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A contre-pied de ce qu’il pratique d’ordinaire dans son approche de la relation publique – le maire-président de l’Auxerrois est à ranger dans la catégorie des taiseux sur ce registre depuis sa prise de fonction -, Crescent MARAULT s’est finalement livré à un exercice de style pour le moins insolite, démonstratif et convaincant, soumis à l’interrogatoire, bien huilé, de Jean-Marc SYLVESTRE. De la pure communication, selon ses détracteurs. Que nenni, rétorque l’élu, qui a fait de l’info en jouant les pédagogues et les VRP afin de mieux vendre l’Auxerrois aux investisseurs.

 

AUXERRE: Initialement prévu pour durer à l’antenne une heure et quinze minutes, le journal télévisé de cette « édition spéciale » aux réminiscences de la Une, côté décorum et ambiance bleutée, se sera accordé un peu plus de souplesse au niveau du timing.

Confidences de Yannick DAVOUSE, prises en aparté et à la manœuvre de cette grande première audiovisuelle concoctée depuis la capitale de l’Yonne chez IDXPROD : « on ne se met pas la pression, on peut se donner du temps ! ».

Du temps de parole, Crescent MARAULT qui passait ses arguments à la moulinette de cette interview de longue durée et finement ciselée depuis plusieurs semaines, en aura eu. Largement, malgré les interventions de plusieurs invités, issus de la sphère économique et associative, venant ponctuer de leurs réflexions personnelles tel ou tel item à aborder (à lire notre prochain article à paraître sur le sujet).

Abondamment, pour nous dévoiler un rôle que l’on ne lui connaissait pas celui de « VRP » du bassin de l’Auxerrois, effectuant une fois par semaine des déplacements à travers l’Hexagone en quête de pépites professionnelles et d’investisseurs désireux apporter de l’eau (et surtout des moyens financiers) à son moulin. Celui qui n’a rien à voir avec le monument vétuste narré par Alphonse DAUDET, incarné par ce fameux « Projet de Territoire » dont il défend la moindre ligne programmatique jusqu’au bout des ongles.

 

Vendre l’image de l’Auxerrois bien au-delà de ses frontières…

 

Inhabituelle posture de l’édile, peu enclin à pratiquer l’art de la communication. Ce que lui fit remarquer d’entrée de jeu un Jean-Marc SYLVESTRE décontracté, à plusieurs reprises sur ce point, s’étonnant même d’être assis à ses côtés pour cette émission retransmise sur les réseaux sociaux et les outils numériques de la collectivité.

Si le trac était palpable à vingt minutes du commencement de cette prestation, assurée en direct, force est de constater que l’orateur vedette de cette soirée ayant pour objectif premier de vendre l’image de marque de l’Auxerrois bien au-delà de ses frontières a su au fil des minutes gagner en aisance et en sérénité. Débitant d’une voix claire et sans l’ombre d’une hésitation le fil d’Ariane de ses pensées, parfois tortueuses pour ses adversaires. Construites, on s’en doute, autour de ce « Projet de Territoire », devenu cette boussole indispensable et obsessionnelle à l’accomplissement de son mandat.

 

 

« J’ai commis une erreur mais la justice a tranché… »…

 

Un projet devenu un véritable credo pour l’élu de l’Yonne qui a eu des démêlés avec la justice en décembre dernier. Le thème sera abordé justement par le journaliste économique parisien. Presque sous le sceau de la confidence, voire de la confiance et de la révélation, puisque les deux hommes se faisaient face à face sur l’immense plateau, épuré de tout artifice et auréolé des lumières blafardes des projecteurs.

« Je voudrais vous demander d’aller un peu plus loin dans cet exercice d’information et de transparence que nous vivons. Ce qui n’est pas très facile pour un homme comme vous puisque vous n’êtes pas un adepte de la communication (sic !). Vous avez été récemment condamné par la justice pour des faits qui se sont produits lorsque vous étiez à la tête de la municipalité de Saint-Georges-sur-Baulche. Comment vivez-vous cet état de fait et quelles explications pouvez-vous en donner (alors que plusieurs opposants demandent sa démission pure et simple de ses mandats électifs) ? ».

