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Une fine poussière rougeâtre recouvre la moindre partie métallique du trommel. Souvenir poussiéreux du sable chaud de Mauritanie, celui du Sahara si envoûtant et incitatif au voyage. L’engin, un immense cric de grande capacité avec un tambour circulaire permettant de séparer les matériaux par taille, est déjà soumis à l’examen minutieux des équipes de Georges FERRARY. L’appareil facilite le concassage de pierres afin d’obtenir des granulats. Comme ceux qui furent utilisés sur un chantier aquatique près de Nouakchott…

 

APPOIGNY : Mine de rien, le rapatriement de cette imposante machine n’a pas dû être une mince affaire pour la société YCARE. Le spécialiste en exploitation minière et traitement des déchets de la filière BTP a réalisé une sacrée prouesse logistique en ramenant sur le sol hexagonal ce trommel. Utilisé pendant dix-huit mois pour les travaux de soubassement sous-marin d’une digue de plus d’un kilomètre de long pour le compte du client final BP, le spectaculaire engin intervenait en Mauritanie. D’où la présence de ce sable couleur ocre fortement prononcée sur les flancs métalliques de la « bête » !

Deux de ces machines, appartenant à EIFFAGE, travaillaient à la mise en œuvre de ces soubassements en milieu maritime. L’un de ces spécimens, racheté par YCARE, se présente devant nos yeux. Durant tout le laps de temps passé au Maghreb, le trommel a produit 1 250 000 tonnes d’enrochement ayant constitué à l’issue la base de cette fameuse digue.

 

 

 

 

Un toilettage de la machine avant qu’elle ne reparte dans de nouvelles aventures…

 

Saisissant l’opportunité du rachat de cet appareil très particulier, YCARE a donc organisé après coup son retour alors que l’engin était situé dans une carrière à près de quatre cents kilomètres de la capitale mauritanienne.

Transitant par le port de Belgique d’Anvers, le trommel arrivera à sa destination définitive début mars, sur le site de la nouvelle zone d’activités d’Aux-R-Parc, par le truchement d’un convoi exceptionnel.

Première du genre à être rapatriée sur le sol français, la machine n’a pas pour vocation de rester indéfiniment dans la périphérie auxerroise. En effet, un client national de la SAS YCARE devrait la réemployer dans les mois qui viennent, une fois qu’aura été procédée sa remise en état.

Pour se faire, YCARE n’a pas hésité à débourser pour le rachat de cette machine, avant sa remise en condition, et avant déduction de ses coûts de main d’œuvre et de pièces, une enveloppe de 445 000 euros. Sachant que neuf, ce trommel aurait nécessité la bagatelle d’1,150 million d’euros.

 

 

Une structure familiale qui a le vent en poupe…

 

Désormais, et durant plusieurs semaines, le trommel qui a dû supporter les températures caniculaires de la Mauritanie (50 ° !) et la poussière saharienne va vivre un sérieux lifting pour le rendre acceptable ! Et surtout opérationnelle dans le but de nouvelles missions titanesques.

Une rénovation que maîtrise parfaitement le groupe industriel de l’Yonne. Dix collaborateurs exercent leur savoir-faire au sein de l’entité qui pèse presque dix millions d’euros de chiffre d’affaires.

Parmi l’une de ses vitrines commerciales qui est la plus visible, YCARE assure la location, celle avec option d’achat et la vente de machines neuves, grâce à une activité de négoce, destinées aux milieux des carrières.

Il y a quinze mois, YCARE avait vendu par ailleurs deux machines plus petites que l’imposant trommel à la filiale de BOUYGUES, le groupe COLAS qui les exploite aujourd’hui sur l’île de Madagascar.

Profitant d’une excellente dynamique et de superbes locaux à peine érigés du sol (1 600 mètres carrés) de la nouvelle zone d’activités Aux-R-Parc, YCARE, groupe familial par excellence avec Georges, le patriarche et ses fils, Nicolas, à la manœuvre pour la technique et le commerce et Marc, responsable du développement et du bureau d’études, a le vent en poupe en cette année 2022.

 

 

De nouvelles activités à prévoir pour optimiser le chiffre d’affaires du groupe…

 

Des forces vives devraient être recrutées dans les semaines à venir dont des conseillers commerciaux et un responsable d’atelier. Sachant que l’objectif du groupe est de doubler ses effectifs d’ici un, voire deux ans.

Un atelier de chaudronnerie mécanique devrait être reçu dans le nouveau bâtiment, projet de développement qui aura permis de mettre l’Agence Economique Régionale (AER), pilotée localement par Angélique FAVIER, sur le projet.

En outre, et pour être tout à fait complet sur ce point, YCARE souhaite étendre son périmètre professionnel vers une activité de transport exceptionnel afin d’offrir un service plus performant à sa clientèle.

Notamment dans le cas de rapatriement d’engins de fort tonnage sur site afin d’en assurer la maintenance et le remplacement, une activité qui est désormais rendue possible du fait de la nouvelle infrastructure fonctionnelle, en bordure de l’ancienne nationale 6. Ce qui suppose, aussi, de trouver des chauffeurs afin de pouvoir honorer cette activité complémentaire à la prometteuse destinée.

Gageons qu’en se dotant de ce trommel de belle capacité, de fabrication irlandaise (MDS International, une filiale du géant américain TEREX), YCARE veuille conforter son envol dans la cour des grands de ce milieu très hermétique des carrières.

En tout cas, côté visibilité, c’est réussi : les automobilistes empruntant la route entre Appoigny et Auxerre doivent s’interroger quant à la nature fonctionnelle exacte de cette étrange machine qui nous arrive d’Afrique !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Midi approche sur cette jolie bourgade, bien entretenue, et dont la jolie  salle des fêtes  accueille régulièrement les réunions du SDEY (Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne). Ou bien  les formations aux élus, dispensées par l'AMF (Association des Maires de France) sous la férule du sympathique édile Mahfoud AOMAR !

 

VENOY : En poussant la porte du resto local « Vie la Joie », on remarque en dessous de la moderniste enseigne de la Française des Jeux, quelques gravures de chiffres romains indiquant l'année 1860, sous le Second Empire. Depuis lors, de l'eau a coulé sous les ponts, pour cette très utile réalisation municipale.

Il y a beaucoup de monde à l'intérieur de cette petite salle. La jeune serveuse, aimable et efficace, porte un polo couleur saumon au logo de la maison. La formule « menu » est à 15 euros. Mon voisin de table se plaint de s'être fait flasher sur la D 606, du côté de Champs-sur-Yonne. Apparemment, cela ne lui coupe pas l'appétit, tant mieux ! J'en profite pour déguster un  aligoté bien vif,  du vigneron Gérard PERSENOT.

 

 

Une recette façon « gloubi-boulga » agréable au goût…

 

La patronne arrive alors. De son sac du chocolatier MOF Olivier VIDAL, elle sort quelques spécialités pascales qu'elle offre aussitôt à sa petite équipe. Une délicate attention, s'il en est. Notre serveuse (dix ans de cuisine à son actif) a l'œil à tout, et le service est des plus fluides. Je choisis comme entrée, une quiche saumon-crevette : c'est bon mais un brin trop salé.

Nous sommes environ trente-cinq personnes dans cette salle lumineuse. Arrive alors le plat suivant : une « tchatchouka » aux poivrons, recette d'origine basque, me semble-t-il. C’est un plat de sauce tomatée avec poivrons et rondelles de merguez qui est surmonté d’un œuf au plat. Bien sûr, comme le diraient les enfants, ça  fait un peu « gloubi-boulga ! ». Même, si c'est plutôt bon, ce mélange, là aussi un brin trop salé. La table voisine, en sus des assiettes de bavette sauce époisses qui sont accompagnées de gratins de pâtes, réclame en chœur des frites. A l'instar d'un film des « Tuche » !

