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Il le dit lui-même avec bonhommie : « les chiffres que nous avons réalisés en 2022 me donnent la banane ! ». Pourtant, le garçon ne possède pas une once de prétention. Encore moins la grosse tête ! Toujours très précautionneux envers autrui, tant dans la relation exercée avec la clientèle qu’auprès des dix-sept collaborateurs qui exercent le savoir-faire de l’enseigne dans l’Yonne. A 37 ans, Baptiste CHAPUIS est un chef d’entreprise heureux, croyant en l’avenir. D’ailleurs, pour célébrer le dixième anniversaire de sa structure, 123 Immobilier, il ajoute dès ce 02 janvier une cinquième agence dans sa besace.

 

MONTHOLON : « Je ne m’aventure pas en terre inconnue ! ». C’est sûr ! Le dirigeant du groupe 123 Immobilier Baptiste CHAPUIS commence à être habitué aux ouvertures de nouvelles vitrines commerciales sur son territoire de prédilection que représente l’Yonne.

Cinquième agence à intégrer le panel représentatif des opportunités offertes par ce spécialiste de la location/vente de biens immobiliers, le site de cette agence newlook, réhabilitée par des artisans du cru en mode ergonomique et environnemental, ne se situe pas là par pur hasard, sur l’échiquier de la conquête des parts de marché qui anime l’entrepreneur.

Il suffit d’observer la topologie des lieux – l’acquisition d’une ancienne officine pharmaceutique vacante depuis un moment et idéalement positionnée sur un axe circulatoire pénétrant dans la nouvelle commune née au 01er janvier 2017 – pour mieux comprendre le choix subtil du décideur économique. La nouvelle agence, ouverte au public dès le lendemain du Jour de l’An, peut se comparer à une cerise sur le gâteau plutôt goûteuse car visible et accessible de tous, grâce à la proximité de deux parkings.

 

Une nouvelle agence à raison d’un cycle biennal ou presque…

 

L’antenne promotionnelle du groupe 123 Immobilier va pouvoir rayonner sur un large périmètre, telle une tête d’épingle clairement identifiée placée à l’épicentre d’une zone géographique comprise entre Toucy, Charny-Orée-de-Puisaye, Migennes et Joigny. Autant dire du pain bénit pour un Baptiste CHAPUIS lucide et ô combien réaliste qui a pris soin d’accroître son potentiel d’infrastructures commerciales à raison d’un nouvel établissement créé au rythme calendaire d’une unité ouverte presque tous les deux ans !

Pour s’y retrouver, c’est simple au niveau de l’arithmétique ! En l’espace d’une décennie – la société célèbrera son dixième anniversaire en 2023 -, le groupe 123 Immobilier aura étalé le rythme de ses ouvertures d’agences de la manière suivante, Auxerre Rue de Paris en 2013, avant Appoigny en 2015, Auxerre Gambetta en 2017, puis celle de Migennes presque deux années plus tard avant d’inaugurer celle de Montholon en janvier.

 

 

Des taux de visibilité très élevés auprès des internautes franciliens…

 

Bref, le choix de se placer en tête de gondole dans l’Aillantais correspond à un désir d’optimiser sa stratégie de conquête sur l’un des marchés prégnants de ce secteur, la résidence secondaire. Et pourquoi pas, par ricochet, celui de l’occupation principale par les propriétaires.

Disposant d’une offre soutenue de plus de deux cents biens immobiliers en permanence, le groupe 123 Immobilier surfe parmi les meilleurs taux de visibilité sur la toile auprès des prospects et clientèles franciliens (40 %). Le Bon Coin a d’ailleurs référencé le site de l’entreprise icaunaise parmi ses meilleures consultations de l’année.

Bénéficiant de 180 mètres carrés, l’entité a refait à neuf le rez-de-chaussée de l’ancienne pharmacie, l’agrémentant de salles de réunion, d’un espace accueil et de bureaux individualisés où les leds et l’isolation thermique assurent une qualité BBC optimale à l’édifice.

