Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Prise de la température, à vingt-quatre heures de la première des deux confrontations qui opposera dès jeudi le dix-huitième de Ligue 1, l’Association Sportive de Saint-Etienne, au troisième de Ligue 2, l’AJ Auxerre. Voilà à quoi servait l’antépénultième conférence de presse de la saison, un exercice où le coach auxerrois à la fameuse casquette rivée sur la tête, Jean-Marc FURLAN, excelle. Que les supporters du club icaunais soient rassurés : « le moral est bon et tout va bien ! ».

 

AUXERRE : L’échéance a beau être hyper importante pour l’avenir du club bourguignon – son accession parmi l’élite après dix ans de purgatoire et d’attente -, Jean-Marc FURLAN ne déroge jamais à son attitude habituelle en conférence de presse : arborer un large sourire avant que ne démarre la prise de parole et plaisanter comme un gamin fier de ses blagues afin de détendre l’atmosphère.

Pourtant, cela ne l’empêchera nullement de parler technique et de stratégie avec beaucoup de sérieux en pesant chacun des mots employés, d’évoquer le plan de bataille mis en exergue afin que ses protégés soient le plus compétitif possible avant de se lancer dans le grand bain.

Lui, des remontées en Ligue 1, il en a déjà quelques-unes dans sa besace. Avec Brest ou aux côtés de Troyes. Mais, là, ce qu’il vit au contact du public en liesse de l’Abbé Deschamps depuis plusieurs semaines, c’est totalement différent. Il l’avoue lui-même, entre deux commentaires qui encensent la gloire passée de l’équipe adverse, les « Verts » de la prestigieuse Saint-Etienne, ce n’est pas pareil.

A Auxerre, la passion du football se vit à fond, se respire par le moindre des pores, presque en communion.

 

Moins de tension pour le coach que face à Amiens ou à Sochaux…

 

« On entend cela toute la journée depuis bientôt dix ans, lâche-t-il un brin amusé devant le micro du pupitre où il dévoile ses derniers états d’âme d’entraîneur avant le rendez-vous du jour J, les Auxerrois veulent que le club fétiche accède à la Ligue 1. Ici, c’est juste fantastique, l’enthousiasme et la joie des supporters… ».

Donc, à l’occasion de ce double rendez-vous, en aller et retour à l’extérieur – la VAR sera requise, tout comme le but valant double -, Jean-Marc FURLAN ne veut pas décevoir ce public de fidèles. Sans trop le marteler, mais cela on le savait sans même lui poser la question, tout sera mis en œuvre pour que les Auxerrois soient au top durant ce long week-end de l’Ascension, qui pourrait se clore par une accession !

L’état des lieux à H-24 est simple : le groupe de titulaires, les tombeurs du FC Sochaux, sera au complet. Donc, tout va bien ! Le coach, lui-même, offre le visage d’une sérénité tranquille à ses interlocuteurs médiatiques. « J’aborde cette rencontre avec beaucoup moins de tension que face à Amiens ou à Sochaux, explique-t-il, les joueurs ont réalisé quelque chose d’exceptionnel cette saison. Leur progression est constante depuis deux ans. Je suis plus détendu avec ce match contre le dix-huitième de Ligue 1 que durant les trente premières journées du championnat ! ».

 

Jean-Marc FURLAN incarnerait-il une nouvelle forme de force tranquille ?

 

En tout cas, vu de l’extérieur, l’attitude est rassurante et ne peut que mettre en confiance des joueurs qui n’en manquent pas, visiblement.

Bon, c’est sûr, le coach de l’AJA aurait préféré une qualification directe en Ligue 1, en terminant à l’une des deux premières places du classement. Mais, Toulouse et Ajaccio en ont décidé autrement !

Face à de tels adversaires que sont Saint-Etienne (même si la saison aura été particulièrement chaotique), Auxerre ne se livrera à aucun calcul, avant d’aborder ces deux rencontres. L’idéal est de gagner à domicile, dès ce jeudi en fin d’après-midi, et avec la manière si possible, avant de se rendre dimanche dans le « Chaudron » de Geoffroy-Guichard pour y préserver le résultat. Un scénario plausible ?

