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Plusieurs mois de travaux auront été nécessaires pour aménager une magnifique habitation, du XIXème siècle, en un lieu d’accueil cosy et bucolique à proximité de l’Yonne dans ce charmant village. Pourvue de très belles chambres et d’une agréable suite, la partie non privative de cette demeure bourgeoise, érigée dans un parc de 4 000 mètres carrés, vise une clientèle de touristes mais aussi de cadres et de VRP de passage dans la région…

LA COUR BARREE : « Confluence », « Vignoble », « Villages », « Flottage » ou « Nature ». Les appellations des cinq chambres douillettes et si joliment décorées de ce nouveau site d’hébergement, ENTRE CANAL et VIGNES, évoquent la richesse, voire la typicité de ce terroir bourguignon dont les touristes raffolent tant en arrière-saison.

Ouverte depuis le 18 septembre, l’infrastructure a nécessité un investissement de 20 000 euros, pour sa phase d’aménagement et de décoration. Assurée avec goût par la propriétaire, Patricia COSTE.

Ancienne responsable administrative d’une association d’aide aux victimes dans l’Ain, cette dernière devait quitter ses fonctions en début d’année afin de suivre son époux, nommé dans l’Yonne. Ayant acheté cette splendide « longère » dans l’intervalle, une idée lumineuse s’est fait jour après quelques mois de recherche d’emploi infructueuse : concevoir un hébergement à base de chambres d’hôtes.

Si la partie restauration, sous forme de table d’hôtes, devrait être effective d’ici la fin de l’année, ENTRE CANAL et VIGNES espère très vite atteindre le chiffre d’affaires prévisionnel, évalué à 20 000 euros dès la première année.

« Les réservations traduisent déjà une réelle volonté de découvrir ce site, explique Patricia COSTE, quant au taux de remplissage pour les mois à venir, il est correct… ».

Le besoin de formation pour étayer ses connaissances de dirigeante

Profitant de la proximité du Canal du Nivernais, référence nautique très prisée des plaisanciers adeptes de tourisme fluvial, Patricia COSTE veut se spécialiser dans l’accueil de professionnels, cadres et dirigeants d’entreprise devant séjourner dans le département. Ses axes de communication l’ont aussi rapproché des offices de tourisme et des agences de voyage. Sans omettre les réseaux sociaux.

Créée sous le statut de micro entreprise, ENTRE CANAL et VIGNES et sa dirigeante ont aussi bénéficié d’un cycle formatif décliné par BGE Nièvre Yonne durant six semaines. Une valeur ajoutée pour l’ancienne cadre qui gérait autrefois une équipe de treize collaborateurs au sein du milieu associatif et qui éprouvait le besoin de parfaire ses connaissances comptables avant de se lancer dans le grand bain de cette nouvelle aventure…


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Le réseau d’affaires « Business Network International » (BNI) possède une excellente couverture sur le département de l’Yonne. A l’instar du club de Joigny, opérationnel depuis plusieurs saisons déjà, le mouvement relationnel et affairiste aux origines américaines dispose de deux autres structures à Auxerre et à Sens. Toujours dans un souci de prosélytisme intelligent auprès des chefs d’entreprises et des forces vives de l’économie, une dernière structure vient d’ailleurs d’élire domicile à Avallon en ce mois d’octobre…

 

JOIGNY : Et de quatre sur le territoire Icaunais ! Plus que jamais, le réseau BNI tisse sa toile et étend son influence auprès des décideurs économiques de l’Yonne. Avec un sens aigu de l’implantation stratégique.

Après Sens, Auxerre et Joigny, la ville d’Avallon s’est dotée le 10 octobre d’une nouvelle structure associative, ayant pour objectif de fédérer le maximum d’entrepreneurs en quête de business et de relations publiques. Le quadrillage de ce cercle très concentrique pourrait peut-être un jour déboucher vers la création de nouvelles entités aussi performantes dans d’autres localités du paysage nord-bourguignon telles que Tonnerre ou Toucy.

Récemment, près de cent-vingt chefs d’entreprises ont pu découvrir lors d’une rencontre proposée dans la sous-préfecture méridionale de l’Yonne les grands préceptes de ce mouvement, initié par dix-huit professionnels du sérail local. Ils auront tôt fait d’appréhender les principes vertueux de ce réseau, aujourd’hui fédéré sur le secteur Champagne Ardenne Yonne, en ce qui concerne notre département.

Un volume d’affaires annuel à plus de 65 millions d’euros…

Pourvu de 14 123 adhérents, le réseau régional, piloté par Pascal MANTHE, directeur de développement, a conclu l’exercice 2016 sur une excellente note d’appréciation, avec plus de 65,3 millions d’euros de volume d’affaires réalisés par ses membres. Fonctionnant sur la base unique de la recommandation entre chefs d’entreprises désireux de travailler ensemble, le BNI atteint même des records en matière de business au plan national avec 19 000 entrepreneurs référencés pour un milliard d’euros de chiffre d’affaires obtenus au terme du premier semestre. Plus de 130 000 salariés exercent leur savoir-faire pour le compte d’un patron « bniste » aujourd’hui en France…

Présidé depuis le 01er octobre par Jean-Thomas MEYER, agent d’assurance chez GAN, le club de Joigny compte une trentaine d’adhérents. La vitrine comptable idéale pour développer ce type de structure dans un environnement de proximité. L’ossature où convivialité et prescriptions de rendez-vous s’allient naturellement à l’esprit coopératif ne se limite pas à ce nombre. Au cours de sa dernière réunion, le 20 octobre, un nouvel « invité », un entrepreneur franchisé chez AKENA VERANDAS, posait les jalons de sa future candidature afin de rejoindre le réseau.

Un objectif de 35 adhérents dans les six mois à Avallon…

A Avallon, les nouveaux impétrants intéressés par ce système de recommandation sur mesure devraient grossir les rangs de la jeune structure dont l’objectif sera d’atteindre très vite le rythme de croisière autour de 35 adhésions. C’est d’ailleurs un chef d’entreprise d’Auxerre, David PARIZOT, gérant de la société « OXO 89 », responsable de l’animation du club business du Rugby Club Auxerrois (RCA), qui a accompagné le futur groupe en voie de création en lui prodiguant moult conseils.

Les séances préparatoires n’ont cessé de se multiplier depuis le mois de février afin de concevoir un noyau dur d’adhérents, aptes à prendre la destinée de la nouvelle structure dès que possible. Assureur à Avallon, Jean-Christophe HERVELLIN assumera durant ces six prochains mois la présidente tournante du club.

A raison d’un rendez-vous hebdomadaire, les participants de ces réunions de travail découvrent les métiers exercés par leurs condisciples. Une manière intelligente et garantie de pouvoir mieux les recommander ensuite parmi les réseaux professionnels et institutionnels de chacun.

Des temps de parole très minutés pour présenter ses activités

Les adhérents bénéficient aussi, et à tour de rôle, d’un temps de présentation d’une minute et trente secondes. Synthétique et concret, l’interlocuteur ne peut tergiverser dans ses propos. L’essentiel doit être dit de façon astucieuse ; sachant qu’un petit slogan publicitaire permet de clore avec humour la brève intervention de l’orateur. Autre opportunité : la conférence thématique de dix minutes. Le membre du BNI, ce fut le cas au club de Joigny avec le directeur des concessions Renault dans l’Yonne, Manuel FERREIRA, peut alors décliner différents aspects de son métier, expliquer son actualité à travers ses produits et répondre avant de conclure à quelques interrogations précises de ses collègues.

Quant au recrutement, il intègre les priorités constantes des meneurs de l’assistance. 1 409 chefs d’entreprises ont été conviés la saison dernière parmi les clubs du réseau régional Champagne Ardenne Yonne. Beaucoup ont répondu par l’affirmative pour rejoindre la structure, ayant déboursé plus d’un millier d’euros de cotisation annuelle…Au vu des chiffres annoncés, le jeu en vaut la chandelle incontestablement…


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La petite structure associative, pur produit des années 1980 et de ce mouvement libérateur sur les ondes voulu par François MITERRAND, est aujourd’hui mâture et rayonne comme l’une des plus belles représentations radiophoniques du territoire de l’Yonne. Observatrice de la vie locale, assurant le suivi factuel de nombreux événements, la structure reste toutefois dépendante des fameux contrats aidés dont la récente remise en question pourrait lui être funeste si la chose en restait là. Alors que les perspectives et le mode opératoire actuels contribuent à son succès…

 

SENS : Trente-cinq ans. Pour un média local, c'est l'âge de raison. Pour un média local associatif, avoir trente-cinq ans d'existence, c’est une marque de résilience. Radio STOLLIAHC a organisé en cet honneur, une réception à la Salle de la Poterne, à Sens, où étaient invités officiels, personnalités politiques, chefs d'entreprises, acteurs des milieux culturel et sportif et bien évidemment les salariés et bénévoles ayant contribué à l'aventure STOLLIAHC.

L'effervescence ambiante a atteint son apothéose lorsque l’édile de Sens, Marie-Louise FORT a entonné un « Happy Birthday » à l'issue d'un discours où elle est revenue sur les joies et les peines que lui ont provoqué la radio locale au travers de sa couverture de la vie locale.

Une station pionnière dans le paysage de la presse départementale

« Je crois en la liberté d'expression » a conclu l'élue. En prenant à la fin des années 80 le pari de faire de l'information locale sa marque de fabrique, STOLLIAHC FM a vu passer à ses micros, plusieurs générations de politiciens, générant de nombreux débats, lesquels étaient rendus disponibles durant la soirée grâce à des archives disposées en format K7, minidisque et CD.

« Avec la libération des ondes en 1982, on a eu pour la première fois, des campagnes locales des municipales radiodiffusées » rappelait André CHAUSSAT, maire de Sens entre 1979 et 1983. La radio locale de Sens a fait ainsi partie des pionniers, avec TRIAGE à Migennes et Radio AVALLON, provoquant un changement dans le paysage et la culture du journalisme et des médias en province.

Ce rapport plus direct avec la vie locale n'est pas pour autant source de jouissance économique. La marque de fabrique de ces radios est d'avoir survécu à des périodes de vaches maigres. « Notre premier studio a été installé dans un garage à vélo mis à disposition par la SA HLM - bailleur social, ex-BRENNUS HABITAT- notre matériel a été compilé grâce au système D » se souvient Jean-Pierre HANRYON premier président de la radio locale de Sens. « On devait toujours être sur le qui-vive, on utilisait des lecteurs K7 et des platines vinyles. Il fallait toujours être prêt à appuyer sur le bouton lecture dès qu'un son s'arrêtait sinon c'était le blanc ! Et on en a souvent eu (rires) » témoigne un technicien de la première heure.

Un rapprochement salvateur avec PACIFIC FM…

À la libéralisation des ondes, l'État joignait l'obligation de ne pas réaliser de publicités. Cette loi, contournée par certaines radios dès le milieu des années 80, a rapidement créée une disparité des richesses générant des ogres nommés NRJ, Skyrock et Fun Radio, et des petits luttant pour survivre. Trouvant sa place dans la deuxième catégorie, STOLLIAHC est déjà passé aux bords du dépôt de bilan. D'où la résilience. Fin des années 80, le concours de PACIFIC FM permit de gagner du temps et des moyens. On parlait alors de Pacific-Stolliahc FM. En 1989, ce réseau national a été racheté par le groupe NRJ, forçant STOLLIAHC à retrouver une autonomie financière.

Durant la décennie suivante, avec une grille de programme complétée par des séquences de la banque de Rire et Chansons, le média Sénonais, présent tous azimuts, solidifie sa position, avant l'épisode TDF. L'opérateur, alors filiale de France Télécom, veut prendre le contrôle de l'antenne relais de STOLLIAHC. Il fallut lutter, faire valoir tout son poids dans la vie locale et mener un combat judiciaire pour obtenir gain de cause. Ce qui a été une victoire aura tout de même laissé des plumes. En 1995, la radio eu à délocaliser son siège en périphérie de Sens, au Foyer des Jeunes Travailleurs, tout en poursuivant sa quête de contenus riches et diversifiées. Le quatrième déménagement et pas le dernier…

Un horizon incertain malgré des objectifs positifs…

Depuis 2004, STOLLIAHC a trouvé demeure au 50 rue Thénard, retrouvant une présence en centre-ville. Variant à la marge son modèle économique, générant un nombre important d'évènements, brocantes et salons, STOLLIAHC, comme toutes les associations, reste dépendante des contrats aidés. Les diverses annonces de l'année a échaudé la direction.

« Si nous n'avons pas de contrats aidés, nous ne pourrons pas poursuivre nos missions » élude Jean-Louis PECHINE, président du média depuis 1999. Cette ligne directrice et ces objectifs mènent la radio à disposer à ce stade de son propre programme musical privilégiant la pop alternative et de plus de dix heures de programmes d'informations locales en semaine sans compter les émissions spéciales.

Haeckel BEKKA et Thierry BRET


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Adaptées dans une quarantaine de langues y compris le russe et le mandarin, connues de manière universelle, les œuvres théâtrales du britannique Ray COONEY intègrent les codes essentiels qui ont fait le succès des vaudevilles à la FEYDEAU. Très populaire de de côté-ci de la Manche, et chouchou des metteurs en scène de l’Hexagone, Ray COONEY impulse du rythme et des situations rocambolesques à foison à ses créations scéniques, nimbées d’un humour sans bornes. La compagnie théâtrale de GURGY, AMPHITHEATRE, en apportera l’intéressante illustration cet automne avec l’interprétation de l’une des pièces de référence du maître, écrite en 1992, date de naissance de la fameuse troupe…

 GURGY : A l’âge de 14 ans, Ray COONEY passe une audition dans un théâtre de Londres et décroche son premier rôle. Mais, sa carrière artistique ne décollera vraiment qu’en 1952, juste après son service militaire. Pur produit de la perfide Albion, ce grand monsieur du théâtre britannique contemporain ne cesse depuis d’être l’un des auteurs les plus prolifiques, en ayant un faible pour le vaudeville à la française dont FEYDEAU fut l’un des maîtres absolus.

Producteur, comédien, metteur en scène, auteur…Ray COONEY fait figure de touche à tout de génie, développant à partir de 1961 avec sa plume alerte des scénarios qui s’exporteront progressivement vers l’Europe entière, après adaptation…

Parmi ses plus grands succès : « Run for your wife », œuvre créée en 1982 et demeurée à l’affiche des théâtres londoniens durant neuf ans. Anobli par la reine Elisabeth II en 2004, il aura entre-temps réalisé « Impair et Père », un texte finement ciselé et hilarant que les comédiens amateurs de GURGY se feront un plaisir de vivre sur la scène du foyer communal. Entre quiproquos attendus et épisodes ubuesques, le public pourra apprécier les circonvolutions du personnage principal qui va s’engluer dans une série de mensonges aux conséquences catastrophiques. Le tout saupoudré de dialogues percutants et de portes qui claquent !

Du pain béni pour les comédiens de la troupe icaunaise, passionnés de cet art majeur et brillants sur scène où ils ont déjà interprétés d’autres pièces de l’auteur anglais « Vision voyageur » en 2008( co-écrit avec John CHAPMAN) pu le célèbre « Espèces menacées »…

A voir et à apprécier les 28 et 29 octobre mais aussi tous les samedis et dimanches de novembre ainsi que le vendredi 17 novembre au foyer communal de GURGY.


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Sous un crachin désagréable, la troisième étape du rallye national ayant comme objectif de valoriser la capacité d’itinérance des véhicules électriques, soutenu par le Syndicat départemental d’énergie de l’Yonne (SDEY), devait prendre son envol depuis l’un des sites touristiques les plus fréquentés de Bourgogne Franche-Comté. Une manière insolite et sympathique de faire converger les enjeux modernistes de la voiture propre à l’ambitieuse édification d’un complexe d’inspiration médiévale reconnue au plan universel…

TREIGNY : La présence de trois bornes électriques permettant de recharger les véhicules qui font étape d’ordinaire sur le site du Château de GUEDELON ne pouvaient laisser les organisateurs de ce rallye national indifférents dans le futur tracé de leur parcours. Co-organisée avec le soutien des responsables du Syndicat départemental d’énergie de l’Yonne (SDEY), la venue pour la troisième année consécutive de cette initiative promotionnelle de très belle envergure sur le sol Icaunais aura une fois de plus suscité l’intérêt des élus et représentants institutionnels. Mais, aussi la curiosité de la population.

Arrivés la veille à Chablis, haut lieu de la viticulture française et fief de l’actuel président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, qui en fut encore le premier édile jusqu’au début de l’été, les concurrents de ce rallye « France Electrique Tour » devaient reprendre le départ de ce troisième périple, les menant à Chinon, le lendemain depuis le célèbre site de Puisaye. Sous un ciel gorgé de pluie mais qui n’altérait nullement la bonne humeur sur le camp de base.

Le SDEY, incontournable partenaire de la promotion des véhicules électriques

Avant de prendre la fille de l’air vers d’autres horizons, la vingtaine de pilotes engagées dans cette épreuve d’endurance profitaient de la présence des trois bornes électriques posées aux abords de GUEDELON pour augmenter leur autonomie. Mais, aussi pour dévoiler la physionomie de leurs véhicules aux observateurs. Notamment la toute récente « LEAF 30 », produite par le constructeur japonais NISSAN qui effectuait l’une de ses premières sorties officielles sur les routes de France. On notait également la présence de plusieurs modèles de l’américain TESLA, du français Renault (Zoé 40), de l’allemand Volkswagen (e-Golf) ou du sud-coréen KIA (Soul).

Accueillant les officiels, Jean-Noël LOURY, président du Syndicat départemental d’énergie de l’Yonne, rappelait le rôle fondamental de ces organismes dans le développement des infrastructures de recharge sur le territoire national.

« La mobilité électrique est essentielle à notre avenir dans le cadre de la transition énergétique, devait-il expliquer avant le départ de la troisième des cinq étapes, sur la période 2015/2017, le SDEY a un potentiel d’équipement de 157 bornes de charge pour faire du département de l’Yonne un territoire entièrement équipé au service de la mobilité électrique… ».

Une première sur le rallye : la présentation d’une moto électrique !

Avec à l’avenir, des points de charge évolutifs pouvant accueillir et recevoir un réseau Wi-Fi ou un écran tactile. Quant au rallye « France Electrique Tour 207 », il aura été le reflet démonstrateur idoine vis-à-vis de l’utilisation optimale des véhicules électriques, en faisant ressortir les capacités d’autonomie et les points d’amélioration de ces automobiles. Cette année, son kilométrage était plus conséquent avec une distance de 1 500 kilomètres à parcourir en quatre jours depuis Aix en Provence jusqu’à La Roche sur Yon. Le cortège devant emprunter de petites routes de campagne, mais aussi quelques tronçons d’autoroute.

Signe des temps, précisions que pour la première fois, le concept soutenu par une kyrielle de partenaires institutionnels et entreprises accueillait une moto électrique avec un équipage qui se partageait à tour de rôle un véhicule utilitaire NISSAN e-nv200 et un deux-roues Zéro.


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