segment en Europe.

Rappelons qu’en 2017, le véhicule obtenait le titre de voiture de l’année à l’issu d’un vote exprimé par 58 journalistes européens de vingt-deux nationalités. Le modèle a glané au total 63 distinctions dans le monde. Pourvu que cela dure !

 


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Malgré son grand âge, la structure commémore son centenaire cette année, le fabricant de portails de l’Yonne reste à la pointe de l’attractivité et de l’innovation économiques. C’est ce que découvriront le 10 mars les membres de la communauté des « Positives Entreprises ». Invités par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, ils s’immergeront au cœur de cette activité industrielle dans le cadre des fameux brunchs mensuels…

CHENY : Un siècle d’existence, déjà, pour ce spécialiste de la conception industrielle de portails aluminium, PVC ou acier, déclinés sous toutes ses variantes : design, classique, coulissant.

Depuis, quatre générations, la famille ROTHE porte la destinée de cette entité à l’appellation éponyme qui a su se faire une place au soleil sur ce segment professionnel, pourtant réputé difficile du fait de sa forte présence concurrentielle.

S’appuyant sur un savoir-faire éprouvé depuis longtemps et des outils de production à la perfection inoxydable, les dirigeants de l’entreprise, Marie et Pascal ROTHE, accueilleront le mardi 10 mars le rendez-vous traditionnel concocté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, et son égérie en la matière, la vaillante et toujours très perfectionniste, Christine JAN.

Le 26ème épisode de cette saga qui se déploie au rythme de croisière d’une rencontre mensuelle au cours de la saison se posera dans la zone industrielle de Bel Air.

 

 

Lieu d’accueil de ROTHE FERMETURES, entité aux dix-huit collaborateurs qui pèse aujourd’hui deux millions d’euros de chiffre d’affaires. Depuis l’intégration de Pascal, en 1990, la société ROTHE se diversifie.

Ce sera le cas notamment, dès 2005, avec la création de volet en aluminium PVC et bois, mais aussi des portails en aluminium et acier de très belle facture esthétique.

De nouveaux projets sont en phase de préparation sur cette unité de production de 6 500 mètres carrés. Gageons que Marie et Pascal ROTHE ne manqueront pas d’y faire référence lors de cette visite appropriée qui favorise les échanges et la découverte de talents, déjà confirmés.

 

 

 


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L’opus trône en plusieurs exemplaires sur la grande table qui accueillera d’ici peu la réunion. Sur sa couverture, se présente le visage tout sourire du candidat quadragénaire à la ville d’Auxerre. En arrière-plan : une Tour de l’Horloge à la vision symbolique. Le contenu, élaboré en vingt-quatre pages, déroule une multitude d’informations illustrées selon un sens graphique moderne et aéré. La double page centrale ne manque pas de focaliser les esprits. Y sont répertoriés les trente-neuf membres de l’équipe avec leurs portraits. Une iconographie originale, qui casse les codes photographiques habituels, à l’instar de ce programme ?

AUXERRE : « Soyons fiers d’Auxerre ». Fruit d’un travail de près de vingt-quatre mois de réflexions, la feuille de route du candidat rassembleur de la droite et du centre Crescent MARAULT se dévoile sous la forme d’un document à l’esthétisme plutôt abouti.

Ce livret récapitulatif des orientations stratégiques du principal opposant à l’édile en place a pour vocation d’être copieusement diffusé. Cela sera chose effective dès vendredi.

Au-delà de sa calligraphie et de l’abondance de photographies qui le parsème, l’auxiliaire en papier glacé n’a d’autre vocation que d’étayer la ligne d’horizon à six ans du prétendant au poste suprême.  

L’éditorial signé de la plume du candidat pose les jalons de sa politique sans vergogne. Et caractérise ses principales ambitions : sortir la capitale de l’Yonne du long marasme qui l’habite depuis si longtemps, selon ses écrits. Soit le renfort de la paupérisation, la perte de plusieurs milliers de ses résidents et le déclin de sa force économique.

« Dix-neuf ans à la gouvernance, c’est beaucoup trop long, plaisante presque innocemment un Pascal HENRIAT en grande verve et qui affichera sa constance orale tout au long de cet exercice si particulier que représente une conférence de presse.    

Pas de doute, la cible ouverte de ces énumérations alarmistes se personnifie clairement en un Guy FEREZ, édile aux trois mandats, aux manettes depuis le 25 mars 2001.

Pour écrire une nouvelle page de l’histoire d’Auxerre, il n’existe qu’une seule opportunité, dixit le candidat chalenger : porter sur le piédestal électoraliste une équipe novatrice, faite de compétences et possédant une véritable vision d’avenir. D’ailleurs, au plan de la sémantique, il n’est pas opportun d’employer le mot « liste » dans le sérail. Mais plutôt le terme « ambassadeur », louable, puisqu’il désigne celles et ceux qui se sont investis au fil des mois pour collecter les informations et insuffler la dynamique requise à ce groupe.

 

 

Un programme d’actions articulé en six actes…

 

Le programme se séquence en différents actes. Comme une scénographie théâtrale qui serait déjà bien huilée : économie, environnement, mobilité, aménagement, sécurité, bien-vivre ensemble…

Six actes pour convaincre avant que ne tombe le rideau de la générale au soir du 15 mars.

Cœur de ville, contournement sud de la ville, mobilité intelligente, transports urbains répondant aux réelles aspirations des utilisateurs : le mot d’ordre dans la bouche de Crescent MARAULT se nomme la transversalité.

« Huit millions d’euros sont dépensés pour le coût de fonctionnement du transport urbain aujourd’hui alors que celui-ci n’apporte pas la diversité nécessaire à celles et à ceux qui travaillent au quotidien, lâche le candidat, il nous faut une vision globale aux projets à décliner, une capacité d’anticipation qui doit être propre à l’élu qui exerce la gouvernance de la ville… ».

Ce qui ne serait pas, visiblement, le cas aujourd’hui d’après lui.

« Comment peut-on croire que la construction d’un nouveau parking, situé dans l’hyper centre, peut à lui seul sauver du mauvais pas notre centre-ville, s’interroge le challenger à l’élection, revisiter la gouvernance de notre agglomération s’impose comme une évidence aujourd’hui : elle doit être plus collective et conçue avec davantage de concertation… ».

Autre volet de préoccupation : la sécurité. Devant la prolifération des actes d’incivilités, Crescent MARAULT veut répondre par une hausse des moyens. Y compris humains. Mais, recruter des policiers municipaux supplémentaires semble être une sinécure : faute de candidats intéressés manifestement par la fonction !

Pascal HENRIAT livrer ensuite son analyse pertinente de la situation financière d’une collectivité qui s’est néanmoins désendettée depuis 2014. Malgré la perte d’une coquette enveloppe de dotations, évaluée à 9,6 millions d’euros.

« C’est vrai, observe l’actuel adjoint en charge des finances de la mandature FEREZ, la barre a été redressée de manière significative en 2015. Mais, il aura fallu, et j’en suis navré, accroître les impôts de 8 % dès l’année suivante pour y parvenir : il n’y avait pas d’autres alternatives… ».

 

 

Défendre les intérêts d’Auxerre en haut lieu grâce à un VRP…

 

Avec une épargne brute estimée à 2,3 millions d’euros et sept millions de désendettement, la situation d’Auxerre s’est quelque peu assainie.

« Il ne faudrait pas que la chaudière nous lâche de manière subite en cours de route, lance à la cantonade la figure emblématique du MoDem de l’Yonne, nos dépenses annuelles ne devront pas excéder dix millions d’euros. Cela va nous permettre d’investir de manière raisonnée sans dépasser nos objectifs… ».

Alors quand l’élu du Département évoque la nature des promesses faites par Guy FEREZ, son sang ne fait qu’un tour : il prophétise que le bas de laine actuel ne le permettra pas.

« La plupart des projets annoncés par le maire sortant ne sont pas budgétés : on peut les évaluer à environ cent millions d’euros. Autant dire que si ce programme venait à être appliqué, nous irions droit dans le mur ! ».

Sans réel levier fiscal pour glaner des fonds, les élus d’Auxerre n’auraient alors qu’une seule carte à jouer pour doper leurs projets : frapper aux bonnes portes pour en trouver !

A commencer par celles des ministères et de la Région Bourgogne Franche-Comté, qui sont restées trop longtemps hermétiques, voire ignorées par l’équipe en place.

« Ce qu’il nous manque pour dynamiser la ville, ajoute Pascal HENRIAT, c’est un VRP pour défendre nos valeurs et intérêts au niveau national : je veux bien endosser ce rôle ! ».

Les parlementaires deviendraient alors, et dans l’hypothèse de cette future mandature, des points relais névralgiques sur lesquels il serait de bon aloi de s’appuyer.

 

 

« Dans le seul souci de préserver les intérêts de notre ville et de son agglomération, complète Crescent MARAULT, ce sont ces personnes qui possèdent les clés des ministères et des administrations… ».

Cap vers Paris et l’Ile-de-France, donc pour les acteurs d’Auxerre au Cœur, qui souhaitent que la 157ème ville de France sorte enfin de l’ornière de l’indifférence dans laquelle elle se trouve depuis des lustres.

Un challenge pas si simple à relever, en vérité. D’autant qu’Orléans, Troyes, Reims, voire Dijon, ne nous ont pas attendues et font déjà figure de sérieux concurrents (voire de précurseurs) sur cette voie.

Qu’à cela ne tienne, de gros efforts de communication, bien ciblés, verront le jour en cas de scrutin positif. A destination des actifs, des entreprises et du secteur touristique.

Et Crescent MARAULT d’ajouter en guise de conclusion : « Si vous êtes élu à la tête d’une telle collectivité, il est fondamental de se montrer déterminé à vouloir appliquer les solutions les plus favorables à votre commune. Or, je ne ressens pas cette force chez nos élus actuels… ».

Un ultime tacle adressé à ses adversaires avant qu’il ne laisse la parole à quelques-uns de ses colistiers (pardon, « équipiers » !) devant expliciter leurs motivations profondes, justifiant ainsi leur ralliement au chef de file de la droite et du centre.

 

 


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