Plusieurs associations ont émis le souhait de rejoindre les rangs de l’UDAF de l’Yonne. Leurs représentants ainsi que ceux des vingt-quatre structures déjà adhérentes ont été accueillis par le président de la vénérable institution lors de la récente assemblée générale à Auxerre. Ce fut une excellente opportunité pour Benoît VECTEN de réaffirmer les missions sociétales de son organisme et son désir de développer un véritable maillage associatif au service et en soutien des familles sur l’ensemble de notre territoire…
AUXERRE : Quatre-vingts personnes ont assisté aux travaux statutaires de l’Union départementale des associations familiales de l’Yonne il y a quelques jours au Phare. Parmi celles-ci, des porte-voix de nouvelles structures qui sont désireuses de grossir les effectifs de l’organisme ayant pour idéal l’accompagnement et le soutien aux cellules familiales dans leur quotidien.
L’occasion a été donnée au président de l’UDAF de l’Yonne, Benoît VECTEN, de rappeler les missions principales qui nourrissent les équipes de cette entité qui intervient sur l’ensemble du territoire départemental.
Outre les moments d’échange et de convivialité, le président de l’association ne manqua pas d’évoquer la dimension territoriale des actions de la structure.
L’UDAF de l’Yonne entend bien à l’avenir accroître sa prédominance sur tout le département. Afin d’être à l’écoute et au plus près des familles qui en ressentiraient le besoin.

La présence d’une salariée de l’URAF Bourgogne Franche-Comté, Sandrine EME, permit de mieux appréhender les modes opératoires de trois mille familles de l’Yonne qui ont été passées sous le tamis exigeant d’une enquête d’opinion.
Réalisée sous la tutelle de l’organisme régional, la démarche a offert au travers de ce panel exhaustif une analyse en profondeur sur le comportement sociétal des familles nombreuses et de leurs attentes dans l’Yonne.
Une restitution passionnante qui devait interpeller les différents acteurs de la sphère familiale présents dans la salle…

Le « guerrier » qui sommeille en ce garçon si débonnaire et ô combien sympathique s’est bel et bien réveillé au terme de l’infructueuse tentative de double traversée de la Manche. Vingt heures après avoir nagé dans les eaux froides et verdâtres du Channel, Arnaud CHASSERY demeure plus combatif que jamais. Ne pouvant lutter à armes égales parmi les éléments aquatiques déchaînés, le nageur de l’extrême qui a été contraint à abandonner son audacieux pari se dit déjà prêt à réitérer l’aventure en espérant des conditions plus assagies…et la clémence de la houle !
SHAMPIRE HOE (Angleterre) : Il ne s’en est fallu de presque rien. Même si à l’aller, ce double parcours, au simple effet « Kiss cool », n’avait rien d’exaltant pour le champion. Balloté, bousculé, trépigné par des masses d’eau lui tombant sans cesse sur les reins, recouvrant son bonnet de nage, l’athlète de Joigny, au cœur gros comme ça, n’aura pu résister jusqu’au terme de son défi physique incroyable.
Bravant avec abnégation et courage des conditions déjà fort complexes qui l’attendaient pour rejoindre les côtes françaises, Arnaud CHASSERY, le valeureux, se résigna la mort dans l’âme à mettre un terme à ce challenge qu’il s’était fixé, les éléments étant devenus impossibles à maîtriser au retour.
La houle, ennemie d’un jour, lui aura réservée une mauvaise surprise avec des creux pouvant dépasser 2,5 mètres !
Poséidon, divinité grecque par excellence, s’était emparée des flots séparant la Perfide Albion (l’Angleterre aura bien porté son appellation en pareilles circonstances) et la France.
Ce qui était encore un tantinet praticable à l’aller avec des vagues latérales ne l’était absolument plus sur le chemin du retour. Frappant de face, la lancinante manifestation des vagues apporta un danger supplémentaire. Le théâtre de l’exploit devenant impraticable, c’est après concertation avec son staff et le pilote que le nageur de l’Yonne prit sa décision. Irrémédiable et lourde de conséquence dans l’instant « t ».