L’étage accueillera, outre des salles de réunion, trois espaces bureaux pouvant recevoir des entrepreneurs et porteurs de projets du cru. Un petit business center bien dans l’esprit de Baptiste CHAPUIS, lui-même adhérent de plusieurs associations telles la Jeune Chambre Economique ou DYNABUY Chablis qui encouragent les initiatives entrepreneuriales.

 

Thierry BRET

 

 


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Le serpent de mer n’est plus. Disparu dans la mer des Sargasses des turpitudes et de l’oubli. Exit cette arlésienne qui aura occupé tant d’esprits chafouins et désolés de ne voir aboutir un jour ce projet imaginé il y a près de trois décennies. Un sujet mêlant période de doutes et d’espérance quant à sa réalisation finale. Juste avant Noël – un cadeau adressé du ciel par l’aura d’une Marie-Louise FORT bienveillante de là-haut qui y croyait dur comme fer -, ces sept kilomètres de bitume, inaugurés ce 14 décembre, vont transformer radicalement l’existence des Sénonais qui n’en pouvaient plus de subir le trafic incessant des poids lourds dans leur périphérie ouest…Le terme d’un projet ayant coûté 30 millions d’euros, synonyme de fierté pour ses auteurs.

 

COLLEMIERS : Priorité à la qualité de la vie. A l’amélioration des transports et à la circulation des automobilistes, aussi, en substance afin de rendre plus fluides et sécurisés les déplacements. Voilà un chantier à la limite des travaux d’Hercule, au vu de leur importance – ce qui n’est pas si commun sur notre territoire puisqu’il se sera échelonné sur près de trois ans - qui aura suscité tant de passions, de controverses, de palabres, de discussions, d’enthousiasme, d’espoir qui trouve enfin son épilogue. Rideau !

Comme ce bitume si brillant et immaculé se présentant face à nous, légèrement recouvert d’une fine couche de verglas qui attend d’être emprunté pour la première fois par un cortège motorisé. Et pas, par n’importe quel cortège, s’il vous plaît ! Celui constitué par le flot de vieilles mécaniques et guimbardes dont certaines sont toujours aussi rutilantes à l’estampille des « Vieilles Coquilles ». Un florilège de voitures d’antan « à la papa » qui nous remémore à l’esprit l’excellente chanson de Charles TRENET, « Nationale 7 ». L’odeur salvatrice des congés payés, des hordes de caravanes formant un si long sillon recouvrant la route et la présence des gendarmes, bienveillants mais tellement observateurs, aux abords des routes !

Tiens, en parlant de gendarme, on aura beau questionné amicalement le colonel Christophe PLOURIN, présent sur cet évènement, sur les positions stratégiques des futurs radars qui habilleront ce ruban supplémentaire de route ouvert à la circulation, nous n’en saurons pas davantage in fine sur l’implantation précise de ces fameux appareils flashant les contrevenants, avides de vitesse et de sensations !

 

 

Une patience enfin récompensée après tant d’années d’attente…

 

Il sera aussi question de joie et de bonheur en ce moment si mémorable. Patrick GENDRAUD, l’un des premiers interlocuteurs à prendre la parole, ne cachera pas sa satisfaction devant l’ouvrage accompli. La patience est une vertu qui se cultive, chacun le sait.

« Ce projet était tant attendu et le voilà enfin concrétisé… ». Le président du Conseil départemental de l’Yonne le rappellera avec philosophie à la tribune devant un auditoire d’élus et de représentants institutionnels des plus éclectiques : « un projet d’aménagement du territoire demande du temps, de la constance, de la rigueur dans les prises de décision ; celui-ci aura donc nécessité près de vingt-cinq ans de réflexions…».

Une broutille, en somme, à l’échelle du monde qui nous entoure. Puis de poursuivre sur ce même satisfécit : « votre patience est dignement récompensée aujourd’hui après une décennie d’attente ! ».

