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Au bout de cinq années de forcing auprès des services de l’Etat, la maire de Sens Marie-Louise FORT est enfin parvenue à obtenir l’autorisation d’aménager l’extension des Jardins de l’Orangerie, ancien havre de paix des archevêques jusque-là laissé à l’abandon. Inauguré depuis peu, c’est une incontestable réussite pour les férus de patrimoine et de verdure…

 

SENS : Cultivés par des communautés religieuses depuis le Moyen-Âge, les jardins de curé étaient de véritables havres de paix qui joignaient l’utile à l’agréable. Se mêlaient de nombreuses plantations, de fruits et légumes, de fleurs traditionnelles servant à la décoration de l’église, de plantes médicinales et potagères, bordées par du buis. Ils leur permettaient de subvenir à leurs besoins quotidiens, médicaux et alimentaires, mais ils leur offraient aussi un lieu de détente.

Au nombre de 30 000 au XIXème siècle, ils ne sont plus qu’une poignée à l’heure actuelle, notamment en raison du changement de mœurs, de l’avènement de la télévision ou encore de l’urbanisation. Encore que, depuis quelques années, un réel engouement pour ces espaces verdoyants sortis d’une autre époque semble émerger chez les amoureux du jardinage. D’ailleurs, les conseils pour créer son propre jardin de ce style foisonnent sur la toile.

 

Il faudra attendre le XXIème siècle pour revoir un jardin de curé à Sens…

 

L’extension des Jardins de l’Orangerie a endossé de nombreux rôles à travers les siècles. Au XVIIIème, l’archevêque de Sens, Mgr LANGUET de GERGY décide d’agrandir cet espace de verdure en réalisant de nombreux travaux. Mais après la Révolution, les jardins sont laissés à l’abandon, puis réhabilités par Mgr de la FARE, sous la Restauration.

Au début du XXème siècle, avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat, l’ensemble archiépiscopal laisse place à un « sanctuaire de l’enseignement pour jeunes filles » comme le raconte Marie-Louise FORT. Le jardin devient une cour de récréation et l’Orangerie, un gymnase. Il se mue ensuite en « un vaste dépôt municipal ».

Le jardin de curé ne renaîtra finalement de ses cendres qu’au XXIème siècle. Il trône désormais parmi quelques rescapés de son espèce, dont celui du peintre Claude MONET à Giverny, l’un des plus charmants. 

 

 

La ville de Sens se réapproprie cette tradition ancestrale…

 

« Ici, les jardiniers ont encore pu donner libre court à leur imagination en proposant une composition savante de plantes médicinales, tinctoriales, aromatiques et potagères » a déclaré Marie-Louise FORT lors de l’inauguration de ce nouvel espace d’agrément.

La ville de Sens s’était donnée pour objectif de faire revivre l’un de ces jardins qui jouxtaient autrefois les abbayes, couvents ou monastères. Non sans effort car elle œuvrait depuis cinq ans afin de persuader la DRAC (Direction régionale des Affaires culturelles) de Bourgogne de l’utilité d’une telle initiative. Celle-ci venant enrichir le patrimoine floral et historique du territoire sénonais.

Le parcours de ce projet fut davantage semé d’embûches, étalé sur de nombreux mois, et freiné par les mesures de confinement. Il voit finalement le jour cet été après plus de 2 000 heures de travail, coûtant au total 105 000 euros.

 

 

La ville souhaite faire de l’acier Corten sa marque de fabrique…

 

Le service des parcs, jardins et espaces verts a pu, une nouvelle fois, faire la preuve de son talent horticole en aménageant ce  jardin. Du design à la culture, le service a entièrement mené ce projet hors normes, sauf pour la sécurité incendie, prise en charge par une entreprise externe. La municipalité tenait à favoriser des matériaux et des matières premières françaises, voire locales.

Issue du sud de l’Yonne, la pierre de Bourgogne orne notamment la fontaine. Elle est un élément essentiel de cette installation. Tout comme l’acier Corten avec lequel ont été fabriqués les bacs, fournis par la société ATECH, basée dans les pays de la Loire.

Le responsable du service, Aurélien LOISEAU, précisa, en outre, qu’il « existe une ligne rouge entre chaque espace vert » grâce à l’utilisation de l’acier Corten. Les quatre grandes lettres de la ville de Sens, apposées au mur du quai Schweitzer et souhaitant la bienvenue aux bateliers, sont d’ailleurs aussi faites de cette matière.  « Dans tous nos projets, on va l’intégrer au fur et à mesure… ». Sage résolution !

