Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le lancement de l’un des 26ème concours des Meilleurs Ouvriers de France a eu lieu à Auxerre dans les locaux du Centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage (CIFA) de l’Yonne. A l’invitation du président Michel TONNELIER, les ambassadeurs nationaux et régionaux de cette institution que représente le MOF ont pu présenter les modalités pratiques et la vocation de cette vénérable compétition s’étalant sur un cycle de trois ans.

 

AUXERRE : Créé à l’initiative du président Albert LEBRUN en 1913, le concours des meilleurs ouvriers de France n’a d’autres vocations que de valoriser les initiatives professionnelles de l’artisanat en France. Les savoir-faire devant être mis à l’honneur…

Près de 4 000 candidats se lancent dans l’aventure à chaque nouvel épisode. Ils sont issus de quatre catégories différentes : les salariés (40 %), les artisans et les indépendants (un total de 40 %) et les formateurs, nettement moins nombreux. Titulaires d’un CAP (un tiers d’entre eux possède un bac professionnel), l’ensemble des prétendants à cette distinction suprême ont vécu la voie de l’apprentissage. 

Le concours se rapporte à 280 métiers au niveau national (232 seulement pour la région Bourgogne Franche-Comté). Mais, chaque année, il est difficile de mobiliser les jeunes talents sur notre territoire.

Le département de l’Yonne ne fournit jamais un contingent très important de candidatures. Pourtant, les attraits participatifs à ce concours sont conséquents avec une croissance de la visibilité, une médiatisation pour le lauréat. A ce jour, sur notre territoire, une douzaine de personnes ont fait cette démarche de s’inscrire pour un équivalent d’autant de filières professionnelles représentées.

Si les inscriptions concernent le plus souvent les filières de l’artisanat (notamment les métiers de bouche), certaines professions brillent par leur absence : c’est le cas des métiers électroniques et d’électricité, de l’environnement, du graphisme, etc.

Les inscriptions seront d’ailleurs prolongées de plusieurs semaines au printemps. Ensuite auront lieu les épreuves qualificatives régionales dès le mois de décembre avant l’organisation des épreuves finales courant 2018.

Ce concours est soutenu par l’Etat mais aussi par le Crédit agricole. Une présence qui se justifie par l’engagement sur le territoire du groupe bancaire régional (Champagne Bourgogne), enclin au développement de l’excellence, des talents et des territoires. La CPME représente aussi un soutien indéfectible à l’initiative.

Aujourd’hui, l’artisanat représente 6 100 entreprises sur le département de l’Yonne, comme devait le rappeler le préfet Jean-Christophe MORAUD au soir de ce lancement officiel, soit 18 000 personnes actives dont 10 000 salariés.

Le secteur du bâtiment est l’un des plus représentatifs de la filière (2 600 entreprises soit 43 % de l’activité artisanale). Les principes défendus avec ce concours sont l’excellence, l’entrepreneuriat et les initiatives. Quant aux femmes, elles ne sont pas oubliées de cette voie professionnelle avec 1 400 chefs d’entreprise sur le territoire de l’Yonne.

Devenir meilleur ouvrier de France, c’est aussi la garantie de rayonner à travers d’autres univers autres que le sol français : l’artisanat restant la première force économique du monde…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le concept n’a pas encore été inauguré. Il n’est d’ailleurs pas tout à fait achevé (de menus détails techniques restent à régler selon les responsables du CIFA de l’Yonne). Mais, il a déjà eu les honneurs d’accueillir des événementiels régionaux. Ce fut le cas au printemps avec le lancement de l’un des 26ème concours des Meilleurs Ouvriers de France et de son aréopage de représentants institutionnels.

 

AUXERRE : Baptisé le « Clic Store », cet espace unique en France, et dont beaucoup d’établissements vont envier le sens pratique pourra très prochainement accueillir le millier d’élèves fréquentant le centre de formation auxerrois dans le cadre de séances pédagogiques. Et prioritairement, celles ayant attrait à la pratique du commerce.

