Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Elle se nomme SOBRE Energie. Un nom tout à fait prédisposé pour mieux appréhender la mission réelle qui est conférée à cette filiale du groupe postal. Son objectif est simple : accompagner La POSTE en réalisant des audits et une cartographie précise de sa situation énergétique. Depuis, notamment, la mise en place d’un système de management de l’énergie visant à réaffirmer l’engagement de l’entreprise en faveur du climat…

 

DIJON (Côte d’Or) : Priorité à la maîtrise des consommations énergétiques au sein du groupe La POSTE ! C’est la stratégie qui se déploie sur le terrain depuis plusieurs années dans cette entreprise.

Depuis 2016, la structure a décidé de renforcer sa démarche en initiant un système de management de l’énergie dans certains de ses bâtiments. Un processus qui complète la politique de réduction des émissions des gaz à effet de serre développée un peu plus tôt.

Pour se faire, le groupe a eu recours à sa filiale ad hoc, SOBRE Energie, qui a apporté son précieux concours à la réalisation d’audits et une cartographie des situations de référence et des postes de consommation pour les usages énergétiques significatifs. Les diagnostics obtenus ont permis de répertorier un certain nombre d’objectifs favorables à cette maîtrise de la consommation énergétique.

La POSTE s’est ainsi engagée à suivre et à analyser ses efforts de maîtrise énergétique dans deux domaines : les données de facturation sur l’ensemble des fluides et les données sur site en temps réel. Des audits précieux qui ont pu se concevoir grâce à l’installation de capteurs connectés.

 

 

 

Rappelons qu’en avril 2020, l’entreprise avait décroché la certification Iso 50 001 après un audit de l’AFNOR pour trois de ses bâtiments implantés dans l’Yonne : le bureau de Saint-Denis-les-Sens, la Poste d’Auxerre et la plateforme de préparation et de distribution du courrier de Monéteau.

Un précieux sésame qui met en avant les performances énergétiques des entreprises et des bâtiments afin de réduire l’impact environnemental sur leurs activités.

196 édifices du groupe La Poste ont ainsi été certifiés de ce label depuis, dont neuf se situent en Bourgogne Franche-Comté.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Depuis leur création en 2008, date du lancement du protocole Bitcoin, les crypto-monnaies ont attiré divers groupes d'utilisateurs. Celles-ci ont alors trouvé une place hors des cercles restreints des seuls initiés de la première heure, informaticiens mais pas que. Cette nouvelle classe d’actifs n’a dès lors cessé de questionner, à commencer par sa définition même : l’une des interrogations récurrentes étant celles de savoir si le bitcoin, pour prendre l’actif le plus emblématique de ce mouvement, constitue une monnaie ou non.

 

TRIBUNE : Cette question semble à la fois passionner mais aussi bloquer nombre de commentateurs. Elle nous apparaît comme révélatrice d’un biais de pensée qu’il n’est pas favorable de garder quand il s’agit de se saisir d’une innovation disruptive. Comme c’est le cas pour les crypto-monnaies : celui d’analyser un phénomène nouveau avec des « lunettes anciennes ».

Vouloir répondre à la question de savoir si bitcoin est une monnaie, c’est avant tout essayer de placer celui-ci dans un carcan que son ADN se propose justement de briser. Il faut dire que le terme même de « crypto-monnaie » invite quelque peu à basculer dedans. Préférons ainsi la dénomination plus générale de « crypto-actif », plus révélateur de la nature multiple de cet élément.

Mais avant, rappelons ici quelques fondamentaux. Et comme le « bitcoin » constitue à la fois le totem et la plus connue de ces nouvelles « crypto-monnaies » (parmi les milliers qui existent…), prenons-le ici comme notre élément de discussion principal.

Selon l'Institut national de la consommation (INC), une crypto-monnaie désigne « une monnaie virtuelle qui repose sur un protocole informatique de transactions cryptées et décentralisées, appelé blockchain ou chaîne de blocs ».

Effectivement, il faut bien garder à l’esprit que Bitcoin est avant tout un protocole de communication informatique ouvert (dont le code est consultable par tout un chacun), qui permet du stockage et de l’échange sécurisé d’information sans tiers de confiance.

Cela peut sembler bien basique. Mais il se trouve que c’est le premier protocole informatique qui parvient à réaliser cela dans les conditions d’ouverture et de décentralisation souhaitées par le ou les initiateurs du projet lesquels se cachent derrière le pseudonyme Satoshi NAKAMOTO, figure mythique de la création du Bitcoin.