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


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Il ne pouvait rêver mieux, l’ex-responsable de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne. Evincé du fauteuil suprême de président de l’organisme consulaire en novembre 2012, au terme d’élections qui lui seront défavorables, l’éleveur de Leugny effectue un retentissant come-back sur le devant de la scène de la filière. En se parant de la vêture de conseiller départemental en charge des questions agricoles et environnementales. Un formidable pied de nez à l’adversité ?

 

AUXERRE : Intérieurement, c’est sûr, le binôme d’Isabelle FROMENT-MEURICE, doit savourer l’instant présent. Elu lors des dernières échéances départementales dans le canton de Cœur de Puisaye avec 62,35 % des suffrages au second tour (expédiant ainsi dans les limbes de l’oubli le tandem du Rassemblement national), Gilles ABRY (LR-UDI) retrouve la tribune officielle de la Chambre départementale d’Agriculture, pour sa traditionnelle session de rentrée en cette matinée du 09 septembre.

Il siège aux côtés du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, d’Arnaud DELESTRE, le président de l’institution agricole et de François AVEZ, le nouveau directeur qui vient de prendre ses fonctions en remplacement d’Hervé MIVIELLE.

Une estrade que le personnage connaît bien, assurément. D’autant qu’il l’a fréquenté sous un tout autre registre six années durant, entre 2006 et 2012. A l’époque, l’agriculteur-éleveur y tenait la baguette de chef d’orchestre de l’assemblée consulaire. On connaît la suite : les élections de novembre 2012 furent fatales à sa réélection.

« Même si je suis aujourd’hui un élu du Département, annonce-t-il en guise de préambule, je reste surtout un agriculteur… ».

 

 

« Les agriculteurs sont là pour travailler la terre et nous nourrir… »…

 

Le ton est donné. Professionnel dans l’âme, le représentant de la commission Agriculture, Environnement et Alimentation du Conseil départemental sera celui des élus qui suivra l’actualité et les activités de la filière. Cela tombe bien : au moment où celle-ci en a le plus besoin !

D’ailleurs, l’orateur du jour n’a pas attendu très longtemps avant de se rappeler à notre bon souvenir par l’expression de petites phrases où la langue de bois est totalement proscrite du discours.

Florilège : « Nous, autres, les agriculteurs sommes là pour travailler et nourrir les hommes, il ne faudrait pas que certains utopistes et extrémistes l’oublient en ne pensant sauver que quelques oiseaux… ».

Ou encore : « Entre le Conseil départemental et la Chambre d’Agriculture, il y a un manque de coordination sur certains sujets ! ». Et celle-ci : « Je pense que l’outil AGRILOCAL coûte dix fois plus cher à son fonctionnement qu’il ne rapporte en terme de chiffre d’affaires… ».

Du sévère servi à l’état brut qui devrait bousculer quelque peu dans les chaumières !

Bref : on l’aura compris, Gilles ABRY n’a pas été élu au Département pour faire de la figuration. Surtout dès qu’il s’agit de défendre les intérêts et les droits de la filière agricole.

Former et anticiper intègrent son credo. Développer, l’esprit d’entreprise au sein de l’agriculture, aussi. « Nous allons travailler à de vrais projets d’avenir… ». Et peut-être, en toile de fond, essayer de résoudre la sempiternelle question de la pénurie de main d’œuvre qui plombe le travail dans les exploitations.

Se projetant vers l’avenir, l’élu spécialiste des questions agricoles évoque Paris et l’échéance olympique de 2024.

« Nous allons mettre une vraie action de communication afin de valoriser nos filières et notre campagne avant les Jeux… ». La proximité avec la capitale hexagonale ne peut qu’induire de réelles retombées économiques pour les filières de production.

Une chose est sûre : au terme de sa première prise de parole dans cette assemblée consulaire dont il connaît le moindre des rouages, Gilles ABRY entend bien ne pas flâner en route et entrer immédiatement dans le vif des sujets.

 

Thierry BRET

 

 


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Pas le temps de se reposer sur ses lauriers estivaux et de profiter de l’été indien à la chambre consulaire agricole ! L’heure de la reprise sonnera d’ici peu avec le retour des fameuses sessions, permettant aux élus de brosser dans un vaste tour d’horizon l’actualité de la filière et de ses diverses composantes…

 

AUXERRE : Ils ont pris date sur leurs agendas respectifs, le préfet de l’Yonne, le représentant du Conseil départemental et le président de la Chambre départementale d’agriculture.

Le jeudi 09 septembre sera le moment idéal pour se retrouver après la longue trêve estivale qui aura facilité le temps du repos. Et peut-être celui de la réflexion.

De nombreux sujets d’actualité attendent les trois hommes lors de cette séance de travail, fleurant bon le chemin de la rentrée.

