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Entre le spécialiste de l’assurance et le cyclisme, c’est déjà une vieille histoire d’amour. Tant au plan national avec la Française des Jeux qu’au plus du terrain de la proximité. Une passion sans faille qui se décline, localement, par un engagement renouvelable tous les trois ans sous la forme de partenariats. Hier, c’était le Vélo Club de Toucy (le soutien à cette entité perdure toujours, rassurez-vous !), aujourd’hui, c’est l’heure du Vélo Club d’Auxerre.

 

AUXERRE : Est-ce que les dirigeants de l’assureur mutualiste sont des adeptes de la « petite reine » ? On peut décemment se poser la question tant l’engouement de l’un des leaders du milieu assurantiel de l’Hexagone voue un intérêt croissant à cette discipline sportive qui compte bon nombre de licenciés de tout âge.

Engagé sur le circuit international des professionnels (UCI) depuis moult saisons, avec son partenaire de la Française des Jeux, GROUPAMA ne néglige pas les petites structures locales, évoluant dans les rangs de l’amateurisme avec le brio qu’on leur connaît.

Des associations qui ont voix au chapitre lorsqu’il s’agit de structurer un partenariat à vocation logistique ou financier. Voire les deux ! Dans l’Yonne, la caisse locale d’Auxerre du groupe assurantiel vient de confirmer la règle. Se rapprochant des responsables de ce club cycliste d’Auxerre, né de la fusion de deux entités il y a quatre ans de cela : le Vélo Club Auxerrois et le Cyclo Club d’Auxerre.

Nouveau nom de baptême : le Vélo Club d’Auxerre. Simple comme bonjour, me direz-vous, mais à la reconnaissance identitaire tellement facile !  

 

Une nouvelle aventure qui débute pour le VCA, pleine de promesses…

 

Alors, forcément entre ces deux partenaires, l’hymen s’est concrétisé au-delà de la raison ! Dans l’enthousiasme et la passion ! Durant trois ans, l’assureur et le club sportif sont intimement liés. Une officialisation qui s’est traduite par la pose des griffes des trois signataires présents le jour J pour en valider la feuille de route. D’un côté, Valérian GUENIN, jeune président du VCA – il a prises ses fonctions le premier octobre dernier -, face à lui, le président de la caisse locale auxerroise de cette fédération de l’Yonne qui en recense dix au sigle de GROUPAMA, Julien ESCLAVY. Et, comme une évidence légitime, l’incontournable directeur des établissements de l’Yonne et, depuis peu, de la Seine-et-Marne, Jacques BLANCHOT.

Joint par téléphone alors qu’il circulait sur les routes du sud de l’Ile-de-France (sa nouvelle terre de prédilection côté business), le « monsieur plus » du groupe mutualiste s’est félicité de cette nouvelle aventure qui débute avec cette toute jeune structure associative VCA.

 

 

Des parures pour remercier les accompagnateurs de l’école de vélo…

 

D’une part, l’opération de soutien à ce club sportif s’inscrit dans le cadre du concept « Ton club, ton maillot ». Un projet hexagonal qui in fine permettra à GROUPAMA de soutenir 120 associations sportives cyclistes sur route de l’Hexagone en les dotant de tenues complètes (maillots et cuissards). A ce titre, plusieurs clubs de Bourgogne Franche-Comté intègrent ce dispositif cette année dont l’ASPTT Dijon, le Club Cycliste de Belfort ou encore le Vélo Club Chalonnais.

D’autre part, c’est aussi un coup de pouce à la formation et à la pédagogie qui règnent au sein de ces organismes qui accueillent toutes les strates de la population : des jeunes, des féminines, des hommes et des vétérans.

Ainsi, dans le cas présent, le président du Vélo Club Auxerre, Valérian GUENIN, a décidé d’affecter la dotation de ces trente parures flambant neuves aux encadrants bénévoles qui s’occupent des 70 jeunes de l’école de vélo. Un geste altruiste et de reconnaissance très apprécié.

A ce jour, le Vélo Club d’Auxerre accueille en son sein 115 licenciés. Dont soixante-dix jeunes pousses qui découvrent avec avidité les joies du cyclisme sur route sous toutes ses variantes : randonnée, VTT, et même cyclo-cross, le pêché mignon de cette structure.

Toutefois, le partenariat ne se cantonne pas à la remise de fournitures vestimentaires. Le car-podium de GROUPAMA servira aussi de point d’ancrage indispensable aux animations de la douzaine de journées de compétitions organisées par le VCA cette année. Sans compter la présence du logotype de l’assureur, floqué sur les maillots des coureurs les plus chevronnés, ceux de l’élite.

Bref : un échange de bons procédés entre ces deux partenaires, mitonnés aux petits oignons !

 

Thierry BRET

 

 


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Lorsque j'intervenais sur les ondes de « radio bleue », comme nous appelaient bon nombre d'auditeurs  rétifs à toute autre dénomination, ce qui nous amusait plutôt, je suis souvent venu à Bellechaume pour y évoquer ce p'tit-resto, ouvert, fermé, puis repris, puis plus rien. Voilà dix mois qu'un couple courageux s'est retroussé les manches pour recréer un lieu de vie, commerce multi-service villageois : bienvenue au « C1 Plaisir » !

 

BELLECHAUME : Donnant sur la cour, la gravure intemporelle d'un autre siècle indique toujours qu’il y avait le bal au premier étage jadis ! Pour arriver dans ce fond de vallée, on passe par de bien jolies routes forestières. La D 77 entre Cerisiers et Bussy-en-Othe, en étant un véritable modèle du genre, mais aussi non loin de la LGV sud-est, dont le PK 108 se trouve proche de notre village.

Dans l'Yonne, le TGV ne fait hélas que passer, contrairement aux départements voisins de la Côte d'Or et de la Saône-et-Loire. A quand le retour d'un TGV Yonne, véritable vecteur économique pour notre territoire ?

Il est bientôt midi, en ce jour de février. « Tant que le petit mois n'est pas fini, l'hiver n'est pas terminé » disaient antan nos anciens. Un dicton d'un autre temps ? En poussant la porte de l'établissement, c'est un plaisir d'entendre à la radio la jolie chanteuse Shy'm (ancienne athlète, je crois...) entonner « Je sais », l'un de ses innombrables succès.

 

 

Des prix très abordables pour se sustenter de manière agréable…


Les petites tables sont illustrées d'un code barre coloré. Au fond sur la banquette, trois villageois sirotent paisiblement l'apéro devant ce majestueux baby-foot, me rappelant de multiples parties perdues dans ma jeunesse militaire, ainsi que  leur corollaire d'obligatoires tournées !

La patronne m'explique alors le principe de la formule de semaine : 13 euros le menu cuisiné maison avec entrée, plat et dessert, 11,5 euros la formule à deux plats. En fin de semaine, « C1 Plaisir » propose aussi un choix de pizzas maison. Ce midi-là, il y avait en entrée des rillettes, une quiche lorraine ou bien des œufs mayo. En plat, un chili con carne était proposé (le lendemain, ce sera hachis parmentier de canard). Pour terminer, une tarte aux pommes ou une mousse au chocolat.

 

Une mayonnaise onctueuse et bien assaisonnée…

 

Je prends un œuf mayo, servi sur un lit de salade. La mayonnaise est bonne, un brin moutardée. Quant à la salade bien croquante, elle aussi est bien assaisonnée, ce qui semble être un fil rouge culinaire de la maison !

Pendant ce temps, Chantal vient chercher un colis dans ce commerce multi-services. En présentant sa carte d'identité, elle explique qu'elle est un brin froissée, en raison de ballades, comme  planquée au fond de son blouson-moto ! Bon, le pain gagnerait à deux, voire trois minutes de cuisson supplémentaires, me dis-je alors en sauçant mon assiette !

 

 

Pourquoi si peu de clients à l’heure du repas ?

 
Arrivent alors deux autres clientes, c'est mère et fille ! Elles aiment cet établissement,  sa bonne cuisine, son sens de l'accueil, et le clament à l'unisson. « Fifille » est mal fichue. Doliprane ou Efferalgan ? A voir !

Puis arrive ce chili con carne, un plat tant de fois dégusté par le passé par votre serviteur aux États-Unis ou au Mexique notamment !  L’assiette est bien assaisonnée, relevée comme il se doit, et accompagnée d'un riz délicieux, bien accommodé. Sincèrement, c'est très bon. Et servi fort aimablement.

Un bon dessert tout simple pour terminer - rien de plus difficile que la simplicité, disait avec raison, je ne sais plus quel cuisinier ! - avec une tarte aux pommes. Puis le café est servi avec une noisette chocolatée. 
Ce midi-là, nous ne fûmes hélas que trois en salle. Est-ce normal ? Je pense que non. Avec un pareil tarif qualitatif, cela devrait attirer d'autres villageois locaux ou voisins à s'attabler, histoire d'encourager ces néo-aubergistes. En venant via Villechetive (zéro commerce) ou Arces (bravo à Martine, l'épicière qui y résiste !), voici une  bourgade  dont le commerce est sinistré.

 

Le petit coin épicerie : une incontestable plus-value commerciale…


Alors ensemble, habitantes et habitants, voisines et voisins, élus du conseil municipal : réjouissez-vous dans un village de moins de 500 habitants d'avoir pareil commerce - sympa le petit coin épicerie d'ailleurs !- et poussez en la porte parfois. Juste histoire d'en assurer la pérennité méritée (ayant connu au cours de la décennie précédente deux à trois tenanciers pour  cet établissement).

On n'y pense pas direz-vous peut-être. Et bien pensez-y désormais.  Bon appétit au « C1 Plaisir » !

 

 

En savoir plus :


Les + : amabilité, bon rapport qualité-prix.  Toilettes impeccablement propres : bravo !


Les - : pour le quart de vin, on aimerait se voir servir du vin de l'Yonne, plutôt qu'un cépage merlot venu de l'on ne sait où ! L'Yonne est un joli département viticole, sachons s'en souvenir !

 

Contact :

C1 Plaisir

41 Rue du professeur Ramon

89210 BELLECHAUME

Tel : 03.86.56.13.51.

Bar, restaurant, épicerie, dépôt de pain.


Gauthier PAJONA

 

 


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Voilà un déplacement qui a été largement rentabilisé ! Celui du préfet de l’Yonne à Joigny, ce mardi après-midi. Non seulement, Henri PREVOST a effectué le trajet depuis Auxerre vers la ville du Centre Yonne pour y signer le Contrat de Relance et de Transition Ecologique (CRTE), doublé du COT (Contrat d’Objectif territorial), mais en outre, il en a profité pour inaugurer le nouvel espace France Services. Une mutualisation teintée d’efficacité qui a eu l’heur de plaire à Nicolas SORET !

 

JOIGNY : Dans le registre « action/réaction », voilà une visite préfectorale qui s’est montrée prolifique en termes de résultats pour l’agglomération du Centre Yonne. Le représentant de l’Etat ne s’est pas limité à apposer sa griffe au bas de deux conventions de partenariat (CRTE et COT), applicables à la partie septentrionale de notre territoire – lire l’article consacré à ce sujet à paraître dans nos colonnes -, il a aussi porté sur les fonts baptismaux de l’officialisation inaugurale une nouvelle Maison France Services. Une de plus pour le département de l’Yonne qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici peu avec trente-et-une références de la sorte.

Dans l’absolu, c’est le Centre communal d’action sociale (CCAS) de Joigny qui accueille l’espace dédié à cet effet. Ouvert gracieusement à toutes celles et à tous ceux qui désirent en utiliser les multiples avantages, ce dispositif est fonctionnel chaque jour de la semaine.

Qui trouve-t-on ? Une palette d’opportunités administratives permettant à chacune et à chacun de trouver la solution idoine à une problématique donnée. L’accompagnement proposé concerne les démarches pouvant être liées à la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, la Caisse des Allocations Familiales, Pôle Emploi, le logement, la fiscalité, la retraite…

 

 

Seront également déclinés les services de La Poste, de la MSA, des ministères de l’Intérieur et de la Justice, de la Direction générale des Finances Publiques. Un patchwork de possibilités favorisant l’existence. Notamment de celles et de ceux qui n’y comprennent que couic lorsqu’il faut remplir tel formulaire, telle case ou tel document officiel.

Une bulle d’oxygène en somme où deux agents de la ville, formés spécifiquement à cet accompagnement personnalisé, apporteront leurs lumières pour éclairer ceux des utilisateurs encore dans la pénombre des usages du numérique.

Il est prévu également des permanences assurées par les neuf partenaires nationaux de ce concept, voire des visioconférences explicatives.

Outre ces 31 maisons France Services, à terme, l’Yonne dispose en parallèle d’un bus itinérant du Conseil départemental dont le déploiement et la labellisation sont pilotés par l’Agence nationale de la Cohésion des Territoires (ANCT).

 

 

En savoir plus :

 

La Maison France Services au CCAS fonctionne :

- le lundi de 13h30 à 18h30,

- le mardi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h,

- le mercredi de 8h30 à 12h30 ; une permanence a lieu de 13h30 à 17h30 au 2, avenue de Mayen (locaux de l’APREM),

- le jeudi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h,

- le vendredi de 8h30 à 12h.

 

Thierry BRET

 


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De l’humour, il sait en distiller à doses non homéopathiques autour de lui. Affable, jovial, enthousiaste, mais toujours attentif à la moindre des déclarations qui est prononcée avant son intervention, le second personnage de l’Etat, après le Président de la République, hume l’air de cette salle (le SKENET’EAU) totalement acquise à la cause. La sienne, la leur qui l’a fait devenir coprésident du comité de soutien national à Valérie PECRESSE. Un orateur qui sait aussi décocher des flèches assassines à ses adversaires quand il le faut…

 

MONETEAU : Stylo feutre dans la main et assis derrière la tribune de l’orateur, le président du Sénat annote au bas des documents qui lui font office d’aide-mémoire, la trame de son futur discours, quelques réflexions personnelles. Il relève les yeux en les plissant légèrement et écoute studieusement ses prédécesseurs qui se succèdent au pupitre.

Dodelinant de la tête de manière affirmative comme pour accentuer une idée forte émise par la bouche de Dominique VERIEN, un élan de combativité appuyé par Guillaume LARRIVE ou une attaque en règle contre le macronisme en provenance de Laurent WAUQUIEZ qui n’est pas avare sur le sujet.

Bref : Gérard LARCHER affectionne tout particulièrement l’exercice oratoire du jour et prend manifestement du plaisir à être là. L’ancien vétérinaire n’a pas la langue dans sa poche et sait manier haut et fort avec la gestuelle qui s’impose le verbe et la parole avec très grande aisance. Un sens inné de la communication qu’il aime partager avec un auditoire. Comme lorsqu’il exerce au perchoir de la chambre haute du parlement son arbitrage sur les débats du Sénat.

Oui, mais voilà, ici, dans ce complexe qui accueille le comité de soutien à la candidate de la droite et du centre droit, il en oublie l’aspect feutré et si intimiste du Palais du Luxembourg, pour se retrouver face à un vrai public de citoyens, certes qui n’apportera pas l’ombre d’une contradiction, mais qui se délecte de ses paroles. Alors, avec sa faconde qu’on lui connaît bien et un humour qu’il a l’art de cultiver, Gérard LARCHER entame son récital de mots et de phrases qui le plus souvent font mouche auprès du public.    

« Vous êtes (en évoquant la proximité de Monéteau avec celle d’Auxerre) la ville la plus sportive de ce département de l’Yonne ce qui pour moi qui suis un adepte de Winston CHURCHILL n’est pas nécessairement une qualité (en montrant sa silhouette) ! ».

 

 

Des « fleurs » adressées à la sénatrice Dominique VERIEN…

 

Rires fusionnels de la salle. Le ton est donné. Durant vingt-deux minutes, le président du Sénat va faire son show. Pointant le doigt au ciel. Se tournant vers ses trois camarades qui partagent la scène pour renforcer une idée motrice. Regardant droit devant lui afin de mobiliser celles et ceux qui douteraient encore de se rendre aux urnes. La force de la conviction et le dynamisme pour y parvenir.

Un par un, il s’amuse à brosser le caractère de ses trois condisciples du jour. Laurent WAUQUIEZ, tout d’abord, coprésident comme lui de ce comité de soutien national dont il essuie les plâtres ou presque lors de cette série de meetings hexagonaux à la rencontre des militants qui débutent par l’Yonne.  

« Laurent ? C’est un tempérament ! Mais, c’est aussi un élu régional (Auvergne-Rhône-Alpes) exemplaire. Je me souviens de notre première rencontre : il venait d’être désigné par Nicolas SARKOZY et nous nous sommes vus un soir dans un bar improbable ! Nous nous sommes enrichis de nos différences… ».

Vient le tour de Guillaume LARRIVE. Un député qui « possède un fort ancrage solide ». Ce dernier ayant abordé la paix civile, la puissance de la France et la meilleure des façons à exercer le pouvoir. Puis, il y a le clin d’œil de complicité avec l’une des sénatrices du Palais du Luxembourg. Dominique VERIEN : « j’ai été très touché par tes propos anticipateurs se rapportant à Valérie PECRESSE de la soutenir dès que possible avec l’UDI de l’Yonne. Tu as parfaitement cerné la personnalité de Valérie… ». Un compliment à l’intention de l’élue de Puisaye qui en cache un autre puisque Gérard LARCHER comparera Dominique VERIEN à la digne héritière d’un Aristide BRIAND.

 

 

 

Les vraies différences entre Valérie PECRESSE et Emmanuel MACRON…

 

Puis, s’adressant à Henri de RAINCOURT, installé au premier rang, Gérard LARCHER, nature, se remémore des souvenirs. « Nous avons été élus le même jour et nous étions trois à vivre cela, explique le président du Sénat, Il y avait donc Henri de RAINCOURT, Gérard LARCHER et…Jean-Luc MELENCHON. Vous voyez que de nous trois, c’est Henri et moi qui avons le mieux tourné ! ».

Eclats de rires dans la salle. Le dernier zeste d’humour avant de se lancer dans le dur et le nerf de la guerre. Rassembler les citoyens derrière la candidate plébiscitée par les Républicains au soir du 04 décembre 2021.

« C’est notre défi de soutenir Valérie PECRESSE, renchérit l’ancien ministre du Travail, elle doit rassembler les Français qui sont divisés, qui sont désabusés et qui sont usés… ».

S’enchainera une longue circonvolution orale autour des trois problématiques majeures qui préoccupent les Français : l’accès à la santé, le pouvoir d’achat et les questions d’identité.

« La santé, c’est le premier sujet dont on me parle dans les assemblées de maires partout dans le pays et je dois dire que cette question est essentielle… ».

Puis taclant le chef de l’Etat sur sa manière de gouverner (« on a réduit la décision politique à un conseil de défense mais pas au conseil des ministres »), Gérard LARCHER le clame haut et fort, avec véhémence parfois, « nous, nous redresserons le pays, non pas en affaiblissant l’Etat, mais à partir du levier que représentent les collectivités territoriales ».

Serait-ce cela la vraie différence entre Valérie PECRESSE et Emmanuel MACRON ? L’expérience territoriale ? C’est sûr pour l’ancien maire de Rambouillet qui argumente en expliquant la manière de gouverner de sa favorite dans la région Ile-de-France et ses 13 millions d’habitants. « Sans arrogance, sans mépris, sans condescendance... devait-il ajouter.

Invitant les élus de proximité à interroger leurs administrés sur le bilan du quinquennat, le président du Sénat sort un peu de ses gonds, en énumérant les échecs qu’il constate.

 

 

« Est-ce que les Français sont moins emmerdés qu’il y a cinq ans ? »…

 

« Croyez-vous que ce quinquennat ait été une réussite pour notre pays ? Croyez-vous que les Français sont plus heureux aujourd’hui qu’il y a cinq ans ? Qu’ils gagnent mieux leur vie ? Qu’ils vivent plus en sécurité ? Qu’ils se font mieux soignés ? Qu’ils soient moins « emmerdés » ? Une citation qui n’est pas de moi ! ».

Vient le moment où le tribun s’aventure sur l’un des sujets chauds brûlants de cette campagne présidentielle : l’immigration non contrôlée. Et sa place dans le concert des nations.

« Est-ce que l’influence de la France s’est accrue en Europe et dans le monde ? Valérie PECRESSE est la seule à tenir un discours de vérité aux Français. Le discours d'une candidate d'alternance crédible, aux antipodes des utopies de la gauche et des simplifications et caricatures de la droite radicale. D’ailleurs, si les électeurs votent pour Marine LE PEN ou Eric ZEMMOUR dès le premier tour, et qu’ils nous empêchent de remporter le second tour, nous allons en reprendre pour cinq années supplémentaires. Est-ce de cela que la France a besoin ? ».

Tirant des statistiques de son chapeau, Gérard LARCHER fait tomber les chiffres. A l’état brut. 3 000 milliards d’euros de dettes, 84 milliards d’euros de déficit commercial, le taux de dépenses publiques le plus élevé de l’OCDE (60 % du PIB), des prélèvements obligatoires en termes de fiscalité qui sont les plus hauts du monde et une inflation qui ne cesse d’être galopante.

« On ne peut plus travestir la réalité, poursuit l’orateur en verve, ce sont les 70 milliards d’euros supplémentaires qui ont été accordés avant même que ne débute l’épidémie de la COVID ».

Puis, ciblant directement Emmanuel MACRON : « le président doit se déclarer et ne plus refuser éternellement le débat. Il n’a pas le droit de nous confisquer cette élection ! ».

Réaffirmant ce besoin de mobilisation derrière sa candidate, le président du Sénat croit en cette force. « Il faut allumer la mèche de la campagne électorale, vous devez être ces allumeurs de mèche pour nous permettre l’explosion du premier tour et nous permettre d’être au second ! ». Un ultime sursaut au nom de l’unité de sa famille politique. Un message entendu pour l’auditoire de cette salle. Qu’en sera-t-il exactement pour les Français dans leur globalité ?

 

Thierry BRET

 

 


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La lumière des projecteurs médiatiques, il sait l’apprivoiser le nouveau récipiendaire de l’insigne de chevalier dans l’ordre national de la Légion d’honneur. Mais, vivre un instant magique et émotionnel sous les ors de la République représente pour lui une grande première. Conseiller départemental de l’Yonne et maire de Tonnerre, le président de MEDIA TV a reçu l’honorable distinction lundi soir des mains de Bruno LE MAIRE au ministère de l’Economie.

 

PARIS : Promu dans l’ordre national de la Légion d’honneur au 01er janvier 2021, Cédric CLECH qui sait mettre en scénographie des évènementiels de la vie quotidienne du fait de sa profession – il est fondateur et président de la société de communication et de production audiovisuelle MEDIA TV – était au centre de tous les intérêts lors d’une réception protocolaire concoctée dans les salons du ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance.

Edile de Tonnerre (il a évincé la maire sortante Dominique AGUILAR dès le premier tour des municipales de 2020), Cédric CLECH a ajouté à sa panoplie de jeune élu, le titre de conseiller départemental de l’Yonne, sur son canton de prédilection, le Tonnerrois où les suffrages des votants des cinquante-deux communes composant cette entité lui ont accordé leur confiance.

Plusieurs élus de l’Yonne, à commencer par la sénatrice Marie EVRARD et le ministre en charge du Tourisme, de la Francophonie et des PME/PMI, Jean-Baptiste LEMOYNE, ont assisté à cette cérémonie s’inscrivant sous le sceau de la cordialité et de la sympathie.

 

 

 

Une juste reconnaissance pour la sénatrice Marie EVRARD…

 

A la manœuvre pour la remise de cette décoration prestigieuse : Bruno LE MAIRE, en personne. Le ministre de l’Economie, des Finances et de la relance a par ailleurs rendu un bel hommage à l’élu du Tonnerrois, figure aux multiples engagements au service de l’intérêt général.

« C’est une juste reconnaissance, confiera en outre la sénatrice Marie EVRARD. Tonnerre et l’Yonne ont de la chance de posséder un élu d’une telle qualité… ».

 

 

Rappelons que la Légion d’honneur est le premier ordre national visant à honorer des citoyens français en les récompensant pour leurs mérites acquis au titre de la nation, soit de manière civile, soit sous les armes.

Il faudra désormais que Cédric CLECH s’arme de patience pendant huit ans avant de pouvoir briguer la distinction supérieure : celle d’officier de la Légion d’honneur. Largement le temps pour lui de poursuivre son investissement et de développer ses projets au service de l’Yonne…

 

Thierry BRET

 

 


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