Le mea culpa de Crescent MARAULT se résumera à une courte phrase : « j’ai commis une erreur mais la justice a tranché ; elle est passée et moi désormais, je reste concentré sur le projet de territoire pour l’Auxerrois en étant déterminé à le mettre en œuvre… ».

Un projet qui représente peut-être une véritable équation à 29 inconnues, s’interroge Jean-Marc SYLVESTRE, faisant allusion au nombre de communes qui composent l’Agglomération auxerroise. Problématique d’ego, intérêt local : comment négocier alors avec chacune de ces entités afin de réaliser le travail dans de bonnes conditions ?  

« La coopération intercommunale existe depuis 1990, répondra Crescent MARAULT, je ne m’inquiète pas pour les échanges entre les maires, habitués à travailler ensemble, à discuter et à dialoguer sur des projets menant vers l’intérêt commun. Ce serait d’ailleurs une hérésie de ne réfléchir aux projets avec la seule vision de sa commune… ».

Une réaffirmation du leadership qu’occupe dorénavant le maire de la capitale de l’Yonne sur ce bassin géographique devenu névralgique du fait de son attractivité impulsée par la station de stockage de l’hydrogène.

 

 

Investir 22 millions d’euros sans avoir recours à l’impôt : tour de magie ou pur réalisme ?

 

N’en ayant pas terminé avec la série des questions qui fâchent, Jean-Marc SYLVESTRE revient à la charge (pas trop fortement !), mettant en exergue certains des arguments véhiculés par l’opposition. L’augmentation de la dette, par exemple, qui est inhérente aux différents volets contenus dans ce projet de territoire. Une feuille de route très ambitieuse ou irréaliste, à vrai dire ?

« Nous avons une opportunité unique de faire rimer l’écologie urbaine et la croissance économique, souligne l’interviewé, un véritable pari pour conserver notre qualité de vie, tout en améliorant la compétitivité des entreprises dans le même temps et créer des centaines d’emplois. Sans qu’il n’y ait la moindre hausse fiscale pour les habitants de l’Agglomération, je m’y engage… ».

« Etes-vous un magicien, renchérit à brûle pourpoint le présentateur vedette.

Je ne suis pas un magicien, répond du tac au tac Crescent MARAULT, je suis un gestionnaire ! On investit et il y a nécessairement un retour sur investissement… ». L’équation expliquée dans la bouche du successeur de Guy FEREZ en serait presque enfantine au niveau de sa compréhension. Professoral, esquissant quelques gestes de la main comme pour entériner ses dires, Crescent MARAULT donne une leçon de pure gestion aux 3 600 internautes qui l’écoutent instantanément derrière leur écran d’ordinateurs, tablettes et autres smartphones. Y compris la poignée d’invités du sérail politique et institutionnel du cru, installés dans une autre salle attenante du complexe occupé par IDXPROD.

 

 

Les recettes fiscales des entreprises exogènes : la clé de la solution !

 

Concrètement, des douze millions d’euros initialement investis chaque année sous la mandature précédente, le besoin en financement s’élève désormais à vingt millions d’euros annuels (voire légèrement plus) pour mener à bien le projet défini par la nouvelle gouvernance. Soit un doublement des capacités budgétaires.  

« Il faut inciter les entreprises exogènes à venir s’installer sur notre territoire, observe le maire-président, plutôt détendu face caméra, 50 % des recettes fiscales dont nous avons besoin sont liées à leur présence. C’est cela la fiscalité sans augmenter les impôts ». Elémentaire mon cher Watson !

Oui mais, alors quid de la dette qui fait pousser des cris d’orfraie aux élus de l’opposition ?