Dans les faits, cette déviation sud de l’agglomération sénonaise s’inscrit dans le cadre de la poursuite de l’aménagement ambitieux et harmonieux du territoire. Ouvrant ainsi une nouvelle voie favorable à l’essor de l’attractivité économique de ce secteur septentrional de l’Yonne, proche de l’Ile-de-France.

 « C’est également la voie vers la prospérité partagée, insista le patron de l’exécutif départemental. Nous répondons aux enjeux de fluidité du trafic routier sur le bassin du Sénonais tout en réduisant les nuisances subies par les riverains des communes traversées par ces axes routiers importants… ».

Pédagogue et transparent dans ses explicatifs, Patrick GENDRAUD ne manqua pas d’aborder le coût et le montage financier d’un tel projet. « Il a fallu s’entendre entre les différents acteurs liés à ce chantier, se répartir les rôles et travailler de concert y compris au niveau budgétaire, ajouta l’ancien maire de Chablis, il faut partager les frais dans la meilleure des manières… ».

 

 

 

 

Un budget de trente millions d’euros répartis entre quatre financeurs…

 

Une déviation, longue de 7,2 kilomètres avec en sus la construction de cinq ouvrages d’art (des ponts), ayant nécessité une grosse enveloppe de trente millions d’euros pour arriver à ce résultat.

Parmi les financeurs, citons le Conseil régional, le Département, la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et, naturellement l’Etat qui a injecté huit millions d’euros dans cet ambitieux ouvrage.

Un montage financier pertinent qui permettra à Patrick GENDRAUD de « saluer la qualité du partenariat qui unit toutes ces composantes ». Logique en somme dans la bouche du responsable de cet organe qu’est le Département, qualifié par ses soins, de « grand équipementier » de l’Yonne.

« Nous savons fédérer nos équipes et nos compétences au service des grandes réalisations d’utilité publique, affirmera-t-il, comme nous l’avons fait à Pont-sur-Yonne récemment avec l’inauguration de l’ouvrage d’art enjambant la rivière ou avec l’arrivée de la fibre optique partout sur le territoire d’ici la fin 2023… ».

Concluant par cette formule gratifiante envers ses services et collaborateurs, « quand le travail est bien fait, il faut le reconnaître et le faire savoir… ».

 

 

 

Une pensée émue à Marie-Louise FORT…

 

Puis, ému, avec une pointe de tristesse dans le timbre de la voix, le président du Conseil départemental eut une pensée affectueuse et légitime pour la regrettée édile de Sens et ancienne présidente du Grand Sénonais, Marie-Louise FORT. La grande absente de ces retrouvailles inaugurales festives.

« Elle nous manque, en ce jour de grande réalisation infrastructurelle dans le Sénonais, énonça Patrick GENDRAUD, tu as tant fait pour ce territoire, pour l’Yonne et ses habitants, ta place était parmi nous en ce jour et quelque part, tu es là… ».

Tonnerre d’applaudissements pour clore cette introduction oratoire avant que le vice-président de la Région en charge des transports, Michel NEUGNOT ne prenne la parole. Il fut précédé par le président du Grand Sénonais Marc BOTTIN. Le préfet de l’Yonne Pascal JAN devant apporter ses conclusions en vertu du protocole cérémonial. Une brève allocution prometteuse où il fut question du tant attendu projet de contournement sud de la ville d’Auxerre…Là-aussi, la patience est de mise !

On notera aussi les interventions de la conseillère départementale Delphine GREMY et de l’ancien ministre en charge du Tourisme et des PME, Jean-Baptiste LEMOYNE pour qui ce projet est un investissement utile au développement du territoire.

Avec un flux estimé à plus de trois cents poids lourds au quotidien – une fourchette prévisionnelle englobant les activités industrielles de ce secteur compris entre Gron et Subligny table sur une fréquence de 500 à 600 véhicules à moyen terme -, les riverains des quatre communes concernées (on peut rajouter Collemiers et Paron) éprouvaient de plus en plus de difficultés à supporter ce trafic incessant, occasionnant risques sécuritaires et nuisances diverses.

Gageons que l’apport de la déviation sud devrait leur redonner le sourire. Sinon, la tranquillité !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Pas si simple de manipuler les simulateurs qui sont accueillis depuis le mois d’octobre par l’EPL des Terres de l’Yonne ! A l’occasion de la réception officielle de ces précieux appareils, conçus par la pépite hexagonale ACREOS, plusieurs personnalités s’y sont essayées avec plus ou moins de bonheur sous le regard attentif du fabricant et des responsables de l’établissement pédagogique à vocation agricole. Et à ce jeu-là, Nicolas SORET et Gilles DEMERSSEMAN, élus de la Région, se sont très bien débrouillés !

 

VENOY: La fiche se révèle aux yeux de tous sur le double grand écran. La vitesse d’exécution de l’exercice accompli par le tracteur-enjambeur dans sa version virtuelle est correcte. Pas de dégâts observés au niveau des plants de vigne fictifs qui ne sont pas arrachés pour autant par une malencontreuse et inexpérimentée manœuvre du pilote.

La conduite de l’engin de simulation s’affiche au vert. La note, enfin, traduit la parfaite dextérité de l’apprenant, soit un 16 sur 20 du plus bel effet. D’ailleurs, c’est simple ! Satisfait de son résultat, le vice-président de la Région en charge des Finances, de l’Economie et de l’Emploi, Nicolas SORET, sortira de sa poche son portable afin d’immortaliser le bon résultat obtenu en le photographiant !

Commentaire à chaud de l’intéressé : « j’ai déjà conduit des tracteurs ! ». Bref, on aura constaté que le président de la Communauté de communes du Jovinien n’a pas perdu la main, visiblement, au volant de cet ersatz de « jeu vidéo » qui n’en est pas un.

 

 

L’ultra modernisme au service de la pédagogie…

 

Huit de ces simulateurs de dernier cri occupent la toute petite salle dédiée à les recevoir dans le complexe des Terres de l’Yonne. Un investissement de plus de 673 000 euros obtenus avec la Région et la manne utile des Fonds européens de développement régional (FEDER)  – une première en France – qui rappelle que cette présence n’est pas ludique mais bel et bien pédagogique. Contrairement à ce que l’on aurait pensé en voyant les élus tester ces machines.

Autre élu régional à se retrouver au volant du même tracteur-enjambeur numérique : Gilles DEMERSSEMAN. Son approche rapide de l’engin démontre indéniablement des capacités à le dompter en réalisant des manœuvres lui permettant de progresser dans un rang de vigne sans l’abîmer.

Un peu plus loin, Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil départemental, se passionne par ce qu’il voit. Des jeunes gens qui proposent une démonstration aboutie de cette technologie utile à l’apprentissage des métiers de la filière agricole et viticole. La secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne, Pauline GIRARDOT, observe attentive et avec intérêt les gestes pleins de maîtrise de ces apprenants, relève de la corporation, en compagnie du DASEN (directeur des services départementaux de l’Education Nationale), Vincent AUBER.

Bluffant et incroyable ! Economique et vertueux, aussi, car ces systèmes d’apprentissage au maniement des engins agricoles en toute sécurité ne nécessitent nullement le besoin de rejeter du Co2 et de polluer l’environnement !

Une initiative stratégique étonnante qui mérite d’attribuer la note de vingt sur vingt à l’EPL des Terres de l’Yonne et à ses acteurs qui ont opté pour la voie de l’ultra modernisme au service de la pédagogie ! Mention très bien !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Un investisseur, Alain GEHIN ? La question ne se pose même pas. Aux commandes de l’IBIS Auxerre Centre et de l’IBIS Budget, apparu dans l’offre touristique il y a quatre ans à peine et situé à quelques encablures de l’établissement historique que compte le groupe ACCOR en centre-ville de la capitale de l’Yonne, l’entrepreneur a remis à neuf ou presque le vaisseau amiral de sa flotte hôtelière. Un projet où il aura injecté près de deux millions d’euros de ses propres deniers, avec l’aide de la banque, satisfaite du bilan de la société…

 

AUXERRE : Il les voulait pour le mois d’avril, anticipant ainsi sur les futurs résultats de la Ligue 2 et de ses barrages prometteurs pour l’AJ Auxerre ; il ne les recevra véritablement terminées qu’au mois…d’octobre ! Une fois que le club de l’Yonne eut validé de la meilleure des manières son ticket pour l’élite !

Inconditionnel supporter de l’emblématique club de football local, Alain GEHIN a pu enfin proposer la quinzaine de chambres supplémentaires que compte désormais son établissement implanté au cœur de ville à sa clientèle attitrée, celle entre autres qui fédèrent les aficionados de la discipline et de son palpitant championnat footballistique.

Car la Ligue 1 ne possède pas le même morphotype de supporters que la division inférieure dans laquelle évoluait, il y a peu, le club auxerrois depuis une dizaine d’années. Ceux-ci passent volontiers deux nuitées en hôtellerie lors de leurs déplacements en suivant leurs équipes fétiches, aiment se faire une bonne table gourmande et se rendre vers Chablis et ses villages viticoles alentours pour s’y procurer de menus plaisirs en version liquide et de garde, si possible !

 

 

Une ouverture des chambres vers un agréable jardin…

 

L’impact de cette remontée sportive parmi l’élite se fait sentir positivement pour le chiffre d’affaires des week-ends, voire de la semaine, pour l’entrepreneur. Une aubaine pour Alain GEHIN, qui a procédé à un sérieux lifting de son vaisseau amiral, l’IBIS Auxerre Centre où il avait déjà procédé il y a une décennie de cela à un agrandissement notoire d’une dizaine de chambres supplémentaires.  

Aujourd’hui, l’hôtel le mieux situé du centre-ville, près du port de plaisance, avec une vue remarquable sur l’Yonne, ses édifices patrimoniaux et religieux, presque en vis-à-vis de la préfecture mais la distance est là, s’ouvre côté jardin sur la rive droite.

Conçue selon les codes chromatiques et harmonieux, y compris le décorum plutôt surprenant avec les plafonds des chambres aux motifs lunaires voulus par le groupe ACCOR, la nouvelle aile de l’établissement hôtelier se veut ergonomique, esthétique, accessible, fonctionnelle.

 

 

In fine, l’hôtel propose 65 chambres, permettant à l’offre de couchage du centre-ville de gagner en puissance. Et surtout en praticité. Signalons que ces chambres s’ouvrent vers un patio intérieur qui se muera en un agréable jardin dès le printemps prochain, les paysagistes interviendront pour y façonner des espaces de verdure où la clientèle pourra y prendre à loisir son petit déjeuner.

Lorsqu’il évoque la configuration de l’ensemble, Alain GEHIN n’a qu’un mot : waouh ! « C’est ce que devront se dire les clients lorsqu’ils feront une halte chez nous ! ».

 

 

Deux millions d’euros pour agrandir et rénover l’Ibis Auxerre Centre…

 

Les habitués de cet établissement trois étoiles proviennent également des milieux professionnels, des VRP et technico-commerciaux en mission ou des cadres qui aiment s’y reposer après une harassante journée de travail.

Alain GEHIN revendique de son côté l’exigence et le travail implicatif de ses équipes pour parvenir à ces résultats.

« Notre credo, précise-t-il, c’est la qualité. IBIS Auxerre Centre a toujours été classé parmi les meilleurs établissements de la chaîne sur l’Hexagone depuis son lancement. Quant à l’IBIS Budget, il est régulièrement référent dans le quart Grand-Est de la France pour la qualité de son accueil… ».