 

 

 

Le premier objet numérique qui ne peut être dupliqué…

 

Il s’agit bien ici d’une véritable prouesse technologique. Et c’est ce sous-jacent, cette innovation technique qui donne une réelle valeur au protocole. Cette dernière est ainsi portée par l’unité de compte du réseau Bitcoin (avec un B majuscule), les jetons numériques appelés « bitcoins » (avec un b minuscule).

Porteurs de valeur, ces bitcoins vont pouvoir s’apprécier par les lois de l’offre et de la demande et ainsi être utilisés, entre autres, comme un objet monétaire.

L’idée derrière Bitcoin, celle de faire du cash sur Internet, n’est pas novatrice : elle existait et était expérimentée depuis une vingtaine d’années avant sa venue. Ce qui est révolutionnaire, c’est la manière dont celle-ci a été mise en œuvre.

Les concepteurs ont pu résoudre les problèmes sur lesquels avaient butés leurs devanciers en créant le premier objet numérique non-duplicable. Rappelons, en simplifiant, que dans le monde numérique dans lequel baignent nos systèmes informatiques tout n’est que copies : quand on transmet un fichier informatique, une information numérique à quelqu’un, potentiellement cette information sera toujours en possession de son émetteur.

Dans le cas d’un échange de valeur telle une monnaie, vous l’avouerez ceci est très problématique. Dans notre monde physique courant, ce problème ne se pose pas : j’ai un billet de 5 euros, je le donne.

Je ne peux le donner deux fois ! La problématique avec les billets de banque se limite donc à la contrefaçon. Dans le monde numérique, cette cohérence de l’échange ne pouvait être garantie que par l’intermédiaire de tiers de confiance, en gros le système bancaire. Encore une fois, dans le monde numérique, on ne transfère jamais réellement des données, on les duplique.

 

Un phénomène éphémère ou durable dans le temps ?

 

 

Bitcoin vient résoudre ce problème de l’échange en se passant justement de ces tiers de confiance traditionnels. Ceux qui se cachent derrière la figure de NAKAMOTO ont ainsi tout bonnement inventé le premier objet numérique non-duplicable, un véritable tour de force !

L’un des moteurs de cette innovation s’appuie sur cette fameuse « blockchain », autre « buzz word », dont nous ne détaillerons ici toutes les articulations. Posons simplement que si Internet à la fin du XXème siècle a démocratisé l’information, la blockchain Bitcoin a au début du XXIème démocratisé la transaction.

Comment une telle avancée technologique si majeure ne pouvait pas se voir valorisée ? Et cette valorisation va se matérialiser d’une manière bien particulière, du fait encore de l’ADN de Bitcoin : en effet, ce protocole décidément peu avare en nouveautés, se présente à la fois comme la première intégration d’un système de paiement et d’un système monétaire.

Ces deux éléments traditionnellement séparés vont ici s’encastrer formant un tout. C’est ce qui rend entre autres toutes comparaisons simplistes avec des monnaies traditionnelles biaisées : Bitcoin n’est pas une monnaie, c’est plus qu’une monnaie...

C’est un actif numérique mû par son code informatique qui se rapporte à un réseau de traitement de transactions électroniques, mutable à tout instant aussi bien en un objet monétaire qu’en un élément porteur d’une réserve de valeur. Et de là vient la difficulté à saisir ces « crypto-actifs » : ce sont des objets multiples qui n’acceptent pas de définitions simples. Pour se rapprocher de leur être, il faut comme on l’a vu en agglomérer plusieurs à la fois.

Alors, qui croit en cet actif ? N’est-ce qu’un phénomène passager dont on aura oublié la promesse dans quelques années ? Bitcoin se voit très souvent accoler des termes générateurs de polémiques. Nous en avons vu un premier : la monnaie. On pourrait lui joindre un second terme qui revient très souvent dans la bouche de ses contempteurs : celui de « bulle ».

En analysant le cours du Bitcoin, on peut y voir une succession de bulles qui finissent par s’effondrer mais qui reprennent une tendance haussière sur le long terme. Cela contredit l’analogie souvent faite avec la fameuse crise de la tulipe aux Pays-Bas au XVIIème siècle, où là il y eut une bulle (même si certains universitaires réfutent cette idée) : celle-ci s’est effondrée et par la suite on n’a plus entendu parler de cet objet de spéculation.

Bitcoin s’est développé dans ses premières années d’existence par une succession de bulles et de crises. C’est effectivement un objet nouveau qui progresse par élans, emballements, frénésies, et corrections, etc. Reste à savoir si son mouvement va se poursuivre de la sorte. C’est assez probable. À ce stade, cet enchaînement typique de cycles fait partie de la jeune histoire du Bitcoin.

 

 

Les particuliers doivent prendre part à ce mouvement créateur de valeur…

 

 

Pour notre part, nous pensons que sa valorisation continuera de s’accroître à mesure que les grands acteurs institutionnels commenceront à s’y intéresser, et pour un certain nombre d’entre eux se décident à y investir. La célèbre « bulle » de 2017 a surtout été soutenue par des particuliers. De nos jours, nous sommes dans une nouvelle phase où des acteurs massifs beaucoup plus influents que des investisseurs individuels commencent à investir dans ces nouveaux protocoles. Si l’homme le plus riche du monde, Elon MUSK et le fonds de gestion d’actifs le plus prestigieux du monde, BlackRock, y souscrivent, on ne voit pas de raisons pour lesquelles les autres acteurs de la finance ne s’y mettraient pas non plus progressivement… C’est en effet via sa firme que MUSK investit 10 % des réserves en cash de Tesla sur Bitcoin pour un montant qui s’élève à 1,5 milliard de dollars US.

En ouvrant leur porte au Bitcoin, les institutions financières enclenchent ainsi le cercle vertueux de la reconnaissance institutionnelle et son inscription certaine dans le champ des possibles de l’investissement.

Citons encore JPMorgan Chase & Co, la plus grande banque américaine, qui conseille à ses clients de s’exposer à hauteur de 1 % sur le Bitcoin. L’actif numérique permettrait à ses clients de se protéger contre les fluctuations d’autres portefeuilles d’actifs et constituerait ainsi une réelle solution de diversification de ses expositions.

Rappelons que le PDG de la banque menaçait encore en 2017 de virer n’importe quel employé qui ferait des transactions en crypto-actifs… Autre acteur majeur de la finance, la banque d’investissement Goldman Sachs s’est décidé à (r)ouvrir un bureau d’échange en crypto-actifs.

Sur le front de l’adoption de la devise numérique par tout un chacun, citons que le PDG de Visa, le géant du paiement, pourrait bien ajouter certaines crypto-monnaies à la liste des 160 devises supportées par son service. Visa serait ainsi bien placée pour aider ces crypto-actifs à être utilisées de manière globale et sécurisée comme moyen de paiement. Il en serait de même pour le réseau Mastercard.

Nous pourrions citer bien d’autres nouvelles mettant en lumière l’adoption de ces crypto-actifs par les grands acteurs qui semblent se préparer à leur inéluctable utilisation.

Les signaux faibles le sont de moins en moins, et il serait dommage que les particuliers soient de nouveau mis de côté en laissant les traditionnels acteurs financiers capter principalement la valeur.

Car là encore, ne l’oublions pas, le réseau étant décentralisé et par essence échappant à la gestion des habituels intervenants professionnels, n’importe qui peut prendre part à ce mouvement au plus près de la création de valeur. Comme pour toute chose, cela nécessite bien sûr d’être un minimum accompagné afin de se lancer dans la compréhension de cet écosystème, initiation que vous avez débutée en lisant cette tribune…

 

Alexandre TEINTURIER

 

Responsable des opérations MUGI / MÈTIS Mining

https://www.metis-mining.com/

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La décision a été entérinée de manière très rapide. Juste le temps adéquat pour que le parc des expositions auxerrois toujours à l’arrêt en termes d’activités culturelles se mue telle une chrysalide en un centre sanitaire fonctionnel pouvant accueillir ses premiers patients. Depuis dimanche, le site peut recevoir les bénéficiaires du vaccin produit par le laboratoire ASTRA ZENECA…

 

AUXERRE: Aux grands maux, les grands remèdes ! On se plaignait de la lenteur administrative qui grevait depuis des mois la campagne de vaccination contre le coronavirus. Mais, cette fois-ci, le gouvernement a décidé de changer de ton et d’enclencher la vitesse supérieure pour qu’une majorité de nos compatriotes bénéficient enfin des précieuses doses de l’antidote. Celles produites par le laboratoire aux origines scandinaves et britannique, ASTRA ZENECA.

Une amplification qui suppose l’ouverture de nouveaux points d’accueil, transformés et adaptés aux besoins des soignants. C’est le cas depuis la dernière journée dominicale du parc des expositions auxerrois.

