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C’était la fête à tous les étages à Montholon ! En effet, près de 260 personnes avaient répondu à l’invitation de la SARL PICON à l’occasion de la phase inaugurale de leur nouveau bâtiment. Les invités ont pu découvrir à loisir le dernier cri des véhicules exposés dont une superbe Renault Alpine, avant de visionner sur écran géant une rétrospective du garage.

 

AILLANT-SUR-THOLON : Ambiance festive au Garage PICON en cette fin d’après-midi du vendredi 13 mai. La cérémonie inaugurale du nouveau bâtiment qui accueille ce spécialiste de la réparation et de la vente automobile se sera déroulée dans un esprit de joie. Entre la restauration proposée par un « food-truck », privatisé pour la soirée, et la découverte de nouveaux modèles, de la marque hexagonale, Renault.

 

Une vraie saga familiale dans l’Aillantais…

 

Ouvert en 1962, le garage PICON n’a cessé depuis d’évoluer pour ajuster au mieux son offre vis-à-vis de sa clientèle. L’entreprise a été portée sur les fonts baptismaux en 1972 – soixante ans déjà, un bail ! -, par Georgette et Yves PICON. A l’origine orientée vers les machines agricoles, le couple opte pour une toute autre stratégie en proposant de distribuer les produits automobiles de l’enseigne aux losanges.

En 1977, leur fils ainé Jean-Yves les rejoint au pôle carrosserie. Il ouvre dans la foulée une station-service. Puis, au début des années 80, leur second fils, Luc part dans l’aventure : il prend la gestion de la réparation mécanique auto. Enfin, pour couronner le tout, quatorze ans plus tard, c’est au tour de la cadette de la famille, Christine, de venir apporter ses compétences de gestion et de comptabilité.

 

 

 

Avant qu’elle ne se dirige quelques années plus tard dans la vente des voitures et ne devienne la responsable des ressources humaines au sein de cette structure qui à ce jour compte seize personnes, réparties entre les deux sites de la société, à Aillant et à Appoigny.

Précisons qu’en 1995, les trois enfants modifient les statuts de l’entité en créant la SARL PICON. Ils sont également épaulés par la femme de Luc, Sophie qui s’occupe de toute la comptabilité, et de Pascal, le mari de Christine, technicien de la société.

 

Des investissements tant dans l’humain que le matériel…

 

Depuis cette équipe ne cesse de développer l’entreprise familiale, avec une réfection totale de l’atelier en 2004, puis le rachat de l’agence Renault à Appoigny en 2007, qui propose l’enseigne Citroën en plus de Renault et Dacia.

Durant la crise sanitaire, la société n’a pas trop souffert de la situation. Si ce n’est pour la formation du personnel, les aides au financement étant bloquées. La technologie se développant constamment dans l’automobile, avec entre autres l’arrivé de l’électrique, cela demande de trois à quatre stages de formations par technicien, avec des budgets de 5 000 euros par stage pour arriver à maîtriser cette technologie. Pour la SARL, cela nécessite qu’il y ait autant d’investissements dans l’humain que dans le matériel pour suivre la technologie et continuer ainsi d’évoluer afin d’apporter les compétences nécessaires à la clientèle.

 

Maryline GANDON

 

 


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L’exposition se présente « hors les murs », selon la formule consacrée. De la pure logique, en somme, puisque ce « Chemin d’Artistes », premier du genre concocté par l’association Le Ruban Vert, est une invitation, insolite, à découvrir à satiété un événement culturel proposé sur un circuit riche en biodiversité. Entre forêt d’Othe et Gâtinais. Très tentant !

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Credo de ce rendez-vous fleurant bon la créativité et la prise d’initiative : créer du lien. Mais, pas n’importe lequel, en vérité ! Celui, très ténu, qui doit exister entre la nature et ses occupants humains, et par extension non-humains. On pense bien évidemment à la présence animalière, végétale et minérale. Rien que cela !

Inaugurée ce samedi 21 mai, sur la localité septentrionale de l’Yonne, cette manifestation, proposée sous l’égide de la structure associative « Le Ruban Vert », interpelle à plus d’un titre.

D’une part, cela permet de placer sous le feu nourri (on le souhaite !) des projecteurs médiatiques le travail de cette entité à la verdoyante appellation. Une association qui exerce ses talents conceptuels depuis 2015 déjà, sous la houlette de sa présidente nationale, Claire TUTENUIT, une personnalité charismatique au demeurant, qui a été récemment promue au rang d’officier de la Légion d’Honneur par le ministère de la Transition écologique.

D’autre part, ce sera l’heureuse opportunité de pouvoir apprécier le travail de vingt-cinq créateurs, nationaux et locaux, durant cette période estivale qui s’annonce belle en possibilités oniriques.

Dans l’absolu, des œuvres éphémères vont être exposées le long d’un sentier formant une boucle de dix kilomètres, une allée de bucoliques promenades qui traverse différents écosystèmes. Un projet revitalisant qui a reçu les soutiens de partenaires conquis, le Département de l’Yonne, la municipalité de Villeneuve-sur-Yonne ainsi que plusieurs mécènes, sensibles à l’art qui s’exprime en toute liberté.

L’état d’esprit de ce premier rendez-vous – il en appelle nécessairement d’autres – est résumé par Claire TUTENUIT : « Cette manifestation veut sensibiliser tous les publics à la fragilité et à la valeur de la nature, inspiratrice et décor des œuvres dévoilées… ».

A voir sans retenue !

 

 

En savoir plus :

Inauguration de « Chemin d’Artistes » le samedi 21 mai à 11 heures à la gare de Villeneuve-sur-Yonne.

Retour vers 16 heures, le pique-nique est offert.

Le Musée galerie Carnot ouvrera ses portes à partir de 18 heures pour un cocktail de découverte d’autres réalisations des artistes.

 

Thierry BRET

 


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Le traité de Paris qui a établi la CECA (Communauté du Charbon et de l’Acier), a été signé le 18 avril 1951 par la France, la République Fédérale d’Allemagne, l'Italie, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas. L’objectif était surtout d'apaiser les craintes de la France de voir l'Allemagne d'après-guerre utiliser sa puissance industrielle retrouvée comme une menace pour sa souveraineté, voire pour son indépendance. Tant sur le plan économique que sur le plan de la sécurité.

 

TRIBUNE: On nous a martelé depuis, que faire l’Union, c’est éviter la guerre en Europe. Le conflit en Ukraine remet en question l’idée même de la paix et le principe des « Droits de l’Homme ». Nous nous sommes égarés dans un dédale de conventions aussi nébuleuses les unes que les autres. Lorsque les états ont demandé de ratifier les traités par le suffrage universel, quels sont les citoyens qui ont lu lesdits traités ? De plus, celui de Maastricht, qui fut retoqué par les Français fut l’objet d’un passage en force de Nicolas SARKOZY. Il l’a imposé en effaçant d’un trait de plume le « non » national et faisant fi de notre démocratie. Ne nous étonnons plus du dernier sondage présentant les Français face à l’Europe : 40 % ne s’y intéressent plus du tout, 25 % sont franchement hostiles, 25 % sont favorables et les autres ne se prononcent pas. L’Europe fut très éloignée des enjeux de notre dernière campagne présidentielle et pour les législatives, Jean-Luc MELENCHON prône un « France-xit » alors que le Président Emmanuel MACRON ne fera rien sans l’Europe…

 

La libre concurrence existe, mais elle est viciée…

 

Les différentes instances européennes sont perçues comme des structures opaques et les membres des différentes commissions comme des technocrates aussi abordables que nos énarques. Demandons aux commerçants, artisans, agriculteurs comment ils perçoivent les règlementations imposées par l’Europe. Des textes qui les bloquent dans leur développement. Comment expliquer les différences de prix entre les fruits et légumes produits en France et ceux produits en Espagne, et ce, malgré les coûts de transports ? La différence peut aller du simple au triple ! Les coûts salariaux font la différence et les conditions d’accueil de l’Espagne, des travailleurs venus du Maghreb sont dignes des temps féodaux et de l’esclavage ! Qui le dénonce ?

Que dire aussi des sociétés comme PEUGEOT, qui ont transféré leur service « recherche et développement » en Pologne : un ingénieur polonais coûte bien moins cher qu’un cadre français. Bien entendu, afin de respecter la loi française lesdits postes ont été proposés à nos nationaux à deux conditions : s’expatrier et accepter le même salaire qu’un Polonais (sans parler des problèmes de retraite). De qui se moque-t-on et qui  l’a dénoncé ? On peut multiplier les exemples à l’infini : la libre concurrence existe mais elle est viciée et interdit à ce jour la justice sociale.

 

 

L’ingérence de l’Union dans les affaires des états…

 

Aujourd’hui certains pays, comme la Hongrie où la Pologne, se retrouvent sous le coup de sanctions prises par la Commission européenne. La Hongrie, qui a reçu près de 22 milliards de subvention entre 2014 et 2020, est accusée de corruption. On peut s’interroger sur cette légitime enquête quand on sait que la motivation première de l’Europe, c’est de ne pas reconnaître les positions politiques du président hongrois. L’Europe veut s’immiscer dans la souveraineté des pays membres ! Cela fait pourtant belle lurette que la commission européenne a fermé les yeux sur la sacro-sainte règle d’un déficit budgétaire égal au maximum à 3 % du PIB !

Philippe SEGUIN avait vu juste : le 05 mai 1992, il prononçait à l'Assemblée nationale un discours pour s'opposer à la ratification des accords de Maastricht.    

«Voilà trente-cinq ans que toute une oligarchie d'experts, de juges, de fonctionnaires, de gouvernants prend, au nom des peuples, sans en avoir reçu mandat des décisions dont une formidable conspiration du silence dissimule les enjeux et minimise les conséquences […] Craignons alors que, pour finir, les sentiments nationaux, à force d'être étouffés, ne s'exacerbent jusqu'à se muer en nationalismes et ne conduisent l'Europe, une fois encore, au bord de graves difficultés. Car, rien n'est plus dangereux qu'une nation trop longtemps frustrée de la souveraineté par laquelle s'exprime sa liberté, c'est-à-dire son droit imprescriptible à choisir son destin…Mais qu'on y prenne garde: c'est lorsque le sentiment national est bafoué que la voie s'ouvre aux dérives nationalistes et à tous les extrémismes!». Tout est dit ! Philippe SEGUIN annonce l’affaiblissement de nos démocraties : ce fut l’un des derniers prophètes de l’après-guerre.

 

 

Vers une renégociation des traités européens ?

 

Cerise sur le gâteau, la Commission européenne propose de renégocier les traités ! La procédure d’engagement vient d’être votée. Plus de 300 propositions sont à l’étude. Un gag quand on sait que c’est la règle de l’unanimité qui s’impose. Est-ce de l’anesthésie, juste pour nous faire croire que l’Europe bouge ? Les Européens veulent de l’OTAN et toujours de l’OTAN et pas de défense européenne. La France est systématiquement exclue des achats d’armes par l’OTAN au profit des Etats-Unis. De plus, ne racontez pas, avec un incroyable cynisme, que la France se doit de soutenir l’Ukraine dans son conflit avec la Russie car il y a toujours des enjeux économiques après les conflits armés. Encore tout faux, depuis 1945, la France a toujours été écarté des négociations d’après-guerre dans les conflits où nous avions pourtant des participations dominantes…

Alors que reste t-il à faire ? Un « France-xit » ? Certainement pas ! C’est le principe du  « Bruxelles xit » qu’il faudrait imposer !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Voici le temps du joli mois de mai ! Celui qui sourit, entre autres, au nouvel homme fort de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté. Le digne successeur du presque « éternel », Bruno DUCHESNE, aujourd’hui parti vers des aventures, synonymes de retraite de l’activité bancaire, après neuf années de présence dijonnaise. Installé dans la chaire directionnelle de l’établissement mutualiste régional depuis le 03 mai 2021, Jean-Paul JULIA a donné sa toute première conférence de presse, le vendredi 13 mai. Pas de quoi rendre superstitieux ce natif du 05 mai !

 

QUETIGNY (Côte d’Or) : Profondément humaniste, le successeur de Bruno DUCHESNE, à la tête de l’un des réseaux bancaires incontournables de notre territoire régional ? A n’en pas douter, outre mesure ! Et ce, dès les premières paroles que ce tout jeune quinquagénaire à la tête bien remplie – il est diplômé de l’IRA et de l’ENA - et au look de sportif dynamique aient prononcé.

L’occasion lui en a été donnée lors d’une conférence de presse, accueillie dans le saint des saints de ce temple de l’investissement, de l’épargne et de la finance que représente le siège social de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté (et des Pays de l’Ain – il ne faut jamais l’omettre ! -), situé à la périphérie est de la capitale des ducs de Bourgogne.

Un exercice finement ciselé au plan organisationnel par le service communication qui sait très bien faire les choses. Dans les règles de l’art, avec dossier de presse, communiqués abondamment garnis d’informations et slides à profusion, afin que les béotiens épistolaires de l’art monétaire ne se perdent pas en route dans des dédales intellectuels qu’ils ne maîtriseraient pas !

 

Côté chiffres, il n’y a pas photo !

 

De sages précautions, il est vrai, pour mieux cerner et appréhender la stratégie au cordeau de cette entreprise bancaire, poids lourd agissant au cœur de notre environnement économique. Et, excusez du peu, mais il est des chiffres qui sont déjà révélateurs de la puissance et du rôle immuables d’une entreprise dans sa zone d’influence : son PNB (Produit net bancaire) et son résultat net.

Dans le cas présent, il n’y a pas photo ! La Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté présente des données affriolantes dont beaucoup d’entrepreneurs, voire de collectivités, aimeraient pouvoir se vanter au quotidien au détour d’une conversation, gougère et Kir royal à la main !

Ici, le PNB s’élève à 395 millions d’euros pour un résultat net de 86 millions d’euros. Cela parle pour les esthètes des comptes rondement menés. En sus, il faut savoir que cet argent est réinvesti sur le territoire ; celui où, via ces neuf départements, la banque mutualiste agit au service de la proximité, pour le bien des citoyens, collectivités et entreprises.

 

La cible à privilégier : l’humain et la satisfaction de la clientèle…

 

Mais, au-delà des chiffres, Jean-Paul JULIA s’intéresse à une toute autre priorité. L’humain, nous y revoilà ! A la limite d’un fil d’Ariane où se mêleraient en étroite complémentarité le perfectionnisme des offres et services à proposer au quotidien à la clientèle selon leur envie de praticité, et un sens aigu du relationnel, visant à satisfaire celles et ceux de ces clients (particuliers, collectivités, décideurs économiques) qui fréquentent les vitrines commerciales de la grande maison. Dont certains, par ailleurs, sont parfois sociétaires, selon les usages propres au mutualisme.

L’humain, ce facteur relationnel ô combien stratégique pour une entreprise de services. N’avait-il pas adressé à l’ensemble de ses collaborateurs (1 835 personnes) dès sa prise de fonction ces quelques lignes qui en disaient long sur sa capacité à placer la clientèle au cœur de tout l’édifice : « Nous allons continuer d’assurer l’accompagnement de nos clients et le développement de notre territoire dans le respect de nos valeurs mutualistes, auxquelles je suis particulièrement attaché… ».

 

 

Côté chiffre et objectif, cela se traduit de la manière suivante : l’adoption d’un plan stratégique validé par le conseil d’administration où la RSE, la formation des collaborateurs et le développement de l’excellence dans sa manière d’être, tant en interne qu’à l’externe dans la relation à l’autre avec la clientèle, se muera en une nette progression du nombre de sociétaires et clients à horizon 2024. Soit, dans le concret arithmétique, dépasser la barre des 720 000 clients en Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain !

 

Un dirigeant désireux de voir son établissement proche du terrain…

 

La veille de cet exercice oratoire où Jean-Paul JULIA s’est avéré très pédagogue avec ses auditeurs pour décortiquer au mieux toutes les aspérités de la conjoncture économique ambiante se tenait l’assemblée générale annuelle de l’établissement à Vesoul. Il a eu, à maintes reprises, l’opportunité de prendre le pouls de ces sociétaires pour certains fidèles d’entre les fidèles depuis quatre décennies devant lesquels il a réaffirmé la présence à leurs côtés de la banque. 

« C’est dans notre culture, expliqua-t-il, de toujours essayer de comprendre, de proposer davantage de tolérance pour répondre à toutes les attentes… ». Un message sans aucune ambiguïté, adressé aussi bien à la clientèle de particuliers que celle de l’entrepreneuriat et des collectivités.

Ce cercle vertueux de l’humanisme à tout crin se décline aussi avec la présence importante des agences commerciales. Un maillage territorial que la Banque Populaire BPBFC met en exergue dans sa balance relationnelle avec ses prospects et ses clients, disposant en effet à date de 180 points de vente.

« Certes, ajoute Jean-Paul JULIA, quelques-unes de ces agences vont être fermées à terme pour d’évidentes raisons démographiques. Mais, d’autres vont se créer. Notre stratégie, toutefois, est de ne pas fermer d’agences sur notre territoire… ».

Le terme de cette conférence de presse arrive à grands pas. A l’aise, avec le verbe comme avec la maîtrise de ses arguments, Jean-Paul JULIA clôt l’exercice en laissant in fine  une très bonne impression.

Celle d’un acteur économique de haute volée (il a exercé ses talents au FMI, à la Banque Mondiale, au CIRI ou au ministère des Finances ainsi qu’à la BRED où il gérait le portefeuille Grands Comptes) qui tombe à pic, grâce à sa nomination en Bourgogne Franche-Comté (et les Pays de l’Ain !), pour tirer à sa manière ce territoire vers le haut ! Personne ne s’en plaindra…

 

Thierry BRET

 


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L’instant se veut solennel. Il se déroule sous le chaud soleil, inondant de sa clarté céleste l’immense cour cernée par les bâtiments flambants neufs de « Paris 2024 », sis à la périphérie de la capitale. Arborant un sourire presque juvénile tant le plaisir irradie son regard, le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, applique avec sage précaution la plaque (« le dossard » dans le jargon de l’organisation) sur une surface murale, montée de toute pièce, par l’ensemble des partenaires et soutiens des Jeux Olympiques.

 

PARIS : « Eux aussi font les Jeux ». Comme un puzzle grandeur nature en perpétuelle construction, où le coloris dominant est le beige, les patronymes s’additionnent au fil des jours sur la surface murale. De petites plaques nominatives qui sont posées avec méticulosité au cordeau. Des noms illustrent y figurent ; à l’instar de celui de Noël LE GRAET, président de la Fédération française de football. On y aperçoit aussi les références de la politique hexagonale et de ses territoires provinciaux. Bref, celles et ceux qui ne peuvent qu’encourager et soutenir le projet du siècle pour la capitale, l’accueil des Jeux Olympiques d’été en 2024.

Alors, forcément, à l’instant où il a dû apposer sa griffe au bas de cette plaque commémorative, baptisée par les instigateurs de cette judicieuse initiative le « dossard », Patrick GENDRAUD, féru de sport, supporteur inconditionnel de cette AJA ambitieuse aux portes de la Ligue 1 et adepte invétéré de la discipline estivale par excellence, soit la pétanque, a eu des frissons dans le dos.

 

 

D’autant que ce court laps de temps aura été immortalisé aux côtés de l’une des stars de l’olympisme à la française, le triple médaillé d’or de canoë Tony ESTANGUET, président du Comité d’organisation des Jeux de Paris (COJO). L’horloge du temps s’est ainsi suspendue un bref instant.

Outre la fierté d’avoir associé à ce projet planétaire et de manière officielle le territoire dont il défend les valeurs avec son sens de l’humilité, Patrick GENDRAUD, tel un gamin dont les rêves de gosse s’accomplissent, ne pouvait que savourer cette cérémonie hors du commun. Un partage qui aura rayonné autour de lui durant cette journée vécue à la capitale au cœur du meccano de l’olympisme national.

 

Thierry BRET

 

 


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