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De cette rencontre, il en ressortira toujours quelque chose. La présence de Thierry CADEVILLE lors des travaux de la Commission économique de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux lundi soir est loin d’être anodine. D’autant qu’entre le président de la CCI de l’Yonne et la structure associative, le mot « attractivité » résonne en parfaite symbiose…

 

AUXERRE : C’est un évènement peaufiné aux petits oignons pour les représentants de la Commission économique de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux de l’Auxerrois. La venue de l’un des responsables de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, en l’occurrence, Thierry CADEVILLE revêt du plus grand intérêt.

Lundi en fin d’après-midi, les membres de ladite commission accueilleront au cours de leurs travaux habituels le président de la chambre consulaire départementale. Une rencontre, une première fois décalée pour cause d’incompatibilité d’agenda, qui se formalisera enfin, à l’invitation de la présidente de la structure associative auxerroise, Marité CATHERIN.

 

 

Outre les présentations d’usage, il sera question d’attractivité du territoire, tant au plan sociétal qu’économique, avec des éclairages intéressants qui seront apportés par le chef d’entreprise et patron de la société ALGAN-SIREC, successeur d’Alain PEREZ à la tête de l’institution.

La CCI de l’Yonne devrait vivre une période de profonde mutation au cours de ces prochaines semaines afin de renforcer sa présence auprès des entreprises et avant de vivre son déménagement de la rue Etienne Dolet. Gageons que Thierry CADEVILLE devrait faire toute la lumière sur ces différents chantiers et répondre aux interrogations d’une commission économique qui fourbit ses armes en vue d’un rendez-vous automnal consacré à l’attractivité sous la forme d’un colloque.

 

Thierry BRET

 

 


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Décidément, la capitale de l’Yonne pouvait se passer de cette publicité gratuite pour asseoir sa renommée bien au-delà de sa sphère d’influence. Depuis que l’affaire du « challenge des marginaux », puisque telle est son appellation désormais, a été révélée au grand jour, une kyrielle de médias nationaux, et non des moindres – le dernier en date à relayer cette information sordide n’est autre que « Le Figaro » - s’est engouffrée dans la brèche. La Ville d’Auxerre ne pouvait que réagir. En diligentant une enquête interne afin de mieux cerner la genèse de cette problématique.

 

AUXERRE / En termes de communication, il existe un principe fondamental qui est observé scrupuleusement à la lettre au sein de la Ville d’Auxerre selon les évènements qui s’y déroulent. Celui de ne jamais réagir à chaud au niveau médiatique et prendre le temps de l’analyse avant de donner un commentaire aux journalistes.

Depuis qu’a éclaté l’affaire dite du « challenge des marginaux » - un encouragement à bénéficier d’avantages en nature (et surtout gourmands) pour les représentants de la police municipale si les SDF stationnant aux abords du magasin Monoprix y étaient délogés d’ici le 30 avril (ceci reste d’ailleurs à vérifier, à savoir s’il s’agit d’une curieuse et amorale blague de potache ou de l’emploi de procédés beaucoup plus réels et douteux) -, les élus de la majorité municipale ne s’étaient pas encore exprimés à ce sujet.

C’est chose faite. De manière officielle, par la présence d’un très lapidaire communiqué de presse qui a été publié sur le site de la ville,  www.auxerre.fr. Un document comportant un paraphe collectif, validé par le maire, Crescent MARAULT, et les élus qui composent sa majorité.

 

Ouverture d’une enquête en interne pour faire toute la lumière…

 

Si les élus de la capitale de l’Yonne (ceux de la majorité) apportent « tout leur soutien et leur confiance aux agents de la police municipale face à l’ampleur de leur délicate mission ô combien difficile à exercer au quotidien », il n’empêche que sans même attendre une éventuelle suite judiciaire à donner à ce dossier (le parquet a lancé une investigation en ce sens), une enquête interne est ouverte. Afin de faire toute la lumière et en savoir plus sur cette affaire qui pour l’heure manque quelque peu de transparence.

Il est précisé qu’en parallèle, « un rappel des règles déontologiques a été réalisé auprès des agents ». Une petite piqûre sur l’épiderme qui ne fait donc pas de mal à personne afin de bien préciser les limites à ne pas dépasser pour ces personnels de la fonction publique.

Selon ce communiqué, il semblerait que c’est dans un contexte, celui de la préservation et de l’amélioration de la qualité de vie et le respect de la tranquillité des citoyens qu’une initiative individuelle, dite du « challenge », a été prise sans qu’elle n’émane d’un quelconque ordre officiel venu de plus haut ou de la hiérarchie. Une démarche surprenante que le maire et les élus de son bord politique qualifient « d’inappropriée et contraire aux valeurs défendues par leurs engagement citoyens ».

 

 

Une initiative individuelle inconcevable en termes de moralité…

 

Certes, face aux problématiques et désagréments qui surviennent sur la voie publique de manière récurrente (mendicité, agressions verbales, voire physiques, alcoolémie…) dans le centre-ville d’Auxerre, Crescent MARAULT et l’équipe municipale tentent en permanence de juguler ces méfaits, occasionnant la gêne des riverains habitant les quartiers concernés. Des solutions où interviennent également les services sociaux de la ville.

Mais de là à encourager l’organisation d’un défi de motivation où des paniers gourmands, des confiseries faites maison et des bons cadeaux seraient offerts aux représentants de la police municipale pour les récompenser d’avoir délogé les SDF du cœur de ville ; cela ne saurait se concevoir en termes de moralité.

Bref, on ne connaît pas encore l’auteur ou les auteurs de cette initiative individuelle qui fait aujourd’hui le tour de l’Hexagone de l’actualité. Même si le pot aux roses n’avait été éventé par l’un des élus de l’opposition (Rémi PROU-MELINE), qui sait si l’idée d’instaurer un système de parrainage à la « France Loisirs » pour faire gagner une cafetière électrique ou sa théière afin d’agrémenter la dégustation des fameuses meringues faites maison n’aurait pas été la prochaine étape de ce procédé pour le moins peu académique dans l’approche de la gestion humaine ? Peut-être à réserver lors du challenge de l’été ?

 

Thierry BRET

 

 


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A quels saints se vouer lorsque l’on est à la tête d’une entreprise de travaux publics aujourd’hui ? Certes, face à une conjoncture pour le moins délicate (conséquences de la crise sanitaire, orages noirs qui s’accumulent sur la partie orientale de l’Europe), le moral est en berne car les prix, eux, ne cessent d’atteindre des sommets. Une poussée de fièvre inflationniste inéluctable qui grève les budgets. A commencer par ceux des sociétés qui tentent tant bien que mal de relever la tête et de garder le cap imposé par leurs carnets de commandes…

 

FLOGNY-LA-CHAPELLE A date, les professionnels des travaux publics ne rencontrent pas encore de problématiques liées à la pénurie sur les matières premières utilisées sur leurs chantiers. Une nouvelle positive, malgré ce vaste maelström d’informations néfastes qui leur tombe dessus depuis un moment. Une nouvelle à accueillir avec une réelle satisfaction, tout de même. Celle-ci étant synonyme de non-blocage des chantiers. Pour l’instant, devrait-on préciser un brin optimiste et en croisant les doigts.

Pour l’heure, le souci se situe ailleurs pour les entrepreneurs de la filière. Du côté de l’envolée vertigineuse des prix. Cela coince vraiment aux entournures et cela fait mal aux porte-monnaie déjà décharnés des sociétés du secteur qui ne s’attendaient pas à de telles secousses telluriques, mettant à mal leurs budgets et leurs projets de développement. Voire d’investissements.

La surcharge inflationniste observée sur les tarifs énergétiques depuis plusieurs semaines inquiète de plus en plus le sérail de la FRTP, la Fédération régionale des Travaux Publics. L’un de ses représentants départementaux, en la personne de Baptiste MANSANTI, dirigeant de la société éponyme, se soucie de cette progression tarifaire exceptionnelle. Entraînant de facto des répercussions de plus de 30 % sur les factures de gaz et d’électricité à l’année. Un bail…

Un alourdissement des notes à payer qui vient s’ajouter au 30 % de hausses constatées sur le prix des matériaux usuels, à commencer par les granulats, le bitume ou les enrobés.  

« Nous avons atteint des sommets tarifaires que je n’avais jamais observé jusque-là, souligne Baptiste MANSANTI, quelque peu désabusé par une situation devant perdurer si les choses s’enlisaient durablement en Ukraine. Nous suivons l’évolution de ce dossier avec vigilance… ».

 

 

Une demi-douzaine de courriers par jour de la part des fournisseurs…

 

D’autant que tous les produits dérivés des énergies fossiles (bitume, enrobé, gaz, pétrole, carburants) suivent une irrésistible courbe spéculative qui ne devrait pas en rester là selon les experts.

Impactées par ces effets en cascade, les sociétés de travaux publics subissent aussi le contre-coup de leurs fournisseurs. Les courriers rappelant une correction tarifaire sur des commandes pourtant passées de longues dates s’accumulent sur le bureau de Baptiste MANSANTI. Las, et le regard triste, il présente une liasse de documents qui ne cesse de s’étoffer de jour en jour, à son grand désarroi. Et malheureusement, à la lecture rapide de ces missives liminaires, il n’est fait aucune mention de pouvoir négocier quoi que ce soit dans les contrats.

Et quand ce ne sont pas les entreprises partenaires qui se rappellent au bon souvenir de leurs débiteurs, c’est évidemment l’Etat qui revient à la surface, telle une hydre à plusieurs têtes avec une nouvelle surcharge fiscale à appliquer sur le prix des carburants et de l’énergie, soit au 01 mai, plus quatre euros en moyenne perçus en sus par mètre cube sur les carburants spécifiques aux engins.

Bref, en quinze ans d’antériorité entrepreneuriale, le dirigeant de Flogny-la-Chapelle n’avait jamais vu une telle hystérisation de la chose spéculative (mais à qui in fine profite donc le crime ?), une situation ubuesque qui en serait presque risible si le contexte mondial n’était pas aussi névralgique.

 

 

Revoir la hiérarchisation du carnet de commandes…

 

Dès lors, en bon capitaine de corvette qu’il est devenu en reprenant le gouvernail de l’entreprise familiale, Baptiste MANSANTI repousse dès qu’il le peut et que cela se justifie du fait de l’éloignement de certains travaux la dead-line des chantiers, initialement portée sur le carnet de commandes. Le plus souvent après la rentrée automnale ; souhaitant que la conjoncture internationale s’améliore un chouïa. Tout en tentant de conserver ses marges.

Un délicat travail d’équilibriste du quotidien pour le quadragénaire qui s’expose, et il le sait, aux risques d’impayés de la part de clients qui seraient étranglés par ces hausses exponentielles qui font plonger le PIB de l’Hexagone.

Se refusant de céder à la panique, l’entrepreneur prend soin d’analyser dans le calme son carnet de commandes, en priorisant les chantiers à exécuter. Voire en les mutualisant dès que possible.

Sur le marché des collectivités, et de la commande publique par effet de ricochet, la préfecture a alerté les structures institutionnelles à accueillir favorablement les révisions de prix de manière systématique. Et de suspendre toutes pénalités de retard devant contraindre les chantiers à ralentir du fait de ce contexte complexe.

 

 

« Il faudrait aussi accélérer la publication des index permettant les mécanismes de révision des prix, ajoute Baptiste MANSANTI, en les ramenant à 45 jours… ».

Une proposition que ne cesse de marteler la FRTP en cette période d’entre deux tours de la présidentielle.

L’emploi du GNR et sa fiscalité avantageuse pour alimenter les engins de chantiers qui ne peuvent fonctionner à l’électrique sont privilégiés parmi les préconisations envisageables. Même si le prix au litre de ce carburant hors taxes est passé de soixante centimes d’euros avant la crise à 1,90 euros aujourd’hui

Autre aspect sensible de cette équation insoluble à plusieurs inconnues, le recrutement et la non-augmentation des salaires.

« Je recherche de trois à quatre nouveaux collaborateurs qui pourraient renforcer mes équipes en qualité de conducteurs d’engins, de maçons et de conducteurs de machine, argumente le président de la FRTP 89, or, je n’ai pas les moyens de financer leurs postes à l’heure actuelle compte tenu de la conjoncture… ».

Pour l’heure, la société MANSANTI poursuivra ses missions régaliennes, à savoir l’entretien des voiries, les travaux d’assainissement d’eau potable et usagée, et de terrassement en s’appuyant sur sa force vive de vingt-cinq salariés.

« On se serre les coudes, on fait le dos rond et on attend des jours meilleurs, résume le dirigeant un brin pessimiste mais ô combien réaliste sur la situation de la filière, nous sommes en contact direct dans le cadre d’un protocole avec le préfet de l’Yonne (une manière de faire connaissance avec Pascal JAN, nouveau représentant de l’Etat), afin de faire face à toutes les situations… ».

Les travaux publics, à l’instar de bon nombre de secteurs économiques, sont comme du lait à surveiller sur le feu, qui pour l’heure, ne déborde pas encore de la casserole…Pourvu que cela dure.

 

Thierry BRET

 


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L’affiche est annoncée comme prometteuse. Un plateau de premier choix, comprenant d’anciennes gloires de cet art martial, fleuron de l’olympisme, et de jeunes loups, porteurs d’espoirs dont certains se sont distingués à Tokyo en juillet dernier. L’évènement sera concocté avec le concours du Département qui lance ainsi l’opération « Terre de Jeux ».

 

AUXERRE Premier évènement majeur de la campagne de sensibilisation à l’esprit de l’olympisme qui va se propager sur le territoire de l’Yonne, cette soirée « Influence » mijotée aux petits oignons par le Conseil départemental de l’Yonne et le Comité de l’Yonne du Judo. Elle devrait trouver bon écho auprès des adeptes de cette discipline et des milieux institutionnels, voire économiques du cru.

Son principe est simple. Accueillir lors d’une soirée finement ciselée, le 06 mai prochain, un plateau de choix consacré à cet univers sportif fournisseur de moult médailles aux Jeux Olympiques et aux championnats du monde. Plateau auquel il aura été assorti des représentants des milieux entrepreneuriaux et institutionnels.

Il sera question de transposer les valeurs morales et éducatives du judo en direction de cette sphère économique qui, plus que jamais, mène à son niveau un sacré combat, celui de la compétitivité et de l’employabilité.

 

 

Témoignages, exemples, ressentis personnels, vécus et expériences s’additionneront le temps d’une soirée extraordinaire par la richesse de ses intervenants, dont un champion olympique sacré à Tokyo.

L’évènement sera animé par l’ex-judoka Frédéric LECANU, reconverti aujourd’hui en commentateur télévisé. On notera aussi parmi les personnalités la présence du président de la Fédération Française de Judo, Stéphane NOMIS, ainsi que le secrétaire général du comité départemental, Pascal LUCAS.

C’est Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental qui aura l’honneur d’ouvrir de manière officielle cette grande soirée où le sport sera roi et le judo son meilleur ambassadeur.

 

En savoir plus 

 

Soirée « Influence » spéciale judo

Vendredi 06 mai 2022

A partir de 19h00

Salle des fêtes de la Jonchère

VENOY

 

Thierry BRET

 

 


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L’une de ses principales qualités serait sa tempérance à être consensuelle. De la pure logique, en somme, pour notre interlocutrice puisqu’elle revendique avec fierté son appartenance zodiacale au signe de la balance. A 44 ans, la seule et unique femme « MSL » (Manager de Service Local) exerçant ses activités professionnelles pour le compte du groupe VEOLIA, au nord de la Bourgogne, n’en possède pas moins une solide expérience dans son domaine de prédilection, l’assainissement et le traitement de l’eau. Immersion aux côtés de cette battante qui aime valoriser l’esprit d’équipe…

 

AUXERRE : Qu’elle soit assise derrière son bureau à traiter les dossiers administratifs ou sur le terrain revêtue de sa plus belle parure de visiteuse de chantiers, Cécile THOUVIOT est une passionnée ! A la tête d’une micro cellule de six personnes (toutes masculines), cette Beaunoise d’origine officie en qualité de Manager de Service Local (MSL) pour le compte de VEOLIA Eau, l’une des filiales de l’opérateur mondialement connu.

Pourtant, Cécile ne se prédestinait pas à exercer un jour son savoir-faire au sein de cette branche corporatiste, plutôt aux antipodes des carrières coutumières de la gent féminine. Elle franchit ce cap en 1999. D’abord en intégrant, la Générale des Eaux qui se muera en VIVENDI par la suite. Avant de se retrouver de facto après les multiples mutations de l’entité, au fil des ans, parmi l’effectif imposant de VEOLIA.

 

La voie aquatique semble toute tracée…

 

Initialement, dans le choix de son cursus pédagogique, la jeune femme voue un enthousiasme à la branche « chimie ». Son baccalauréat en poche, Cécile hésite cependant à se lancer sur un secteur professionnel, ne lui offrant que peu de perspectives. D’où la poursuite de ses études et l’accessit d’un diplôme supplémentaire : un BTS des métiers de l’eau. Nous sommes en 1998. Sa voie, un zeste aquatique, semble toute tracée !

« Je souhaitai bifurquer de cet enfermement un peu trop « chimique » de mon cursus, souligne-t-elle, avec humour, l’univers de l’assainissement et du traitement des eaux m’apparaissait comme plus naturel à aborder. Ses stages en alternance durant sa période de BTS l’entraîneront de facto vers la Compagnie Générale des Eaux de Beaune, avant d’assurer le remplacement durant un trimestre d’une personne en congé maternité. La belle affaire pour Cécile THOUVIOT qui devient alors laborantine.

« J’ai découvert ce poste sur la station d’épuration locale pour l’agence de Côte d’Or, explique-t-elle, avant d’évoluer en qualité de responsable de réseau au sein de l’unité opérationnelle… ».

 

Une nouvelle opportunité de carrière à Auxerre…

 

L’opportunité de prendre le large, un peu mais pas trop !, l’amène à postuler lors de la signature du contrat de délégation de service public (DSP) de son groupe avec la ville d’Auxerre. Une année 2015 capitale dans la réorganisation de sa vie professionnelle (et personnelle) puisqu’avec son mari, Cécile décide alors de quitter les vignobles beaunois pour mieux emménager dans la capitale de l’Yonne, plus septentrionale.

C’est là, dans la cité chère à Paul BERT, que cette férue de livres de science-fiction endosse la vêture de sa nouvelle mission : manager de service local, ce fameux acronyme de MSL Une fonction hybride à plusieurs têtes !

« Dans les faits, précise l’encadrante, cela se traduit par beaucoup de choses. Avec des interventions savamment maîtrisées sur tous les sujets d’assainissement et de travaux concernant la ressource eau sur des zones géographiques clairement identifiées qui sont l’Auxerrois, l’Aillantais, le Jovinien. Les attributions sont différentes selon les secteurs, entre gestion des contrats de DSP : Auxerre et Aillant avec leurs réseaux assainissement, Joigny avec le suivi de la station d’épuration… ».

 

 

Objectif 2023 : les renouvellements des DSP…

 

Une appréhension du métier qui s’exerce en mode PME pour la jeune femme. Celle-ci  travaille aux côtés de cinq collaborateurs qui effectuent des tâches spécifiques mais dans la polyvalence. Sage précaution pour pallier les absences imputables aux congés ou aux formations.

L’ambition, aujourd’hui, est d’en faire davantage et d’optimiser les dossiers existants, lors des renouvellements des contrats de délégation de service public.

« C’est simple, souligne Cécile THOUVIOT, notre service peut soit tripler de volume du fait de ces renouvellements de contrat soit se réduire comme peau de chagrin ! ».

Confiante, la jeune femme sait que ces contrats devraient permettre de pérenniser l’équipe. Voire peut-être de l’étoffer davantage. L’enjeu est donc de taille d’ici l’été, terme de la période préparatoire. D’autant qu’en 2023, le manager de service local de l’Auxerrois devra bien préparer son affaire avant le renouvellement de la DSP à Auxerre.

« L’eau et l’assainissement seront à renouveler avec les contrats sur les 29 communes que compte l’agglomération. C’est une étape stratégique très importante, synonyme de pérennité du service ».

Des contrats le plus souvent reconduits pour une période de dix à quinze ans. Ils seront préparés lors de la période estivale. Avant d’être présentés dès l’automne pour un verdict définitif rendu cet hiver. D’ici là, et très motivée, Cécile THOUVIOT a de beaux objectifs devant elle. Le quotidien d’une femme très investie par sa mission…

 

 

 

En savoir plus :

Chez VEOLIA, l’égalité entre hommes et femmes fait partie intégrante de la raison d’être du groupe. C’est un pilier de la performance plurielle afin d’agir pour l’égalité professionnelle femmes/hommes et la féminisation des métiers. La mixité est un thème d’action prioritaire au sein de l’entreprise et fait l’objet d’une politique spécifique avec plusieurs enjeux :

- l’équité de traitement, d’opportunité et de promotion,

- la crédibilité vis-à-vis de l’ensemble des collaboratrices du groupe,

- la performance avec la mobilisation de chacun des talents,

- le respect autour de la responsabilité et une solidarité inconditionnelle qui fixe le cadre des relations entre collaborateurs.

 

Thierry BRET

 

 

 


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