« Il faut être capable de transcender les joueurs et d’être sur une réelle dynamique de victoire tout en respectant le protocole de jeu propre à notre projet. Celui-ci doit être solide et il ne faut surtout pas rentrer dans des détails de calculs… ». Un trop aléatoire au goût de Jean-Marc FURLAN, plus enclin à déjouer les pièges tendus par les lois du jeu !

Mais, pour le coach, l’abord de ce match repose sur la motivation de ses joueurs qui doivent être capables de gagner à domicile un adversaire même coriace avant de confirmer trois jours plus tard à l’extérieur. L’équation n’est guère aisée, sur le papier, mais l’apport du mental sera de toute façon prédominant dans cette rencontre à vivre comme une finale.

Que les aficionados de l’AJA se rassurent : de l’avis de Jean-Marc FURLAN, les fondations du groupe qu’il dirige sont solides avant cette rencontre de barrage. Pour autant, sont-elles suffisantes pour accéder à la Ligue 1 ?

Sourires du coach qui répond par une pirouette où il évoque la qualité de la cohésion du groupe et l’excellente dynamique qui y règne. « Mais, pour le reste, ajoute-t-il plus sérieusement, il faut encore du travail ».

Un travail répété encore et encore lors des ultimes séances d’entraînement avant que ne se déroule enfin le premier des deux rounds pouvant donner le trousseau de clés, qui mène au paradis. Ce n’est plus qu’une histoire d’heures, désormais…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pour lui, c’est très clair : « la politique n’est pas un métier ». Ironisant le trait quand il ajoute que cette occupation n’est pas à réserver aux personnes en manque d’activités. A 54 ans, le candidat Les Républicains (LR) de la troisième circonscription de l’Yonne brigue un premier mandat à la députation car il souhaite répondre à la fonction initiale de cette mission : l’engagement. Histoire de prendre son destin en main et d’en assumer pleinement ses responsabilités…

 

JOIGNY: Sitôt la séance photographique avec la presse terminée, Gilles PIRMAN n’a qu’une hâte : enlever la cravate bleue foncée qui confère à la solennité de l’instant. Même si la prise de vue se réalise sous l’ombre bienfaitrice d’un arbre – un arrière-plan plus architectural témoigne que ce cliché n’a pas été pris au beau milieu d’une zone champêtre ! -, le candidat des Républicains feint ne pas trop souffrir d’une chaleur déjà suffocante, sous le coup de midi.

Prolixe dans ses propos, il vient d’achever une longue conférence de presse, en configuration petit déjeuner, accueilli dans un restaurant de la ville. Soucieux du moindre détail et de la préséance dans ses relations publiques.

Le personnage, décontracté, est à l’aise face aux multiples questionnements des journalistes qui l’entraînent à la fois vers des rivages purement politiciens – la présence étrange et contradictoire de plusieurs listes de droite sur la circonscription, un coup de pouce fait au Rassemblement National ? -, plus personnels quant à sa propre vision de la chose politique dans le contexte si particulier que nous vivons et vraiment très stratégiques sur les plus-values qu’il peut apporter à son territoire de prédilection, lui l’homme rôdé aux pouvoirs publics, en cas d’élection au soir du 19 juin.

 

La politique : un engagement au service des autres…

 

La politique ? « Je ne vis pas que de cela ! », confie-t-il tout de go dès les premiers instants de cet entretien à bâton rompu où ses coreligionnaires – le premier cercle de son équipe de campagne – l’écoutent quasi religieusement sans piper mot.

D’ailleurs, il le précise sans ambages : s’il n’obtient pas les suffrages nécessaires des électeurs au terme du second tour de ce scrutin, capital pour sa formation en quête d’un véritable rebond après le naufrage des présidentielles, Gilles PIRMAN aura suffisamment de responsabilités lui permettant de rebondir.

Depuis deux décennies, il incarne les prises d’initiatives effectives de la localité de Saint-Clément où il agit en qualité d’édile. Sa vice-présidence, exercée dans le cadre du Conseil départemental depuis 2011, lui offre d’autres opportunités de pouvoir s’exprimer à travers des dossiers qu’il défend au quotidien. Notamment l’épineux sujet de la santé, un véritable casse-tête chinois, fort complexe à résoudre du fait du phénomène de désertification médicale observée en France depuis de nombreuses années.

Dans l’absolu, pourquoi se lancer alors dans une telle aventure – elle comporte des risques du fait de l’âpre concurrence -, la première du genre pour hériter d’un siège dans l’hémicycle du Palais Bourbon ?

« Je vis pour la politique parce que je recherche un type d’engagement, je ne vis pas de la politique, rétorque-t-il avec assurance à l’interrogation commune des médias faisant valoir la nuance.

Cela ne l’empêche pas de se présenter sur la grille de départ de cette législative dans un esprit serein mais déterminé. Face à la conjoncture actuelle – « le pain noir est encore à venir » annonce-t-il un brin prophétique -, Gilles PIRMAN ne pouvait hésiter plus longtemps avant de se prononcer sur sa candidature. Justifiant son entrée en campagne par le prisme du sérieux et de la solidité.

 

 

Un chantre de la culture du résultat…

 

Puis, il égrène les mots clés de son engagement qui repose sur une certaine idée de la culture du résultat. « Servir », « faire en sorte que ce soit mieux après que l’on se soit engagé qu’auparavant », « écouter » : simple comme bonjour, dans la bouche de Gilles PIRMAN, qui reste calme durant son exercice oratoire.

Il ajoute dans la corbeille de la mariée de ses explications détaillées, les termes « agir », « construire », « le faire pour les autres ». Et toujours dans l’intérêt de son territoire.

Il réfute, a contrario, tout engagement nourri de convictions partisanes – il a bien sûr ses convictions personnelles – pour se concentrer stricto sensu sur des convictions de résultats.

S’adressant aux abstentionnistes et à celles et ceux qui rejettent la chose publique, y compris dans sa plus simple expression, l’élu du Sénonais place le critère de l’expérience au centre du message.

« C’est cette expérience que j’apporte en ma qualité de candidat aux législatives sur cet arrondissement, souligne-t-il, une expérience faite de valeurs exercée depuis vingt ans… ».

S’arrêtant longuement sur le volet de la santé et la délicate offre de soins – le niveau le plus faible de la Bourgogne Franche-Comté -, le conseiller départemental évoque les motivations de son engagement. « Il y a quelque chose à faire sur ce sujet ô combien essentiel pour nos concitoyens ».

 

 

Jouer le rôle d’ambassadeur du territoire à l’Assemblée…

 

Précisant, au terme de son intervention, que sur ce dossier, du fait de son engagement et de son implication, « ce sera mieux après qu’avant ». Sans doute, parce qu’on part de tellement loin dans la réalité !

Devenir l’ambassadeur du territoire, c’est le vœu de Gilles PIRMAN, capable en faisant allusion une fois de plus au dossier de la santé, de « pouvoir assurer un diagnostic complet de son arrondissement », tout en fédérant et en ne divisant pas.

« C’est mon antithèse, affirme-t-il, je préfère que les gens s’additionnent plutôt qu’ils ne se divisent ou se soustraient… ».

Nicolas BOURSIN, président des Jeunes Républicains et directeur de campagne, opine du chef à l’écoute des propos tandis que Marianne PICOUET, suppléante du candidat, esquisse un léger sourire.     

Décochant une banderille avant de conclure l’exercice en direction de la députée sortante, Michèle CROUZET – « elle n’a aucun bilan à présenter en fin de mandat » -, Gilles PIRMAN tacle tour à tour le représentant du Rassemblement National, Julien ODOUL qui « incarne le désarroi de nos concitoyens » et Véronique FRANTZ, adjointe de la Culture de Sens qui se présente sous l’étiquette de divers droite, en créant de « la confusion ».

Se positionnant au-dessus de la mêlée, lui, il veut être jugé sur les résultats qu’il obtiendra lorsqu’il aura achevé son mandat. Sa façon de regarder l’avenir et d’avancer, en somme…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La double confrontation ne manque pas de piquant. Tant sur l’affiche, très alléchante entre ces deux références du football hexagonal que sur le terrain, surtout au niveau des enjeux. Avec le maintien en Ligue 1 pour l’Association Sportive de Saint-Etienne, ou sa rétrogradation. Si l’AJ Auxerre qui n’a rien d’un petit poucet prend le chemin des filets. Mais, attention, l’Yonne pourrait être submergée de supporters « verts », interdits de stade...

 

AUXERRE : Les clubs de supporters de l'AS Saint-Etienne, les « Magic Fans 91 » et les « Green Angels 92 » ne cessent depuis plusieurs jours, via les réseaux sociaux, d'haranguer leurs ouailles en les invitant à se mobiliser nombreuses dans l'Yonne, à l’occasion de la première des deux rencontres de barrage devant opposer leur équipe à celle de l’AJ Auxerre.

Ils en appellent à la mobilisation générale et encouragent leurs supporters à effectuer le déplacement en terre de l’Yonne. On sait que de ces deux matchs dépend la survie du club du Forez parmi l'élite, après une des saisons les plus calamiteuses de son histoire.

Or, à la suite d’incidents survenus lors de la rencontre Jura Sud Foot face à Saint-Etienne, le 02 janvier dernier en Coupe de France, la Fédération Française de Football a prononcé un certain nombre de sanctions contre le club de la Loire. Privant ses aficionados, trop turbulents, de plusieurs rencontres de Ligue 1 dans les semaines qui suivirent.

 

Faut-il craindre des débordements aux abords de l’Abbé Deschamps ?

 

La préfecture de l’Yonne voit donc la venue de supporters « Verts » du plus mauvais œil ce jeudi dans les parages du stade. Mardi en fin d’après-midi, le service communication de l’institution préfectorale a fait savoir par le biais d’un communiqué, que « la tribune visiteurs du stade auxerrois ne serait pas accessible aux supporters de l’ASSE ».   

Soucieux de prévenir tout risque de trouble à l’ordre public et conserver ainsi le caractère festif et sportif de ce match capital pour l’avenir des deux formations, le préfet Pascal JAN a décidé par un arrêté officiel d’établir un périmètre de protection autour de l’Abbé Deschamps. Redoutant, des risques de débordement.

L’interdiction, valable ce jeudi 26 mai entre 16h et 24h, s’applique à toutes les personnes, soutenant ostensiblement Saint-Etienne, d’arborer des vêtements aux couleurs vertes du célèbre club, d’accéder au stade, de circuler ou de stationner sur la voie publique aux abords de l’infrastructure sportive, dans le périmètre préalablement délimité.

En outre, la présence de la fête foraine, située à côté du stade, n’arrange rien en termes de pic d’affluence attendu le jour J. Les forces de l’ordre et les équipes municipales sont sur le pont pour assurer le bon déroulement de la rencontre.

 

L’ambigu communiqué de presse des clubs de supporters de l’ASSE…

 

De leur côté, les clubs de supporters de l’ASSE incitent leurs adhérents à se déplacer en masse à Auxerre pour le match du salut. Dans un communiqué de presse, publié en début de semaine, ils assuraient que ce « déplacement était rendu possible puisqu'aucun arrêté préfectoral n'avait été pris en compte du côté des instances étatiques dans l'Yonne ».

Ce qui n’est plus le cas en l’état actuel depuis mardi soir avec la diffusion du document rédigé par les services de la préfecture de l’Yonne.

Dans leur communication, les « Magic Fan 91 », l’un des clubs d’ultras de l’ASSE précise même « qu’une réunion se serait déroulée en amont entre la préfecture de l'Yonne, les deux clubs concernés et les clubs de supporters pour que la réception des visiteurs puisse s'organiser dans le meilleur des mondes. La préfecture de l'Yonne faisant montre de mansuétude envers les supporters de la Loire, autorisant ainsi leur déplacement par souci d'équité sportive lors de ces rencontres décisives… ».