D’autant que, comme à l’ordinaire, le programme s’avère copieux pour les élus de la vénérable institution.

Outre les sujets brûlants d’une actualité fertile en évènements à défaut de l’être dans les exploitations, particulièrement affectées par des conditions météorologiques laissant à désirer (mais où étaient le soleil et la chaleur durant ces deux mois d’été ?!), plusieurs items inscrits à l’ordre du jour capteront les intérêts des participants.

Si Arnaud DELESTRE devrait tirer les premiers enseignements d'un été calamiteux au niveau de la pluviométrie et les répercussions engendrées côté récoltes, l'approbation de divers comptes rendus confèrera une touche plus administrative à l’ensemble.

L’un des instants phares de ces retrouvailles sera, n’en doutons pas, l’évocation de la réorganisation interne de la chambre. Avec son lot de surprises qui va de pair ?

Enfin, parmi les autres thèmes qui seront abordés, signalons la présentation des résultats de l'étude « Agricultures en transition » réalisée par l'Ipsos, ainsi que le rendu de l'enquête de satisfaction « Yonne sur mes parcelles ».

 

Thierry BRET

 

 


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Choqué, scandalisé par les images insupportables relayées par plusieurs vidéos de l’association de défense animale, le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien DENORMANDIE s’insurge contre « les pratiques inacceptables » d’un élevage porcin qui sévit dans l’Yonne. Un établissement ayant fait l’objet le 01er juin d’un signalement auprès de la gendarmerie après un dépôt de plainte.

 

TONNERRE : « On n’achève bien les chevaux », disait le film. On maltraite aussi les cochons, répond en écho L214. La fameuse association de défense animale vient de balancer un nouveau pavé dans la mare, et de taille encore une fois, qui éclabousse la pratique de l’élevage intensif et ses méfaits dans le registre de la cruauté ordinaire.

Circulant sur les réseaux sociaux, ces images, innommables, sont à la limite de la barbarie dont sont victimes aujourd’hui bon nombre d’espèces animales.

Certes, l’opprobre ne doit en aucun cas être jeté sur l’ensemble de la filière qui exerce son travail avec professionnalisme et dans le respect des règles pour la plupart de ses représentants. Comme le précisent par ailleurs des représentants de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, offusqués par ces pratiques ignobles.

Pour autant, il existe toujours des brebis galeuses, non respectueuses des règlements en vigueur dans les élevages, qui se croient bien au-dessus des lois.

Ce sont ces structures-là, inqualifiables au plan de la probité morale que vise le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien DENORMANDIE remonté comme un coucou suisse après avoir visionné les images odieuses fournies par L214.

 

 

La préfecture va poursuivre ses investigations et ses contrôles…

 

Dans un communiqué de presse, le membre du gouvernement condamne avec la plus grande fermeté ces pratiques d’un autre âge. Diligentée en juin, une enquête concerne depuis  l’établissement visé par les protecteurs de la cause animale. Une entité qui se situe à Annay-sur-Serein dans le Tonnerrois dont la gestion est assurée par le groupe PROVENT-SDPR, implanté en Savoie.

Ce dernier possède une centaine de porcheries industrielles réparties à travers l’Hexagone. Toujours d’actualité, l’enquête devra déterminer les dérives ou manquements avérés aux règlements afin de les mieux sanctionner.

Une inspection de cet élevage avait été réalisée de manière inopinée par les services vétérinaires de santé protection animales et environnement de la Direction départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de Protection des Populations de l’Yonne (DDETSPP) après un signalement déposé en gendarmerie.

Des non-conformités ont pu y être relevées après que les inspecteurs aient contrôlé l’ensemble des salles, des cases de maternité et d’engraissement de ce site, depuis dans l’œil du cyclone ministériel.

Si l’inspection assurée en juin n’avait pas mis en évidence de situation ou de comportement inacceptable tels que ceux illustrés dans les vidéos de L214, insistant sur les multiples actes de cruauté animale (coups et blessures portés avec des tournevis et matadors, utilisation abusive de piles électriques, réduction des coins à la tenaille sans prise en charge de la douleur…), la préfecture de l’Yonne entend bien poursuivre des investigations complémentaires pour en avoir le cœur net.

La DDETSPP a informé l’exploitant qu’une nouvelle inspection serait menée par les services vétérinaires pour vérifier la mise en conformité de son élevage, une structure qui accueille aujourd’hui près de 1 800 truies.