Parcourant la première partie de son périple en très bonnes conditions, Arnaud CHASSERY avait atteint le sable de la plage française après 14 heures et 21 minutes passées en mer.
On imagine la déception du garçon qui aura peaufiné sa phase de préparation depuis plusieurs semaines.
Mais, déjà, une seule chose obsède Arnaud CHASSERY : revêtir maillot de bain et bonnet de protection pour se lancer à l’eau à la conquête de ce « Two Day » qu’il désire accomplir au nom de tous les enfants handicapés de la planète. Et cette fois-ci, Poséidon sera avec lui !

Son mandat d’élue régionale en charge de la transition écologique et de l’environnement, Frédérique COLAS le vit avec une passion viscérale chevillée au corps et un enthousiasme communicatif dont elle a le secret. Sa présence, en qualité d’intervenante lors de la récente assemblée générale de la Fédération départementale du Bâtiment de l’Yonne, ne constituait donc pas en soi une réelle surprise. Surtout lorsque la thématique de la soirée se focalisait plus particulièrement sur l’évolution concrète de cette transition appliquée au cœur de ville et à l’habitat…
AUXERRE : On le savait depuis longtemps : le « dada » stratégique de la Région Bourgogne Franche-Comté tient en trois mots, « la transition écologique » ! Qu’il s’agisse de mobilité, de formation, d’apprentissage, d’aménagement du territoire, d’habitat et de bâtiment, celle-ci se décline à différentes sauces, la plupart appétissantes tant les enjeux sociétaux qui en font la substantielle succulence sont importants et prioritaires à l’amélioration de notre qualité de vie.
Aussi, Frédérique COLAS n’éprouva aucune difficulté à captiver un auditoire déjà conquis par le préambule de sa future intervention lorsqu’elle gagna le pupitre qui l’accueillait.
Fustigeant d’entrée de jeu ces passoires thermiques et les logements insalubres au niveau énergétique qui n’ont plus lieu d’exister dans notre monde, la conseillère régionale évoqua le changement de cap climatique actuel. Se révélant très inquiète si rien ne devait être entrepris pour modifier la courbe d’une trajectoire nous menant tout droit à la catastrophe.
« Fort heureusement, renchérit-elle, la filière du bâtiment a pris pleinement conscience de la problématique… ».
Une phrase millimétrée au cordeau qui fit sans doute chaud au cœur du président Xavier PAPIN, attentif à la moindre virgule distillée par la représentante de l’exécutif régional.
La Région Bourgogne Franche-Comté, vraie région à énergie positive…
Faisant ensuite allusion au scénario « REPOS 2050 », Frédérique COLAS en expliqua les grandes lignes directionnelles. Prouvant ainsi la responsabilité positive de la Région en matière de mobilisation des acteurs économiques et des collectivités.
« Notre objectif est de rénover un volume de 38 000 logements chaque année d’ici 2050, précisa l’oratrice. Ceci implique une baisse de 26 % des besoins en énergie ce qui induit la généralisation des constructions très basse consommation et la massification de la rénovation énergétique… ».
En terme clair : il y a du pain sur la planche ! Mais, cet objectif n’est pas pour rebuter la collectivité régionale qui veut être le chef de file de cette stratégie dans les domaines de l’air, de l’énergie et du climat.
Tout ceci est également conditionné à l’obtention d’aides et de crédits européens qui ne peuvent qu’encourager ce vaste chantier qui se présente devant nous.
Néanmoins, le porte-voix du pouvoir régional ne manqua pas de rappeler la vulnérabilité de notre territoire qui, selon les chiffres officiels de l’INSEE, présente la plus grande densité d’exemples concrets de précarité énergétique.

Le rôle prépondérant du SPEE : le service public de l’efficacité énergétique…
La conférencière insista sur les vertus du SPEE, le service public de l’efficacité énergétique. Ce dispositif vise principalement à soutenir les ménages dans la rénovation énergétique de leur logement.
Depuis 2018, et ce pour un delta de trois ans, huit territoires s’inscrivent dans cette démarche intéressante. Sélectionnés par la Région, l’ADEME et l’Etat, ces territoires sont ceux de Dijon-Métropole, la Communauté d’agglomération du Grand Besançon, le Pays de Montbéliard Agglomération, la Communauté de communes Haut-Jura Arcade, la Communauté d’agglomération du Grand Chalon, le Pôle d’équilibre territorial et rural (PETR) Mâconnais Sud-Bourgogne, la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et Communauté d’agglomération de l’Auxerrois.
Chaque année, de nouveaux « territoires moteurs » peuvent être intégrés. Avec un guichet unique d’accueil dans ces territoires, le SPÉÉ est ouvert aux particuliers propriétaires de maisons individuelles, propriétaires occupants et bailleurs. Il leur permet d’accéder à un premier niveau d’information et de s’orienter vers les bons interlocuteurs pour un accompagnement de leur projet, allant du changement de chaudière à la rénovation globale de niveau Bâtiment basse consommation (BBC). Plusieurs millions d’euros d’aides sont ainsi alloués par la Région aux territoires pour optimiser son intervention. Ce fut par exemple une enveloppe de trente millions en 2016. L’utilisation de matériaux bio-sourcés est aussi encouragée. Quant à la formation des plus jeunes, elle s’inscrit dans une approche légitime : la Région ayant la compétence décisionnelle pour gérer les lycées et les adultes en formation continue vers ces nouveaux métiers issus de la croissance verte. Frédérique COLAS ne pouvait conclure son propos autrement qu’en parlant de la politique du zéro déchet. Ceux de la filière du bâtiment. « Il est indispensable de travailler cet aspect de la réutilisation et du recyclage de certains matériaux. Via l’économie circulaire… ». Au final, l’exposé de Frédérique COLAS permit de brosser un large éventail de ce qui attend désormais les professionnels du bâtiment dans leur approche professionnelle au quotidien. Pour que la Bourgogne Franche-Comté puisse atteindre ses objectifs de devenir une région à énergie positive et imprégnée via ses filières économiques du développement durable…
Un texto de quelques lignes qui tombe sur le smartphone juste avant de passer à la postérité. Il est 9h13 sur les côtes britanniques. Le nageur de l’extrême Icaunais prévient l’ensemble des médias et ses partenaires qui le suivent pas à pas au détour de ses ultimes préparatifs de l’imminence de son départ. Ce lundi 01er juillet correspond donc au jour J ! Dans moins d’une heure, Arnaud CHASSERY se lancera dans l’eau virevoltante et froide de la Manche pour y accomplir une double traversée du Channel. Un pari fou et audacieux que le sportif de l’Yonne appréhende avec l’enthousiasme d’un athlète de vingt ans auréolé d’une foi inébranlable en sa bonne étoile…
SHAMPIRE HOE (Angleterre) : Pas de report, cette fois-ci, pour la tentative de double traversée de la Manche à la nage du sportif de Joigny : Arnaud CHASSERY. Le courageux garçon s’est élancé de la côte britannique ce lundi 01er juillet. Il était 10h45, heure locale, quand le sportif de l’extrême s’est enfin jeté à l’eau après qu’il ait rongé son frein, en attendant les conditions optimales pour vivre sa nouvelle aventure maritime.
Dame Météo s’est finalement montrée clémente avec celui qui par le passé a déjà réussi d’autres défis impressionnants aux quatre coins de la planète. On se souvient de l’ascension extraordinaire du Kilimandjaro en Tanzanie aux côtés de l’élu handicapé, Yann JONDOT. Ou de l’inénarrable exploit vécu avec Philippe CROIZON dans l’ambitieux projet de rallier les cinq isthmes continentaux à la nage !
Ce lundi 01er juillet, la fenêtre s’est donc ouverte avec tout ce que cela implique en termes de conditions favorables à ce nouvel exploit. Peu de vent et visibilité optimale malgré la fraîcheur persistante de l’eau : la Manche ne fait pas de cadeau puisqu’elle a accueilli le nageur dans son élément aquatique à 15° !
Cap vers Wissant !
Toutes les trente minutes, le service de ravitaillement et de surveillance du nageur se concentrera avec vigilance sur le suivi de cette opération d’exception. Le « Two Way », la double traversée, n’est pas chose aisée en vérité. Arnaud CHASSERY devra parcourir environ 120 kilomètres pour près de trente heures de nage non-stop dans un environnement quasi hostile, au beau milieu des porte-containers, des cargos et autres méthaniers. Sans omettre les courants qui peuvent jouer de vilains tours au sportif.
Ce défi représente aussi un subtil moyen de communication pour faire connaître la cause sociétale que soutient Arnaud CHASSERY. Le nageur s’est en effet engagé dans cette aventure peu commune pour devenir le porte-voix des personnes en situation de handicap. Plus particulièrement, les jeunes qui souffrent de troubles comme la dyslexie, la dysphasie ou la dyspraxie. En concentrant ses efforts au profit de l’association ALOPIAS.
L’identité de ce nouveau moteur à allumage par compression fait penser à l’un des personnages androïdes qui évolue dans la série culte de la « Guerre des Etoiles ». SkyActiv-X ! Pourtant, cette motorisation novatrice n’est pas le fruit de la science-fiction ! Elle a pour vocation d’équiper les nouvelles Mazda 3 et les CX-30, lancées dès le mois de septembre, et d’optimiser leurs performances.
PARIS : Alors que la plupart des constructeurs mondiaux se jettent à corps perdu et à grand renfort d’investissements dans de nouvelles formes de motorisation (hybride, électrique…), la marque japonaise se distingue en prenant un chemin diamétralement opposée à celui emprunté par ses condisciples.
Elle mise tout, ou presque, sur un moteur à essence qu’elle qualifie déjà de révolutionnaire : le « SkyActiv-X ».
Cet assemblage de technologie et de mécanique suscite bon nombre d’interrogations. Voire de convoitises parmi les acteurs de la filière automobile. Il est d’ores et déjà disponible sur la nouvelle Mazda 3. Celle-ci devient ainsi le premier véhicule de grande série à disposer de ce type de motorisation : c’est-à-dire un bloc essence à allumage par compression.
Objectif avoué de l’ingénierie nippone : gagner davantage de couple à l’aide de ce moteur que sur leurs équivalents alimentés en essence. Le tout, en consommant moins, il va de soi !
D’une puissance de 180 chevaux à 6 000 tours minute, offrant un couple maximal de 224Nm à 3 000 tours minute, ce bloc moteur confirme l’appétence de la marque pour ces technologies où règnent encore les combustibles traditionnels.
Côté consommation, tout en étant respectueuse de la réglementation actuelle, la marque affiche un score de 4,4 l/100 km. Quant aux rejets de Co2, ils se situent en dessous de 100g/km.
Bref, une performance très appréciable pour les distributeurs de la Mazda 3 et du CX 30 qui bénéficieront de ce moteur.
La nouvelle Mazda 3, pourvue de cet additif dont on parle tant, arrivera en concession dès la prochaine rentrée de septembre. Suscitant l’enthousiasme des professionnels. Ils ne manqueront pas, par ailleurs, d’assurer le lancement officiel de ces produits de manière visible.
Présent la semaine dernière à Varsovie pour assister à la convention européenne du constructeur japonais, Yves JEANNIN, dirigeant du groupe éponyme sur les départements de Seine-et-Marne, de l’Aube et de l’Yonne, se dit impatient de commercialiser ce petit bijou fait de modernité et de performance. Le lancement de ces nouveaux véhicules dotés de cette motorisation supposera des opérations de marketing et de communication pour le groupe.
