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Monnaie qui unifie les économies d’une Europe diversifiée, l’euro est au cœur des débats financiers et politiques contemporains. L’introduction de l’euro a été perçue par beaucoup comme un tournant historique, symbolisant l’intégration et la solidarité européenne. Pourtant, voilà que soufflent des vents contraires, porteurs de questions cruciales : assistons-nous à la fin d’une ère monétaire ? Quelles seraient les implications d’un retour au franc, ce vestige nostalgique de la souveraineté nationale hexagonale ?

 

TRIBUNE : La monnaie européenne est presque à parité avec le dollar (1,05 euro = 1 dollar), ce qui relance le débat sur la mise à mal de l’euro et pour certains, sa disparition. D’autres raisons provoquent la réflexion. La récession est à la porte de l’Europe, portée par la France et l’Allemagne. Sans omettre une crise gouvernementale des deux côtés du Rhin, avec une instabilité budgétaire qui en découle, des exportations ralenties, la guerre russo-ukrainienne en Europe, un continent plus désuni que jamais (contestation des accords commerciaux, un soutien de POUTINE par certains pays de l’UE…), des marchés boursiers instables… Si la bourse de Francfort pulvérise ses records à la hausse, la bourse de Paris décroche progressivement…L’instabilité politique en France, aura fait craindre une baisse de la note de Standard & Poor’s, entraînant un coût de la dette exorbitant !

  

Les impacts économiques immédiats du retour au franc

 

Le remplacement de l’euro par le franc entraînerait des conséquences économiques, drastiques et immédiates. On assisterait à une volatilité accrue sur les marchés financiers puisque les investisseurs chercheraient à ajuster leurs portefeuilles en réponse aux incertitudes monétaires. De même, cette transition provoquerait une perte de confiance et pourrait générer une fuite des capitaux, hors de la France. En termes de dette publique, la France se verrait peut-être obligée de renégocier ses obligations (à des taux plus élevés), car elles auraient été émises en euros. Voici quelques effets économiques immédiats : fluctuation du taux de change et dépréciation du franc, inflation entrainée par la dévaluation, augmentation des taux d’intérêt, pour le plus dramatique.

 

L’effet sur le pouvoir d’achat et la vie quotidienne des Français

 

Un retour au franc affecterait directement le pouvoir d’achat des Français. Avec une monnaie potentiellement plus faible, les produits importés deviendraient plus chers, réduisant ainsi la capacité des ménages à consommer. De plus, le coût du crédit pourrait s’envoler, impactant ainsi les prêts immobiliers et à la consommation. Les épargnants pourraient également être inquiets quant à la valeur de leur épargne, si celle-ci perd de sa valeur à la suite d’un taux de conversion désavantageux lors du passage de l’euro au franc.

Abandonner l’euro pour revenir au franc aurait aussi des implications profondes sur les relations commerciales et diplomatiques de la France. L’Union européenne, reposant sur des principes d’intégration économique et monétaire, verrait ses fondements ébranlés, avec en autres des mesures protectionnistes en cascade.

Un retour au franc après la fin de l’euro provoquerait une incertitude économique significative, conduisant à une volatilité accrue des taux de change et à une possible dévaluation monétaire. Les entreprises françaises feraient face à une hausse des coûts de transaction pour le commerce extérieur ainsi qu’à un risque accru lié aux fluctuations des taux de change. De plus, la confiance des investisseurs pourrait être perturbée, affectant les investissements directs étrangers (IDE). En interne, les prêts seraient potentiellement plus coûteux en raison d’une crédibilité monétaire diminuée et des taux d’intérêt plus élevés, ce qui pèserait sur l’endettement des entreprises et le financement de l’expansion.

 

 

Il n’y a pas d’intérêt d’abandonner l’euro

 

Des conséquences particulièrement dramatiques pour la France : avec entre autres, plus de 500 000 emplois disparaissant et un coût de plusieurs centaines de milliards… Economiquement et financièrement, nous n’avons aucun intérêt à abandonner l’euro. Avec la crise financière française de la dette, seul l’euro est capable de nous maintenir la tête hors de l’eau. L’euro a fêté ses 25 ans en janvier 2024, et personne ne semble souhaiter la fin de la monnaie européenne. Si certains agitent le drapeau rouge, soyons pour l’instant rassuré, aucun gouvernement français ne veut quitter l’euro. Marine LE PEN et Jean-Luc MELENCHON se prononçaient pour la sortie de l’euro en 2017. Pour le RN, c’est un revirement spectaculaire, et une politique européenne proche de quelques ajustages et une volonté de préserver la monnaie unique, quant à LFI, MELENCHON entretient le flou artistique complet.

Si on a dit pis que pendre de l’euro depuis sa création, experts, politiques, journalistes… aujourd’hui, rester dans l’euro est conforme à une approche économique et financière raisonnable, et conforme à la volonté des Français depuis 2017 : d’où l’adaptation de certains partis depuis cette date…

 

Et pourquoi pas la création de deux zones euro ?

 

Pas de panique, donc, mais restons vigilants, car certains spécialistes envisagent une autre solution. L’Allemagne en tête, qui avec d’autres membres de l’UE ne veulent pas payer les écarts budgétaires des mauvais élèves, et préconisent la création de deux zones euros. Une zone de l’euro fort et une zone de l’euro à risque. Plus plausible et plus sage, mais tout aussi contraignant pour la France. A nos politiques d’anticiper les risques et demandons à nos anciens : « gérer, c’est prévoir… ». 

« L'euro, c'est le régime minceur de l'Europe voilà pourquoi on n'a plus de Grèce. » SOPRANO ou quand les rappeurs font de l’économie…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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La somme est rondelette. Huit mille euros. Remise sous la forme d’un chèque, même si c’est un fac-similé de l’instrument de paiement qui servira d’illustration le temps de la photographie, elle va permettre à son bénéficiaire, l’association « Pierres Pôle & Compagnie », de financer son projet d’épicerie sociale et solidaire itinérante à développer dès 2025 sur le Tonnerrois. Un concept ambitieux et nécessaire qui découle d’un diagnostic social départemental…

 

TONNERRE : Le donateur n’est autre que la Banque de France. L’organisme, représenté par son directeur départemental Xavier DUALE, n’a pas hésité avant de s’inscrire parmi les principaux soutiens financiers de ce concept altruiste et solidaire qui devrait voir le jour dès l’année prochaine. Logique, car dès qu’il s’agit d’encourager des initiatives déclinables sur le domaine du mécénat solidaire, la Banque de France, du fait de ses analyses pertinentes de la conjoncture territoriale, peut se montrer généreuse. En tout cas, il faut admettre que le projet de la structure associative « Pierres, Pôle & Compagnie » n’est pas passé inaperçu vis-à-vis des collaborateurs de Bourgogne Franche-Comté de la vénérable institution bancaire. Un don a été la réponse de l’établissement en faveur de ce projet ; et excusez du peu, mais de la meilleure manière qu’il fut ! Soit 8 000 euros, rien que cela !

 

Six communes de la CCLTB intéressées par le projet

 

La somme servira pour financer une partie de l’achat d’un véhicule devant faire office d’épicerie itinérante sur le Tonnerrois. Un secteur géographique particulièrement exposé au niveau de l’emploi et la précarité. La présence de la Banque de France en soutien financier de ce projet s’inscrit dans la logique des choses ; l’organisme travaillant déjà avec des structures telles que la Mission Locale afin d’accompagner les jeunes et les personnes en difficultés.

 

 

Cette épicerie sociale et solidaire itinérante devrait être opérationnelle à l’automne 2025. De quoi s’agit-il plus exactement ? Le concept repose sur l’entraide. Principalement alimentaire envers des personnes en situation de vulnérabilité économique ou sociale. Là, dans le cas présent, « Pierres Pôle & Compagnie » s’appuierait sur les services d’un véhicule réfrigéré, pouvant embarquer des victuailles, vendues ensuite à faible tarification aux habitants des communes traversées par la tournée. De village en village dans le Tonnerrois. On sait à date que six localités se sont déjà fait connaître pour accueillir le circuit de cette épicerie ambulante ! On y trouverait, certes, des denrées alimentaires mais aussi des produits d’hygiène et d’entretien.

 

Un taux de pauvreté en hausse sur le Tonnerrois

 

Une initiative qui possède un caractère d’urgence, en vérité. Depuis 2019, le taux de pauvreté ne cesse d’augmenter dans l’Yonne, passant de 13,7 % à 14,5 % en l’espace de sept ans. Avec en toile de fond, un focus tout particulier mis sur le secteur du Tonnerrois. La Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne (CCLTB) figure dans le top 5 des EPCI les plus pauvres de notre territoire. Soit 2 560 personnes qui y vivent sous le seuil de pauvreté et qui potentiellement pourraient avoir besoin des services de l’épicerie sociale et solidaire. D’où le besoin de l’itinérance de cet « aller vers » au bénéfice des plus pauvres. Une nécessité confortée par le retour d’une enquête réalisée par les travailleurs sociaux de l’UTS de Tonnerre auprès de leurs bénéficiaires.

Concrètement, dix-sept partenaires du territoire ont été rencontrés à date et ont accueilli avec un réel intérêt le projet d’épicerie sociale itinérante afin de répondre aux besoins des usagers.

Dans les faits, ce sont près de 500 personnes qui devraient profiter de cette nouvelle offre de service à terme, chaque année, le camion-épicerie visitera de deux à trois communes par jour, soit de six à neuf localités ciblées dès le démarrage du concept. Cinq personnes devraient encadrées l’initiative en termes de ressources humaines. A suivre !

 

Thierry BRET

 


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La politique « RSE » au sein de la Banque Verte ? Ce ne sont pas des paroles en l’air, visiblement ! « Elle nous tient à cœur », devait affirmer le directeur-adjoint de l’établissement, dont la zone de chalandise est à cheval sur deux grandes régions que sont la Champagne et la Bourgogne. En déplacement ce vendredi tantôt dans l’Yonne, à l’occasion de la remise de cycles électriques à trente-trois collaborateurs du siège icaunais auxerrois, Laurent HARO a rappelé le sens de la responsabilité et de l’engagement de son entreprise, en présence d’élus de la Ville d’Auxerre.

 

AUXERRE : Qu’on se le dise, les usages de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) et ses déclinaisons sont connus, voire pratiqués par l’ensemble des collaborateurs du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne ! Et ce, depuis 2023, date à laquelle ils ont été tous formés ! Un engagement voulu par la direction de l’établissement « vert » qui revendique depuis plusieurs années sa motivation à vouloir les suivre.

Face aux défis soulevés par la lutte contre le réchauffement climatique et la nécessaire transition énergétique qui en découle, les têtes pensantes de la « grande maison » ne sont pas restées les deux pieds dans le même sabot au niveau des initiatives à prendre. Le crédo de l’entreprise est le suivant : réduire les émissions carbones liées à ses financements d’ici 2050 ! Une stratégie de neutralisation qui s’étend sur l’ensemble de ses activités.

 

Une direction Engagement Sociétal créée en interne dès 2023

 

Prenant le taureau par les cornes, le Crédit Agricole de notre contrée régionale s’est donc attelé à créer en 2023 une direction de l’Engagement Sociétal. Elle mobilise son réseau humain autour de trois axes prioritaires : le renforcement de la cohésion et de l’inclusion sociale, l’agissement en faveur du climat et la transition vers une économie bas carbone, et enfin, dernier point, la réussite des transitions agricoles et alimentaires, le fondement même de l’établissement bancaire.

« En interne, nous avons un rôle à jouer, a expliqué le directeur-adjoint du groupe Laurent HARO en déplacement dans l’Yonne, vendredi après-midi à l’occasion de la remise d’une trentaine de vélos électriques à autant de collaborateurs volontaires pour effectuer a minima cinquante trajets lieu de travail/domicile par le truchement de la mobilité douce, auprès de nos salariés. Mais aussi en externe, auprès de nos partenaires et fournisseurs… ».

 

Un petit jeu de devinettes fort utile pour mieux comprendre les enjeux

 

Puis, se prêtant au jeu de la devinette, le dirigeant du CACB interrogea ses collaborateurs sur le niveau de l’empreinte carbone d’un français moyen en équivalence tonne de Co2 à l’année. Laissant un court laps de temps à son public d’y réfléchir, avant de formuler la réponse. « Un Français moyen dépense de 6 à 7 tonnes d’équivalent Co2 par an ! ». Loin des 200 tonnes soufflées par l’une des salariés du groupe, qui avait un peu forcé le trait, ce qui aura entraîné quelques rires amusés parmi l’assistance.

Satisfait de son petit jeu, Laurent HARO proposa une seconde interrogation du même acabit au public : « quelle est l’empreinte carbone interne de la caisse régionale ? ». De nouveau, un blanc parmi l’assistance. Mais, là, personne n’ose s’aventurer sur le thème en esquissant un semblant de réponse.

« En fait, renchérit le dirigeant régional du Crédit Agricole, le chiffre à retenir s’élève à 17 000 tonnes d’équivalence Co2 à l’année ! C’est ce que dépense la caisse régionale de Champagne-Bourgogne, annuellement ! Cela comprend les rejets carbones du chauffage des locaux, de l’utilisation de l’énergie, la mobilité, etc. Et à partir de ce chiffre-là, nous nous sommes donnés comme ambition d’être à zéro en 2050… ».

 

 

Le premier jalon de – 20 % en 2024 est atteint !

 

Très ambitieux, effectivement ! Depuis 2022, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne s’est plongé sur le dossier. Fin 2024, un premier palier de – 20 % de réduction du Co2 par l’entreprise sera atteint. « On y sera grâce à votre engagement, expliqua l’orateur, grâce à toutes les actions que nous avons mis en place et la sensibilisation opérée auprès de tous les salariés, dans un vaste plan de formation décliné en 2023… ».

Du côté des bâtiments, la rénovation des agences commerciales aura permis de supprimer les passoires thermiques en faisant abstraction désormais des cuves à fioul. Le contrôle des températures dans les locaux intègre ses priorités. Un premier jalon qui a été posé avec succès dans la feuille de route de la banque.

Reste le troisième volet, très important pour l’établissement bancaire : son empreinte carbone relative à ses financements. Une fois de plus, Laurent HARO un brin amusé prend au jeu ses collaborateurs auxerrois : « A votre avis, c’est combien ? ».

De nouveau, le silence de plomb alourdit l’atmosphère dans le hall du siège auxerrois du groupe financier.

« C’est énorme, souligne l’interlocuteur, cela correspond à 800 000 tonnes d’équivalent Co2 à l’année ! Notre engagement 2050 de nous situer à zéro concerne également cette partie là de notre activité. Celle-ci se traduit par des soutiens financiers apportés à l’agriculture et notamment à la filière de l’élevage, un secteur qui contribue fortement aux émissions de carbone comme chacun le sait. Il y a aussi l’immobilier résidentiel puisque les constructions en Bourgogne Franche-Comté sont parmi les plus permissives de l’Hexagone, avec un immobilier ancien et une zone météorologique ne faisant pas partie des plus chaudes de France… ».

 

Façonner le territoire à la transition énergétique

 

Deux options se présentent ainsi à la Banque Verte pour réduire drastiquement ses émissions et celles des autres de ses partenaires : « soit on arrête de soutenir les éleveurs ou de financer l’acquisition de logements ayant de faibles DPE ; soit on se dit que l’on prend notre responsabilité sociétale auprès de tous les acteurs de la vie qu’ils soient particuliers ou professionnels en leur proposant de « verdir » l’économie. Ainsi, en les aidant et en les accompagnant, on va faire pivoter dans la même direction tous les agents économiques et tout le monde pour passer vers des modèles économiques et climatiques plus vertueux… ».

Un chemin sur lequel le Crédit Agricole est engagé depuis plusieurs années dans notre région, avec le concours de partenaires institutionnels et entrepreneuriaux du terroir, à l’instar d’EDF. Un impact façonneur sur le territoire champenois et bourguignon qui est pris à cœur par les dirigeants de la structure.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Surprenante structure architecturale que celle-ci ! Certainement, le plus bel édifice de ce nouveau quartier de Dijon, situé non loin de la rocade, parsemé en très peu de temps de bâtiments accueillant bureaux et sièges sociaux de grands groupes. Une construction qui a été réalisée à partir d’une ossature bois et qui regorge de judicieuses trouvailles ergonomiques et esthétiques à l’intérieur. De quoi donner davantage de peps et d’enthousiasme aux collaborateurs de la Caisse d’Epargne BFC qui se plaisent à y travailler ! L’édifice a été inauguré officiellement ce mardi en début de soirée…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il y a eu des hauts et des bas dans la phase constructive, entamée depuis plusieurs années, de ce très esthétique bâtiment à l’originalité avérée, mais cette fois, ça y est ! Oublié la COVID et les retards qui ont pénalisé temporairement le projet, le « Valmy », appellation toute légitime donnée au nouveau siège social de l’établissement bancaire régional puisque se situant sur le boulevard qui porte son nom, est désormais opérationnel ! Un édifice à la curieuse et étonnante ossature bois qui en ferait presque un site unique dans l’Hexagone, du fait de sa typicité.

De loin, cet « OVNI » de l’immobilier dijonnais se repère très facilement avec sa ligne si particulière et ses courbures insolites. Un lieu de vie professionnel, comprenant six étages, répartis sur près de 10 000 mètres carrés ! C’est sûr : visuellement, cela décoiffe ! Un outil de travail que les 450 collaborateurs de la société identifiée aujourd’hui par le fameux écureuil (oui, oui, le petit mammifère de nos forêts qui aiment cacher ses noisettes par prévoyance, lui assurant des provisions l’hiver durant !) des plus agréables à contempler.

 

Une soirée de présentation agrémentée d’une visite du site

 

Mardi en début de soirée, ils étaient environ deux cents personnes, invitées à la phase inaugurale de ce joyau, enfin sorti de son écrin après une si longue attente. Sur l’estrade, se retrouvait le binôme de l’exécutif décisionnaire de l’entreprise. A savoir, un Jérôme BALLET, micro en main, ayant soif d’impatience de démarrer dès que possible la cérémonie. Sachant que la soirée allait être longue dans ce nouvel antre de la Caisse d’Epargne, car il était prévu à l’issue des allocutions une visite de l’endroit, soit une découverte par petits groupes et sur un rythme bien soutenu des…six niveaux de la construction !

On comprend aisément le désir de débuter du président de la CEB Bourgogne Franche-Comté, soucieux de l’exactitude protocolaire de l’instant.

A ses côtés, et toujours très souriant, Eric FOUGERE, le président du Conseil de Surveillance du groupe bancaire régional, le COS. Un tandem directionnel qui sera vite rejoint avant le début des « hostilités » par la première vice-présidente de Dijon Métropole, Nathalie KOENDERS.

En guise de prologue, une courte vidéo fut projetée sur le grand écran situé derrière la tribune cérémoniale. Quatre minutes d’images et de sons pour mieux appréhender les enjeux de ce projet démontrant l’engagement environnemental et sociétal de la banque qui était également autrefois « L’Ami Financier ». Le vaisseau de bois et de verre reposant sur un socle de béton fut ainsi brièvement décortiqué prises de vues à l’appui, devant une assistance captivée. Le deuxième complexe en bois jusque-là jamais érigé en Europe a pu ainsi livrer ses secrets de fabrication. Nous y reviendrons ultérieurement…

 

 

« Nous pensons être là pendant des années encore ! »

 

Une fois les lumières ravivées, Jérôme BALLET, président du directoire de la Caisse d’Epargne, prit la parole.

« Nous ne sommes pas précurseurs sur ce secteur de Valmy, devait-il affirmer, mais nous avons été parmi les premiers à nous installer ici, grâce à une agence commerciale. Mais, aujourd’hui, nous constatons que ce quartier est en train de croître… ».

Une implantation stratégique du nouveau siège social qui ne doit rien au hasard en cet endroit. « Nous pensons être là pour des années, voire des décennies ! Et je crois que ce bâtiment commence déjà à s’imposer grâce à son architecture, dans l’environnement local ».

Saluant le savoir-faire des entreprises régionales ayant travaillé sur ce chantier, Jérôme BALLET poursuivit en remerciant Dijon Métropole qui a également encouragé le projet.

Le choix de cet édifice repose en fait sur trois bénéfices, selon le président du groupe. Le premier est l’ancrage régional. Le second est un vrai projet d’entreprise avec la dynamique de modernisation de l’établissement bancaire, afin de gagner en efficience et en adaptabilité. Le troisième de ces bénéfices correspond à la marque employeur.

Explications de texte de l’intéressé : « C’est très important à nos yeux, car cela correspond à davantage d’attractivité pour pouvoir recruter des talents mais aussi conserver celles et ceux qui apportent déjà leur plus-value à nos côtés… ».

 

 

 

Un outil de travail en mode RSE qui colle aux attentes des collaborateurs

 

Il y a quelques jours, la direction avait fait le choix d’organiser la « journée des familles », permettant ainsi aux collaborateurs de découvrir en compagnie de leurs proches ce nouvel espace de travail dont ils sont fiers. On aura recensé in fine plus de 500 visiteurs ce jour-là !

Jérôme BALLET ne put conclure son propos sans évoquer l’aspect RSE de son groupe. Ce bâtiment est passif, avec une basse consommation énergétique, soit cinq fois moins de consommation que les deux anciens bâtiments qui faisaient office de siège social, situés non loin de la Toison d’Or.

« Nous sommes sur un concept RSE parce que nous avons utilisé des matériaux nobles à sa construction comme le bois, la pierre de Bourgogne, ajouta l’orateur, qui livra ensuite un presque « scoop », il n’y a pas de climatisation ! Nous avons doté l’édifice d’un système de rafraîchissement avec des glaçons se créant la nuit et rafraîchissant les tuyaux la journée… ». Pour faire simple, au niveau du processus technique, il va de soi !

 

 

Plaisantant sur le sujet, Eric FOUGERE, président du COS, s’amusa avec la formule suivante : « On attendait la fin du projet depuis un moment, c’est vrai que cela a pris du temps ! ». Un projet, qui rappelons-le, a été dévoilé le 03 juillet 2017 par l’ancien responsable d’alors, Jean-Pierre DERAMECOURT, présent parmi l’assistance aux côtés de l'élu de la Région, Michel NEUGNOT. Une vision qui était alors jalonnée de réussites avec la maîtrise de la prise de risques. C’était sans compter sur la crise sanitaire de la COVID qui interrompit momentanément la construction. « Il faut être convaincu du projet et de son utilité, insista Eric FOUGERE.

Selon le président du COS, « le bilan est très positif ». Puis de rajouter : « on arrive à doter les salariés du siège d’un outil formidable, avec un concept innovant qui colle aux attentes des modes de travail d’aujourd’hui… ».

Un outil de travail qui ancre un peu plus la Caisse d’Epargne sur son territoire régional, avec une volonté très affirmée d’être tourné vers le développement. L’empreinte indélébile, la vraie, d’un acteur de la vie économique et sociétale, en quelque sorte…

 

Thierry BRET

 


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Cadre inhabituel pour le séculaire spécialiste en gestion du patrimoine – l’entité a été fondée au niveau hexagonal en 1844 - qui proposait en fin de semaine dernière à un panel de clients et prospects une conférence thématisée autour de deux sujets très porteurs, en cette rentrée 2024 : la retraite et les impôts. En effet, les représentants du groupe mutualiste dans l’Yonne avaient jeté leur dévolu sur l’une des salles de l’abbaye Saint-Germain à Auxerre. Un cadre idéal pour évoquer le patrimoine et ses divers arcanes…

 

AUXERRE : Peut-on dissocier les items suivants, la retraite et les impôts, de toute discussion intelligente prétexte à une conférence et à un débat ?! Manifestement, non, pour les représentants du Conservateur, dans l’Yonne, qui se sont rappelés au bon souvenir de la presse, en organisant jeudi une soirée qui ponctue leur actualité autour d’un axe central permettant réflexion et questionnement.

C’est dans l’une des grandes salles sises à l’abbaye Saint-Germain – décidément, l’endroit est très prisé pour y accueillir désormais expositions artistiques et causeries de tout poil ! – que devait converger la trentaine de personnes invitées, triées sur le volet et munies de leur carton d’invitation pour y vivre cet évènement.

Une animation qui se voulait à la fois didactique puisque Le Conservateur avait dépêché en ces murs ses meilleurs spécialistes sur la double question du jour mais aussi conviviale, la soirée devant s’achever en partageant les agapes autour d’un traditionnel cocktail.

 

Une enseigne actrice sur la gestion patrimoniale fondée en 1844 !

 

En maîtresse de cérémonie, on retrouvait une figure de la gestion patrimoniale de l’Yonne, présente sur ce circuit économique depuis pas mal de temps – elle a suivi les traces de son papa, Jean-Claude, dès 1996 ! -, en la personne de Claire LESCOT. Grand bien lui en a pris ! Aujourd’hui, la jeune femme officie au sein de l’entité en qualité de déléguée régionale, en charge de six collaborateurs, tant sur la Nièvre que de l’autre côté de la frontière avec le territoire septentrional de la Bourgogne. Elle intervient même en Haute-Marne et assure aussi les fonctions d’animateur-recruteur !

 

 

En tandem avec l’un de ses collaborateurs, l’oratrice rappela slides à l’appui la genèse de cet établissement spécialisé dans la gestion du patrimoine, méconnu du grand public et chantre de la discrétion au niveau du marketing. Une enseigne que l’on doit à Eugène RIFFAULT qui devait la porter sur les fonts baptismaux en…1844 !

Depuis 180 ans, Le Conservateur essaime son savoir-faire aux quatre coins de l’Hexagone. Au 31 décembre 2023, le groupe mutualiste indépendant possédait plus de 275 000 clients, s’appuyait sur les services de 690 agents généraux d’assurance et se diversifiait en cinq filières au service de sa clientèle. Côté chiffres, il a collecté pour 1,120 milliard d’euros fin 2023. Ses encours sous gestion s’élevant à plusieurs millions d’euros à la même date.

 

La tontine, un produit vedette du groupe mutualiste et qui le reste !

 

Revendiquant cette discrétion sciemment affichée, Claire LESCOT analysa les données chiffrées en précisant que la progression de la collecte avait été multipliée par quatre au cours de ces dernières années.

Puis, elle évoqua le poids de la tontine, le produit phare du Conservateur, en le démystifiant quelque peu : « On ne propose pas que de la tontine à nos clients, s’amusa-t-elle, nous sommes des architectes du patrimoine et proposons bien d’autres solutions patrimoniales à l’instar de l’épargne retraite, de l’assurance-vie, de placements financiers à base d’obligations et d’actions, de contrats de capitalisation, de produits de prévoyance, d’une offre immobilière et de solutions qui sont destinées aux chefs d’entreprise… ».

D’ailleurs, Le Conservateur se fait fort d’être tout de même un véritable spécialiste de la tontine, dont le principe repose sur un investissement en commun et une répartition de l’argent au terme de la durée (entre 10 et 25 ans selon les cas) entre tous les souscripteurs ; puisque environ 136 000 tontiniers ont souscrit des contrats honorés par le groupe !

Il ne restait ensuite plus qu’à écouter ces spécialistes de la gestion financière patrimoniale aborder le thème de prédilection, la retraite et les impôts (et surtout comment réduire ceux qui sont appliqués sur les revenus !) alors que pointent à l’horizon de nouvelles sources d’inquiétude pour les Français avec la hausse probable de ces prélèvements si impopulaires afin de renflouer les caisses de l’Etat, désespérément vides ! Mais, de cela, c’est une autre histoire !

 

Thierry BRET

 

 


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