 

 

L’horreur dans tous ses états avec le claquage des porcelets…

 

A l’origine de cette nouvelle affaire : un employé, ayant exercé plus de deux ans dans la porcherie, qui a tiré la sonnette d’alarme. Prises à partir de son téléphone portable, les images filmées par ses soins sur le site sont proprement accablantes.

On y voit des truies recevoir de multiples coups de tournevis dans la chair pour les faire avancer plus vite. Certaines, tuméfiées sur tout le corps, agonisent sur le sol en béton de l’établissement.

D’autres, plus jeunes, ont les dents coupées à la tenaille. Parmi les autres sévices insoutenables : la coupe des queues à vif des porcelets, une pratique interdite selon L214 dans l’arrêté datant du 16 janvier 2003 ou encore le claquage des porcelets.

Les animaux jugés les moins rentables sont violemment assommés tout juste après leur naissance (bienvenue dans le monde des humains !). Une opération sensée les tuer sur le coup ; ce qui est loin d’être le cas, en vérité…

Le porte-parole et directeur des enquêtes de L214, Sébastien ARSAC, a précisé que l’association avait porté plainte auprès du procureur de la République d’Auxerre, dénonçant de « nombreuses infractions à la réglementation ». Espérant en filigrane de dures sanctions contre l’éleveur industriel…

 

Thierry BRET

 

 


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Sept dossiers fournis par des collectivités de Bourgogne Franche-Comté figurent parmi la liste des 86 nouveaux Projets Alimentaires Territoriaux (PAT), retenus par le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Chacun d’entre eux recevra une dotation émanant du plan France Relance à son financement. De quoi ravir leurs instigateurs dont le Département de l’Yonne et l’Agglomération de l’Auxerrois…

 

DIJON (Côte d’Or) : La nouvelle a été confirmée par le préfet de Région Fabien SUDRY. Parmi les 86 nouveaux dossiers sélectionnés par le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation dans le cadre des Projets Alimentaires Territoriaux, deux d’entre eux en provenance du territoire de l’Yonne s’illustrent tout particulièrement. Celui du Conseil départemental et celui de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois.

Au total, la Bourgogne Franche-Comté hérite de sept accessits supplémentaires qui rejoignent une liste de dix PAT déjà connus jusqu’alors. Accompagnés par des financements de France Relance sur une période équivalente à deux, voire trois ans, les dix-sept dossiers territoriaux de notre contrée se partageront une enveloppe globale de 4,3 millions d’euros. De quoi réjouir le préfet SUDRY !

Mais, il n’est pas le seul. On pense évidemment au président du Département Patrick GENDRAUD. Ainsi qu’au président de l’Agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, Crescent MARAULT.

 

 

 

Le PAT, l’une des propositions du Projet de Territoire de l’Auxerrois…

 

Dans son copieux Projet de Territoire, courant sur la période de 2021 à 2031 qu’il avait dévoilé en juin aux élus communautaires et à ses administrés, le premier élu de la préfecture de l’Yonne avait inscrit ce Plan Alimentaire Territorial (PAT) parmi ses priorités.  

Rappelons que ces PAT visent à renforcer le développement et la pérennité d’une agriculture et d’une alimentation locales. Comment ? En y accélérant la transition agricole et alimentaire tout en favorisant le rapprochement entre les acteurs des filières concernées : les producteurs, les transformateurs, les distributeurs, les collectivités et en bout de chaîne, les consommateurs.

Dans ses choix stratégiques, Crescent MARAULT a opté pour la mise en exergue de ce fameux PAT. Un plan en lien direct avec celui qui est piloté par le Département, qui pourrait à terme connaître une extension naturelle vers d’autres communautés de communes voisines à l’instar de Chablis Villages et Terroirs, Serein et Armance, Migennes et son agglomération ou encore l’Aillantais.

 

 

Parmi les items incitatifs, expliqués à l’époque par l’édile, ceux de la contribution à l’installation d’agriculteurs et à la préservation des espaces agricoles, les aspects environnementaux avec le développement de la consommation de produits locaux et de qualité, la valorisation de nouveaux modes de production agro-écologiques ou encore la préservation de l’eau.

Naturellement, la lutte contre le gaspillage alimentaire et le volet pédagogique sur la santé alimentaire figuraient aussi en bonne posture parmi ces arguments retenus.

Grâce aux subsides du plan de relance, ce soutien a permis de financer la création et la consolidation de 151 PAT dans l’Hexagone.

Sachant que l’objectif voulu par le gouvernement est de soutenir a minima un projet par département d’ici 2023. Un but déjà atteint à ce jour avec près de 300 Projets Alimentaires Territoriaux labellisés au total sur 98 des 101 départements français, y compris les DOM-TOM.

 

Thierry BRET

 

 


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