Qui l’eut cru un jour ? AUXERREXPO n’accueille plus dorénavant des séminaires d’entreprises ou des salons corporatistes qui présentent les dernières technologies de la sphère industrielle. Le site exploité par Centre France Evènements s’est donc métamorphosé en un temps record en un centre de vaccination opérationnel avec le concours du centre hospitalier, du Service départemental d’Incendie et de Secours (SDIS), les professionnels de santé et la municipalité.

Concrètement, des rendez-vous supplémentaires à ceux qui sont déjà proposés à la population âgée de 50 à 75 ans permettent d’accueillir deux cents personnes par jour. Rappelons que ne sont concernées par cette opération que celles qui font l’objet de comorbidité.

 

 

 

 

Le jour de l’inauguration, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, accompagné de la sénatrice Marie EVRARD, du député Guillaume LARRIVE et de Patrick GENDRAUD, président du département, s’est rendu sur place pour en apprécier le résultat. Il a été accueilli par l'adjointe de la Ville d'Auxerre en charge de la santé, Maryline SAINT-ANTONIN et Yves LASMARTRES, directeur de cabinet de la Ville.

Précisons que Sens accueille depuis aujourd’hui une infrastructure identique dans la salle René Binet. D’autres endroits névralgiques de notre territoire pourraient être pourvus de ces installations afin de développer la vaccination de masse.

Des installations, à vocation éphémère certes, mais qui ont pour objectif de rassurer durablement nos concitoyens désireux de se faire vacciner…

 

En savoir plus :

 

Le centre de vaccination d’AUXERREXPO fonctionne uniquement sur la base de rendez-vous permettant d’assurer 200 vaccinations. Entre 09 et 13 heures
Inscription sur le site :

https://www.doctolib.fr/vaccination-COVID-19/8900-Auxerre

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Opérationnel depuis l’ouverture de sa vitrine commerciale idéalement bien située à l’angle du rond-point de la rue de Paris à Auxerre, ce groupement d’agences immobilières joue la carte de l’autonomie et de la différence dans la pratique de son métier. La structure entend bien marquer les esprits par son approche moderniste et ultra réactive sur un marché en proie à une véritable expansion du fait de la crise.

 

AUXERRE : On ne pouvait rêver de meilleur endroit pour implanter une agence immobilière qui soit à la vue de tous ! Un lieu confortable, offrant ergonomie et praticité, facile à repérer lorsque l’on pénètre sur l’un des axes essentiels menant vers le centre de la capitale de l’Yonne.

La rue de Paris est l’une de ces voies d’accès où il est bon de figurer lorsque l’on développe une activité commerciale. De surcroît lorsqu’elle a un attrait fortement prononcé pour la transaction immobilière !

Il n’en fallait pas davantage pour que le dirigeant de la SARL Mehdi BARBOT ne retienne dans sa stratégie de développement cet emplacement vertueux, propice à la visibilité et à la rencontre avec les prospects devant constituer le futur portefeuille clientèle.

Depuis décembre 2019, GP 89 possède donc pignon sur rue et vient enrichir une offre déjà exponentielle d’agences immobilières locales qui ne semblent pas connaître la crise.

 

Un acronyme simple pour une accroche qui se mémorise…

 

Il est vrai que la COVID-19 a donné de sérieuses velléités de départ de la population francilienne, trop heureuse de se délocaliser temporairement, voire définitivement en province. Là où l’herbe est plus verte et l’oxygène plus respirable !

Les affaires sont là. Elles alimentent les activités journalières de l’effectif commercial qui a été constitué en l’espace de quelques semaines. Sept collaborateurs officient sous la bannière de cette enseigne. Dont l’acronyme résulte en termes de réflexion d’une simplicité enfantine mais plutôt astucieuse : GP pour le mot groupe !

Née dans les Yvelines, où GP 78 a pu se développer en créant sa base arrière à Maurepas non loin de Versailles, l’entité fait aujourd’hui des émules dans l’Yonne grâce à Mehdi BARBOT. Un professionnel de l’immobilier trentenaire qui possède une bonne connaissance de sa zone de chalandise sectorielle. Mais, qui ne se limite pas au seul département de l’Yonne. Limitrophe, la Nièvre n’est pas si loin pour réaliser des affaires.

 

 

D’ailleurs, ce groupement d’agences indépendant envisage de se projeter à l’échelle hexagonale avec des ouvertures possibles de points commerciaux dans l’Aube à Troyes ou en Gironde à Langon.

Autonomes les unes des autres, les structures n’en travaillent pas moins de concert, privilégiant le sacro-saint principe de la relation inter-cabinets qui démontre toute sa pertinence pour optimiser la recherche d’un bien.

 

 

Des atouts digitaux pour avoir un coup d’avance…

Dans l’Yonne, il n’est pas exclu dans un intervalle de trois ans de voir éclore d’autres vitrines commerciales pour asseoir la suprématie de cette nouvelle référence. L’Avallonnais profite déjà de la présence physique de l’expérimenté Yoann MACIAG qui rayonne largement sur les contreforts de la Puisaye-Forterre ou de l’Aillantais.

Spécialiste de la transaction et location de tout type de biens, GP 89 souhaite avoir un coup d’avance sur une concurrence particulièrement exacerbée dans le contexte actuel.

Ses atouts se nomment la dématérialisation des documents administratifs (vulgarisation de la signature électronique) ou encore l’organisation de visite de maisons en virtuel grâce à la magie du numérique !

L’entreprise développe également une offre « Premium » au niveau du mandat qui lui permet d’engranger 77 % de ses affaires.

Dès le mois de juin, quand les conditions sanitaires l’autoriseront, GP 89 organisera des évènementiels thématisés chaque dernier vendredi du mois sur le petit terrain qui jouxte son agence auxerroise. Sous une forme apéritive, Mehdi BARBOT et ses collaborateurs recevront celles et ceux des Icaunais qui sont interpellés par l’actualité immobilière et la recherche de biens.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La meilleure manière de comprendre le fonctionnement des hautes institutions de la Vème République pour un étudiant en quête de savoir est de poser les questions pertinentes à celles et ceux qui en sont les acteurs. Et à ce jeu-là, le député de la première circonscription de l’Yonne Guillaume LARRIVE n’a pas son pareil pour susciter l’intérêt de son auditoire. Il était l’invité du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle où il a pu distiller ses commentaires avisés…

 

AUXERRE : Stylo feutre à la main, devant le tableau blanc encore immaculé de toutes inscriptions, le parlementaire de l’Yonne s’est livré à un exercice pédagogique qu’il affectionne tout particulièrement à ses rares moments perdus : transmettre ses connaissances et faire part de ses expériences aux jeunes générations.

En l’occurrence, les élèves d’une classe de terminale du groupe scolaire d’enseignement privé Saint-Joseph-la-Salle. Ces derniers suivent en effet l’une des nouvelles options déclinables depuis une saison dans l’établissement auxerrois : la prépa Sciences Politiques.

Autant dire du pain béni pour le député Les Républicains qui se retrouvait presque dans son jardin pour expliciter les us et coutumes de l’Assemblée nationale, son mode opératoire et surtout le rôle des parlementaires. Une réminiscence lointaine de ses cours qu’il donnait à Sciences Po en sa qualité de maître de conférences…

Invité par Marc BESANCENEZ, responsable de l’école, à échanger avec ce jeune public très studieux qui devait noircir une multitude de feuilles durant cette intervention, Guillaume LARRIVE fit un sacré retour en arrière personnel. Il se replongea, souvenirs à l’appui, en 1993. Date où lui-même fit son entrée à Sciences Po Paris.

 

 

Un parcours pédagogique flamboyant…

 

Un retour vers le passé, ponctué d’anecdotes cocasses (la rencontre de l’élu de l’Yonne et du cinéaste Jean-Paul RAPPENEAU), mais aussi sa détermination de servir un jour ou l’autre son pays à force d’abnégation et de travail !

Avant de clore cette session éducative et citoyenne, Guillaume LARRIVE prodigua ses conseils à ces futurs bacheliers, passionnés par la chose publique : « Visez haut et n’occultez aucune porte, travaillez avec le cœur et de l’ardeur afin de tracer votre chemin ! ».

 

 

Un exemple à suivre donc pour cette jeunesse. Outre l’Institut d’études politiques de Paris dont il sortit en 1996 diplôme en poche, Guillaume LARRIVE a aussi étoffé son brillant cursus du diplôme de l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) deux ans plus tard avant de clore ce chapitre de l’enseignement au sein de l’Ecole nationale d’administration (ENA) où il reçut le précieux Graal avec ses camarades dans la promotion Copernic en 2002.

Le parcours idéal pour avoir, non pas la tête dans les étoiles, mais la tête bien remplie de savoir, en somme…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil