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Pas le temps de vous arrêter pour lire notre publication sur notre site « 16h44 : La Minute du Manager » ? C'est normal ! Notre monde va toujours plus vite et nous happe par le flux d’informations. Nous vous invitons à une semaine plus zen à la lecture de cette chronique. Prenez quelques minutes à la découvrir : cela vous permettra de gagner beaucoup de temps à l’avenir. A vous de jouer !

CHRONIQUE : « Il faut prendre du temps pour ne pas voir les choses en surface. La qualité d'une relation se construit lorsque l'on dépasse les apparences, et que l'on va chercher le sens."

Marathonien, musicien hors pair, René SEON peut vous faire découvrir avec autant de pédagogie que de passion la nouvelle norme ISO, les dernières méthodes organisationnelles ou de nouvelles pratiques managériales. Il se nourrit pour cela de son expérience d'entrepreneur et de l'immersion approfondie au sein de structures tant publiques que privées. Il nous invite à prendre le temps pour mieux comprendre et plus complètement les situations que nous vivons, souvent trop vite. Le plus souvent dans l'urgence. C’est un beau défi pour les managers et actifs que nous sommes.

René, vous trouvez que nous ne faisons pas suffisamment d'efforts de compréhension. Pourquoi ?

L'urgence dont nous sommes le plus souvent victimes nous amène à réfléchir, décider dans l'urgence, avec des préjugés ou des raccourcis. Quand on juge quelqu'un dans l’organisation sur ce qu'il sait, on a tendance à prendre des raccourcis, sans essayer de comprendre ce qui se joue en arrière-plan, le contexte, les frustrations. On juge plus qu'on analyse.

En prenant un peu de temps, il est pourtant possible d'interagir avec l'autre dans le cadre d'un véritable échange où chacun exprime sa gêne, où l'on va peu à peu, mettre à jour là où ça bloque vraiment. Détecter les blocages au sein d'un raisonnement permet de lever des obstacles et de créer de la performance.

Il faut prendre du temps pour ne pas voir les choses en surface. La qualité d'une relation se construit lorsque l'on dépasse les apparences, et que l'on va chercher le sens. Généralement, l'entreprise donne la priorité aux outils rationnels, à la priorisation, à la mise en place de critères. Tous ces outils nous éloignent du cœur, des sentiments, des émotions. Or, c'est, au-delà des faits, dans cet univers de nuances que se cache la réalité. C'est là aussi que l'on trouve la source du plaisir et donc de l'efficacité.

On cohabite souvent à côté de gens que l'on ne comprendra jamais, même si l'on partage des apparences, en raison d'un manque d'authenticité. Lorsqu'une entreprise favorise l'émergence de cette authenticité, que l'on se ment moins à soi-même et aux autres, on s'engage sur le plaisir de partager vraiment des choses ensemble et la performance à moyen terme est toujours au rendez-vous.

Cela peut prendre la forme d'une réunion de partage autour d'une problématique traitée avec patience, en mini groupe, de deux à cinq personnes. Peu à peu, une certaine intimité se crée, puis la confiance se construit et les solutions durables apparaissent.

Cela est vrai lorsque l'on traite un conflit entre salariés, lorsque l'on conçoit un nouveau produit, ou lorsque l'on améliore un processus.

Une autre faiblesse de nos raisonnements, sous la pression du court terme et de l'urgence, est le choix de la première solution proposée. Alors que la richesse du présent est fonction du nombre de possibles. Si vous n'en voyez qu'une, vous allez plus vite mais moins loin.

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Alors que cette approche est très puissante (chacun le constate dès qu'il l’expérimente), pourquoi privilégie-t-on le "rapide" et le "jugement" plutôt que l'écoute et la patience ? 

Il y a une addiction à l'activisme. On se sent forts lorsque l'on éteint des incendies. Incendies que l'on a parfois soi-même allumés. L'activisme évite aussi de penser en « switchant » sur une attitude réactive. Cette attitude inhibe les qualités de créativité, d'imagination.

D'autre part, la position de « héros/sauveur » est bien plus exaltante que l'analyse ou la prévention de problèmes. Celui qui empêche que des problèmes surgissent n'existe pas. « On n'entend pas la forêt pousser ».

Une autre raison tient au fait d'assimiler recherche de causes et recherche de coupables. D'où une peur de règlements de compte, des suspicions de délation. Et le choix instinctif de la fuite en avant.

En revanche, l'adoption lente et progressive d'une attitude d’amélioration perpétuelle se transforme en raison d'être et génère une organisation performante. Ce qui peut s’accomplir au niveau individuel peut aussi se réaliser au niveau de votre organisation.

Comment peut-on changer d'attitude au sein de nos entreprises ?

Pour commencer, je vous invite à comprendre au lieu d'agir et à inviter votre équipe dans cette voie. Comprendre au niveau scientifique mais aussi au niveau du sens, de l'humain avec de l'empathie. Il faut comprendre les causes mais aussi comprendre les motivations. Comprendre en analysant le « pourquoi » (passé) et le « pour quoi » (avenir). Aristote parlait des causes du passé et des causes du futur.

Il faut comprendre en s'élevant pour mieux voir, et regarder ce qui se joue en dessus, au-dessous, à côté. Comprendre les jeux qui se jouent entre les grands acteurs. Pour comprendre l'ensemble, il faut comprendre les éléments, mais pour comprendre les éléments, il faut comprendre l'ensemble.

Notre conseil à expérimenter :

Dans votre entreprise, comme sur un smartphone, « activez le mode avion » et programmez un moment de calme pour vous projeter dans l'avenir avec votre équipe.

Pour tout problème urgent, durant une semaine, acceptez de suspendre votre jugement, et résistez à l'appel de l'urgence.

En cas d'impossibilité, programmez un moment pour réexaminer votre solution avec du recul.

Dans le mois, provoquez deux à trois moments d'intimité professionnelle avec un petit groupe de quelques collaborateurs.

Ludiwine EVRARD et Philippe CARPENTIER


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Pour leur 17ème rendez-vous exploratoire au sein du milieu industriel icaunais, les membres de la communauté des Positives Entreprises étaient conviés par l’animatrice de leur réseau, Christine JAN, de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, à s’immerger parmi les arcanes fonctionnels de l’imprimerie digitale, BRAIZAT Etiquettes. Accueillis par la dirigeante de la structure, Marie AUBIN, les décideurs et acteurs du monde économique de notre territoire ont pu apprécier la modernité du site et l’esprit de conquête de l’une des leurs, à la tête de cette très belle PME…

SENS : Plus d’une trentaine de personnes, des chefs d’entreprises mais aussi des cadres supérieurs et des représentants de la sphère institutionnelle, participaient à ce qui est devenu un rituel sacré depuis maintenant près de deux ans dans l’Yonne : les visites d’entreprises concoctées par la Chambre de Commerce et d’Industrie territoriale.

Agrémentée d’un sympathique cocktail, outil fédérateur d’échanges et de réflexions bien nourris, cette animation ne cesse de faire des émules depuis ses origines parmi le microcosme des dirigeants entrepreneuriaux de l’Yonne. Il est vrai que la CCI aime privilégier ce type d’actions. Dans un esprit de service et d’information auprès des forces économiques.

Ainsi, ce dix-septième rendez-vous se concentrait autour d’un secteur d’activité ayant eu à subir moult évolutions dans son approche professionnelle au fil de ces dernières années. Celui de l’imprimerie.

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Une évolution digitale nécessaire à la survie de l’entreprise…

Spécialiste de l’édition d’étiquettes adhésives de petite série, et ayant comme cœur de cible des donneurs d’ordre issus de l’industrie cosmétique, de la viticulture, mais aussi des agences de communication évènementielle, BRAIZAT Etiquettes a ouvert largement ses portes afin de plonger ce public de béotiens au monde de l’impression dans le vif du sujet.

L’entreprise aux sept salariés a consenti à de nombreux investissements (près de 350 000 euros) l’année dernière pour s’équiper du dernier cri en matière d’appareillage lui permettant de réussir sa transition digitale.  

Reprise par la dynamique Marie AUBIN, une figure emblématique du monde économique dans le landerneau du Sénonais, en 2009, BRAIZAT Etiquettes (voir notre prochain article) a opéré avec brio ce virage indispensable du numérique. Une étape cruciale dans son approche évolutive qui a sauvé la société de la fermeture sine die.

Aujourd’hui, l’entreprise de Sens travaille au service des plus grands groupes industriels de France, à l’instar de L’OREAL, géant de la cosmétique, mais également auprès de marques émergentes en offrant des prestations de services innovants.

Depuis peu, l’entité accueille dans ses locaux de la rue de la Fausse Rivière à Sens la marque NOMAD ATTITUD qui est positionnée sur le développement de l’impression de cendriers de poche personnalisés.


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« Il faut « rebooster » le pouvoir d’achat des classes moyennes » a déclaré un député Modem, économiste de son état et membre de la commission des Finances de l’Assemblée nationale récemment. C’est une très belle proposition d’un économiste-député ! Mais pourquoi « rebooster » le pouvoir d’achat des classes moyennes seulement ? Pourquoi ne pas s’intéresser aussi aux classes non moyennes ? Notre député-économiste entend-il écarter d’une amélioration du pouvoir d’achat, celles et ceux qui sont en dessous de la classe moyenne ?

CHRONIQUE : Et comment va-t-il déterminer ceux qui font partie de la classe moyenne et qui ont besoin de voir leur revenu progressé ? Et ceux qui sont en dessous de la classe moyenne, qui, eux, n’ont certainement pas besoin que l’on favorise leur revenu ?

En la matière, il faut des chiffres pour être sûr que l’on comprenne qui a l’honneur d’être dans la classe moyenne et qui n’en est pas. Donc, ne mérite pas la bienveillance et le soutien de notre député et économiste, membre de la commission des Finances de l’Assemblée nationale.

Voyons la distribution du revenu disponible par ménage et par an que l’Insee a publié en 2018. Le quotidien « La Croix » a eu la bonne idée de le publier le 22 novembre. Cette distribution des revenus est présentée selon le principe de la répartition par décile, le système le plus clair et le plus précis pour appréhender une population donnée sur le plan statistique.

Sur la base de ce tableau, mettons la borne supérieure de la classe moyenne au-dessus du huitième décile, soit 39 960 euros de revenu disponible par an pour un ménage (3 330 euros par mois). C’est le dernier étage de la classe moyenne. Considérons que les deux déciles supérieurs comprennent les ménages qui sont au-dessus de la classe moyenne : leur revenu disponible annuel étant égal ou supérieur à 43 320 euros par an (3 610 €/mois). Quant à la borne inférieure où notre député-économiste la mettra-t-il ? Et vous-même, où la fixerez-vous ? Où vous situez-vous vous-même sur ce tableau ?

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Les ménages à faibles revenus plus touchés par la perte du pouvoir d’achat

Première constatation : les ménages des premiers déciles. C’est-à-dire ceux qui ont les revenus les plus bas, ont subi une perte de pouvoir d’achat de 1 % à 1,7 % par an tandis que ceux qui sont au sommet de la classe dite moyenne, qui se trouvent dans le huitième décile, ont perdu 0,3 % par an. Au milieu, cinquième et sixième décile, la perte de pouvoir d’achat est de 1,4 %.

Deuxième constatation, entre ces deux bornes, les pertes de pouvoir d’achat en pourcentage ne présentent pas des écarts importants. Or, chacun sait qu’une perte de revenus dans la fourchette de 1 à 1,7 % affecte davantage un ménage ayant de faibles revenus qu’un ménage bénéficiant de revenus confortables.

Ce tableau de la situation est sans appel : il met en évidence que les ménages ayant de faibles revenus, donc en dessous de la classe dite moyenne, ont été beaucoup plus touchés par la perte de pouvoir d’achat que les ménages de la classe que l’on peut qualifier de moyenne.

Si vous ne faites partie de la classe moyenne, tant pis pour vous ! Votre revenu ne sera pas « reboosté ». Allez enfiler votre « gilet jaune » !

Emmanuel RACINE


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Ravalant ses sanglots, le visage marqué par une intense émotion, le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD a rendu un vibrant hommage à l’un de ses compagnons de route en politique, le regretté maire de Montholon, William LEMAIRE, élu DVD de la vénérable institution. Il est décédé ce mardi 20 novembre, à l’âge de 66 ans, après avoir lutté courageusement contre un mal implacable. Avant l’ouverture des travaux de cette session, l’assistance a procédé de manière solennelle au respect de la minute de silence en l’honneur de son collègue trop tôt disparu…

AUXERRE : « William, c’était un homme sérieux qui ne se prenait pas au sérieux… ». Emu jusqu’aux larmes, et la voix emplie d’une charge émotionnelle lourde à supporter, le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD a salué la mémoire de son vieil ami, William LEMAIRE, disparu en début de semaine. En évoquant son cousinage.

Agé de 66 ans, cette figure populaire du sérail politique de l’Yonne, qui avait obtenu l’Ordre national du mérite en 2011, siégeait de manière permanente au département depuis une décennie.

Elu DVD dans le canton de Charny, il assurait son mandat de conseiller départemental avec beaucoup d’abnégation et de volontarisme aux côtés d’Irène EULRIET-BROCARDI.

Ancien professionnel du monde de l’assurance, William LEMAIRE s’était pris d’une passion pour le devenir de son territoire et de la commune d’Aillant-sur-Tholon. Il en assumera le rôle de maire en 2001. Puis, il brigua un second mandat d’élu local dans la commune nouvelle de Montholon.

Vice-président de la Communauté de communes de l’Aillantais, William LEMAIRE laissera le souvenir d’une personnalité très généreuse, altruiste et toujours à l’écoute de ses concitoyens. Sa bonhomie et son sens de l’humilité manqueront cruellement au sein de l’hémicycle départemental…


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Déclinant un cycle de trois conférences dispensées à l’échelle du territoire régional, les exégètes du cabinet d’experts-comptables de Bourgogne Franche-Comté ont pris soin d’expliciter avec moult détails les multiples facettes de ce nouveau dispositif applicable au 01er janvier 2019. Face à eux, invités dans les salons du Mercure Auxerre Nord, étaient présents des dirigeants d’entreprises et des cadres administratifs soucieux d’en percevoir toutes les aspérités techniques avant que ne survienne la date fatidique…

APPOIGNY : Prévu par la dernière loi de finances, le prélèvement à la source des revenus sera mis en application en France dès le premier janvier prochain. Soit dans un delta temporel de quelques jours à peine, pour les irréductibles réfractaires au changement !

Et celui-ci sera de taille. Du côté des salariés qui disposeront d’une perception plus en phase avec la réalité économique sur le plan de leurs émoluments professionnels. Mais aussi, auprès des entreprises et de leurs services ad hoc qui assument la gestion des paies et des ressources humaines.

Bref, ce charivari administratif de poids inquiète déjà bon nombre de structures entrepreneuriales n’ayant pas fait preuve de beaucoup d’anticipation avant l’avènement du jour J !

L’initiative du cabinet d’expertise comptable s’avérait donc judicieuse à plus d’un titre. Structure certifiée Qualité Iso 9001 depuis plus de douze ans, CAPEC possède en ce sens une solide expérience de l’approche juridique et fiscale de l’entreprise.

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L’éclairage pertinent de trois professionnels maîtrisant leur sujet

Créé en 1957, le cabinet dijonnais (il externe son influence aujourd’hui sur les huit départements que compte la Bourgogne Franche-Comté) a su diversifier ses activités dans la réalisation d’audits et de préconisations de conseils.  

C’est dans ce cadre précis que trois de ses spécialistes animaient cette session conférence accueillie dans l’un des salons d’honneur de l’hôtel Mercure Auxerre Nord.  

Figurant parmi les tous premiers cabinets indépendants à l’être au niveau national, CAPEC se prépare depuis plusieurs mois à cette étape qualifiée de fondamentale dans la perception de l’impôt en France. Le désir de concocter des conférences départementales s’est vite imposé afin de rendre claire et limpide l’information, sous une forme participative, fluide et intelligente.

Aidant à mieux comprendre les arcanes techniques de ce nouveau dispositif, Karine BON, responsable de la filiale CAPEC RH, Yves PATHIAUX, conseiller auprès des entreprises CAPEC et Thomas CHARBONNIER, expert-comptable stagiaire CAPEC, ont fait preuve de pédagogie pour transmettre les informations capitales sur ce sujet qui l’est tout autant.

Apportant leur éclairage pertinent, à partir d’exemples concrets, les spécialistes de CAPEC ont évoqué le rôle de l’employeur, celui du salarié, de l’administration fiscale, au centre de ce nœud gordien, et surtout de la mise en œuvre pratico-pratique de ce fameux prélèvement à la source dont on parle tant. Sans omettre de réaliser un focus distinctif sur l’année blanche…qui ne l’est pas tant que cela in fine !

 

 


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