La vigilance sera donc de mise jeudi après-midi dans la capitale de l’Yonne qui pourrait être « envahie » de supporters aux couleurs vertes. Sans qu’ils aient la possibilité de se rendre au stade.  

Avant que la préfecture de l’Yonne ne prenne la décision d’interdire l’accès à l’Abbé Deschamps des fans de l’ASSE ; les clubs de supporters stéphanois parlaient même de « position respectable et responsable de la part des autorités icaunaises de leur permettre de venir assister à la rencontre en qualité de visiteurs à Auxerre ».

Spécifiant en guise de conclusion dans leur communiqué par une curieuse formule, que « toutes autres informations contradictoires de la part des institutions officielles – notamment la préfecture de l’Yonne – ne devaient pas être prises au sérieux ».

Aujourd’hui, les dés sont donc jetés pour ces supporters stéphanois qui trouveront portes closes pour assister à la rencontre. Quelle sera in fine leur attitude s’ils viennent en nombre dans les rues d’Auxerre ce jeudi, frustrés et déçus d’avoir effectué le déplacement en vain ?

Un mach qui sent le soufre sur et hors du terrain, avant la phase retour disputée dimanche en fin de journée dans le « Chaudron » de Geoffroy-Guichard !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dans un Stade de France, plein comme un œuf, contenant 98 000 spectateurs chauffés à bloc, le combo rock hexagonal de Nicola SIRKIS a battu le record d’affluence du lieu, mieux que les stars internationales de U2, des ROLLING STONES ou de Paul Mc CARTNEY ! Un show mythique de 28 titres, devant se prolonger tard dans la nuit, avec feu d’artifice et messages en cascade, dont ceux destinés à l’Ukraine, qui furent distillés au fil de ces 2h45 de communion…

 

PARIS : La scène, tout d’abord. Elle est en forme de croix – le symbole de ce groupe tricolore apparu dans les années 80 avec « L’Aventurier » et l’hommage rendu à Bob Morane, le héros de l’auteur belge Henri VERNES – et s’étend sur plus de 850 mètres carrés !

Au-dessus trône un immense silo. Sa hauteur est impressionnante, même vu de loin : près de cinquante mètres (45 pour être tout à fait exact) et 1 400 panneaux d’écrans led qui représentent une surface de 2 500 mètres carrés, soit de 68 tonnes de matériel. L’effet est impressionnant.

Côté humain, deux cent cinquante techniciens – de vrais pros ! – sont mobiliser pour assurer ce show époustouflant.

Au fil de la soirée, on y découvrira des effets vidéo puissants, au fur et à mesure où s’égrènent les tubes historiques de la formation dont Nicola SIRKIS demeure le seul membre originel.

Quant au public, toutes générations confondues, il reprend en chœur les paroles et mélodies de ce groupe articulé autour de cinq musiciens.

 

 

Une atmosphère chaleureuse et féérique…

 

De nombreux artistes, à l’instar de « Christine and the Queens » sur le tube « Troisième sexe », les musiciens de la Garde Républicaine, présents sur le morceau « J'ai demandé à la Lune » apportent leurs crédits à des prestations inoubliables. Même Dimitri BODIANSKI, l’un des quatre membres de la prime jeunesse d’INDOCHINE (1981 à 1989) monte sur la scène et réalise des prouesses instrumentales avec son saxophone l'un des morceaux. Signalons également la performance vocale du contreténor Philippe JAROUSSKY, qui donnera de la voix sur le tubesque « College Boy ». Nicola SIRKIS a tapé haut, très haut avec ses musiciens.

Chacun des acteurs de ce show mémorable se déplace sur toute la scène pour faire corps avec un public en liesse. Les jeux de lumière donnent une ambiance tantôt chaleureuse, tantôt froide. Plongeant les spectateurs dans un univers féérique. Durant un court laps de temps, les portables du public s’illuminent, créant une atmosphère onirique. Personne n’oubliera ces instants. Un show qui va engendrer une tournée aux quatre coins de l’Hexagone. Dans les grandes métropoles, exclusivement. Mais, pas en Bourgogne Franche-Comté, dommage !

 

Thierry BRET et Jérôme CASSEGRAIN

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elle excelle dans la production de bières fines. A la pression, de printemps, ou en blondes. La micro brasserie gérée par les deux cousins MADELIN, Alexis et Vianney, au pays de la viticulture – Chablis- n’en finit pas de proposer de nouvelles palettes de ce très apprécié breuvage dont l’une des spécificités, EPONA, nom à consonance gallo-romaine, a été dégustée pour la première fois à l’occasion de la première édition de la fête de la Bière Icaunaise.

 

APPOIGNY : Elaborée pour honorer la toute première édition de cette animation festive, la bière blonde « EPONA » se présente aux consommateurs avec un style fermier caractéristique. Une belle bière de saison s’inspirant de l’appellation originelle de la localité qui accueille l’évènement. Il en existe aussi d’autres déclinaisons. Pas mal, non plus !

La « Perle pourpre », « la Blanche à la cerise » avec sa typicité savoureuse aux arômes fruités et acidulés, la « Kéfia » aux fruits des bois, un nouveau nectar produit sans alcool et assez riche en probiotique. Et puis, celle qui revêt cette saveur fraîche et pétillante, la « Maddam ». Tiens, comme le nom de la structure entrepreneuriale qui est opérationnelle depuis janvier 2017.

De formation vini/viticole, Alexis MADELIN décide de créer, après différentes expériences professionnelles, sa société sous la certification d’agriculture biologique (AB) afin de proposer des bières fines et aromatiques. Nom de baptême original : MADDAM. Oui mais pourquoi ?

« C’est très simple, explique le chaleureux chef d’entreprise, MADDAM correspond aux trois premières lettres de la raison sociale de l’entreprise – MAD – ainsi que les trois dernières prises à l’envers. Cela forme un palindrome… ». Plutôt futé, cet Alexis MADELIN !

C’est aussi le nom des deux créateurs de la société réunis sous la même enseigne, Alexis et Vianney, deux cousins qui s’entendent à la perfection.

 

 

Une brasserie qui n’en finit plus de surprendre…

 

La brasserie de Chablis n’a pas hésité à s’aventurer vers d’autres arômes dans la conception de ses produits. Comme le thème oriental qui évoque une infusion de thé noir, de menthe poivrée et de menthe verte. La souche de la bactérie permettant l’élaboration de cette bière (« Kéfia ») provient de la région du Caucase.

L’élevage, parlons-en ! MADDAM conçoit ses bières en les élevant dans les récupérations de fûts de chêne, appelés pièces bourguignonnes, soit une contenance de 228 litres. Le procédé consiste à mettre de la bière dans le fût pendant huit à dix mois avant de les encapsuler.

Depuis ses origines, la brasserie de Chablis s’est fait une renommée, rayonnant dans nos terroirs et sur le marché hexagonal. L’un des établissements gastronomiques de la famille ROBUCHON, « Les Climats », les ont adoptés.

Côté export, les bières fines se dégustent au Maroc, au sud du royaume comme à Marrakech mais aussi en Asie du Sud-Est (Japon, Singapour) ou en Turquie. Naturellement, on les trouve aussi au niveau des bars, restaurants, cavistes et magasins bio de la région.

Rappelons à toutes fins utiles que la bière peut se servir entre une température de 4 à 5 degrés. Au-delà, la dégustation peut varier pour en révéler la véritable complexité aromatique entre 8 et 9 degrés.

Enfin, MADDAM a glané plusieurs titres au Salon international de l’Agriculture à Paris, remportant au passage des médailles d’or, d’argent et de bronze entre 2017 et 2019. Et cela ne semble pas être terminé !

 

Thierry BRET et Merouan MOKADDEM

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil