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Il ne faut pas se fier aux apparences. Parfois en retrait, à la limite de l’effacement dans les réceptions officielles, homme simple mais toujours à l’écoute de l’autre, l’ancien responsable du MEDEF de l’Yonne n’en est pas moins un grand monsieur de l’entrepreneuriat et de la prise d’initiative économique. Une qualité que lui reconnaissent ses pairs. Idem, pour les instances suprêmes du mouvement patronal, et la République. L’insigne de Chevalier de l’Ordre national du Mérite qu’il devait recevoir au printemps ? De la pure logique, en vérité, car le personnage le vaut bien !

 

AUXERRE : Jamais un mot prononcé plus haut qu’un autre. Calme, pondéré – il a pourtant du sang ibérique qui coule dans ses veines ! -, Etienne CANO, un patronyme à inscrire dans le marbre de toutes les mémoires entrepreneuriales, aura été un compagnon de route fidèle à ses principes pour celles et ceux qui l’ont côtoyé de près durant ce long parcours professionnel qui fut le sien. Un garçon affable, généreux, loyal, compréhensif, droit, perfectionniste qui aura pris parti fait et cause durant toute son existence pour le mouvement patronal dont il a défendu les intérêts en y acceptant les mandats, le MEDEF.

Alors que se déroulait ce jour l’assemblée générale du syndicat dans l’Yonne, alors que l’économiste Philippe DESSERTINE tiendra la vedette lors d’une conférence débat passionnante dont il a le secret dans le vaste amphithéâtre de la Maison des Entreprises, lui, Etienne CANO, dégagé de toutes obligations professionnelles, promène toujours sa silhouette sympathique, au gré d’un évènementiel corporatiste, afin de conserver des liens et des contacts avec celles et ceux qui l’ont fréquenté durant toutes ces années.

 

 

Un insigne qui fleurit à la boutonnière…

 

Etienne CANO ? C’est une multitude de talents concentrés sur un même individu. Une mosaïque d’actes engagés au service des entreprises et de l’économie icaunaise. « L’un des nôtres… précise à son effet un Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, en le qualifiant. Un sentiment de fierté et d’admiration devant le travail accompli. Un trait significatif pour évoquer ce personnage public tracé à l’unanimité.

L’âme de la Maison de l’Entreprise et du patronat icaunais devait tôt ou tard recevoir une distinction honorifique à sa dimension. Cela a été chose faite il y a quelques temps. Une décoration prestigieuse : l’insigne de Chevalier de l’Ordre National du Mérite qui fleurit désormais à sa boutonnière. Un instant de gloire, trop court pour la postérité pour le vivre pleinement, traduit dans les faits la remise de cet accessit par la vice-présidente du MEDEF, Dominique CARLAC’H, une habituée des déplacements entre Paris et Auxerre, puisque l’ancienne championne de France d’athlétisme (discipline 400 mètres) n’en est plus à une visite de courtoisie (et de sympathie) près avec la représentation patronale agissant dans l’Yonne.

 

 

 

 

Un chef d’orchestre adepte de l’harmonie…

 

Fédérateur, organisateur, chef d’orchestre d’un ensemble symphonique uniquement composé de solistes, Etienne CANO devait recevoir les louanges de celles et ceux qui jouent les premiers rôles au sein de ce Mouvement des Entreprises de France. Logique, en somme, si l’on s’en réfère à l’analyse exprimée par son alter ego dirigeant, Claude VAUCOULOUX : « Etienne CANO a toujours su faire jouer cet orchestre à l’unisson ! ». Contre vents et marées, il va de soi !

Pudique, ne s’inclinant pas volontiers devant les discours flatteurs, l’ancien chef d’entreprise de Saint-Florentin – l’une d’entre elles a d’ailleurs été reprise par l’actuelle présidente du MEDEF de l’Yonne, Emmanuèle BONNEAU -, navigue forcément sur le bonheur. Celui-ci s’est mué en autant de devoirs managériaux accomplis. Ceux qui ont permis de porter hautes les couleurs du syndicalisme patronal dans son rayonnement départemental, voire au-delà. Et sans que le nouvel impétrant à la distinction suprême ne se laisse griser par quelques médailles que ce soit !

 

Thierry BRET

 

 


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L’artiste n’aura pu accrocher ses œuvres que le temps d’une soirée éphémère. Aux murs de la splendide salle de réception, sise à l’Abbaye de REIGNY, haut lieu du patrimoine cistercien de notre territoire. Une présentation unique dont ont pu largement profiter les participants de la Commission départementale de Présence Postale Territoriale de l’Yonne (CDPPT) lors de leurs retrouvailles. Dommage, trois fois dommage pour les amateurs de l’art pictural que l’exposition n’ait pu perdurer davantage parmi ces pierres séculaires…

 

VERMENTON : Le carton d’invitation promettait une surprise, sous la forme d’une animation, sans en préciser vraiment les contours. Déléguée territoriale de l’Yonne pour le groupe La Poste, Christine MORANGE qui avait en charge la logistique de cet évènement, une manifestation ouverte aux partenaires de l’honorable institution, n’avait soufflé mot sur le programme.

Le cadre, déjà, ne pouvait laisser indifférents les représentants des collectivités de l’Yonne qui convergeaient vers le point de rassemblement : l’Abbaye de REIGNY. Un petit écrin paradisiaque pour la vue et l’odorat – les magnifiques espaces fleuris aux fragrances envoûtantes -, œuvre patrimoniale et spirituelle qu’ont construit pas à pas et à force d’abnégation et de volonté, Béatrice et Louis-Marie MAUVAIS. Un couple de « gentlemen farmer » qui n’a jamais baissé les bras face à l’adversité pour porter haut les cœurs ce projet tel que nous le connaissons désormais.

 

Un espace amplement mis en valeur…

 

Le décor, ensuite. Une scène, jouxtant l’un des murs de l’édifice et arrosée copieusement de la forte lumière de ses projecteurs, histoire de créer l’ambiance. Se succèderont dessus différentes personnalités du Groupe La Poste de notre contrée. Venus rappeler le poids de l’institution postale dans son périmètre territorial, fait d’implications et d’investissements. Surtout auprès des collectivités.

D’Hélène MERLE LABROUSSE, directrice des ressources et appui aux transformations numériques à Gilles DEMERSSEMAN, l’élu régional, bien connu dans le landerneau, qui a pris les rênes de la présidence de la CDPPT, il y a quelques mois à peine. De Jacques PERRIER, délégué régional de la « grande maison postale » en Bourgogne Franche-Comté venu spécialement de Dijon à la représentante de la préfecture, Dominique YANI. Nous y reviendrons ultérieurement, par ailleurs.

Les murs de la construction monacale, enfin pour conclure. Ils attirent, irrésistiblement, les regards. Logique, des toiles y sont suspendues à des cimaises à hauteur d’yeux. Colorées, profondes, contemplatives. Ce sont les œuvres de l’artiste Alice BIAIS-BELARD. Une esthète en la matière : celle de la représentation abstraite dans toute sa magnificence. Son univers lui permet de s’exprimer dans un espace de liberté, amplement maîtrisé, poussant les pensées vers l’infini.

 

 

La spontanéité offerte par le travail de l’acrylique…

 

Le support choisi par la peintre n’est autre que de l’acrylique. Elle lui offre de la spontanéité dans l’expression de sa créativité.

« Le fond de mes toiles, précise-t-elle, est toujours riche en matières : partitions de musique, sable, poudre de marbre, voire même du tissu… ».

L’effet est saisissant. Le résultat est noble. En parfaite harmonie avec le lieu, ce vestige cistercien restauré au cordeau par la volonté sans faille du couple MAUVAIS. Un lieu dont il faut découvrir impérativement le moindre recoin. De façon méditative…

L’artiste fréquente le sérail de l’art pictural en sa qualité d’actrice investie à l’imaginaire bouillonnant depuis plus de trente-cinq ans. Un parcours jalonné de succès pour cette diplômée de Sciences Po. Excusez du peu mais Alice BIAIS-BELARD a accroché ses œuvres dans de multiples expositions et galeries en France (Honfleur, Chatou, Paris, Vézelay…) mais aussi à l’étranger (Canada, Italie…).

Ses toiles sont recherchées par des collectionneurs privés. Qu’ils s’agissent de ressortissants américains, japonais, italiens ou suisses. A quand les riches mécènes du Moyen-Orient ?

Jusqu’à tard dans la soirée, les convives du groupe La Poste se seront donc délectés de cette immersion impromptue dans les tableaux de cette artiste, qui expose régulièrement dans l’Yonne (Avallon, Vézelay…), et qui fait sienne la célèbre phrase du maître du cubisme, Pablo PICASSO : « un tableau ne vit que par celui qui le regarde ».     

Au vu du nombre de regards jetés consciencieusement sur les toiles, le doute n’est plus permis : les œuvres de cette artiste, cotée chez Drouot, sont plus que jamais vivantes !

 

Thierry BRET

 

 


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Raisonnable ce nouveau projet qui s’apparente à un véritable défi malgré la conjoncture ? Assurément, il est ambitieux. Surtout, au vu de l’importance des sommes qui seraient injectées ces deux prochaines années pour financer le développement économique de la région Bourgogne Franche-Comté. Par le prisme de la clientèle de particuliers, de prime abord. Mais, aussi, en corollaire logique, en soutenant les initiatives des collectivités et entreprises. Réalisable, donc…

 

DIJON (Côte d’Or) : Jamais le credo de la Caisse d’Epargne (« L’Ami Financier ») n’aura autant été en phase directe avec son actualité ! Surtout avec les nouveaux objectifs que l’établissement bancaire s’est fixé comme challenge prioritaire à horizon 2024. C’est simple, parmi ses grandes résolutions de l’exercice en cours – on peut communément appeler cela son plan stratégique de développement – la banque qui veut « vous être utile » au quotidien s’engage à introduire dans les rouages financiers de notre territoire régional la coquette somme de dix milliards d’euros d’ici 2024. Rien que cela, excusez du peu !

Une manne qui n’a rien de providentielle, c’est une évidence, puisque la solidité financière de la maison « Ecureuil (pour tous les nostalgiques du Livret A !), n’est plus à démontrer. Or, partant de ce postulat basique, la direction bicéphale de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté entend bien alimenter les circuits de l’économie avec cet argent qui ne peut être qu’utile au développement du territoire. En filigrane, le nôtre !

 

3 milliards d’euros de crédits octroyés sur la seule année 2021…

 

Se voulant pédagogue, lors de sa prise de parole explicative en conférence de presse, le président du directoire Jérôme BALLET a rappelé à quoi servaient exactement les fonds propres de son établissement.

« Si nous sommes solides financièrement, cela nous permet ensuite de proposer des crédits à la consommation, des crédits immobiliers, mais aussi des prêts aux collectivités et aux professionnels… ».

Simple comme bonjour dans le lexique financier et cela pourrait se résumer ainsi pour les néophytes des sabirs parfois complexes de l’univers bancaire : « pas de fonds propres, pas de crédits ! ».

Conséquence, prenons l’exemple de 2021. Ce sont ainsi trois milliards d’euros de crédits qui ont été octroyés en Bourgogne Franche-Comté, sur tous les segments du spectre clientèle de la banque. Une très belle performance à mettre à l’actif des collaborateurs du groupe malgré une période en demi-teinte, en proie à la crise sanitaire la plus grave depuis des lustres.

 

 

Un « défi 2024 » majeur pour la direction de l’établissement…

 

L’avenir, quant à lui, ne repose  que sur un seul et unique chiffre. Traduisant les réelles ambitions de ce poids lourd de l’investissement régional. Dix milliards d’euros. Une enveloppe mirifique au vu de son montant, qui sera distribuée entre 2022 et 2024, sous la forme de crédits aux multiples orientations. Cibles privilégiées : les familles, les associations, les collectivités, les entreprises. Bref, vous et moi, Mesdames, Messieurs, citoyens de la Bourgogne Franche-Comté !

Autre cœur de cible, visé par ce défi qualifié de « responsable » par ses instigateurs : les jeunes. Sans doute dans la logique des choses, leur employabilité n’est pas très loin des préoccupations premières des deux dirigeants que sont Jérôme BALLET et le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS), Eric FOUGERE.

Somme toute, afin de pouvoir bénéficier de cette manne royale qui va optimiser le développement commercial de la Caisse d’Epargne BFC ainsi que ses recrutements dans les huit départements où elle est influente, particuliers et professionnels vont affûter leurs projets en se rapprochant de leurs conseillers commerciaux en espérant décrocher la timbale « magique », celle de l’obtention des crédits, chose qui n’est pas toujours aussi évidente qu’il n’y paraît malgré les bonnes intentions des prêteurs.

Mais que les prétendants à ces crédits se rassurent en lisant ces quelques chiffres positifs ponctuant l’exercice 2021 : la Caisse d’Epargne BFC a atteint 8 milliards d’euros en encours de crédit l’an passé ; accordant aussi 550 millions d’euros aux entreprises et clients professionnels.  

Donc, tout est possible : à vos dossiers de demande de prêts !

 

Thierry BRET

 


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Etre fan de tracteurs, quelle drôle d’idée ?! Serait-ce à l’apanage d’anciens professionnels de la vie aux champs en manque de travaux agricoles ? Ou des nostalgiques de nos vertes campagnes qui n’avaient pas encore subi jadis les affres du remembrement, ayant détruit le biotope ? Que nenni ! Les membres de ce vénérable club hexagonal sont avant tout des passionnés de belles mécaniques qui fonctionnent à la perfection. Cent cinquante d’entre eux ont tenu leur assemblée générale il y a peu sur notre territoire…

 

FESTIGNY : Il y a incontestablement « tracteur » et « tracteur » dans la grande famille de la machine agricole. Confondre les genres serait d’ailleurs très mal approprié pour les béotiens que nous sommes. Tiens, prenons pour référence le saint des saints de l’outil agricole qui émerveille toujours les gosses dès leur plus jeune âge lorsqu’ils découvrent la campagne. Le fameux modèle américain FERGUSON. D’ailleurs, on appelle le plus souvent la marque du fabricant de l'état de Géorgie, associée à MASSEY, par son logo caractéristique, les trois triangles rouges, quasi superposés qui recréent ensemble une autre de ces figures géométriques.

Dans notre beau pays, les « adorateurs » de ces modèles hors pair – la conception des premiers tracteurs remonte à…1847 – vivent pleinement leur plaisir de collectionneur invétéré au sein d’une association officielle, le Club FERGUSON France.

 

 

Des modèles anciens et une pièce rare à admirer sans modération…

 

Comme toute bonne structure associative, digne de ce nom qui se respecte, elle organise annuellement un rendez-vous se déclinant sous la forme d’une assemblée générale. Itinérante, celle-ci peut être accueillie d’une année à l’autre dans l’un des nombreux départements qui composent l’Hexagone. Cocorico : 2022 aura été synonyme de réception de cette belle assistance – plus de 150 représentants – dans l’Yonne. Précisément au gîte de la « Ferme du Bois la Dame » au nom fleurant bon l’époque médiévale, sur la commune de FESTIGNY.

A la manœuvre, quatre adhérents de l’Yonne dont Jean-Baptiste TREHOREL ont pris soin de peaufiner avec minutie ce rendez-vous. D’ailleurs, en guise de cadeau de bienvenue, les congressistes ont eu l’immense bonheur de pouvoir se délecter de cinq belles pièces anciennes, des tracteurs toujours vaillants, qui étaient exposés dans le jardin du gîte.

Des modèles historiques dont le très rare FERGUSON-BROWN qui a été produit initialement en 1936 ! Un spécimen qui fut à l’époque le premier tracteur au monde à être proposé sur le marché avec un attelage trois points et un procédé de relevage hydraulique. L’ancêtre, en quelque sorte, de tous les tracteurs agricoles actuels…

Entre découvertes touristiques – la reconstitution d’un ouvrage d’art moyenâgeux à la renommée intercontinentale à GUEDELON – et vinicoles, les Caves de BAILLY-LAPIERRE avec de quoi titiller agréablement l’odorat et les papilles dans les verres, les participants à ce rassemblement ludique prirent le temps aussi de réfléchir au devenir de leur entité.

 

 

Des temps forts durant la séance plénière de trois heures…

 

Trois heures durant, en séance plénière, ce furent annonces et discussions intenses consacrées à l’orientation stratégique du club. Il y eu aussi son lot de temps forts. Par exemple, lors de la remise d’un cadeau au président-fondateur de l’association, Jean SOULIER, par l’actuel responsable, Jean-Louis MACHET.

Vint ensuite le don effectué par la société BASSET, installée dans l’Aube limitrophe. Un chèque qui a été offert par le concessionnaire de MASSEY-FERGUSON. Enfin, le député de l’Yonne, André VILLIERS, agriculteur de profession, intervint avec sa verve coutumière pour évoquer ses souvenirs personnels autour de ces engins qui le faisaient rêver enfant.

En mars dernier, les représentants icaunais du Club FERGUSON France avaient eu l’immense joie de s’entretenir quelques instants avant son récital à AUXERREXPO avec le chanteur Hugues AUFRAY, lui-même amoureux et collectionneur de tracteurs, et parrain emblématique de la fameuse association.

De bons souvenirs qu’espèrent revivre un jour les membres de cette structure associative sympathique.

 

 

En savoir plus :

Le Club FERGUSON France compte quatre représentants dans l’Yonne :

Jean-Baptiste TREHOREL, d’Épineau-les-Voves, Patrice MERCIER, d’Asquins, Jacques MONTENOT, de Grimault, Jany GANNEAU, de Theil-sur-Vanne.

Parmi les modèles historiques à admirer sur place, on aura remarqué le Ferguson-Brown, sorti en 1936 (17 chevaux), le Ford-Ferguson, fabriqué en 1942 (18 chevaux) et le Ferguson TEA-20, commercialisé dès 1948 (24 chevaux).

Le secrétaire du club Jean-Paul ESTIVIE aura été l’une des chevilles ouvrières de ce rendez-vous, nécessitant collecte d’informations et de renseignements précieux.

 

Thierry BRET

 


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Conseiller municipal à la mairie de Sens et conseiller communautaire au Grand Sénonais depuis 2021, Mehdi KHAN, 39 ans, se lance aujourd’hui dans une campagne pour les élections législatives sur la troisième circonscription de l’Yonne. Un défi de taille pour ce candidat fraîchement engagé en politique.

 

SENS : Encouragé par son entourage, Mehdi KHAN se présente aux élections législatives 2022 contre onze autres prétendants à l’Assemblée nationale. Sans étiquette, il prend le risque d’une candidature émancipée de tout parti politique. Un choix pas forcément compris par ses opposants mais parfaitement assumé. « Le p’tit bout d’homme que je suis va essayer d’y aller » dit-t-il modestement.

« Je veux défendre tout citoyen ». Le souhait du candidat est de « pouvoir apporter, non pas un acte citoyen, mais un regard citoyen à l’Assemblée nationale et communiquer directement avec les décisions qui y sont prises. On va essayer de faire remonter le bas un peu plus ».

 

 

C’est là toute l’âme de son programme qui défend avant tout la réalité du terrain dont il a l’expérience depuis de nombreuses années tant au niveau professionnel que personnel. En somme, son ambition politique semble se borner à l’article 3 de la Constitution : « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum ».

L’ancien clivage gauche/droite ne l’intéresse pas. Ce que veut Mehdi KHAN, c’est « apporter une réelle opposition au président » en tant que citoyen. Outre la privation de liberté, notamment pendant la crise sanitaire, la hausse des prix indigne particulièrement le candidat. L’inflation impacte les commerces et le pouvoir d’achat des foyers, « sur toutes les classes ».

« C’est là-dessus que je voudrais intervenir. Venir en aide urgemment aux citoyens ».

 

Floriane BOIVIN

 

 


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