Imaginé selon un concept de magasin virtuel qui changerait de décor selon les besoins de la filière étudiée, le « Clic Store » représente à lui tout seul une véritable prouesse technologique par la qualité de sa réalisation.

Conçu par la société auxerroise IDX PROD, spécialiste de la communication virtuelle et par l’image (les hologrammes), le principe est exceptionnel. Il permet de réunir en un seul endroit des univers de vente évoquant différents espaces commerciaux (mobilier, loisirs, librairie, automobile, banque, habillement, sport…) grâce à une superposition d’éléments visuels sortis de puissants vidéoprojecteurs de dernier cri.

Mais, l’extérieur de cette boutique virtuelle sera également habillé d’une devanture spécifique d’ici peu. Quant à l’espace intérieur, il dispose d’une borne d’encaissement où peuvent s’affairer les professionnels de la vente. Un agencement approprié est prévu pour la réception assise. Un mur des tendances présentant des vidéos en boucle rappelle le contexte corporatiste dans lequel évolue le jeune élève durant son cours. Quant à l’éclairage, il bénéficie de technologies les plus modernes afin de recréer les ambiances caractéristiques d’une banque ou d’un environnement automobile.

Cette opération aura vu le jour grâce au soutien de la région Bourgogne Franche-Comté et aux partenaires du CIFA de l’Yonne (chambres consulaires). Ces organismes n’ont pas hésité à encourager financièrement le montage de ce dossier très complexe au plan de la conception. Avec un budget à la hauteur des moyens envisagés : près de 700 000 euros. Une somme exceptionnelle pour un concept qui l’est tout autant…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L'ADIE est fortement impliquée dans les zones rurales françaises. En 2016, plus de 25 % des personnes financées et accompagnées par cet organisme y ont créé leur microentreprise, dont près de 9 % dans le seul secteur agricole. La notion de proximité prend ainsi toute son importance en milieu rural car la pauvreté y est plus cachée qu’en milieu urbain.

DIJON (21) : C’est pourquoi l’Agence de développement et des initiatives économiques a choisi d’être proactive sur la question de la mobilité en ouvrant des antennes en zone rurale. Elle y anime des permanences chez des partenaires locaux et va à la rencontre de porteurs de projet géographiquement isolés grâce à des antennes mobiles.

Avec le soutien de la Fondation Daniel et Nina CARASSO, de la Fondation CARREFOUR et du Fonds ADIE, l’organisme a lancé à l'été 2015 un projet pilote de développement d’une filière alimentaire durable en Bourgogne Franche-Comté. L’ambition de ce projet est de réunir producteurs, transformateurs et distributeurs sur un même territoire, afin de revitaliser les zones rurales concernées et accompagner la réinsertion de 50 créateurs d'entreprise en trois ans dans le secteur local de l’alimentation bio ou raisonnée.

Les bénéficiaires de l’ADIE qui contribuent à cette nouvelle filière de proximité mettent en place des pratiques agricoles innovantes Ils pratiquent le commerce équitable, les circuits courts, ou garantissent la qualité nutritionnelle de leurs produits, œuvrant ainsi au développement économique local ainsi qu’au maintien du lien social.

Le projet a déjà permis l’inclusion économique et sociale de 27 personnes en situation de précarité confrontées aux problématiques de « l’hyper ruralité » (enclavement, faible densité de population, manque d’équipements et de services…). Le microcrédit accompagné de l’ADIE leur a apporté les moyens de créer leur propre activité près de chez eux dans le domaine de l’alimentation durable. « Nous poursuivons nos efforts en 2017 afin de mobiliser davantage d’entrepreneurs et de partenaires sur ce projet innovant ont confié les responsables de l’organisme depuis la capitale de la Bourgogne Franche-Comté…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

En se rapprochant de l’emblématique Colette BECHET, propriétaire du lieu de vie artistique et culturel « Le Donjon de Cravant » dans l’Yonne, Frédéric ROURE, chef d’entreprise pilotant le destin de la société GEOCHANVRE à LEZINNES, développe une collaboration active avec l’ancienne styliste de la haute couture française.

 

LEZINNES : Insatiable Colette BECHET ! Ce personnage atypique a exercé ses talents de créatrice à la confection de robes et d’ensembles de prêt-à-porter pour de nombreuses maisons parisiennes au bénéfice de stars internationales du cinéma telles que Brigitte BARDOT ou Claudia CARDINALE. Pourtant, à 82 ans, elle travaille toujours à la réalisation de nouveaux projets. Le dernier en date concerne la conception d’une nouvelle gamme de produits à base de chanvre.

Ceux qu’elle fabrique avec la complicité bienveillante de l’entreprise GEOCHANVRE sur le site industriel de LEZINNES (Tonnerrois). Ces produits devraient être commercialisés d’ici les prochaines semaines. Qu’il s’agisse de chapeaux, de sacs à main, de tabliers, voire de porte-bouteilles et de cache-bouteilles à destination du monde viticole, cette ligne de produits hors norme, qualifiée de 100 % naturelle et environnementale, apportera un éclectisme supplémentaire à la production actuelle de GEOCHANVRE, spécialiste de paillage et de revêtements isolants à destination des collectivités. 

« Ce que propose Colette BECHET représente un réel marché de niche à explorer en direction des personnes amoureuses des arts et des objets insolites, précise Frédéric ROURE. J’aime beaucoup son état d’esprit et ce phénomène de mode créative à la limite du luxe et du haut de gamme. Incontestablement, cette ligne de nouveaux produits représentera une vitrine originale pour la société GEOCHANVRE… ».

Créée à la fin de 2014 sous la tutelle du cimentier LAFARGE puisqu’elle est accueillie sur l’ancien site de production de ce poids lourd de l’économie mondiale, GEOCHANVRE développe aujourd’hui des produits de paillage, des géo-filets, des boxes et sacs dédiés à la collecte des déchets verts ainsi que des sacs pouvant accueillir du sable. La structure emploie neuf collaborateurs sur le site de l’ancienne usine LAFARGE. L’entreprise prévoit l’installation d’une machine lui permettant de réduire le grammage, le poids et les prix de ces rouleaux de paillage pouvant aller jusqu’à 120 mètres de longueur. L’investissement est évalué à 200 000 euros. Cet appareillage complétera la précédente ligne de production aménagée en janvier pour un coût de 280 000 euros…

L’objectif de l’ingénieur agronome à la tête de la TPE est de concevoir sa production avec davantage de régularité et une rigueur technique visant à la perfection. Après l’augmentation au capital des actionnaires en décembre, GEOCHANVRE s’engage à mettre tout en œuvre pour produire 50 000 mètres carrés de paillage dès que possible…

Cette collaboration inattendue avec l’ancienne égérie de la mode parisienne représente une bouffée d’air pur dans la stratégie actuelle de l’entrepreneur. Et une ligne de diversité supplémentaire à ne pas omettre côté business…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Créée en octobre 2016, La Brasserie de Chablis a réalisé ses premières ventes dès le mois de janvier suivant. La structure artisanale propose déjà trois variétés de bière, élaborées à partir de recettes novatrices (une blonde, une blanche et une ambrée) avec réussite. La société des cousins Alexis et Vianney MADELIN devait très vite prendre ses marques dans le paysage de la brasserie de terroir…

CHABLIS : Curieuse initiative que celle-ci en pays du vin ! Depuis plusieurs mois, Chablis peut s’enorgueillir de posséder sa brasserie artisanale avec des appellations, Moulin des Fées, la Porte Romane et le Jardin du Prieuré, qui évoquent la typicité géographique de la ville qui accueille cette jeune SARL.

Issue d’une production biologique locale (la malterie SOUFFLET installée à Nogent sur Seine procure la matière première), et inféodée à la présence partenariale de fournisseurs du cru, cette gamme de produits se positionne sur le naturel et l’authenticité. La marque se veut résolument référencée sur le haut de gamme.

Originaire de Chablis, les deux associés possèdent cette fibre commune de la conception de produits novateurs issus des circuits courts. Designer, ancien ébéniste avec dans sa besace un diplôme obtenu à l’école Boulle de Paris, Vianney MADELIN a également travaillé durant trois ans pour de grands comptes (L’OREAL ou LVMH) en signant la création d’objets. A 28 ans, il se lance de nouveaux défis en optimisant ce concept qui le ramène vers l’artisanat.

Quant à Alexis, il a poursuivi un cycle d’études viticoles à Beaune dès l’âge de 14 ans. Avant d’obtenir un BTS de technologie végétale (la défense des cultures jusqu’à leur récolte), une licence de commerce international et de marketing du vin de terroir à l’ESA Angers. Il travaillera même dans un domaine viticole de Châteauneuf du Pape avant de s’expatrier durant un temps en Australie. Agé de 27 ans, il veut vivre une expérience unique avec l’ouverture de cette brasserie artisanale, dont les produits sont distribués sous la marque MADDAM (la judicieuse association des deux patronymes MADELIN inversés).

Depuis leur lancement, les deux cousins caracolent vers le succès. Ils sont désormais distribués chez FESTINS de Bourgogne mais aussi quelques belles références de l’alimentaire dans la capitale :

Leur modèle économique repose sur une forte potentialité de développement. S’inspirant des vertus des circuits courts, ils avaient envie de se retrouver dans la conception de produits locaux. « Alors, pourquoi ne pas produire une bière artisanale en y apposant sa griffe ? commentent-ils. Ce pari audacieux devait aboutir quelques mois plus tard. Commercialisées sous l’enseigne (MADDAM), les appellations de ces bières aromatiques, non filtrées et non pasteurisées, évoquent avec succulence la typicité géographique de Chablis : Moulin des Fées, la Porte Romane, le Jardin du Prieuré et le Chemin de Garde.

Formés dans le nord de la France au contact d’un maître brasseur, les deux entrepreneurs n’ont qu’une unique ambition : obtenir le meilleur de la bière et la quintessence de leurs produits. Si la capacité de production s’apprécie à hauteur de 600 hectolitres à l’heure actuelle, sa croissance devrait être exponentielle dans les mois à venir avec un volume de 50 000 bouteilles au terme du premier exercice. Quant à la distribution de ces bières insolites, elle s’effectue parmi les cavistes et épiceries fines, mais aussi les bars à vin, l’hôtellerie et la restauration. La Brasserie de CHABLIS dispose déjà d’un maillage intéressant qui dépasse les frontières de l’Yonne à Paris (XI, XII, XVI et XIXème arrondissements), le sud de la France (Perpignan, la Corse…) et même la Belgique, la Grande-Bretagne et le Japon.

La SARL de Chablis devrait très vite s’agrémenter d’une boutique proposant la vente des produits et accueillir des animations découverte à destination des groupes.

Aujourd’hui, la Brasserie de CHABLIS décline ses différentes gammes sous un seul format de contenant, de 50 centilitres. Mais, la création d’un magnum cet été aura permis de toucher d’autres consommateurs. Ceux-ci bénéficient de cette offre spéciale pour les cadeaux d’entreprise ou les fêtes de fin d’année. Des coffrets de quatre bouteilles devraient également compléter ce merchandising. Enfin, et pour être totalement complet sur les orientations stratégiques de l’entreprise, la bière MADDAM se propose à la vente en fûts de 24 litres destinés aux débits de boisson ou sur les manifestations événementielles. Des sources de distribution supplémentaire que ne négligeront pas les deux cousins de Chablis…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil