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Seuls 16,3 % des logements de notre territoire peuvent souscrire à un abonnement donnant accès à la fibre optique. Sachant que 31,8 % des foyers du reste de l’Hexagone y ont accès avec aisance et, ce depuis longtemps. Le constat est plutôt éloquent. En occupant la 13ème et dernière place du classement des régions françaises en matière d’équipement numérique, la Bourgogne Franche-Comté accuse un sérieux retard préjudiciable à son développement. Tant au niveau économique puisque ce critère d’accessibilité à cette technologie moderne est requise pour toute installation de nouvelles entreprises que pour l’optimisation de la qualité de vie de ses habitants. Ces derniers, ulcérés par la faiblesse du réseau Internet, perdent patience et ne comprennent pas ce hiatus qui les différencie des autres citoyens…

DIJON (Côte d’Or) : En termes d’éligibilité des logements à la fibre optique, la région Bourgogne Franche-Comté enregistre les plus mauvais résultats nationaux selon le dernier baromètre établi par le comparateur d’offres Internet, ZONEADSL.

A raison d’une livraison de statistiques trimestrielles depuis 2015, cette structure officielle publie un état des lieux complet de la couverture numérique en France. Région par région, département par département.

Pour se faire, l’organisme s’appuie sur les données analytiques fournies l’organisme de référence en France, l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes). Ainsi que celles qui émanent des opérateurs, eux-mêmes, positionnés sur ce segment.

Au quotidien, qu’il s’agisse d’un usage personnel ou professionnel, les utilisateurs sont confrontés à la fracture numérique sur le territoire. Il est parfois impossible de capter le moindre signal Internet depuis son ordinateur.

 

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Les acteurs institutionnels ont repris la main…

Las, les habitants de la région ne savent plus à quels saints se vouer pour que la situation s’améliore. La technologie du Très Haut Débit (THD) se révèle être une denrée rare, quasi impossible à posséder chez soi ou sur son lieu de travail.

L’explication à ce curieux dysfonctionnement qui plonge la Bourgogne Franche-Comté vers l’arrière-ban des territoires à la pointe des équipements technologiques se résume en une ligne : la faible densité du nombre de ses habitants pour les opérateurs historiques.

Ces derniers ont privilégié leurs investissements dans les régions plus peuplées disposant de meilleurs atouts. Laissant le champ libre à des réseaux d’initiative privée (RIP) qui doivent en assumer le relais.

Pour remédier à cela, afin de récupérer le retard accumulé depuis des lustres, les acteurs institutionnels (Région, Département, certaines Communautés de communes dont celle du Tonnerrois dans l’Yonne) ont repris à leur compte des initiatives permettant de rétablir les équilibres. Selon des plans et des schémas qui s’inscrivent a contrario dans la durée. Il faudra donc s’armer de patience en Bourgogne Franche-Comté pour espérer bénéficier un jour ou l’autre de la fameuse 4G !


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Initiée au 1er mai 2018, la Plateforme d’intervention départementale pour l’accès aux soins et à la santé (PFIDASS) se révèle déjà très utile pour les assurés sociaux de notre territoire. Près de deux cents d’entre eux intègrent le dispositif d’accompagnement leur permettant de renouer avec les soins thérapeutiques. Trente-et-une personnes ont ainsi pu bénéficier des précieux remèdes médicaux. Des indicateurs très positifs pour le directeur-adjoint de la Caisse primaire de l’assurance maladie, Jocelyn PIBOULEAU…

AUXERRE : « Les points forts de ce processus d’accompagnement que nous avons développé depuis le printemps se résument ainsi, constate le cadre supérieur de la CPAM de l’Yonne, faire bénéficier l’assuré social d’un accord CMUC/ACS ou d’une aide au choix d’un contrat mutuelle adaptée. Car, cette absence d’une prise en charge par une complémentaire de santé représente le premier frein à la réalisation de soins… ».

Ainsi, accueilli par une conseillère pour l’accès aux soins et à la santé, l’assuré se sent écouté et considéré. Un ajout d’humanisation dans une société qui laisse de plus en plus d’individus sur le bord de la touche.

« Le fait de recevoir un accompagnement personnalisé et adapté à chacun, poursuit Jocelyn PIBOULEAU, redonne de la confiance aux assurés. Jusque-là, ces personnes se sentaient perdues dans leurs démarches, voire exclues socialement du fait de la non-réalisation de certains soins. Notre mission est de nous sentir utile en apportant notre aide à certains assurés en difficulté à cause d’une méconnaissance de notre système de santé et des droits auxquels ils ne peuvent prétendre… ».

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 126 accompagnements toujours en cours dans l’Yonne…

Ce suivi minutieux assuré par les professionnels de la Caisse primaire de l’assurance maladie, préalablement formés à ces nouvelles missions sociétales, ne peut excéder un délai de 90 jours. Autant dire que les équipes de la CPAM de l’Yonne jouent de réactivité afin de trouver les opportunités adéquates pour résoudre l’ensemble des problèmes.

« L’enjeu est simple, confie le directeur-adjoint de la CPAM de l’Yonne, nous devons ramener ce public qui avait renoncé aux soins vers le parcours des séances de dépistage réservées à certaines pathologies (cancer, asthme, diabète). Sans omettre de les orienter vers l’accès de soins primaires (dents, vision). Les chiffres révélés par l’enquête que la CPAM a initiée dans l’Yonne sont révélateurs de cette carence. 12 % des personnes interrogées affirment se priver de soins chez l’ophtalmologue. 9,5 % ne consultent plus de spécialistes. 9,2 % n’assurent plus d’examens biologiques. 8 % se dispensent des séances de rééducation chez le kinésithérapeute. Depuis septembre, l’introduction de la télémédecine, facilitant les consultations à distance auprès de praticiens spécialisés, se développe dans notre département. C’est l’un des moyens qui nous permettra de résorber à terme cette situation délicate vis-à-vis des personnes éloignées des Maisons de santé… ».

Les étudiants intègrent aussi cette catégorie de personne en disette de soins. Deux mille d’entre eux ont par ailleurs été réintégrés dans le régime général de base. Ils peuvent profiter d’offres de prévention spécifiques avec des programmes liés aux comportements à risque (tabac, alcool, addiction) et soins bucco-dentaires.

 


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Une récente enquête de l’assurance maladie atteste que dans le département septentrional de la Bourgogne Franche-Comté, près d’un assuré sur quatre n’hésite pas à remettre à plus tard des soins médicaux, mêmes ceux jugés parfois indispensables. Si les raisons en sont diverses mais principalement financières, leurs conséquences inquiètent, néanmoins, les acteurs de la santé. Réactifs, les responsables de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) ont décidé la mise en place d’un dispositif opérationnel depuis le 01er mai. Cette cellule spécifique détecte les personnes les plus fragilisées par les affres de l’existence afin de pouvoir les accompagner au mieux dans leur retour vers les soins.

AUXERRE : Il aura fallu une enquête diligentée avec l’aide d’un institut universitaire au printemps 2018 pour que la Caisse primaire d’assurance maladie s’attaque en profondeur et avec extrême réactivité à la problématique du moment : le renoncement aux soins. Sur 1 206 icaunais interrogés, 22,6 % des personnes sondées ont déclaré avoir déjà renoncé à des soins thérapeutiques. Faute de moyens budgétaires suffisants pour se les financer. Mais, l’argent n’est pas le seul facteur explicatif à cette situation dramatique qui perdure ainsi depuis plusieurs mois pour certains de nos concitoyens. Eclectiques, les motifs de renoncement sont multiples. Délais incompressibles des rendez-vous médicaux, absence de spécialistes sur le territoire, mobilité réduite des personnes âgées constituent en autant d’exemples concrets le panel représentatif de cette désertion impitoyable. Elle concerne désormais toutes les strates catégorielles de la population.

Des lors, la lecture de l’enquête démontre que les soins dentaires, ceux de l’ophtalmologie et de l’équipement en paire de lunettes sont remisés parfois aux calendes grecques par les assurés sociaux.

Soucieux de garantir l’accès universel aux droits de se soigner, la Caisse primaire d’assurance maladie ne pouvait décemment pas passer sous silence ce constat alarmiste de la précarité thérapeutique qui s’installe autour de nous. Se rapprochant de différents partenaires du secteur sanitaire et social dont les praticiens, les pharmaciens et les infirmiers, la CPAM a développé un processus favorisant la détection et l’accompagnement aux soins de ces personnes qui en sont privées de manière volontariste. Créant de facto un réseau de partenaires efficaces. Celui-ci ne cesse de s’élargir, en y intégrant les établissements de santé, les maisons de service au public, les catégories socio-médicales.

Une articulation spécifique pour détecter les bénéficiaires de ce dispositif…

Plusieurs services de l’Assurance maladie ont donc été formés pour repérer les situations de renoncement aux soins parmi le public reçu. Soit à l’accueil de la CPAM à Auxerre ou dans ses diverses annexes, soit au sein du centre d’examens de santé ou auprès du service médical.  Une fois collectée, les informations ont échu auprès de l’Observatoire des non-recours aux droits et services (ODENORE). L’organisme a su en tirer les premières conclusions en identifiant 273 personnes (22,6 % de l’enquête) qui ne fréquentent pas les salles d’attente des praticiens de notre département. Une statistique moindre par rapport aux taux moyen constaté à l’échelle de l’Hexagone (26,5 %).

 

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Eviter que les assurés sociaux abandonnent les démarches de retour aux soins…

Même si l’engagement et les missions de la CPAM sont louables, tant au plan de la prévention que de l’accompagnement, le manque d’implication des non-bénéficiaires aux soins explique le retrait des démarches des assurés sociaux. Le temps de la psychologie et de l’écoute prend alors le relais.

« Dès lors qu’une situation de renoncement est détectée, précise Jocelyn PIBOULEAU, directeur-adjoint, un conseiller de la CPAM contacte la personne pour l’aider à se faire soigner. Viendra ensuite le moment de réaliser un bilan exhaustif de ses droits aux prestations… ».

L’étape est essentielle. Elle a le mérite de pouvoir apporter au bénéficiaire des soins toute la lumière sur les accompagnements possibles. Avec une orientation dans le système de soins le plus approprié afin de préconiser un montage financier adéquat. Un suivi se mettra en place par le conseiller. Dans l’Yonne, sa moyenne de fonctionnalité est à l’heure actuelle de vingt jours.

91 % des signalements proviennent de la CPAM dont 50 % des accueils. Y compris celui du Centre d’examens de santé. D’ici la fin de l’année, une réunion sera proposée en direction de tous les acteurs de la santé afin de leur présenter les tenants et aboutissants de cette cellule ayant pour vocation d’être un maillage représentatif et efficace sur le territoire.

 

 


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Le soufflé est retombé. L’affaire du prélèvement à la source, c’est déjà du passé ! Pourquoi ? Parce que ça n’a pas encore commencé, tout simplement. Jusqu’à aujourd’hui, c’était du « buzz médiatique », tandis que dans les coulisses de l’exploit les équipes ardentes de notre ministre des Comptes Publics s’affairaient pour être prêtes en 2019. Une fois de plus, nous pouvons être fiers de notre administration séculaire.

LYON (Rhône) : Néanmoins, pour les contribuables, tout reste à voir, ou plutôt, à faire. En effet, toute personne qui, sur le plan professionnel, doit passer de la théorie à la pratique, sait que ça ne se passe jamais comme prévu au départ. Et c’est normal. On ne peut pas, on ne pourra pas en tenir grief aux équipes du ministère et à notre ministre, Gérald DARMANIN. Car, c’est la vie même…

C’est lors de la mise en œuvre du prélèvement à la source que l’on saura si ça fonctionne ou pas. Auguste DETOEUF a déjà corrigé le vieux dicton : « C’est au pied du mur qu’on voit  le maçon ». Non, « c’est au sommet du mur’ ». Donc, attendons et revenons-en au principe du « Prélèvement à la source ».

Vous êtes-vous posé ces deux questions au sujet du prélèvement à la source : quel est en est l’intérêt pour moi ? Quel est en est l’intérêt pour le pays ?

Selon le sondage de la société ELABE, les deux-tiers des Français soutiennent le prélèvement à la source. Tant mieux ! C’est si rare de voir les Français soutenir quelque chose dans une telle proportion.

Néanmoins, il y a des réserves. Le principal sujet d’inquiétude, ce sont les « bugs » ». 50 % des Français s’en inquiètent. Précisons cette donnée : il y a en France 37,4 millions de foyers fiscaux et seulement 17,1 millions de contribuables qui sont imposés à l’Impôt sur le Revenu des Personnes Physiques. C’est-à-dire moins de la moitié des contribuables français. Voilà qui relativise les sondages sur la position de nos concitoyens en matière de prélèvement à la source. En fait, environ 8 millions de ménages français sont inquiets.

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Plus de mille milliards de prélèvement…

Poursuivons notre analyse grâce à ELABE. 53 % des Français estiment qu’ils n’ont pas été assez informés. A l’heure où l’on parle communication à tout crin, c’est inquiétant. Pourtant, les Français passent en moyenne 3 heures 42 par jour devant leur poste de télévision. Sans oublier désormais Internet et les réseaux sociaux. C’est regrettable car, lorsque les « bugs » arriveront, les Français diront : « On ne savait pas. Si j’aurais su… ». Là, pas d’inquiétude, on connaît la réponse : « le Gouvernement ne vous demande pas de savoir mais de payer… ».

Et venons-en au fait essentiel : combien rapporte l’Impôt sur le Revenu des Personnes Physiques ? 76 milliards d’euros ! Et les prélèvements sociaux, soit le couple CSG/CRDS ? 125 milliards d’euros. Et la TVA ? 185 milliards d’euros. Au total, l’essentiel de ces impôts sur les personnes et leurs biens s’élève à 386 milliards d’euros. L’Impôt sur le Revenu des Personnes Physiques dans cet ensemble représente …, représente … 19,7 % !

Et le total des prélèvements s’élève à combien ?  A 1 038 milliards d’euros. L’IRPPP représente 7,3 % de cet « Himalaya » de prélèvements. Tout est dit.  Shakespeare avait raison.

La semaine prochaine, nous vous présenterons le deuxième chapitre sur le prélèvement à la source. Cette fois sous l’égide non plus du poète et écrivain britannique, mais de Lénine : « Une contradiction interne ».

Emmanuel RACINE


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Les bases d’un futur partenariat s’accélèrent entre un lycée hôtelier de la Rioja, région septentrionale de la péninsule ibérique et l’établissement icaunais. C’est ce que devait confirmer la proviseure du lycée des métiers d’art, Capucine VIGEL, lors de la réception officielle d’un label validé par le Parlement européen, celui d’Ecole des Ambassadeurs de l’Europe…

AUXERRE : Le projet de collaboration étroite entre un lycée hôtelier de la province espagnole de la Rioja et du lycée d’enseignement professionnel auxerrois se peaufine depuis plusieurs semaines.

Après la visite d’une délégation d’enseignants avant la période estivale, la direction de l’établissement icaunais prépare les contours d’un futur séjour dans la péninsule ibérique afin d’étudier les modalités d’un futur rapprochement pédagogique.

L’annonce a été faite de manière officielle par la proviseure Capucine VIGEL lors de la réception du label de l’Ecole ambassadrice de l’Europe.

« Il est fondamental de recevoir et d’échanger avec nos homologues européens, devait préciser la responsable de l’établissement. Il est très important de partager les pratiques pédagogiques avec nos collègues, dans l’intérêt des apprenants et leurs enseignants… ».

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Des liens étroits de cette province ibérique avec la Bourgogne

Une délégation de la province espagnole de la Rioja, conduite par le recteur José Abel BAYO MARTINEZ, avait rencontré il y a peu la rectrice de l’académie de Bourgogne Franche-Comté, Frédérique ALEXANDRE-BAILLY dans le cadre du développement des échanges éducatifs entre les deux territoires régionaux.

Cette visite avait permis la signature d’une convention de partenariat favorisant la mise en œuvre d’actions de coopération active.

Proche de la Bourgogne Franche-Comté sur le plan de la gastronomie et de la viticulture, la province espagnole deviendrait par le prisme de son établissement pédagogique le terreau idéal pour développer de nouvelles initiatives favorables au lycée des métiers d’art d’Auxerre.

En second lieu, la volonté d’accroître des échanges linguistiques entre élèves et ente professeurs représenterait une excellente opportunité afin d’initier des partenariats. Y compris avec les entreprises qui pourraient se positionner dans l’accueil de stagiaires.


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