« La dette, reprend Crescent MARAULT, c’est de la dette d’investissement. On la mesure sur sa capacité à pouvoir la rembourser. Toute cette méthodologie s'applique à toutes les administrations publiques ou privées. On peut la mettre en place dans les collectivités et améliorer ainsi la performance, améliorer l'efficience, améliorer l'efficacité des politiques publiques. Quant à ce retour sur investissement, il s’appliquera sur l’urbanisation, la culture, le domaine du sport, le tourisme, le développement économique… ».

Circulez, il n’y a rien à voir ! Les craintes de l’opposition sont balayées d’un revers de la main, non réalisé sur le plateau, mais que l’on perçoit presque intérieurement comme une aura dans l’esprit en effervescence d’un orateur qui tient la longueur côté endurance verbale. De plus en plus surprenant pour un non-communiquant !

 

 

Un non-communicant sachant communiquer !

 

Et Jean-Marc SYLVESTRE qui annote ses fiches avec méthode d’en remettre une couche supplémentaire, façon RIPOLIN : « On vous reproche (l’opposition, toujours sans la nommer précisément ?), que vous n’êtes pas assez présent dans les rues d’Auxerre et sur les marchés. Est-ce votre méthode de travail ? ».

« C’est vrai, avoue le maire-président, c’est la représentation que l’on se fait de l’élu. Habituellement. Moi, je consacre mon temps au travail et non à cultiver mon image. Une fois par semaine, je sillonne les quatre coins de l’Hexagone pour y rencontrer des porteurs de projets, des investisseurs. L’objectif est de les convaincre de s’installer ou de miser sur l’Auxerrois. Je fais mon job de « VRP » ! Quand j’aurai estimé avoir accompli cette mission, alors je me rendrai sur les marchés ! ».

Voilà. Il est presque 21h30 à la pendule du studio. La messe est dite ou presque puisque l’homélie finale se termine. Les techniciens s’apprêtent à débrancher leurs appareils. Les projecteurs, à s’éteindre.

Paradoxe étrange que celui-ci : ce non fan de la communication et des relations presse dont se vante Crescent MARAULT boucle son édition spéciale en ayant tenu près de 120 minutes l’échange et la discussion, sans qu’il en soit éprouvé. Serein comme un poisson dans l’eau !

Conservant un calme olympien pour asséner une ultime banderille à celles et ceux qui en douteraient encore après avoir ingurgité cette copie du « JT à la sauce TF1 » sur les réseaux sociaux : « ce n’est pas de la communication mais de l’information qui a été proposée ce soir ! ».

Quant au futur projet de territoire, prophétique il ajoute : « ce n’est pas un effet d’annonce : tout ce qui a été présenté durant cette émission va se réaliser, j’en ai la certitude… ».

« Mektoub » aiment à dire les sages qui pratiquent la langue arabe. « C’était écrit…, selon sa traduction plus cocardière…

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’œil pétillant de malice, monsieur le maire jubile ! Les projecteurs médiatiques sont braqués sur la localité dont il assume la gouvernance. Grâce à la concrétisation d’un projet qui ne concerne pas seulement les seniors. Un concept qui va dans le sens des besoins de ses administrés. Avec en filigrane la résolution des problématiques administratives, toujours complexes à appréhender lorsque l’on vit dans une bourgade d’un millier d’habitants…

 

AUGY : Le sourire bien affiché sur son visage, Nicolas BRIOLLAND, premier élu de la petite commune implantée au sud d’Auxerre, montre sa satisfaction. En accueillant un nouvel établissement à l’estampille de France Services, il apporte une réponse concrète à ses administrés. Celles et ceux qui éprouvent parfois des difficultés à résoudre des dossiers où le volet administratif est chronophage et omnipotent. Face aux méandres nébuleux de la paperasse, la proximité peut être l’une de ces solutions astucieuses qui facilite l’existence.

Aussi, l’idée de doter la commune de ce dispositif qui a fait montre de son efficacité depuis son lancement a fait tilt dans l’esprit de l’édile. Quelques rencontres fructueuses avec les services de l’Etat (ceux de la préfecture) et l’appui des élus du canton vont précipiter les choses.

Ouverte depuis le mois de décembre, la vingt-septième maison France Services, recensée dans l’Yonne, a trouvé son point d’ancrage en mairie. Une adresse facile à trouver donc, pour celles et ceux des citoyens du Sud Auxerrois qui en feraient usage à bon escient.

 

 

 

Un projet sous le sceau de l’engagement et de l’ambition…

 

 

Mobilisé dès le début du projet, le conseil municipal a réagi positivement comme un seul homme à la proposition du maire. Un acte d’engagement qui a poussé Nicolas BRIOLLAND à poursuivre avec célérité le montage du dossier.

« Nous sommes réellement rentrés dans une phase de dynamique avec ce concept, explique au micro un maire prolixe dans ses propos, nous l’avons accompagné en y injectant un peu d’argent nécessaire à l’acquisition du matériel adéquat, notamment informatique… ».

L’Etat a aussi apporté sa pierre à la construction de ce nouvel édifice sociétal très utile. Côté pratique, les horaires d’ouverture ont été revus à la hausse, avec une amplitude quasi journalière, hormis le jeudi, afin de permettre au plus grand nombre d’habitants de bénéficier des offres de services de ces neuf partenaires institutionnels référencés in situ.

L’Etat, il en sera encore question dans les remerciements du maire, adressés au préfet de l’Yonne Henri PREVOST, assis au premier rang de cet auditoire attentif à ses réactions. Côte à côte, ont pris place le député de la circonscription Guillaume LARRIVE, le vice-président du Conseil départemental élu de ce canton, Christophe BONNEFOND, Patrick GENDRAUD, chef de file de l’organe départemental institutionnel ainsi que la sénatrice Marie EVRARD.

 

 

30 000 euros d’aides annuelles injectées par l’Etat…

 

La nation tricolore soutient ce projet en y allouant un investissement de trente mille euros annuels assurant ainsi la bonne fonctionnalité de ce service, un vrai supplément d’âme qui est destiné à tous.

Nicolas BRIOLLAND insista ensuite sur l’aspect ambitieux de ce concept.

« Pour nous, cette ambition se détermine par l’aide apportée à un maximum d’usagers de notre territoire, argumenta-t-il, et ils sont nombreux puisque venant bien au-delà de notre périmètre cantonal… ».

La liste des partenaires de ce projet collectif fut énumérée. Mais, elle ne se limitera pas à ces seuls participants initiaux.

« Nous avons déjà commencé de travailler sur la base de nouveaux ajouts à ce partenariat, expliqua Nicolas BRIOLLAND, ce dispositif est évolutif… ».

Quant au rayonnement de cette maison France Services (la plus proche au sud d’Auxerre n’est autre que celle de Vermenton, officialisée ces jours-ci), elle irrigue au-delà du périmètre d’Augy. Et ce, sur une première période de trois ans que le maire pense déjà renouveler pour en optimiser sa pérennité.

 

Un projet de maison commune à horizon 2023…

 

Puis, Nicolas BRIOLLAND profita de son auditoire et des circonstances pour évoquer un projet qui lui tient pleinement à cœur : celui de l’édification de la maison commune à court terme, prévue l’année prochaine.

« Dans cette nouvelle mairie, souligne-t-il, nous regrouperons tous nos services publics. La Maison France Services, évidemment, mais aussi l’agence postale. Je voulais à ce titre remercier La POSTE (l’établissement était représenté par la nouvelle déléguée départementale Christine MORANGE) qui est un partenaire indispensable pour apporter cette proximité de moyens auprès de tous ! ».

Toutefois, le maire d’Augy aimerait voir s’ajouter parmi ses services nécessaires au bon équilibre de la vie quotidienne en zone rurale de ses habitants l’installation d’un distributeur. Une équation beaucoup plus complexe à résoudre et à mettre en place, apparemment. A noter que le budget de ce projet en cours de conception coûtera environ 400 000 euros hors taxes.

 

 

En savoir plus :

La liste des neuf partenaires accueillis à la maison France Services sont :

La CAF, la CPAM, la MSA, la CARSAT/AGIRC-ARRCO, la DDFIP, Pôle Emploi, la préfecture, la justice et La POSTE.

