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« Cru Ale ». C’est le nom de référence commercial du nouveau breuvage, sorti tout droit de l’imaginaire fécond de la Manufacture Bio et de la brasserie artisanale, FAYYAR. Une bière originale qui propose un mariage délicat et subtil entre le malt et le cacao cru. Une boisson déjà très prisée à Paris. Elle a désormais carte blanche dans l’Yonne pour séduire et conquérir de nouveaux amateurs…

 

AUXERRE : Le petit groupe – une dizaine de personnes attentives à la moindre information - écoute avec grand intérêt les explications fournies par l’orateur. Devant lui, sur la table, des fiches techniques relatent l’histoire du malt et le travail de l’agriculteur. Quelques pots dévoilent aussi leurs contenus. Ils illustrent les propos explicatifs de l’un des représentants de la brasserie artisanale, FAYYAR, sise depuis 2020 à Saint-Bris-le-Vineux. Une modèle de micro-brasserie qui avait glané deux belles distinctions, or et argent, en mai 2021 lors du concours international brassicole de Lyon.

Mais cette fois-ci, répondant favorablement à l’invitation de Sébastien LANGLOIS, dirigeant de la Manufacture Bio (et exploitant de la marque GRAMM’S, le fameux pop-corn croustillant de saveurs en bouche), les professionnels de la brasserie sont venus informer leurs clientèles respectives de la sortie imminente de la nouvelle bière – elle n’est pourtant pas de printemps selon les recettes coutumières ! – à base de cacao cru. Un produit commercialisé dès cette semaine – il est encore au stade de la réservation en attendant de résoudre une légère problématique d’étiquettes ! – dans les boutiques des deux partenaires.

 

 

 

Un breuvage déjà très prisé dans la capitale par les amateurs…

 

Un lancement officiel dont auront eu la primeur quelques chanceux ayant pu goûter le breuvage aux termes de cette séquence très instructive de renseignements sur les techniques de fabrication de la « Cru Ale ». Un nom de baptême d’une pure logique qui aura été choisi là, en vérité, puisque faisant allusion au chocolat cru (celui proposé par l’un des fournisseurs de la Manufacture Bio, RRRAW) et au mot anglais, « ale », signifiant « bière », tout bonnement !

A Paris, ce délicat mélange de fèves de cacao de très belle qualité et de bières artisanales fait déjà fureur depuis plusieurs années dans les bonnes brasseries. Une initiative que Sébastien LANGLOIS souhaitait mettre en application au niveau de la stratégie sur l’Yonne, faisant fructifier au passage cet assemblage insolite en se rapprochant d’artisans locaux.

Au palais, le résultat est surprenant. Ni trop amer du fait de la présence d’un cacao cru modéré dans sa puissance, ni trop sucré : juste l’équilibre parfait qui fait de cette lumineuse bière blonde conditionnée dans des bouteilles traditionnelles une dimension un brin exotique. Du fait de la provenance sans doute lointaine des indispensables fèves de cacao ?!

RRRAW, chocolaterie artisanale cocardière basée à Paris, conçoit du cacao cru à partir de fèves non torréfiées. Cela signifie qu’elles ne sont pas cuites afin de conserver tous les éléments propres aux qualités nutritionnelles naturelles du produit. Un cacao originaire pour partie de la région amazonienne.

Epicuriens et férus de bonnes bières artisanales à vos réservations ! Testez, avec plaisir mais en toute modération, la « Cru Ale » à la saveur chocolatée qui sera peut-être la bière de l’été dans le landerneau icaunais…

 

Thierry BRET

 


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Elles et ils sont bord de l’épuisement. De la dépression qui s’installe de manière sournoise. Voire, pire encore si l’on n’y prend pas garde. D’ailleurs, les chiffres révélés par la DREES sont proprement édifiants. Sur les onze millions d’aidants familiaux recensés dans l’Hexagone, un tiers décède avant les personnes aidées pour cause d’extrême fatigue. Il y a donc urgence à réagir et surtout à agir ! Et à sensibiliser sur les solutions de répit existantes. Telle est la vocation du Forum, proposé par l’UDAF 89 et ses partenaires ce jeudi 27 avril à Ligny-le-Châtel…

 

LIGNY-LE-CHATEL : « SOS pour des Terriens en détresse » ! Le regretté Daniel BALAVOINE aurait pu destiner ce refrain – l’un des morceaux phare de l’opéra rock de Luc PLAMONDON et Michel BERGER diffusé en 1977 (« Starmania ») – aux aidants familiaux de notre pays. Eux qui ne savent plus où donner de la tête afin d’assurer du mieux possible en leur âme et conscience la gestion quotidienne et harassante d’un proche atteint d’une lourde pathologie ou d’un handicap sévère vivant à domicile. Les aidants familiaux – ils sont plus de onze millions répertoriés dans notre société – souffrent le plus souvent en silence et parfois dans l’oubli.

Pire, la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques (DREES) livre une enquête accablante sur les causes de la mortalité – importante – de ces personnes altruistes qui se consacrent au bien-être d’un être cher dans notre pays : cela représente un tiers des décès en France, imputable à une extrême fatigue. Les aidants n’en peuvent plus dans leur quotidien d’assumer et sont à la limite du burn-out, si ce n’est de l’inévitable épuisement…

 

Mettre un sérieux coup de projecteur sur un statut méconnu : celui d’aidant familial…

 

Face à cet enjeu de santé public dont on parle peu dans les médias, sollicitée par l’association « CANDA » – la structure œuvre dans l’accompagnement de toutes personnes fragilisées par l’isolement -, et soucieuse de respecter sa convention d’objectifs triennale 2022/2025, l’UDAF de l’Yonne (Union départementale des associations familiales), entourée de ses multiples partenaires, a donc décidé de s’investir et de porter haute la voix de ces aidants familiaux lors d’un forum – premier du nom – accueilli le 27 avril prochain dans la localité de Ligny-le-Châtel.

La genèse de cet évènement se veut simple : réunir tout un après-midi, via une table ronde et plusieurs stands d’information – ils seront une douzaine au final – tout un florilège d’acteurs et de structures qui ont des choses à dire sur la thématique du jour, apportant au passage solutions, conseils et préconisations au public qui franchira la porte de la salle des fêtes où s’installera ce forum.

Vendredi matin, la plupart des participants planchaient avec extrême sérieux et méthodologie sur le déroulé précis et le contenu de ce rendez-vous qui sera ouvert au public le jour J. Une séance de travail qui fut animée par la doublette Isabelle AUBOUEIX, cheffe de service et encadrante de l’UDAF Yonne et Margaux HENRION, la nouvelle responsable de la communication.

 

Pléthore de partenaires pour faire toute la lumière sur les dispositifs de soutien…

 

Au-delà de cette manifestation importante et soutenue par les organes institutionnels de référence de la santé sur notre territoire – le Conseil départemental, la MDPH, la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie)… -, l’objectif est bel et bien de démystifier en faisant toute la lumière grâce à cette délivrance abondante d’informations sur ce statut de l’aidant familial, encore trop méconnu de nos jours par une large majorité de Français.

L’un des aspects essentiels de l’animation sera aussi de mettre au profit du savoir toutes les connaissances sur les solutions de répit qui existent sur le département de l’Yonne. D’où la présence remarquée ce jour-là de structures associatives telles que France Alzheimer 89 et UNAFAM (Union nationale de Familles et Amis de personnes malades et/ou handicapés psychiques), mais également d’entités qui possèdent un poids évident dans ces orientations vers les structures de répit que sont OPALE, OASIS ou la DAC.

Quant à l’UDAF 89, présidée par Benoît VECTEN et dirigée par Jean-Pierre MASCLET, elle profitera de cette opportunité physique et relationnelle – les organisateurs espèrent beaucoup de monde issue de la sphère familiale, étudiante mais aussi sanitaire – pour mettre en exergue deux de ses services que sont l’information et le soutien aux tuteurs familiaux (ISTF) et l’accompagnement numérique, avec de la théorie et beaucoup de pratique à la clé lors de séances pédagogiques visant à initier les publics à une meilleure utilisation de l’univers digital.

 

En savoir plus :

Forum Accompagner et soutenir les aidants familiaux

Salle des fêtes de Ligny-le-Châtel

8 rue du Château

Jeudi 27 avril 2023

De 14h à 16 h

Table ronde avec la présence de la Maison départementale des Personnes Handicapées de l’Yonne (MDPH), le service d’aide au maintien à l’autonomie (SAMA), la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM), l’association des soins palliatifs de l’Yonne (OPALE 89), la plateforme relais d’accompagnement des aidants (OASIS 89), le dispositif d’appui à la coordination de l’Yonne (DAC 89), le Conseil départemental de l’Yonne, Harmonie Mutuelle – la structure abordera la question de la prévoyance -, etc.

A partir de 16 h

Stands d’information à disposition du public et échanges en direct avec les intervenants.

 

Thierry BRET

 


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Peut-on encore investir en bourse malgré les fluctuations importantes enregistrées sur le CAC 40 et malgré les chutes vertigineuses du cours de certains secteurs comme les start-up, en mars dernier ? Quel est l’avenir des boursicoteurs face aux plus gros investisseurs institutionnels (encore surnommés les « ZINZINS »), capables d’intervenir à la nanoseconde ? Quelle est la limitation des risques ? Existe-t-il des possibilités de gérer de modestes portefeuilles face à ces géants de la spéculation financière, qui, grâce aux algorithmes et logiciels performants, simulent, voire anticipent le comportement des investisseurs ? Eléments de réponse…

 

TRIBUNE : Qu’est-ce que l’indice CAC 40, comment fonctionne-t-il ? Le CAC 40 est un indice boursier calculé à partir du cours des actions de certaines sociétés cotées à la Bourse de Paris. Elles sont au nombre de quarante et chacune est affectée d’une pondération en fonction de son poids dans l’économie. Il s’agit de l’indice le plus connu. À sa création en 1988, l’acronyme « CAC » signifiait « Compagnie des Agents de Change ». Aujourd’hui, il signifie « Cotation Assistée en Continu ». La valeur d’origine, au 31 décembre 1987, était fixée à 1 000 points. Depuis, le CAC 40 avait connu son plus haut niveau en 2000, le 04 septembre, avec 6 944,77 points. Ce niveau s’explique par une bulle spéculative portant sur les sociétés technologiques. L’indice a ainsi fait face à trois krachs boursiers majeurs : le premier à la suite de l’éclatement de la bulle Internet en 2001 et 2002 ; le deuxième en 2008 au cours de la crise des « Subprimes » ; le troisième en 2020, avec pour déclencheur la pandémie de la COVID 19.

 

Le yoyo du CAC ne cesse de surprendre les marchés…

 

A 7 396 euros le 12 avril dernier, le CAC 40 enregistre une variation de près de 12 % depuis le mois de janvier : 7 463 au plus haut et 6 624 au plus bas ! Il a même dépassé depuis la barre des 7 500 points !

La Bourse de Paris, comme l’ensemble des bourses mondiales, subit en permanence les interférences d’autres bourses, des différents marchés financiers, des prévisions de croissance du pays, des indices de prix, du taux de chômage, du cours du pétrole…

Pour les sociétés cotées, les résultats trimestriels, les projets d’investissement, les conflits sociaux, les cours des matières premières vont interférer en permanence sur les cours de bourse et surtout sur les anticipations de certains investisseurs. Autre donnée importante sur les marchés financiers : les taux directeurs des Banques Centrales (la BCE pour l’Europe). En effet, les augmentations de ces taux peuvent limiter les investissements (crédits plus chers). D’autre part, face à l’instabilité des taux, il faut surveiller les taux pratiqués sur le marché obligataire. Une obligation est un titre de créance qui rapporte un intérêt et est (en général), sans risque pour le capital placé. L’action est un titre de propriété qui permet de voter aux assemblées des actionnaires, de participer aux bénéfices via les dividendes, mais de perdre son capital !

Ne jamais oublier la règle concernant tout placement : la rentabilité est proportionnelle au risque. Lorsque les taux du marché obligataire sont élevés, les investisseurs délaissent les actions au profit d’un placement plus rentable et moins risqué : les obligations !

 

 

Mesurer ses gains potentiels dans des secteurs porteurs…

 

En matière de conseils boursiers, le « satisfait ou rembourser » n’existe pas ! Pas plus du côté des journalistes spécialisés que pour les experts en tout genre. Retenez que les conseillers financiers des banques n’ont pas le droit de donner des conseils pour investir en bourse : leur responsabilité serait alors engagée…

Des règles simples sont à connaître. Tout d’abord, il faut garder un certain niveau de liquidités afin d’effectuer les arbitrages nécessaires et de répondre à des investissements opportuns. Il est important de se fixer, action par action un niveau de plus-value et s’y tenir : si vous fixez à10 % votre gain, il faut vendre et réinvestir. En affaire, il est important de savoir prendre son bénéfice.

Avant de cibler des entreprises, il convient de mesurer les gains potentiels dans les secteurs les plus porteurs : le « biotech», l’hydrogène, un secteur en pleine explosion, idem pour les entreprises liées aux semi-conducteurs. Les mines de lithium comme « ALBEMARLE » sont appelées à un bel avenir et à garder en fond de portefeuille…

 

 

 

 

S’accompagner de connaissances médiatiques poussées…

 

 

Les entreprises endettées (dans une mesure prudente) sont privilégiées en période d’inflation. On doit aussi s’intéresser aux dividendes versés chaque année et à leur évolution… Attention, la date prévue du versement des dividendes impacte le cours de bourse : plus on se rapproche du versement et plus le cours sera élevé.

Il faut également avoir accès à des sources d’informations fiables ; des revues spécialisées comme « Forbes », « Bloomberg » en version Europe, « Capital », « The Economist »… Des sites d’informations boursières en temps réel : les plateformes de trading en ligne, comme « Pro Real Time Trading » ne sont pas gratuites.

Les journaux quotidiens comme « Le Monde » ou « Le Figaro » ne sont plus suffisants. Quant aux données concernant la santé financière des entreprises (niveau de fonds propres, d’endettement par rapport aux fonds propres, niveau de liquidités, perspectives de dividendes…), elles sont lisibles par les spécialistes.

Il est possible aujourd’hui d’ouvrir des comptes et de donner des ordres de bourse directement en ligne : ici encore attention aux frais.

La bourse, c’est du risque ! En théorie, on peut tout perdre, et ce sont nécessairement des placements dit de « long terme ». Réaliser des plus-values boursières à court terme est une utopie !

Alors, si vous vous dites que tout cela est trop complexe et trop risqué, il est temps de rejoindre les « addicts » du livret A : sans risque et disponible en permanence !

Le temps du Palais Brongniart, de la cotation à la criée et à la craie sur tableau noir, d’une « Corbeille » qui en son centre était garnie d’un tas de sable, permettant aux agents de change d’écraser les mégots de leurs cigares est désormais bien terminé.

On raconte qu’un agent de change, les jours de bourse très chahuté, téléphonait à sa secrétaire afin que la baignoire, contigüe à son bureau soit remplie : il prenait son bain tout habillé !

Aujourd’hui, plus d’agent de change, mais un Palais Brongniart devenu est un musée. Plus de bain non plus. Juste une douche froide garantie pour les boursicoteurs mal avisés…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Force est de reconnaître que la Nièvre et l’Yonne sont un peu en seconde division gourmande, à contrario de nos voisins de Saône-et-Loire et de Côte d’Or. Ces deux départements sont en effet un brin mieux placés, en milieu de tableau de la division supérieure côté gastronomie ! Cependant, le nom d'une petite localité icaunaise a l'insigne privilège de résonner dans le monde entier : oui, c'est le long du Serein et elle se nomme Chablis. Bienvenue !

 

CHABLIS : Chablis, c'est environ 15 % du vignoble bourguignon avec 4 500 hectares cultivés environ. L'export (États-Unis, Grande-Bretagne, Japon...) marche à fond, incitant parfois certains domaines à faire quelque peu « pisser » la vigne, selon une expression usitée. D'autres, plus précautionneux, continuent à œuvrer dans les règles de l'art, de ce nectar apprécié pour sa minéralité.
Un cadre aussi clair que lumineux, une belle vue sur le Serein et nous voici attablés au « Au Fil du Zinc », un restaurant référencé au Michelin 2023 dont on entend dire grand bien par chez nous !

Ici-bas, aussi, les nappes ont disparu ! Il faudra s'y faire, c'est une sorte d'adieu à l'élégance...

Comme n'est pas Chablis qui veut, l'opulente carte nous indique l'excellent « Chablis Premier cru Vau-de-Vey » du réputé domaine Roland LAVANTUREUX.

 

 

Le maquereau, le poisson devenu le chouchou de nos chefs !

 

Le service n'est pas méchant ni plus gentil : il ne manquerait plus que ça ! C'est une sorte d'automatisme déshumanisé, enlevant les assiettes sans mot dire. Parfois, désormais, il y a des robots-serveurs : on a - presque - envie de crier, « chiche et pourquoi pas » ! C’est triste, non ?

Cela commence fort avec de délicieuses mises en bouche, dont une plus remarquable que les autres avec cette tartelette de tête de veau sauce gribiche : sublime croustillance.

Force est de reconnaître, que la suite sera à l'unisson. L'asperge verte est impeccablement cuite et accompagnée d'une onctueuse « burrata ». Un pain feuilleté tiède parachève le tout. Ensuite, ce poisson bleu est devenu le chouchou de nos chefs ; c'est, c'est...le maquereau, en pleine saison, et ici brûlé à la flamme. Il est accompagné d'une savoureuse harissa bien dosée. 

 

 

Deux gouttes de jus et une légère fausse note de style…

 

Nous demeurons ensuite en Bretagne avec le lieu jaune. Il est agrémenté de verdoyants petits pois printaniers et de noix de coco : une assiette des plus harmonieuses. Quant au poulet qui suit, il vient de la proche ferme des « Chocats » à Merry-Sec.

La volaille est finement assaisonnée, la cuisson précise. Le jus « à la diable » est délicieux. Mais, sitôt versé deux gouttes dans nos assiettes, le serveur rapporte en cuisine la mini-verseuse. Pourquoi pareille mesquinerie !

Cela m'arriva aussi dans une table doublement étoilée au Michelin. Désolé, mais ce jus est nôtre : nous allons le payer en partant et nous aurions apprécié de le goûter à nouveau. Revenez donc, élégants maîtres d'hôtel d'antan et vous aussi, charmantes serveuses !

Signalons le très joli travail sur le « brie de Meaux », ici, des plus surprenants. Le fromage travaillé est un des vrais plaisirs découverte d'un véritable déjeuner au restaurant.

 

 

 

 

 

Une cuisine personnalité des plus goûteuses…

 

Le dessert est aussi délicieux que surprenant. Il mêle pomelo corse, faisselle de chèvre basilic et citron noir. Il en ressort un modèle d'équilibre avec une agréable acidité de fin de repas.

Le chef Mathieu SAGARDOYTHO est un vrai cuisinier. Sa goûteuse cuisine personnalisée et éminemment maîtrisée mériterait cependant un service plus à l'unisson de ces mets délicieux. Longue vie, donc, « Au Fil du Zinc » où il fait bon s'attabler.

 

 

En savoir plus

 

Les - : la jolie  carte des vins est écrite comme les additifs d'un contrat d'assurance ! Prévoyez votre loupe pour la décrypter svp !

Les + : la cuisine personnalisée de produits de qualité.

 

 

 

Contact :

« Au Fil du Zinc »

18 Rue des Moulins

89800 Chablis

Tel : 03.86.33.96.39.

Premier menu à 45 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 

 

 

 


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La plateforme se nomme « SCHOOL MOUV ». Un anglicisme dont on perçoit instantanément la signification, avec sa référence scolaire qui nous ramène à nos chères études ! Gratuit, ce service d’apprentissage est aujourd’hui usité par…DOMANYS, le bailleur social plus connu pour la gestion de milliers de logements à vocation sociale sur le département de l’Yonne que pour ses actions pédagogiques. Grâce à la remise d’un chèque de 5 000 euros de la part de la Fondation EDF, c’est précisément cet aspect des choses qui a été dévoilée en pleine lumière pour l’entité icaunaise…

 

AUXERRE : La somme est coquette. Cinq mille euros, ce n’est pas rien ! De l’argent remis sous la forme d’un chèque par la Fondation EDF. D’ailleurs, sur le visuel immortalisant cette remise de fonds, le fac-similé dudit moyen de paiement est appréciable par sa taille : sa visibilité en est autant conséquente au moment de la pose photographique ! De quoi faire apparaître de larges sourires sur les visages ravis des bénéficiaires de ces oboles qui n’ont rien de providentielles, en l’occurrence Karine LASCOLS, la directrice du bailleur social et le président de DOMANYS – il est aussi le président du Département -, Patrick GENDRAUD !

Une somme rondelette qui sera employée à bon escient par le bailleur social pour lutter contre l’échec scolaire. Comme devait le confirmer Karine LASCOLS en marge de cette cérémonie : « en complément de notre mission de bailleur social, et afin de lutter contre le décrochage scolaire, DOMANYS a conclu depuis cinq ans un partenariat étroit avec ACADOMIA et l’AJ Auxerre, permettant ainsi d’offrir aux enfants de nos locataires et de nos collaborateurs scolarisés en cours préparatoire à la terminale un accès gratuit à la plateforme dématérialisée en ligne « SCHOOL MOUV »… ».

 

Une décision validée par la Fondation EDF en octobre 2022…

 

Un partenariat ayant fait ses preuves puisqu’à date ce sont près de mille élèves vivants dans les quartiers prioritaires qui ont déjà profité de ce supplément d’âme altruiste si particulier depuis 2018. Précisons que pour le seul exercice en cours, trois cents jeunes gens se sont inscrits pour recevoir ces cours prodigués par la plateforme en ligne.

En ce qui concerne le contenu, l’outil en ligne offre une palette d’exercices plutôt éclectiques où les révisions, l’apprentissage et même un mode de communication en direct avec les enseignants sont possibles. En outre, l’opportunité de mise en place de stages éducatifs pendant les périodes de vacances scolaires représente un sérieux plus à ne pas négliger.

Le choix de DOMANYS n’est pas le fait du hasard du côté du mécène EDF. En octobre dernier, la fondation du groupe avait annoncé les résultats du premier appel à projets (AAP) lancé dès le printemps sur la Bourgogne Franche-Comté. In fine, seize projets avaient été identifiés comme futurs lauréats, récompensés par ce coup de pouce de la part de cet organisme, porté par différentes strates d’EDF, à savoir EDF SA, EDF Renouvelables, ENEDIS, DALKIA et CITELUM.

Un mécénat judicieux car décliné au plus près des territoires notamment en finançant des projets régionaux qui répondent aux critères ad hoc de la Fondation…

 

 

En savoir plus :

 

Etaient présents à cette remise de chèque,

Karine LASCOLS, directrice générale de DOMANYS

Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et président de DOMANYS

Jean-Roger MOUSSET, directeur de cabinet EDF

Baptiste MALHERBE, président de l’AJ Auxerre Football

Frédéric MARASCIA, directeur territorial Bourgogne EDF

Gérald FREGUIN, directeur Territorial ENEDIS

 

Thierry BRET

 

 


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