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Etre fan de tracteurs, quelle drôle d’idée ?! Serait-ce à l’apanage d’anciens professionnels de la vie aux champs en manque de travaux agricoles ? Ou des nostalgiques de nos vertes campagnes qui n’avaient pas encore subi jadis les affres du remembrement, ayant détruit le biotope ? Que nenni ! Les membres de ce vénérable club hexagonal sont avant tout des passionnés de belles mécaniques qui fonctionnent à la perfection. Cent cinquante d’entre eux ont tenu leur assemblée générale il y a peu sur notre territoire…

 

FESTIGNY : Il y a incontestablement « tracteur » et « tracteur » dans la grande famille de la machine agricole. Confondre les genres serait d’ailleurs très mal approprié pour les béotiens que nous sommes. Tiens, prenons pour référence le saint des saints de l’outil agricole qui émerveille toujours les gosses dès leur plus jeune âge lorsqu’ils découvrent la campagne. Le fameux modèle américain FERGUSON. D’ailleurs, on appelle le plus souvent la marque du fabricant de l'état de Géorgie, associée à MASSEY, par son logo caractéristique, les trois triangles rouges, quasi superposés qui recréent ensemble une autre de ces figures géométriques.

Dans notre beau pays, les « adorateurs » de ces modèles hors pair – la conception des premiers tracteurs remonte à…1847 – vivent pleinement leur plaisir de collectionneur invétéré au sein d’une association officielle, le Club FERGUSON France.

 

 

Des modèles anciens et une pièce rare à admirer sans modération…

 

Comme toute bonne structure associative, digne de ce nom qui se respecte, elle organise annuellement un rendez-vous se déclinant sous la forme d’une assemblée générale. Itinérante, celle-ci peut être accueillie d’une année à l’autre dans l’un des nombreux départements qui composent l’Hexagone. Cocorico : 2022 aura été synonyme de réception de cette belle assistance – plus de 150 représentants – dans l’Yonne. Précisément au gîte de la « Ferme du Bois la Dame » au nom fleurant bon l’époque médiévale, sur la commune de FESTIGNY.

A la manœuvre, quatre adhérents de l’Yonne dont Jean-Baptiste TREHOREL ont pris soin de peaufiner avec minutie ce rendez-vous. D’ailleurs, en guise de cadeau de bienvenue, les congressistes ont eu l’immense bonheur de pouvoir se délecter de cinq belles pièces anciennes, des tracteurs toujours vaillants, qui étaient exposés dans le jardin du gîte.

Des modèles historiques dont le très rare FERGUSON-BROWN qui a été produit initialement en 1936 ! Un spécimen qui fut à l’époque le premier tracteur au monde à être proposé sur le marché avec un attelage trois points et un procédé de relevage hydraulique. L’ancêtre, en quelque sorte, de tous les tracteurs agricoles actuels…

Entre découvertes touristiques – la reconstitution d’un ouvrage d’art moyenâgeux à la renommée intercontinentale à GUEDELON – et vinicoles, les Caves de BAILLY-LAPIERRE avec de quoi titiller agréablement l’odorat et les papilles dans les verres, les participants à ce rassemblement ludique prirent le temps aussi de réfléchir au devenir de leur entité.

 

 

Des temps forts durant la séance plénière de trois heures…

 

Trois heures durant, en séance plénière, ce furent annonces et discussions intenses consacrées à l’orientation stratégique du club. Il y eu aussi son lot de temps forts. Par exemple, lors de la remise d’un cadeau au président-fondateur de l’association, Jean SOULIER, par l’actuel responsable, Jean-Louis MACHET.

Vint ensuite le don effectué par la société BASSET, installée dans l’Aube limitrophe. Un chèque qui a été offert par le concessionnaire de MASSEY-FERGUSON. Enfin, le député de l’Yonne, André VILLIERS, agriculteur de profession, intervint avec sa verve coutumière pour évoquer ses souvenirs personnels autour de ces engins qui le faisaient rêver enfant.

En mars dernier, les représentants icaunais du Club FERGUSON France avaient eu l’immense joie de s’entretenir quelques instants avant son récital à AUXERREXPO avec le chanteur Hugues AUFRAY, lui-même amoureux et collectionneur de tracteurs, et parrain emblématique de la fameuse association.

De bons souvenirs qu’espèrent revivre un jour les membres de cette structure associative sympathique.

 

 

En savoir plus :

Le Club FERGUSON France compte quatre représentants dans l’Yonne :

Jean-Baptiste TREHOREL, d’Épineau-les-Voves, Patrice MERCIER, d’Asquins, Jacques MONTENOT, de Grimault, Jany GANNEAU, de Theil-sur-Vanne.