 

Thierry BRET

 


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On connaît tous la conquête de l’Ouest, symbolisée par autant de westerns qu’ils soient spaghettis ou de pure tradition, fleurant bon les paysages sauvages et l’éternelle rivalité entre cow-boys et indiens. Place désormais à la conquête vers l’Est ! Telle que la conçoit depuis plusieurs années, le groupe de grande distribution SCHIEVER. Après la Pologne et le Tadjikistan, ainsi qu’un bureau d’achats en Russie, voici l’Ouzbékistan qui rejoint ce club de moins en moins restreint où l’enseigne de l’Yonne inaugure de nouveaux commerces.

 

AVALLON : Tachkent, cela vous parle ? Pas vraiment, à première vue. Pourtant, c’est là-bas, dans cette ville faisant office de capitale de l’Ouzbékistan, ex-république de l’URSS, que vient d’être inaugurée le 13 janvier la quatrième supérette à l’estampille de « bi1 », sous l’égide du groupe de distribution SCHIEVER. Mettant ainsi, provisoirement peut-être, un terme à la série inaugurale en cours, soit quatre boutiques marchandes ouvertes depuis le mois de décembre dans l’un des quartiers de la cette métropole, forte de ses 2,5 millions d’habitants. Une véritable aubaine pour l’entreprise dont le siège social se situe en terre icaunaise. Nouvelle contrée à ajouter à son escarcelle et surtout de belles perspectives pour la structure qui poursuit ainsi avec succès son déploiement à l’international, sur la façade orientale de l’Europe et en Asie mineure.

Directeur général du groupe, Vincent PICQ, figure emblématique de l’entrepreneuriat en Bourgogne septentrionale (il est également le président du Réseau Entreprendre sur le département de l’Yonne) a effectué le déplacement sur place afin de vivre la cérémonie protocolaire d’usage, habituellement réservée aux ouvertures de nouveau magasin.

 

 

Un projet né d’un rapprochement avec un actionnaire minoritaire local…

 

Si le patron de cet incontournable acteur de la grande distribution n’a pas défloré les détails stratégiques de la manœuvre, il n’empêche qu’il souhaite un développement rapide de l’activité dans le pays.

« Il s’agit de magasins ouzbeks dont les produits sont fabriqués localement pour leur population, précise Vincent PICQ, c’est en nous impliquant aux côtés de fabricants dans l’évolution des usages et en travaillant avec les producteurs locaux que nous répondrons aux besoins de la population. En particulier, avec une offre d’environ huit cents produits à marques de distributeur… ».

Le concept est né d’un rapprochement avec un actionnaire minoritaire du pays. Cette chaîne de distribution repose sur deux activités à la complémentarité évidente : le commerce de détail et dans un futur proche, le e-commerce.

 

 

Des produits locaux de qualité proposés à bas prix…

 

Quant à la finalité du projet, elle est louable à bien des égards : permettre à la population d’avoir accès à une alimentation locale de qualité à bas prix. Judicieux, d’autant que le pouvoir d’achat y est faible.

Mis en œuvre depuis le début de 2021, le projet qui mobilise aujourd’hui une centaine de collaborateurs sur place et une centaine de producteurs locaux (les circuits courts applicables à la mode ouzbeks !) s’est appuyé également sur des échanges diplomatiques de qualité. Lors de ses voyages, Vincent PICQ a eu l’opportunité de s’entretenir avec le vice-Premier ministre, Adham ILHOMOVICH et le ministre des Finances, Jamshid QO’CHQOROV.

Naturellement, avec cette manne d’emplois créés sur place, la venue du groupe tricolore est perçue comme très bénéfique. L’ambassadrice de France à Tachkent, Aurélia BOUCHEZ n’a pas manqué de saluer le professionnalisme de SCHIEVER qui va proposer à la population locale une offre de produits aux meilleurs prix à partir de produits locaux de qualité.

 

 

En savoir plus :

SCHIEVER à l’international, c’est huit hypermarchés « bi1 » en Pologne et quatre au Tadjikistan,

C’est un total de 15 enseignes, 188 magasins et 7 000 collaborateurs en France, Pologne, Tadjikistan et Ouzbékistan.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Dans la série des acronymes novateurs dont il faut désormais se souvenir de la terminologie afin de nourrir à bon escient vos conversations lors des mondanités institutionnelles, voici le CRTE ! Cela se traduit par « Contrat de Relance et de Transition Ecologique ». A l’origine de ce concept d’accompagnement de projets au plus près des territoires : l’Etat. Sa première concrétisation applicable à un PETR (diantre !) vient d’être signée ce mercredi après-midi avec le Grand Auxerrois. Décodage utile…

 

AUXERRE : Ca y est : le premier PETR de notre territoire vient d’être signataire d’un CRTE ! Faites circuler l’information, façon micro-trottoir dans les rues de la capitale de l’Yonne pendant un court laps de temps, et il n’est pas certain que bon nombre de nos concitoyens, même les plus férus de mots croisés ou d’anagrammes, y comprennent quelque chose quant à la signification lumineuse de ce sabir usité aujourd’hui !

Pas la peine de se munir d’un Littré ou de la dernière édition toute en couleurs du Larousse (cocorico, rendons hommage naturellement au célèbre encyclopédiste de Puisaye) pour trouver la réponse à la question la plus élémentaire qu’il soit avant de poursuivre cette saine lecture : de quoi s’agit-il précisément ?

 

L’absence des représentants de la Région lors de la signature…

 

Le PETR du Grand Auxerrois n’est autre qu’une structure de coopération établie entre cinq EPCI (aïe, cela se gâte encore – Etablissements Publics de Coopération Intercommunale -), composés de 115 communes, situées dans un bassin de vie d’un seul tenant et sans enclave. Pour faire simple, cela concerne 131 724 habitants selon le dernier recensement de la population en date de 2019.

Sous-question suivante : quelles sont les communautés de communes (les fameuses EPCI) qui en sont membres à l’heure actuelle ? C’est simple : outre l’Agglomération de l’Auxerrois, on note la présence de l’Agglomération Migennoise, la CC de l’Aillantais-en-Bourgogne, Chablis Villages et Terroirs. Enfin, de manière plus aquatique côté appellation : Serein et Armance.

Bref, ces cinq entités fédérées en PETR sont porteuses du SCOT ! C’est-à-dire, comme une évidence naturelle, du Schéma de Cohérence Territoriale de ce même Grand Auxerrois. Ce dernier est d’ailleurs en cours d’élaboration et de contractualisations.

Deux exemples concrets pour bien tout saisir du rôle de ces dispositifs : le SCOT accueille en son sein le CRTE, vedette du jour placée sous le feu des projecteurs, et le Contrat de Territoire, conclu avec la Région Bourgogne Franche-Comté.

Une Région BFC, curieusement absente de cette cérémonie protocolaire officielle réunissant dans la très belle salle du conseil de l’hôtel de ville l’ensemble des signataires de ce projet.

Cela n’aura pas manqué d’interpeller le maire-président Crescent MARAULT, interrogateur sur le sujet. A l’instar de François BOUCHER, son homologue président de l’Agglomération Migennoise, qui sera d’ailleurs nettement plus sarcastique dans ses remarques, « constatant que le département de l’Yonne était délaissé… ».

 

 

Le CETR : un contrat d’accompagnement évolutif chaque année…

 

Ce furent les seules banderilles jetées en pâture durant cette manifestation. Tous les participants s’accordèrent ensuite sur le bien-fondé de ce CRTE, devant accompagner la concrétisation de projets du territoire (leur nombre équivaut à 160 dossiers en 2022 selon la précision apportée par Crescent MARAULT) et de traduire ainsi un nouveau cadre de dialogue entre l’Etat et les collectivités locales.

Validé jusqu’en 2026 (soit la durée du mandat électoral de maire), ce contrat porte sur l’ensemble des politiques de cohésion territoriale, en tenant compte de la transition écologique. Nerf de la guerre de toutes les perspectives sociétales.

Ses financements proviennent de France Relance et des dotations destinées à alimenter le bas de laine des collectivités : FNADT, DSIL, DETR, etc.

Information en sus qui possède son importance : ce contrat se veut évolutif chaque année. Un avenant au contrat peut lui permettre d’ajouter d’autres projets qui n’étaient pas nécessairement identifiés dès le début de la démarche. D’où une relative souplesse dans le mode opératoire.

 

La passe de trois côté enjeux et lignes directrices à tenir…

 

Grâce à ce nouvel outil, le PETR du Grand Auxerrois va ainsi répondre à trois enjeux en matière de cohésion territoriale et de transition écologique. Le premier se rapporte à l’attractivité résidentielle et économique. Ainsi, tout ce qui concerne l’amélioration aux services et aux soins sur le territoire sera favorisé. De même le développement des équipements culturels, sportifs et de loisirs de cette zone géographique. La mobilité en version douce et propre s’inscrira dans un schéma de déplacements multimodaux. Enfin, les espaces publics (centre-bourg à revitaliser dans les villages, ilots de fraîcheur, biodiversité en milieu urbain…) seront aménagés durablement.

Secundo, la mise en valeur du patrimoine local et sa préservation intègrent les axes prioritaires de ce contrat. Réhabilitation, rénovation, aménagement : les bâtiments publics devraient connaître une sérieuse cure de jouvence et un relookage approfondi.

La culture n’est pas omise de ce dispositif gagnant/gagnant entre l’Etat et les collectivités territoriales. Un plan de mise en valeur du patrimoine culturel sera déployé. L’environnement naturel est englobé dans la stratégie.

Enfin, et c’est le troisième enjeu de ce dispositif, la transition écologique devrait enregistrer une grande bouffée d’air frais avec la valorisation de ses ressources locales autour de l’agro-alimentaire durable, la gestion de l’eau et de l’assainissement ou encore le soutien aux énergies renouvelables. On pense immanquablement à ce qui a déjà été consenti par les organismes institutionnels en faveur de l’hydrogène, poumon vert des énergies renouvelables de notre contrée.

Au plan structurel, la gouvernance de ce contrat innovant se répartira autour de deux outils de travail : un comité de pilotage, où siègeront le président du PETR (Crescent MARAULT), l’Etat (le préfet Henri PREVOST) et les représentants des EPCI signataires et un comité technique, accueillant les spécialistes opératifs de chaque entité, membre du comité de pilotage.

Tous ces acteurs devraient se réunir d’ici la fin mars pour mettre sur pied le premier comité de pilotage qui chapeautera la feuille de route. Au terme de chaque année, un bilan du CRTE sera fait avec la possibilité de délivrer des avenants dudit contrat.

Cette fois, c’est sûr : cohésion territoriale et transition écologique tiennent le haut du pavé parmi les projets des collectivités !

 

 

En savoir plus :

Les signataires du CRTE du Grand Auxerrois :

Henri PREVOST, préfet de l’Yonne,

Crescent MARAULT, président du PETR du Grand Auxerrois,

Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne,

François BOUCHER, président de l’Agglomération Migennoise,

Mahfoud AOMAR, président de la CC de l’Aillantais-en-Bourgogne,

Yves DELOT, président de la CC Serein et Armance (absent de la manifestation),

Etienne BOILEAU, président de la CC Chablis Villages et Terroirs.

 

Thierry BRET

 

 


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Le come-back auxerrois de cet esthète de l’économie s’effectuera dans des conditions peu ordinaires, aux manettes d’un plateau audiovisuel mais sans public. Qu’à cela ne tienne ! Cela ne devrait pas perturber outre mesure l’ex-responsable de l’information économique de TF1 qui en a vu d’autres tout au long de sa carrière ! Remplaçant au pied levé son confrère Jean-Pierre PERNAUT, souffrant, Jean-Marc SYLVESTRE jouera donc les présentateurs vedette de « L’Auxerrois à la Une ».

 

AUXERRE : Décidément, entre la Ville d’Auxerre et le vivier ultra éclectique et disponible des journalistes ayant exercé chez TF1 présents sur le marché de l’animation, le filon relationnel est inépuisable !

In fine, au soir du 09 février, nouvelle date validée par les organisateurs de la cérémonie des vœux et de la présentation des grands projets structurels de l’Agglo à dix ans, ce n’est donc plus Jean-Pierre PERNAUT qui endossera le rôle de « Monsieur Loyal » face caméras mais bel et bien l’expert es économie, Jean-Marc SYLVESTRE.

Un visage connu et reconnu dans le landerneau médiatique, universitaire ayant enseigné à la faculté de Caen à ses débuts avant de converger vers le journalisme et possédant un doctorat dans sa matière de prédilection, excusez du peu !

Editorialiste durant 22 ans sur France Inter, cofondateur de LCI, promu à de hautes responsabilités au sein de TF1, Jean-Marc SYLVESTRE est loin d’être un néophyte dans sa spécialité. Celles et ceux qui suivent ses chroniques régulières sur son blog, les ondes ou sur les plateaux de télé, où la macro et la micro-économie se dévoilent au grand public avec aisance dans le verbe et plaisir de l’écoute, en savent quelque chose.

 

 

L’économie au cœur de ce plateau de télévision ?

 

Désigné par l’Université Paris Dauphine meilleur journaliste de l’année 2008, ce personnage qui aime allier la pédagogie au sens de l’analyse revient donc à Auxerre, après avoir enchanté à l’époque, c’était en janvier 2017 –nous y étions ! -, le public de décideurs économiques de la Maison de l’Entreprise lors d’une mémorable conférence inhérente à la digitalisation et ses effets. Encore un joli coup de projecteur sur Auxerre, imputable à Claude VAUCOULOUX qui dispose d’un carnet d’adresse bien construit !

Au même titre qu’un Nicolas BOUZOU ou un Christophe BARBIER, Jean-Marc SYLVESTRE propose également ses services, comme tout bon communicant qui se respecte, aux organismes consulaires, entités économiques et collectivités pour animer débats et controverses. Surtout, en ce qui le concerne, sur des sujets inhérents à l’économie et à l’évolution de la société.

Sa présence, en lieu et place de JPP (de nouveau affecté par la maladie comme cela fut annoncé en décembre par la presse), n’est donc pas une surprise en soi.

Doit-on y voir, au préalable, un réajustement des items qui seront déclinés lors de ce rendez-vous en visioconférence ? Ce n’est pas impossible. La dimension économique devrait largement dominé les interventions des orateurs successifs invités sur ce plateau de télévision locale, dont les patronymes sont encore tenus au secret. Histoire de préserver l’effet de surprise et de faire le buzz positivement le jour J ?

 

 

La flèche ironique de l’élu Mathieu DEBAIN…

 

Quoi qu’il en soit, le changement de présentateur n’a pas tardé à faire réagir les réseaux sociaux. En particulier celles et ceux qui s’offusquent toujours de la tenue de ce grand barnum, même si l’aspect ouvert au public n’est plus d’actualité, faute à la COVID.

Ironiques, les commentaires de l’élu auxerrois de l’opposition, Mathieu DEBAIN, publiés sur sa page Facebook, prêtes à sourire, si par mégarde Jean-Marc SYLVESTRE venait à annuler sa présence en dernière minute.

« Je recommande à la municipalité de choisir la célèbre journaliste de « Cash Investigations » Elise LUCET dont l’émission enquête sur les dérives financières… ».

Sacré Mathieu ! Voilà une suggestion forte à propos pour assurer la relève, sauf que la professionnelle n’a jamais exercé ses talents sur TF1 ! Ce qui n’est donc pas le bon filon en termes de choix pour la Ville d’Auxerre !

 

Thierry BRET

 

 


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