 

 

 

Le petit geste commercial qui va bien !

 

En dessert, la pannacota à la confiture de fraises est aussi simple que bonne. Soleil aidant, je vais en terrasse prendre le café. A la table d'à côté, des élus sudistes évoquent avec force détails l'ingratitude et l'exigence actuelles de leurs administrés !

Mon « p'tit noir » tarde à venir. Pas grave, il fait beau : nous sommes bien. Du coup, la patronne ne me le facture pas. Ce petit geste commercial, c'est peut-être un détail pour vous, mais pourtant il veut dire beaucoup (merci, France !).

On aimerait, comme antan, trouver pareil établissement dans chacune de nos communes. Finalement,  « Vie la Joie » offre la possibilité de goûter la cuvée « Vive la joie » des proches Caves de Bailly (début des festivités du cinquantenaire le vendredi 17 juin prochain) ! Joyeuses Pâques et à la semaine prochaine !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : dans une belle cuisine comme celle-ci, on pourrait y éplucher les patates pour faire de vraies frites plutôt que ces « machins » congelés !

Les + : le service est dynamique et aimable. Quant aux toilettes, elles sont propres.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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L’effervescence des généreux acteurs/donateurs avant les ultimes préparatifs. Ils sont annonciateurs d’un départ imminent. Celui d’un long trajet effectué à l’est du continent européen dès mardi. Un périple qui n’a rien de touristique, vraiment. Pas le temps de flâner du côté des « Remparts de Varsovie », chers à Jacques BREL ou de découvrir le riche patrimoine médiéval de la belle Cracovie, la perle de Pologne. Non, au terme de ces 1 780 kilomètres de parcours et de ces presque 17 heures d’autoroute, le convoi humanitaire encadré par les sapeurs-pompiers de l’Yonne arrivera enfin à destination. Non loin de la frontière ukrainienne, pour y livrer matériel médical, produits d’hygiène et collecte alimentaire…

 

AUXERRE : Quarante-deux palettes au total ont été embarquées dans des poids lourds prêts à partir ! Le fruit d’une collecte mobilisatrice, concoctée sur plusieurs week-ends et jours de semaine, à laquelle ont pris part une multitude de structures associatives, économiques, institutionnelles de notre territoire.

Des collectifs, aussi, portés depuis l’état embryonnaire jusqu’aux fonts baptismaux de l’opérationnel en un laps de temps record. A l’instar du bien-nommé, « Couleurs pour l’Ukraine »  et de son alter égo, le collectif « Saint-Georges Solidarité ».

Une campagne de sensibilisation réussie, qui aura démontré que les Français (les Icaunais, les Auxerrois) de toutes obédiences, de toutes confessions, de tout âge, de toutes origines, se sont révélés d’une rare générosité envers leur prochain. De l’altruisme à fleur de peau ruisselant jusqu’au fond d’un caddy afin d’y déposer les précieux dons alimentaires et sanitaires, essentiels pour celles et ceux qui n’ont plus rien. Juste leurs yeux pour pleurer ! Et encore, si des larmes y apparaissent après tant d’atrocités subies.

 

 

Un si long périple aux vertus humanistes et altruistes…

 

Du lait pour les nourrissons, des denrées non périssables, des produits d’hygiène, des cahiers et des crayons de couleur, de l’alimentation pour animaux domestiques, ces braves compagnons d’infortune qui n’auront pas été oubliés sous les bombardements intensifs des forces occupantes. En sus, deux cents tenues de sapeurs-pompiers comprenant casques, vêtements, gants, etc. Bref, la « totale » de la panoplie de secouriste, ô combien  nécessaire pour organiser l’aide humanitaire sur place.

Deux poids lourds de 19 tonnes, agrémentés d’une camionnette utilitaire et d’un véhicule automobile prendront la route, ce 19 avril dès potron-minet, pour rejoindre la frontière ukrainienne. Via la traversée de l’Allemagne, puis de la Pologne, si coopérative et humaniste dans l’accueil de ces milliers de réfugiés.

Huit chauffeurs, des volontaires de l’Union départementale des Sapeurs-Pompiers de l’Yonne, sous la responsabilité du colonel Gilles ROGUIER, se relaieront au volant de ces moyens de locomotion.

Certes, ce si long trajet ne s’effectuera pas d’une seule traite. Il y aura une première nuit salvatrice de repos dans une caserne en Allemagne. Puis, une seconde chez leurs homologues soldats du feu polonais. Avant de s’en retourner vers la France, une fois les marchandises remises à des secouristes venus d’Ukraine. Le sens de la fraternité internationale à l’état brut et sans fioritures, bien au-delà de la compréhension linguistique.

 

 

Les petits ruisseaux de la générosité forment les grandes rivières de la solidarité…

 

« Nous voudrions d’abord remercier ces petits enfants, de toute confession et d’ailleurs qui sont venus avec leur cœur nous apporter cette petite boîte de crayons pour un gamin ukrainien qu’ils ne rencontreront certainement jamais. Il y avait de la fierté dans leur regard, notre émotion cachée derrière nos masques, confie l’une des bénévoles, et puis, il y eut aussi ce jeune homme polonais, rentré sans caddy dans le magasin qui nous accueillait et nous demanda ensuite de venir avec notre chariot afin de remplir une bonne partie de celui-ci en une seule fois de plats cuisinés. Que dire aussi de ces femmes très âgées qui ont connu l’horreur de la déportation et de la guerre : elles ont tenu à nous remercier chaleureusement de notre action… ».

C’est grâce à ces différentes personnes, des bénévoles altruistes qui ont su répondre à l’élan du cœur, âgés de 9 à 91 ans, que cette collecte extraordinaire a pu s’organiser sur plusieurs sites commerciaux auxerrois.

« Nous avons commencé par le Centre E. LECLERC qui nous a tout de suite ouvert son magasin et sa cafétéria pour le stockage des marchandises. Sa direction a même passé des accords avec des marques afin de récupérer des produits de manière gracieuse. C’est leur service traiteur qui va fournir les repas permettant de nourrir les huit pompiers volontaires durant ce long voyage… ».

Quelques jours plus tard, l’opération se réitéra chez MONOPRIX, rue du Temple.

« Les petits ruisseaux formant les grandes rivières jusqu’à atteindre le Dniepr (ndlr : plus grand fleuve de l’Ukraine), nous avons commencé à augmenter le nombre de nos palettes en y associant d’autres très belles initiatives locales, précise une interlocutrice, avec des collectes qui furent organisées en interne par le groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, aux établissements JEANNIN Automobiles, des dons assurés par le magasin BOTANIC destinés aux animaux ou le centre hospitalier d’Avallon qui avait commandé du matériel médical spécifique pour les besoins actuels en Ukraine. D’autres structures se sont ralliées à nous : le transporteur PICQ & CHARBONNIER et la Banque Alimentaire qui ont aidé au ramassage de nos différentes collectes au fil de l’eau, le collectif des sapeurs-pompiers, le collectif « Saint-Georges Solidarité », les officines de pharmacies, les centres hospitaliers du département... ».

Au total, l’équivalent de plus de vingt mille euros de marchandises sera ainsi collecté.

 

 

Une pierre ajoutée à l’édifice de la construction humaine : la tolérance…

 

Sur le plan humain, l’expérience est riche de rencontres. Voire de partage. Notamment avec le collectif « Solidarité Saint-Georges » qui a été très actif pour ramener depuis la Pologne des civils ukrainiens, hébergés dans des familles. Aujourd’hui, les enfants sont scolarisés. Certaines personnes ont même débuté un emploi. Cette course contre la montre aura vu la contribution de ProCars, spécialiste du transport collectif ayant mis à disposition via sa filiale icaunaise ACKERMANN Voyages un véhicule d’une capacité de sept places.

Incroyable chaîne de solidarité ! Entièrement improvisée, elle s’est bâtie au jour le jour en additionnant les bonnes volontés issues de nouveaux réseaux, de nouveaux contacts avec, chevillé au corps cet idéal unique : agir au service des plus démunis en remplissant notre devoir de citoyens volontaires et engagés.

« En fait, explique l’un des bénévoles, toutes ces personnes de 9 à 91 ans possèdent ce point commun ; cette rage au cœur sans faille ayant permis de se surpasser en entrant en « résistance » et en apportant sa pierre à l’édifice dans ce conflit d’un autre temps…. ».

Trop de nos contemporains évitent parfois les problèmes en pratiquant la politique de l’autruche médiatique, se disant simplement « je ne regarde plus la télévision parce que l’actualité est trop dure ». Donc, cela ne les concerne pas !

Mais, dans le pays de libertés qui est le nôtre, et à la veille du second tour de la présidentielle, prendre son destin en main en agissant de quelque manière qu’elle soit pour une cause est un moyen d’exister et de se rendre utile. Nos droits et devoirs envers la société ! Plutôt que d’attendre, passif, que quelqu’un le fasse à notre place ou à notre insu…

 

 

En savoir plus :

La liste des partenaires de cette opération exceptionnelle qui a été menée durant ces semaines sur l’Yonne est la suivante :

Les amicales de sapeurs-pompiers de l’Yonne, les sections de JSP (Jeunes Sapeurs-Pompiers) de l’Yonne, le SDIS 89 (Service départemental d’Incendie et de Secours de l’Yonne), le Conseil départemental de l’Yonne, l’ensemble des communautés de communes du territoire et plusieurs communes de l’Yonne, l’Association des Maires de France de l’Yonne (AMF 89), le collectif « Couleurs pour l’Ukraine », l’association MILA, la SCI Anne Sophie, le garage DAF Appoigny, la société Le Petit Forestier, le Centre E.LECLERC, le transporteur PICQ & CHARBONNIER, la société ALABEURTHE, MONOPRIX, BOTANIC, ProCars et sa filiale ACKERMANN Voyages, la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté, la SANEF, la société PANO, ACTIVA Publicité, AZ Pub, C-My Pub, la société SILVAREM, les groupes scolaires Collège Jacques Prévert de Migennes, le CFA agricole de La Brosse à Venoy, le groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, la Jeune Chambre Economique d’Auxerre, la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux de l’Auxerrois, le Lions Club Auxerre Phoenix, le Lions Club Auxerre Rives de l'Yonne, le Kiwanis Club d’Auxerre, Inner Wheel, la Banque Alimentaire de l’Yonne, le Cercle philosophique La Parole et le Geste, Lune d’Afrique, le collectif « Saint-Georges Solidarité », le centre hospitalier d’Avallon, FESTINS de Bourgogne, YONNE CONDITIONNEMENT, les établissements DUJON, l’association TRANSAFRICA 89, Radio France Bleu, L’Yonne républicaine, Presse Evasion, ainsi que de nombreux particuliers y compris des réfugiés ukrainiens.

 

Thierry BRET

 

 


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Toujours vaillante, la présidente de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux ! A l’heure de dresser le bilan de la saison écoulée, ternie par une trop longue crise sanitaire faite de périodes de confinement, Marité CATHERIN s’est volontairement projetée vers l’avenir. Celui de cette association phare qui évolue dans le paysage de la société civile auxerroise. Autour de deux credo : le renforcement des liens à l’international, son violon d’Ingres, et l’attractivité du territoire, sur son versant économique qui se développe…

 

AUXERRE : Certes, l’assistance était quelque peu faiblarde à l’amorce des trois coups servant de prélude au lancement de ce rendez-vous annuel. Dommage, en vérité ! Car, une assemblée générale n’est jamais un moment anodin dans l’existence d’une structure associative qui, de surcroît, possède de réelles prétentions pour initier des projets fédérateurs et éclectiques, favorables à son rayonnement.

Et en matière d’influence au-delà de sa proche zone de confort géographique, cette maison peu singulière aux trois étages (jumelages, francophonie, échanges internationaux) rivalise d’ingéniosité et de besoin de créer. En permanence, c’est plus fort qu’elle !

 

Une cité espagnole pour étoffer le nombre de villes jumelées…

 

Primo, les liens entretenus avec les quatre villes étrangères, jumelles de la capitale de l’Yonne. Pour mémoire, Redditch, l’anglaise, Worms, l’allemande, Greve in Chianti (la bien-nommée transalpine !) et Plock, à l’ouest de la polonaise Varsovie, à la prononciation linguistique si particulière que les seuls initiés savent pratiquer avec perfection !

Des relations de gémellité auxquelles il est indispensable d’ajouter deux communes hexagonales, Saint-Amarin, en terre d’Alsace, et la bretonne, Roscoff, qui a donné son patronyme à l’espace verdoyant et arboré situé entre la Chambre de Commerce et d’Industrie et le port de plaisance.

Une nouvelle destination à ajouter dans l’escarcelle des jumelages point à l’orée du jour (lequel ?), du côté de la fière péninsule ibérique. Santo-Domingo-de-la-Cazalda. Des liens étroits existent déjà avec l’un des établissements pédagogiques de la ville. Le lycée des métiers Vauban qui a déjà sauté le pas en nouant des relations éducatives fortes. Logique, puisque la localité espagnole bénéficie de la forte renommée de ses vignobles, au cœur de la Rioja ! Sans omettre son patrimoine culturel très riche qui ne passionne pas uniquement les pèlerins se rendant à Compostelle. La balle est dans le camp de la Ville d’Auxerre qui a connaissance du dossier.

 

 

Un webinaire à géométrie internationale avec Corinne LEPAGE…

 

Secundo, l’entité associative n’en oublie pas moins son rôle d’acteur essentiel de la citoyenneté locale. A travers, son programme pédagogique où l’apprentissage des langues (anglais, italien, espagnol) prédomine.

Même si les cours ont subi quelque peu les affres de la pandémie lors de ces deux dernières saisons très perturbantes en termes d’agenda. Les volets jeunesse, sportifs et culturels sont aussi usités à bon escient pour faire de cette Maison, l’univers de chacun. Via la concrétisation de défis physiques (ce sera le cas lors du Trophée des Jeunes proposé lors du week-end de l’Ascension avec des représentants juvéniles d’Auxerre et de Worms) ; via des opérations menées durant la Semaine de la Francophonie, intense quant à son copieux menu déclinable aux quatre coins de la Bourgogne Franche-Comté.

La francophonie, parlons-en ! Sceau fédérateur unissant plus de quatre-vingts cinq pays de par le monde qui offre la sublime opportunité d’extérioriser Auxerre et son bassin vers d’autres civilisations, la discipline sera une fois encore au cœur de l’actualité en ce mois d’avril.

 

 

Plus précisément, en date du 22, à l’occasion de la Journée internationale de la Terre (elle en a grandement besoin !) où à l’initiative de l’ancienne ministre de l’Environnement Corinne LEPAGE, présidente de Cap Ecologie, sera organisé un webinaire porté par la Déclaration des Droits de l’Homme et le Réseau International des Maisons de la Francophonie (RIMF).

Réseau dont sont adhérentes évidemment les Maisons de la Francophonie de France, et par effet gigogne, celle d’Auxerre qui revendique aussi l’appellation de maison de Bourgogne Franche-Comté (cocorico !).

L’une des membres de la structure locale, Laura NAUDET-DEON, aura le privilège de pouvoir s’exprimer avec de jeunes interlocuteurs reliés sur les cinq continents grâce à la magie du numérique.

 

 

L’économie et l’attractivité, autres terreaux de la quintessence proactive…

 

Tertio, l’autre versant de cette structure protéiforme, le développement économique des relations à l’international engendrées par ces jumelages et la francophonie, s’est concrétisé depuis plusieurs années par la création d’une commission qui n’a rien de « Théodule » dans son aspect.