Au total, ce sont près de deux millions d’euros qui ont été injectés pour redonner sa cure de jouvence amplement méritée à cet établissement qui possède un taux d’occupation très élevé à l’année, même si le mois de décembre est plus synonyme de relâche avec les fêtes familiales où les gens se déplacent peu dans l’Yonne pour y faire du tourisme.

Lorsqu’il se projette en 2023, Alain GEHIN espère de tout son cœur le maintien en division supérieure de son club de prédilection, l’AJA. « L’impact sur la vie hôtelière auxerroise n’est plus à démontrer, souligne-t-il.

Quant à l’opportunité de reprendre une nouvelle affaire – mais pas nécessairement un IBIS de plus d’autant qu’un nouveau Budget est annoncé sur Auxerre à l’orée de 2025 par le prisme d’un autre investisseur -, on sent que cela le titille aux entournures, notre charismatique personnage.

« Nous, les GEHIN, sommes issus d’une famille d'investisseurs, conclut-il, donc s'il y avait quelque part une opportunité à saisir, ma foi, pourquoi pas ? Mais, c'est beaucoup trop tôt pour en parler… ».

On n’en sera guère plus sur les réelles intentions de croissance extérieure de notre entrepreneur. Qui aurait pu clore cette rencontre par un traditionnel, « Allez l’AJA », comme d’autres disent « bonne année » !

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’idée lui trotte dans la tête depuis un moment. Après l’accession à la mandature de président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, sans aucun doute. Accueillir dans l’une des ailes du grand bâtiment consulaire auxerrois, vide de toute présence, un pôle de compétences qui réunirait tous les acteurs et intervenants pouvant aider les professionnels de la filière artisanale à y voir un peu plus clair n’est pas pour déplaire à Jean-Pierre RICHARD…

 

AUXERRE: Serait-ce une sorte de guichet unique ? Un endroit privilégié qui aiderait considérablement les acteurs de la filière artisanale de l’Yonne à s’y retrouver de façon positive afin de faire face aux innombrables démarches et contraintes qu’ils ont à subir en qualité d’entrepreneurs ?

En tout cas, le président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, Jean-Pierre RICHARD, y pense comme il respire ! D’autant que l’aile du grand édifice où sont accueillis les bureaux de la vénérable institution consulaire, est résolument vide. Un espace qui trouverait grâce à ses yeux pour y poser de nouveaux jalons propices à améliorer les relations avec les acteurs économiques du terroir.

Ce projet s’il voyait le jour – il n’en est encore qu’à l’état d’ébauche dans un esprit réfléchi – viendrait appuyer la nouvelle stratégie que compte développer le président et ses équipes à court terme : devenir une arme efficiente de proximité.

Jean-Pierre RICHARD s’en explique : « On doit revenir absolument à des liens d’hyper proximité avec les artisans et les commerçants de l’Yonne, certes, nous avons été malmenés au cours de ces dernières années mais les choses tentent à s’améliorer… ».

 

 

Un guichet unique pour recevoir tous les acteurs dont ont besoin les artisans…

 

Alors que l’établissement propose son lot de formations professionnelles à destination des chefs d’entreprise de l’artisanat, son président désire lancer des rencontres constructives avec les EPCI, sous la forme de conventionnement et de contacts réguliers. Il s’agit par le biais de cette initiative de mieux se connaître et surtout d’anticiper les besoins. Une manière aussi pour les artisans de pouvoir être informés dans les meilleurs délais des futurs appels d’offres qui sont émis par les collectivités locales.

Le projet d’instaurer un « guichet unique » qui recevrait les experts comptables, les juristes, les banquiers mais aussi les acteurs institutionnels ayant un rôle fondamental à jouer dans la création et l’existence d’une entreprise n’est donc pas si anodin pour un Jean-Pierre RICHARD, bien décidé à embrayer et à passer la vitesse supérieure en 2023…

 

Thierry BRET

 


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