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Apparue en 2010, et initiée par trois jeunes diplômés de l’Ecole de commerce de Grenoble (GEM), la plateforme nationale de recherche d’emploi auprès des jeunes générations a atteint son seuil de rentabilité en 2017. La réalisation d’une nouvelle levée de fonds, pour un montant de dix millions d’euros, place désormais sur l’orbite du leadership français ce groupe qui propose un ensemble de services à forte valeur ajoutée au bénéfice de la carrière de la jeunesse, vraie relève professionnelle. En charge du développement de la communication, Sophie LEBEL nous a accordé une interview sur les perspectives de développement et la stratégie de cette entreprise en 2019…

GRENOBLE (Isère) : Quelle est la genèse de ce concept WIZBII, une plateforme dédiée à la recherche d’emploi auprès des jeunes générations ?

Wizbii a été créée en 2010 par trois jeunes diplômés de l’école de commerce de Grenoble (GEM). Initialement, nous étions un réseau social professionnel dédié à l’emploi des jeunes. Puis, au fur et à mesure des années, nous avons fait évoluer notre modèle pour devenir aujourd’hui un groupe qui propose un ensemble de services à forte valeur ajoutée pour la carrière des jeunes.

Comment se présente le bilan de la structure depuis son année de lancement, survenu en 2010 ?

Nous avons atteint un seuil de rentabilité en 2017. Notre chiffre d’affaires et notre équipe ont fortement évolué ces dernières années. Aujourd’hui, nous sommes cent collaborateurs, répartis sur Grenoble (le siège), Paris et Pau.

Une offre de 350 000 emplois constitue le socle de votre réseau. Pourriez-vous nous détailler la typologie de ces postes dans les grandes lignes ?

Chez WIZBII, nous pensons que TOUS les jeunes, venus de TOUS horizons, devraient avoir les mêmes chances de réussite. Ainsi, nous proposons des postes dans tous les domaines, que ce soit via notre offre en ligne ou via nos évènements. Sur WIZBII, vous pouvez trouver un poste de développeur web, de serveur, de chargé de projet ou même d’équipier polyvalent. 

Vers une grande campagne de communication en 2019…

Votre outil de communication repose d’ordinaire sur les jobs dating. Cette méthodologie reste-t-elle efficiente selon vous dans l’approche optimale d’un réseau professionnel ?

En réalité, nous avons travaillé pendant plusieurs mois avec une grande agence de « branding » parisienne. Cela nous a permis de travailler sur la formulation d’une nouvelle plateforme de marque que nous allons dévoiler début février. Jusqu’ici, nous communiquions beaucoup via nos réseaux sociaux et nos évènements. Mais en 2019, nous allons déployer une grande campagne de communication à 360 degrés.

Quel est votre modèle économique ?

Nous imaginons et offrons les services les plus utiles et innovants pour répondre aux envies d’avenir des jeunes. Nos services seront toujours gratuits pour eux et nous nous appuyons sur des grandes entreprises et des banques pour proposer ces services.

Pourquoi le Crédit Agricole est-il devenu le partenaire idoine dans l’opération « Premier Stage, premier job » ?

Pour la deuxième année consécutive, nous organisons le dispositif « 1er Stage, 1er Job » avec le Crédit Agricole. C’est un acteur particulièrement légitime sur ce dispositif déployé sur l’ensemble du territoire français, de par ses valeurs mutualistes, son ancrage sur le territoire, et parce qu’il s’agit de la première banque des entreprises et des jeunes.

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Quels sont les enseignements de cette opération après la première année d’exploitation au plan national ?

La première année de « 1er Stage, 1er Job » fut un large succès. Avec le Crédit Agricole, nous avons organisé 102 Jobs Dating, permis à plus de 6 600 candidats de rencontrer 825 entreprises. De nombreux postes ont été pourvus et la satisfaction des jeunes et des entreprises était au rendez-vous. Voici pourquoi nous avons signé une seconde édition de cette initiative.

Une sélection, au niveau des candidats qui fréquentent ces évènementiels, s’effectue en amont. Sur la base de quels critères ?

Effectivement, nous prenons le contre-pied d’un forum emploi classique, dans nos évènements. Notre équipe « sourcing » recherche des candidats qui vont correspondre aux besoins des entreprises présentes (une dizaine par évènement pour 60-80 jeunes). Le CV est pris en compte mais surtout la motivation des candidats. Un entretien téléphonique est organisé par notre équipe lorsque les jeunes s’inscrivent sur notre site web.

Une présence en développement à l’international…

Que recherchent précisément les entreprises en termes de profil et de compétences ?

Cela est très variable selon les entreprises. Nous en avons qui recherchent des candidats très juniors, même sans expérience, et d’autres qui recrutent des profils avec quelques années d’expérience (en tenant souvent compte des stages et alternances). Quoi qu’il en soit, le job dating permet aux candidats de faire valoir sa motivation et sa personnalité auprès des entreprises. Les entreprises attendent d’eux qu’ils soient naturels, motivés et souvent capables de travailler en équipe.

WIZBII intervient au niveau international désormais. Dans quels pays ? Et quelle est la stratégie de développement hors de France ?

Nous sommes présents en France, Espagne, Allemagne, Italie et Grande-Bretagne. Notre site est d’ailleurs traduit dans toutes ces langues. Pour le moment, notre stratégie est de continuer à conquérir de nouveaux membres à l’étranger avant de commencer toute commercialisation. Nous avons beaucoup de belles opportunités commerciales en France et pour le moment nous nous concentrons sur celles-ci.

La méthodologie que vous utilisez est-elle la meilleure solution aujourd’hui pour trouver un job ?

Nous n’avons pas la prétention de dire que nous sommes la meilleure des solutions, mais nos services ont largement fait leurs preuves. Et, c’est très encourageant de voir toutes ces belles histoires se former au sein de notre communauté. Quelque chose d’assez unique chez WIZBII, c’est que nous allions le digital et le physique (« phygital ») ce qui permet de renforcer notre action pour l’emploi des jeunes.

Vous travaillez avec beaucoup de jeunes diplômés dans vos bases de données, quid des autres personnes en décrochage scolaire et/ou professionnel ?

Nous avons souvent cette image d’être réservé aux personnes diplômées, comme c’est souvent le cas chez d’autres acteurs du milieu, ce n’est pourtant pas le cas. Comme indiqué au début de l’interview, nous nous adressons à tous les jeunes et nous offrons de nombreux services pour permettre à chacun de réussir sa vie professionnelle. Par exemple, nous avons un service qui s’appelle Fibii.co et qui aide les jeunes à trouver toutes les aides étudiantes dont ils peuvent bénéficier et ainsi pouvoir réellement choisir leur avenir. Aussi, nous avons un blog qui s’appelle http://laruche.wizbii.com qui donne chaque jour des conseils très pratiques pour réussir son entrée dans la vie active.

Quelle est votre marge de progression sur le marché de l’emploi des jeunes ?

Notre challenge est aujourd’hui de développer notre notoriété et devenir « top of mind » chez les jeunes, pour accompagner toujours plus de personnes. Aujourd’hui, nous avons 2,5 millions de membres en France et en Europe. Notre idée est devenir le service préféré des jeunes.

Est-ce que demain vous serez ouvert aux seniors ?

Nous avons beaucoup à faire pour l’emploi des jeunes, aussi pour le moment nous continuons à nous focaliser sur cette cible qui a beaucoup de besoins.

Quelles sont vos perspectives sur l’année 2019 ?

En 2019, nos objectifs sont de continuer à développer nos partenariats commerciaux, de lancer de nouveaux produits (dont notamment un lié aux financements des études) et de devenir « top of mind » chez les jeunes.

Quel est votre chiffre d’affaires à l’aune de la nouvelle année ?

Nous ne communiquons pas sur notre chiffre d’affaires mais celui-ci ne cesse de se développer. Nous avons atteint notre seul de rentabilité en 2017 et nous venons de réaliser une nouvelle levée de fonds pour un montant de 10 millions d’euros…


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Hasard vertueux du calendrier, le ministère des Solidarités et de la Santé a endossé sa houppelande de Père Noël ces jours-ci en débloquant une enveloppe budgétaire de 415 millions d’euros de crédits au niveau national. Conséquence de ce geste prévisionnel, l’Agence régionale de Santé (ARS) de notre territoire a annoncé dans un bref communiqué le 21 décembre qu’une somme de près de 17 millions d’euros sera affectée aux établissements de santé, publics et privés, de Bourgogne Franche-Comté.

DIJON (Côte d’Or) : Chaque année, une partie des fonds servant au financement des hôpitaux sont placés en réserve en début d’exercice, à titre dit « prudentiel ». Ces crédits prévisionnels peuvent être libérés en fin d’exercice. C’est ce qui a été décidé par le ministère des Solidarités et de la Santé en fin de semaine dernière.

En effet, pour l’année 2018, l’engagement et les efforts des différents acteurs de la filière, assurant le respect de l’Objectif national des dépenses d’assurance maladie (ONDAM), ont été observés. D’où l’initiative du déblocage de cette manne financière au plan national.

Ainsi, une enveloppe globale d’environ 17 millions d’euros se répartira aux établissements de santé de la région. Qui en seront les bénéficiaires dans les huit départements de Bourgogne Franche-Comté ?

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Les établissements publics et privés qui pratiquent une activité de médecine, chirurgie et obstétrique (MCO), recevront environ 13 millions d’euros. Les établissements publics profiteront eux-aussi de trois millions d’euros pour leurs activités de psychiatrie et de soins de suite et de réadaptation (SSR).

Enfin, plus de 900 000 euros seront alloués aux cliniques privées qui sont spécialisées dans les soins de suite et de réadaptation ainsi que de la psychiatrie.


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Premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France, l’ESI (Ecole supérieure de l’immobilier) fêtera sa quinzième année d’existence en 2019. Portée sur les fonts baptismaux par la FNAIM, l’établissement pédagogique prépare les acteurs de cette filière incontournable de l’économie aux enjeux de demain et à une profonde mutation intellectuelle et comportementale de ses membres. En y injectant davantage de méthodologies ultra modernes qui ont recours aux outils de la digitalisation et du numérique…Rencontre avec son directeur, le Sénonais Thierry CHEMINANT.

COURBEVOIE (Hauts-de-Seine): L’Ecole supérieure de l’immobilier est-elle une référence dans cette branche professionnelle ?

Oui, on peut l’affirmer. L’ESI a été créée par la FNAIM en 2004 sur un modèle dual : une structure de formation mariant à la fois formation initiale et formation continue. Quinze ans après, les faits sont là : 400 étudiants en formation initiale, tous en alternance, et plus de 35 000 adultes sont formés chaque année. Ce qui fait de nous aujourd’hui le premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France. Et la première école à ne dispenser que des formations pour l’immobilier en alternance qui, toutes donnent, accès aux cartes professionnelles.    

Quelle est sa genèse ? Quel est son mode de fonctionnement ?

Il fallait répondre à deux besoins identifiés : former les futurs professionnels de l’immobilier et former les acteurs déjà en poste dans les entreprises du secteur. Le concept mis en avant à l’époque est que pour être crédible en formation continue, il faut pouvoir démontrer qu’on sait faire de l’enseignement supérieur.

Dès lors, nous avons mis en place au fils des ans, six partenariats avec des Universités françaises, nous permettant de délivrer au sein de l’ESI seize diplômes d’Etat, tous en alternance (professionnalisation ou apprentissage). Ce modèle est bel et bien unique. Nous allons ainsi du BTS professions immobilières au Master 2. Tous les étudiants sont basés dans nos locaux à Courbevoie. Pour ce qui concerne la formation continue, nous proposons aujourd’hui un catalogue de plus de 400 formations entièrement dédiées à l’immobilier. Ce qui représente pour 2018, l’organisation de plus de mille sessions de formations sur la France métropolitaine et Outre-mer (Martinique, Guadeloupe, Guyane et la Réunion).

Pour se faire, nous bénéficions du soutien de nos chambres FNAIM, réparties sur l’ensemble du territoire qui sont nos centres de formation en région. Ce maillage territorial unique pour une organisation professionnelle telle que la FNAIM, est pour nous un atout majeur de notre développement et de notre présence au plus près des territoires. Par ailleurs, nous avons développé depuis 2016 une offre de formation 100 % en ligne sous forme de classes virtuelles (autrement dit « webinaires » ou « visio-conférences synchrones). Aujourd’hui, notre catalogue digital, fort de plus de soixante thématiques, attire plus de quatre mille apprenants par an.

L’ESI est-elle entièrement adossée à la FNAIM ? Des professionnels non-affiliés peuvent-ils bénéficier de ces formations ?

L’ESI émane de la FNAIM et appartient entièrement à la FNAIM. C’est notre ADN ! Nous formons tous les adhérents de la FNAIM qui le souhaitent et depuis quelques années, nous sommes ouverts aux entreprises non adhérentes, qui paient un tarif différent bien sûr. Tout le monde peut venir se former chez nous. Je veux également préciser que nous avons des programmes qui s’adressent spécifiquement aux demandeurs d’emploi en reconversion professionnelle. A ce titre, nous en accueillons plusieurs centaines par an.

Que proposerez-vous en matière d’offres de formation pour l’année 2019 ?

Nos catalogues 2019 viennent de sortir fin novembre. Nous avons renouveler près du tiers des programmes. Comme chaque année, l’accent a été mis sur l’éco rénovation énergétique et les nouvelles dispositions de la loi ELAN, entre autres.

Côté étudiants, nous avons proposé  à la rentrée plusieurs parcours nouveaux en licence et master.

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La crédibilité de l’offre, gage de sérieux et de professionnalisme…

L’instauration de la loi ALUR oblige les professionnels de l’immobilier à suivre des formations continues. Comment cela se concrétise-t-il au quotidien ?

Pour nous, cela s’est traduit par un accroissement très important de notre activité en formation continue depuis 2016, de l’ordre de plus 20 % par an. Depuis deux ans, nous avons beaucoup plus d’apprenants dans les sessions et nous avons un taux de maintien de plus de 80 % desdites sessions inter-entreprises.

Si l’on prend comme point de repère les années 2017 et 2018, quels sont les chiffres clés qui caractérisent vos missions ?

L’ESI en 2018, c’est plus de mille sessions de formations en présentiel sur l’ensemble du territoire, y compris l’ultramarin, dans nos cinquante centres de formations accueillis dans les chambres syndicales FNAIM. Soit près de 35 000 jours/stagiaires, et plus de 4 000 personnes formées à travers notre digital Learning (webinaires), sans oublier nos 400 étudiants tous en alternance, préparant du BTS professions immobilières au Master 2.

Le taux de placement des personnes ayant suivi vos séances pédagogiques s’élève à 100 % lorsqu’elles désirent intégrer la vie active. L’ESI dispose nécessairement d’une précieuse « aura » pour obtenir de tels résultats ?

On peut dire qu’aujourd’hui, l’ESI a su prouver la qualité de son modèle et la crédibilité de son offre de formation, faisant de nous un des principaux acteurs de la formation aux métiers de l’immobilier.

Est-il nécessaire pour un jeune qui souhaite se diriger vers cette filière professionnelle de posséder le maximum de diplômes pour réussir ?

Non, pas forcément. Même si les métiers de l’immobilier sont de plus en plus exigeants, avec un encadrement règlementaire qui ne cesse d’évoluer, j’en veux pour preuve la promulgation de la loi ELAN, fin novembre. Nous proposons des parcours accessibles dès le niveau bac, jusqu’à des Masters qui nécessitent un bac + 4. Tout est question de volonté, de motivation et d’intérêt pour ces professions qui sont exigeantes, certes, mais passionnantes. Surtout, il s’agit d’aider les ménages ou les entreprises à se loger, ce qui est un acte récurent et pérenne.

L’ESI propose 17 formations diplômantes et 400 thématiques. Quelles sont-elles ?

Le BTS professions immobilières, puis en partenariat pédagogique avec nos Universités partenaires (Perpignan, Lorraine, Limoges, Aix Marseille, Dijon, Paris VIII): six licences professionnelles, quatre Masters 1 et six Masters 2, tous 100 % immobilier, urbanisme et/ou gestion patrimoniale. Vous avez le détail sur notre site www.groupe-esi.fr...

Par manque de temps, peut-être par ignorance, les professionnels ont parfois du mal à se dégager de leurs contraintes pour suivre une formation, ou envoyer leurs collaborateurs. Comment remédier à cela ?

Déjà, la formation n’est pas une perte de temps. C’est un investissement qui permet de toujours mieux répondre aux exigences de ses clients. La meilleure des réponses pour les « sur- bookés », c’est la formation digitale à travers nos « webinaires ». On se forme, depuis son bureau, en « visio-conférence synchrone », sans déplacement. C’est le formateur qui vient « virtuellement »  à vous ! C’est un énorme gain de temps…

« Avec Jean-François BUET, le président de l’ESI, il n’y a pas de problème entre Bourguignons ! »

Votre siège social est situé à Courbevoie. Une facilité, sans doute, pour faire converger tous les apprenants vers la capitale et l’Ile de France ?

C’est un choix qui répondait à notre cahier des charges et nos contraintes financières. Courbevoie, c’est la Défense. Mais, c’est une ville agréable à dix minutes de Paris centre par les transports !

Disposez-vous de représentativité à travers l’Hexagone ?

Nous sommes présents pour la formation continue à travers nos cinquante centres de formation dans nos chambres syndicales. Mais, nous allons proposer dès le premier semestre 2019 un modèle qui va nous rapprocher encore plus des territoires…

Financièrement, quel est votre modèle économique ?

Nous sommes une entreprise comme les autres. La FNAIM a beaucoup investi au départ pour lancer ce projet. Aujourd’hui, nous sommes fiers de pouvoir être un centre d’activité à l’équilibre et qui, je le crois, permet à la FNAIM de faire un réel retour sur investissement.

Comment voyez-vous la formation dans les années à venir ?

La nouvelle loi sur « la liberté de choisir son avenir professionnel », promulguée le 05 septembre dernier, est une révolution copernicienne, comme il est bon de dire… Elle contient des éléments positifs. D’autres qui appellent à la vigilance. Je pourrai vous en dire plus quand les quatre-vingts décrets que nous attendons seront parus. Ce que je peux affirmer, c’est que nous sommes prêts à gérer ce nouveau biotope réglementaire au service de nos adhérents FNAIM et de nos autres clients.

L’ancien président de la FNAIM, Jean-François BUET, est désormais le président de l’ESI. Comment fonctionne votre binôme au sein de l’ESI ?

Entre bourguignons, il n’y a pas de problème ! Jean-François BUET m’a recruté il y a quinze ans (il était à l’époque président de la FNAIM par intérim). Nous avons eu le temps d’apprendre à nous connaître, et je crois, à nous apprécier. La formation est un enjeu majeur pour la FNAIM, et notre nouveau président fédéral Jean-Marc TORROLLION, de même que son président-adjoint, Loïc CANTIN. Ils travaillent également étroitement avec nous sur les dossiers.

Maîtriser la formation, gage d’excellence, demeure-t-il le meilleur moyen de faire front à la concurrence exacerbée qui sévit à l’heure actuelle sur votre secteur d’activité ?

Notre modèle a fait ses preuves désormais, nous essayons d’être « agiles » face à notre environnement. Il en va de même pour les professionnels qui viennent se former chez nous. La marque « ESI », associée à la FNAIM, est aujourd’hui reconnue et représente un gage de sérieux et compétence. Notre travail de plus de quinze années est en train de porter ses fruits.


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Terre d’inspiration auprès du monde agricole comme le stipule son fameux credo, la coopérative YNOVAE est aussi un creuset de transmission des savoirs auprès des jeunes professionnels qui embrassent la carrière. Le développement du club « Atouts Jeunes », concept national déjà adoubé par une cinquantaine de coopératives en France depuis plus d’une décennie, l’atteste. Une douzaine de jeunes gens ont bénéficié sur notre territoire de cet incontestable outil pédagogique. Ce cycle de formation s’est décliné par des visites et immersions au cœur de l’appareil organisationnel de la filière. Il s’est également conclu par un voyage d’études de plusieurs jours dans l’un des pays Baltes exportateurs vers l’Europe, la Lettonie…

AUXERRE : S’ils sont désormais plus de 1 300 jeunes à bénéficier de cet outil pédagogique dans l’Hexagone, l’Yonne a eu l’excellente idée par le biais de la coopérative agricole YNOVAE de rejoindre le mouvement et de soutenir cette initiative. Grâce à cette action, qui intègre un processus national depuis une dizaine d’années, la structure présidée par Laurent PONCET a su renforcer ses engagements auprès de la nouvelle génération de professionnels, ayant choisi la voie de l’installation.

Pérenne, ce lien indispensable avec la relève de la corporation doit être privilégié et renforcé à l’avenir. De l’avis des stagiaires qui ont eu l’opportunité de pouvoir s’exprimer lors de l’assemblée générale de la coopérative, il y a peu, ce concept « Atouts Jeunes » constitue un réel partage d’expériences, très utile pour s’approprier les valeurs intrinsèques de ce milieu professionnel spécifique.

« S’ouvrir au monde de l’agriculture par l’intermédiaire de ce copieux programme étalé sur quatorze mois, nous aura permis d’étoffer notre réseau relationnel, devait confier l’une des participantes à ce groupe, et de mieux en percevoir toutes les subtilités fonctionnelles… ».

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Un parcours professionnalisant dédié à la qualité de leur production…

Plongés au cœur de stages leur permettant d’appréhender le métier dans sa globalité la plus éclectique, les douze néo-professionnels ne vont pas lésiner sur les déplacements et les découvertes de sites pour enrichir leurs connaissances. Opérationnel depuis le mois de novembre 2017, le laboratoire SCIENTECH, infrastructure partagée en exploitation entre les coopératives YNOVAE, 110 Bourgogne et les Moulins DUMEE, à proximité de la zone portuaire de GRON, recevra leur visite.

Là, le groupe de néophytes procédera dans le souci de maîtriser la traçabilité à l’analyse de grains de blé, avant de déguster du pain. Une manière intelligente de joindre l’utile à l’agréable gustatif !

Livrant jusqu’à 10 % de sa production céréalière vers le port de Rouen, ce haut lieu du fret fluvial et maritime via la zone du Havre (plus de 8 millions de tonnes de produits manufacturés à l’année) représente un débouché naturel pour la coopérative YNOVAE. Ses jeunes protégés s’y sont rendus pour en apprécier la qualité opérationnelle de ses installations.

Un autre temps fort de ces déplacements opportuns fut le marché de Rungis. Une fourmilière de 234 hectares de stock de marchandises agro-alimentaires où s’affairent au quotidien plus de douze mille personnes dès l’aurore.

Cap vers la Lettonie, un sérieux concurrent à l’agriculture nationale…

Mais, le voyage d’études conçu pour découvrir les perspectives évolutives de l’un des pays européens, positionnés parmi les plus concurrentiels de l’Hexagone, la Lettonie, demeurera le point d’orgue de cette intense période de réflexion. D’ailleurs, les chiffres égrenés par les stagiaires confortent ce propos. Riga exporte aujourd’hui près de 80 % de sa production agricole vers 43 états dont la France.

Indépendante depuis la chute du bloc soviétique, survenue en 1991, cette terre des pays Baltes de deux millions d’habitants ne vit principalement que pour son développement agraire.

Soutenu par l’Union européenne (le financement de séchoirs et l’acquisition de matériel agricole), le pays dispose de solides ressources naturelles dont 60 % de forêts. Bien que sa gouvernance ne soit guère préoccupée par les enjeux environnementaux, la filière peine, néanmoins, à trouver de la main d’œuvre qualifiée pour garnir ses exploitations.

Durant ces quatre jours de voyage, les douze membres du club « Atouts Jeunes » Icaunais ont pu profiter de leur séjour pour s’intéresser pêle-mêle aux coopératives agricoles et à leur rendement, au développement du biogaz ou à l’émergence des brasseries. Précisons que la Lettonie est en train de prendre ses marques exportatrices vers des régions stratégiques importantes pour l’économie française à l’instar de l’Afrique du Nord et l’Afrique de l’Ouest.

 

 


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Le club service a organisé son traditionnel arbre de Noël à la salle des fêtes des PEULONS à Chablis. La présence d’une professionnelle des loisirs créatifs, Christelle, aura permis d’égayer cette séance conviviale où petits et grands ont pu exercer à satiété leurs talents de petits bricoleurs. Créant au passage de magnifiques décorations festives à mettre au pied du sapin ou sur la table le soir du réveillon…

CHABLIS : Le Père Noël fit son apparition à la joie des plus petits qui, pour certains d’entre eux, ne cachaient pas leurs larmes. De crainte de se retrouver aux côtés de ce personnage bizarre !

Des cadeaux et friandises ont été généreusement distribués par l’Homme en rouge, et ses lutins, d’un jour, les représentants de ce club, au service de ces enfants, choisis par le Secours populaire local.

Une trentaine d’entre eux ont ainsi pu bénéficier de la générosité du club service qui a pour credo de « Servir les enfants du monde ». Qu’ils soient malades, handicapés ou issus de milieux défavorisés.

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Plusieurs partenaires ont apporté leur soutien à ce projet…

L’après-midi récréative devait s’achever par la dégustation d’un copieux et savoureux goûter à base de confiseries offertes par la maison chocolatière ROY d’Auxerre, des boissons sucrées, données par le magasin INERMARCHE de Chablis et d’excellentes brioches et autres viennoiseries, préparées par les apprentis du CIFA de l’Yonne, le centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage à Auxerre.

Le KIWANIS Chablis Saint-Vincent recense à ce jour une dizaine de membres. Tous ont eu à cœur de se mettre à la disposition des plus démunis pour leur apporter un peu de joie et de bonheur dans leur quotidien. Le club prépare différentes actions solidaires, prévues sur l’année 2019, dont l’une avec le lycée professionnel Vauban au mois de mai…


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