Se réunissant par quinzaine selon son rythme de croisière, et englobant en son sein des acteurs de la vie institutionnelle et économique du sérail, cette « cellule » intellectuelle avait organisé en novembre dernier un colloque consacré au poids de l’international vu par le prisme auxerrois (culturel, associatif, jeunesse, économique). La manœuvre se réitérera à l’automne prochain à partir d’un tout autre item, mais très complémentaire : l’attractivité du territoire, selon ses forces, ses faiblesses et l’apport de suggestions concrètes pour remédier au dernier aspect.

On le voit : l’oisiveté n’est pas la mère de tous les vices au sein de cette structure, qui certes a vu décroître le nombre de ses adhérents historiques (102 cotisants à ce jour) du fait de deux années de réduction de la voilure de ses activités (merci qui ? A la COVID 19 !), mais qui conserve un noyau dur d’optimistes quant à son avenir et à sa multitude de projets ayant pour vocation à faire bouger les lignes. Une forme de quintessence proactive, en somme…

 

Thierry BRET

 


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Incontestablement, voilà du très bel ouvrage ! L’assiette est agréable à l’œil au niveau de l’esthétique. On suppose que le contenu à déguster doit fondre dans la bouche et faire ressortir toutes les saveurs, imposées par le cahier des charges de ce prestigieux concours. Celui du traditionnel « Un des Meilleurs Apprentis de France », catégorie cuisine froide, qui était accueilli mercredi soir au lycée des métiers Vauban à Auxerre…

 

AUXERRE : On en mangerait volontiers ou presque si les visuels qui apparaissent à vos yeux en lisant cet article bénéficiaient de l’apport mirifique de la 3D ! Ah, si ces fameuses imprimantes en technologie virtuelle pouvaient reproduire à l’identique de ce qu’il y a dans ces assiettes ! Saveurs exquises, en perspective, et appréciable moment de gourmandise !

Blague à part, il y en a un ce jeudi matin qui doit être heureux comme un pape ! Pape de la gastronomie en devenir, sur les traces de son paternel, François, qui ne peut qu’arborer un large sourire de satisfaction ? En tout cas, dans la famille HENNARD, je voudrais le fils. Paul, de son prénom.

Digne héritier de son père qui s’est lancé dans la belle aventure de la maîtrise des arts culinaires en suivant un cursus au lycée des métiers Vauban, l’antre de ces pratiques gastronomiques dûment enseignées.

Alors, retrouver le garçon, inscrit dans le concours « Un des Meilleurs Apprentis de France », catégorie « cuisine froide » (les entrées en toute logique) n’était en soi pas une surprise. Il a de qui tenir le gaillard !

 

 

 

Non seulement, il a su épater le jury où l’on retrouvait Capucine VIGEL, responsable de l’établissement pédagogique auxerrois Jérôme JOUBERT, la toque du « Rive Gauche » à Joigny ou Serge GOULAIEFF, un Meilleur Ouvrier de France et spécialiste des arts culinaires comme l’est aussi le paternel François, mais il a su sublimer aussi la cheville ouvrière de ces challenges aux multiples épreuves sur notre territoire, l’incontournable Marc LABARDE.

Obtenant la médaille d’or au niveau départemental, Paul HENNARD s’octroiera dans la foulée l’accessit régional qui le propulse vers la finale hexagonale des Meilleurs Apprentis de France. Rien que cela !

 

 

Pour mémoire, le thème du concours était le suivant : le travail des « produits de la mer en gelée de légumes et carpaccio de fruits saucés d’un  sirop aromatisé de chantilly au chocolat ».

Tout un programme onctueux et gourmand, qui ma foi, au vu du résultat aura mis l’eau à la bouche des suiveurs comme du jury.

Ah, si les imprimantes 3D pouvaient dupliquer à l’infini ces mets dressés dans ces si belles assiettes ! Le seul regret, en vérité…

 

Thierry BRET

 

 

 


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