Parmi les modèles historiques à admirer sur place, on aura remarqué le Ferguson-Brown, sorti en 1936 (17 chevaux), le Ford-Ferguson, fabriqué en 1942 (18 chevaux) et le Ferguson TEA-20, commercialisé dès 1948 (24 chevaux).

Le secrétaire du club Jean-Paul ESTIVIE aura été l’une des chevilles ouvrières de ce rendez-vous, nécessitant collecte d’informations et de renseignements précieux.

 

Thierry BRET

 


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La cité auxerroise, toute parée de bleu et blanc, accueillait de nouveau la fameuse manifestation, fermant deux ans d'une triste parenthèse. Quant à la « fleur de vigne », la vraie, celle des ceps parfois noueux, elle nous prévoit, une fois de plus, des vendanges autour du 25 août...Et dire qu'il n'y a pas si longtemps, elles commençaient début octobre, souvent après la Saint-Michel.

AUXERRE  De jolis stands impeccablement décorés, un public de tous âges qui répond présent, sans oublier un soleil ardent, sont souvent les fruits d'une manifestation réussie.

Au départ, « Fleurs de Vigne », si j'ai bien compris les explications de quelques vignerons-fondateurs, devaient mettre ensuite le cap au nord : une année à Sens, puis l'autre à Montereau, Melun ensuite...avant d'atteindre la capitale, au bord de l'Yonne, hydrologiquement, mais de la Seine nominativement ! 

 

 

 



Il semble donc que l'arrimage n'ait pas eu lieu, et que notre « fleur de vigne » se complaise, chez elle dans l'Yonne ! Quelques nouveautés pour cette édition 2022 avec notamment la première présence de la jeune association « Gourmand'Yonne », au sein d'un stand aussi gourmand que bariolé ! Le vignoble de la Côte Saint-Jacques et alentours qui gagne à être connu, avec entre autres Yann BOISSENET, paysan-vigneron bio sis à Volgré, dont les vins révèlent d'élégantes effluves de cassis !

Il fait bon se promener sur ces jolis quais, où les confréries vineuses (Les Trois Ceps et son nouveau président Joël DURIF, les Piliers Chablisiens...) ont aussi droit de cité ! Longue vie à l'auxerroise « Fleurs de vigne ». Rendez-vous est pris pour 2023 !

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


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Point besoin d'un hectare de terre (10 000 m2) ou plus modestement d'un are (100 m2) pour planter quelques pieds de tomates chez soi. D'autant que c'est la période idoine de les cultiver même sur un balcon !

 

AUXERRE : Petit retour en arrière ! La tomate, ce beau légume-fruit, nous vient tout droit d’Amérique du Sud, plus précisément du Mexique et du Pérou. C'est Hernan CORTES, conquistador parti d'Espagne au XVIème siècle, qui contribua à sa rougeoyante découverte. Il la rapporta à la cour à son retour. Elle arriva peu après en Italie. En France, ce fut au début du siècle suivant.

D'abord considérée comme une plante d'ornement, il faudra attendre le milieu du XVIIIème siècle (avec peu à peu la naissance, puis l'essor des restaurants, caractéristique de l'époque) pour qu'elle gagne initialement les cuisines provençales,  par le biais des Italiens, puis peu à peu, celles d'autres régions.

Depuis lors, la tomate a été adoptée par les Français, au premier rang desquels les jardiniers des potagers, qui contribuèrent amplement à la faire connaître,  et savourer.

 

 

Des recettes goûteuses mettant en valeur la tomate…

 

Voici quelques exemples de plats, non exhaustifs comme de bien entendu, juste histoire de rendre hommage à ses centaines de variétés.

Une bonne salade de tomates, c’est excellent ! Il n'y a encore pas si longtemps,  elle n'avait pas forcément besoin d'être acoquinée avec miss Mozzarella !

On peut également citer des œufs brouillés à la tomate, des tomates à la provençale, une bonne tarte à la tomate, la sauce tomate…histoire d'accompagner quelques pâtes, le rougaïl-tomate (clin d'œil à l'hémisphère Sud), en gratin avec courgettes et pommes de terre,  en ratatouille...

Sans oublier, LE plat représentatif de notre belle de l’été : j'ai nommé les tomates farcies, un mets savoureux aux moult recettes.

 

 

Eviter de la manger hors saison : ce n’est plus de la tomate !

 

Ce légume-fruit correspond à une saison, de juillet à septembre environ. Sauf que, sans vergogne aucune, la grande distribution en commercialise toute l'année. Ce sont des trucs sans goût, sans odeur, venus d'on ne sait trop où (les Pays-Bas notamment). Mais, ne nous y trompons pas : la vraie tomate n'est pas celle-ci ! Elle n'a de tomate que le nom, ce qui est déjà  beaucoup trop d'ailleurs.

Nos marchés Icaunais comptent nombre de pépiniéristes ou de maraîchers les vendant par pieds. « Rose de Berne », « Cœur de bœuf », noire de Crimée, olivettes, Marmande, Marianne ou autres sauront ravir votre palais. Car rien de tel qu'une tomate de pleine terre, gorgée de soleil estival (enfin normalement !) pour en savourer le goût. Ces quelques plants de tomates embellissent toute surface potagère. Et quel sain régal ! Bon appétit et allez l'AJA !

 

 

En savoir plus :

 

La tomate a forcément droit de citation dans ce site culinaire, simple, précis et bien fait. Des recettes cuisinées de mère de famille, à l'intention de  tous, tout simplement. On y voyage aussi. Certes, nous y sommes  loin de « Top Chef » ! Cela n'a rien de très bobo non plus !  Point de photos artistiques, ni de 3D ! Se nourrir, juste, bien et bon.  Son nom : « Les Recettes de cuisine de Pascale » (au féminin). Via le net. Un site qui corrobore la maxime suivante : « On ne peut pas faire de cuisine, si l'on n'aime pas les gens ».

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Les yeux sont brillants de malice. Cela pétille, intérieurement. On le sent bien ! Très à l’aise dans l’exercice impromptu de l’interview, le jeune homme a de la suite dans les idées, comme l’assène la célèbre formule. A 16 ans, tout pile, Romain KAPP peut déjà s’enorgueillir d’avoir pu décrocher la Lune. Côté, jardin, bien sûr ! Avec de l’or et de l’argent autour du cou !

 

VENOY: Parler de lui à un représentant de la presse ? Il adore ça, le garçon ! A croire qu’il a pratiqué l’art de la litote et de la maîtrise de soi, toute sa vie ! Et, cela n’est peut-être pas fini. Puisque d’autres échéances, pas électorales celles-là, mais bel et bien dans la confrontation avec soi-même l’attendent d’ici peu, du fait de ces derniers accessits.

Glaner une médaille du plus beau des métaux (l’or), à l’occasion d’une épreuve de l’emblématique concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » à l’âge où de l’adolescence insouciante on glisse de plain-pied dans la peau d’un adulte, certes encore un peu juvénile, fait vraiment chaud à l’âme.

Romain KAPP vient de vivre l’expérience, à laquelle il s’était pourtant préalablement préparé. Un succès remporté dans la catégorie, « Jardins et espaces verts ». L’or pour le titre de MAF de l’Yonne, ça claque sur la carte de visite. Mais, si vous y ajoutez aussi, en simultanée, l’argent obtenu pour le même challenge au niveau régional, alors là, c’est l’extase !

 

Une voie verte toute tracée dans le monde du végétal…

 

Du deux en un qui fait sourire le visage radieux de la directrice du CFA agricole La Brosse, Hélène DECULTOT. Trop heureuse de la réussite de l’un de ses élèves. Quelle subtile idée que d’avoir pu organiser au sein de l’établissement, proposant une kyrielle de formations « vertes » autour de l’environnement et de l’équestre, ce concours. Toujours chapeauté par le maître de cérémonie en la matière, l’inamovible Marc LABARDE, Meilleur Ouvrier de France, et président de l’instance régionale.

Romain, lui, conserve stoïque son calme. Avec ce petit sourire en coin qui en dit long sur ses potentialités.

Quand il se projette dans l’avenir, il se voit exercer son réel savoir-faire au sein d’une entreprise de paysagiste pendant quelques années, histoire de se faire les dents sur le labeur, avant de voler de ses propres ailes. Mais, pas avant trente ans, affirme-t-il péremptoire et empli de sagesse ! Un gamin facétieux mais déjà mâture quand il raisonne en pensant à ses perspectives futures.  

Pratiquant l’alternance pour son bac pro paysager – il est encore en première année – au sein des établissements de Philippe LIPERI, le jeune Romain envisage de poursuivre son cursus devant le conduire à son projet entrepreneurial par un BTS, option espace vert.

Hélène DECULTOT, quant à elle, rêve d’un nouveau titre pour son jeune protégé, lors des finales hexagonales. De la graine d’artiste horticole, ce jeune garçon qui aime s’adonner aux joies du VTT, de l’histoire et, c’est moins commun à cet âge-là, à celles de l’archéologie !

 

Thierry BRET

 

 


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Le secteur de la vigne et du vin propose chaque année des milliers d’emplois mais les candidats se font rares. Dans l’Yonne, 250 postes resteraient ainsi à pourvoir. Une pénurie de main d’œuvre liée en partie à une méconnaissance des métiers proposés. Un déficit de notoriété qu’ont souhaité relever Pôle Emploi et l’ANEFA, en organisant conjointement et pour la première fois, deux visites du Clos de la Chainette sous l’égide du responsable du vignoble, Thierry MILLIERE, à l’attention de personnes en recherche d’emploi.

 

AUXERRE : Elles sont au total une douzaine de personnes à avoir répondu à l’invitation, réparties en deux groupes. Certaines en quête d’un premier emploi, d’autres en reconversion professionnelle. Mais, pour la plupart, sans connaissance aucune des multiples métiers proposés par le monde de la vigne et du vin, si ce n’est une expérience éphémère de vendangeur. Le secteur peine à recruter comme le rappelle Marjorie LEFEBVRE, conseillère dédiée aux entreprises à Pôle Emploi : « Dans un contexte de taux de chômage très faible par rapport à une époque, beaucoup de demandeurs d’emploi se positionnent essentiellement sur le tertiaire au détriment des autres secteurs… ». La situation est telle que la profession fait depuis plusieurs années appel à une main d’œuvre étrangère pour répondre à ses besoins. Longtemps contingentée aux pays de l’Est, l’offre s’est étendue aux nations du continent africain et il n’est pas rare aujourd’hui de voir arriver des CV en provenance du Maroc, du Sénégal ou de Tunisie. D’autant, souligne France LAHUTTE, animatrice ANEFA, que « nombre de viticulteurs et prestataires de service ont fait beaucoup d’effort en termes de recrutement, avec la mise en place de navettes venant chercher ces personnes souvent peu mobiles, au pied de leur logement, à l’image de ce qui se fait aujourd’hui avec l’association COALLIA et la société PSAV, spécialisée dans le secteur des activités de soutien aux cultures. ».

 

 

Etre vite opérationnel sans besoin d’une longue formation…

 

Le travail bat son plein dans les vignes multiséculaires du Clos de la Chainette, plus ancien domaine viticole attesté de France. Après la taille, est arrivé le temps du « baissage », une opération manuelle visant à empêcher la plante de croître de façon anarchique. Travaux en vert, relevage, rognage, effeuillage… Passé l’hiver, les activités sont multiples, accessibles pour certaines très rapidement explique Thierry MILLIERE : « Pour certaines tâches saisonnières, l’on peut vite être opérationnel sans besoin d’une longue formation, quelques jours suffisent… ». A contrario, certains choisissent un cursus plus long, enchaînant les formations pour plus de polyvalence, à l’image de Justine (*) actuellement en stage au domaine, dont le témoignage spontané et passionné aura peut-être fait naître quelques vocations parmi les visiteurs du jour. En quête d’un métier de secrétaire, mais faute de trouver un stage adapté, elle a fait le choix l’an dernier de se réorienter vers la viticulture.

 

 

Une grande diversité de la filière en matière de contrats…

 

Premières armes en pleine période de vendanges avant d’intégrer dans la foulée une formation BPA Travaux de la vigne et du vin au CFPPA du lycée la Brosse qu’elle a déjà prévu d’enchaîner avec un BPREA pour devenir chef d’exploitation. Elle sait qu’elle ne s’arrêtera pas en chemin, avec en ligne de mire, la volonté d’intégrer le lycée viticole de Beaune pour y décrocher un BTSA viticulture œnologie. Pas mal pour une personne qui se destinait à un métier dans le tertiaire !
Si l’offre de formation est très large, la filière a aussi pour atout une grande diversité en matière de contrats de travail, qu’ils soient saisonniers, CDI, à la tâche, ou contrats courts de type TESA. Permettant pour certains, de conjuguer le cas échéant avec une autre activité de plein air comme le maraîchage ou en espaces verts. On sait depuis le film d’Etienne CHATILLIEZ que « le bonheur est dans le pré ». Reste à faire savoir aujourd’hui au plus grand nombre qu’il a désormais aussi élu domicile dans les vignes et les caves !

 

(*) Le prénom a été modifié

 

 

En savoir plus :

ANEFA (Association Nationale paritaire pour l'Emploi et la Formation en Agriculture)
Antenne de l’Yonne : France LAHUTTE au 03 86 49 48 10 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

CFPPA (Centre de Formation Professionnelle et de Promotion Agricole)
Lycée Agricole d’Auxerre La Brosse 89290 VENOY
Tél 03 86 94 60 00 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

BPA (Brevet Professionnel Agricole Travaux de la vigne et du vin)
Formation diplômante de niveau 3 pour travailler en qualité d’ouvrier qualifié dans le domaine viticole, à la production ou à la transformation.

BPREA (Brevet Professionnel Responsable d'Entreprise Agricole). Formation diplômante de niveau 4 pour conduire une activité de production viticole ou piloter une exploitation.

BTSA (Brevet Technicien Supérieur Agricole)
Formation diplômante de niveau 5 ayant pour objectif de préparer aux postes à responsabilité de la filière viti-vinicole (chef de culture ou maître de chai).

 

Dominique BERNERD

 


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