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On le sait depuis longtemps déjà : FESTINS n’est pas une entreprise ordinaire en matière de réduction de l’impact carbone sur ses activités. L’utilisation de produits recyclables et le bannissement d’objets en plastique comme les couverts ont intégré la philosophie de la structure, positionnée sur le secteur de l’alimentaire et du réceptif. La société va encore plus loin. En modernisant ses équipements frigorifiques…

 

CHEMILLY-SUR-YONNE : Ca s’affaire avec vigueur sur le parvis de l’entreprise, spécialisée dans l’art de la réception et du traiteur haut de gamme ! Depuis plusieurs jours, des équipes de techniciens procèdent à des travaux de remplacement des systèmes de réfrigération qui rafraîchissent les installations du site historique de l’établissement.

Un panneau spécifie d’ailleurs la nature de ce chantier. Il est consultable sur la grille qui protège ce point névralgique du site. FESTINS modernise ses équipements frigorifiques. Comment ? En faisant abstraction de façon définitive de l’emploi de gaz dans ses systèmes de réfrigération.

 

 

Pour le remplacer, l’unité de production bénéficiera d’un système à la fois plus efficace, gagnant en modernisme et davantage écologique. Grâce à l’emploi de l’eau glycolée.

De quoi s’agit-il ? Cette eau qui circule en réseau est additionnée d’un certain pourcentage de glycol pour que celle-ci ne puisse geler. Utilisée dans les réseaux de chauffage ou de climatisation, cette eau possède des vertus environnementales dans les systèmes de réfrigération, ne faisant plus appel au gaz, plus polluant. Un processus adopté par FESTINS qui s’inscrit pleinement dans sa démarche d’entreprise responsable dans le cadre de la RSE.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Face à un parterre de chefs d’entreprise industriels dont ceux issus de la filière automobile réunis sous l’égide de l’UIMM à Paris, la candidate du Rassemblement National s’est montrée très catégorique quant aux directives actuelles, devant rendre obsolète les véhicules à motorisation thermique d’ici 2030.

 

PARIS : Parmi le florilège de questions qui lui a été posée lors de sa rencontre publique avec les entrepreneurs de la filière industrielle hexagonale le 09 mars dernier à la Mutualité sous l’égide de l’UIMM, Marine LE PEN a dû réagir à une intervention concernant le devenir du secteur automobile. Une activité économique qui est particulièrement affectée en cette période trouble par la crise sanitaire et le ralentissement des marchés.

 

Un tout électrique imposé sans concertation auprès des acteurs de la filière…

 

L’un des nombreux spectateurs, de facto chef d’entreprise et inféodé à l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie, devait prendre la parole pour l’inciter à donner son avis sur ce thème par rapport à son plan d’action mis en exergue dans son programme de campagne. Une interrogation servant à concilier, d’une part, l’ambition politique de la candidate à la présidentielle, tout en tenant compte des réalités conjoncturelles, inhérentes à l’économie, la technologie et les perspectives sociales.

« Je ne suis pas une idéologue mais une pragmatique, furent dans l’instantanéité de la réponse les premiers éléments de langage de l’oratrice.

Critiquant la prise de décisions initiales de la gouvernance (le tout électrique à horizon 2030) sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation avec les professionnels de la filière, Marine LE PEN a déclaré tout de go qu’en cas de succès à la présidentielle elle reviendrait sur l’interdiction des véhicules thermiques. Une contrainte, selon elle, qu’elle a par ailleurs qualifiée de très brutale, mettant à mal au plan économique et sur le domaine de l’emploi depuis l’ensemble de la filière automobile et ses sous-traitants.

 

 

Des délais qui sont objectivement intenables…

 

« C’est une méthode détestable de prise de décision, ajouta l’intervenante face au millier d’entrepreneurs présents dans la salle.

Un mot, détestable, qu’elle martèlera à maintes reprises, insistant de fait sur le péril qui a été occasionné auprès de toute la filière par la suite.

« La culture du tout électrique, je m’en méfie, devait-elle souligner, on peut l’avoir mais on est pas obligé de l’imposer avec des délais qui sont objectivement intenables… ».

Puis, se référant au passé, Marine LE PEN a expliqué qu’elle avait déjà vécu cela avec le diesel, encensé de prime abord par les pouvoirs publics puis voué aux gémonies de la consommation. Observant que les mesures imposées actuellement aux Français en matière de réglementation thermique ainsi qu’aux filières industrielles n’étaient pas tenables durablement, la cheffe de file du mouvement souverainiste  affirma que cela était le fruit d’une idéologie destructrice.

« Donc, poursuivit-elle, je m’oppose fondamentalement à cela ! ».

 

 

Un soutien à la recherche massive autour de l’hydrogène…

 

A contrario, Marine LE PEN croit beaucoup aux vertus de l’hydrogène.

« On doit investir massivement dans la recherche liée à l’hydrogène, devait-elle expliquer, je pense qu’il faut avoir de tout en matière de moyens énergétiques pour avancer… ».

Se voulant rassurante auprès des entrepreneurs de la filière industrielle, celle qui est créditée de 17 % d’intentions de vote au premier tour de l’élection le 10 avril, a conclu son intervention en précisant qu’une fois élue, elle reviendrait sur l’interdiction très brutale du thermique, imposée à la filière automobile.

 

Thierry BRET

 

 


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Comment optimiser les téléphones portables d’ancienne génération devenus obsolètes plutôt que de les laisser croupir au fond d’un tiroir ? La réponse est simple comme bonjour : les recycler comme tout bon matériel usagé qui se respecte dans le cadre d’une opération initiée par ORANGE, il va de soi !

 

DIJON (Côte d’Or) : Que faire d’un ancien smartphone dont on n’a plus l’utilisation ? Le condamner à devenir une pièce de collection stricto sensu au fond d’un tiroir ? Oui alors lui proposer de renaître de ses cendres, en suivant le parcours de retraitement imaginé par le circuit de l’économie circulaire ?

Il y a quelques jours, Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale d’Orange en Bourgogne, s’est rendue dans le sud de la Saône-et-Loire afin d’y entériner un partenariat qui fera date : celui qui l’unit avec la Communauté de communes de la Côte Sud Chalonnaise dans le cadre de la collecte et du recyclage de portables usagés.

Cela fait presque une décennie que l’opérateur de télécommunications procède ainsi en initiant des partenariats avec les collectivités territoriales aux quatre coins de l’Hexagone.

Partant d’un simple postulat, celui qui s’appuyait sur une étude analytique produite par l’organisme ECOSYSTEM, ORANGE collecte, reconditionne et revend ces appareils relookés au profit d’une noble cause : celle portée par Emmaüs International. Il est vrai que les données statistiques délivrées par l’organisme frisaient avec l’indigestion de ces vieux appareils ne servant plus à rien et encombrant les tiroirs des bureaux : ils sont près de 100 millions de téléphones localisés dans les placards des Français !

 

 

25 000 mobiles récupérés valent un emploi créé…

 

Se rapprocher des collectivités représente une véritable aubaine pour ORANGE. Cela lui facilite la tâche en matière de récupération desdites pièces. Une urne en carton est ainsi fournie par l’opérateur afin que les administrés déposent le précieux objet de tant de convoitise.

Selon ORANGE, 25 000 mobiles recyclés correspondent en équivalence à un emploi d’insertion crée en France ! Quant aux bénéfices de cette vente, ils sont reversés à Emmaüs International afin de financer leurs œuvres caritatives.

Gageons qu’au vu de la période trouble du moment, bon nombre de personnes éprouvent du plaisir à se débarrasser de leurs vieux portables.

La semaine prochaine, Véronique MORLIGHEM abordera lors d’un point avec la presse l’actualité de l’opérateur liée au déploiement de la fibre optique sur l’agglomération de l’Auxerrois à Chitry. En profitera-t-elle pour évoquer la tenue de cette opération recyclage lancée au sud de la Bourgogne ?

 

Thierry BRET

 

 


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Parmi les conséquences de la guerre russo-ukrainienne, la plus forte à long terme sera surtout la flambée des prix du baril de Brent. Les pays producteurs de pétrole ne pourront pas pallier l’arrêt des importations venant de Russie, face à une demande croissante. De plus, les réserves de l’Europe ne sont pas au plus haut et la France assure trois mois d’autonomie. Un impact certain sur l’automobile…

 

TRIBUNE : Si la Russie ne peut plus exporter son pétrole, c’est tout de même le troisième producteur mondial, le Brent pourrait rapidement atteindre 120 dollars le baril ! On peut difficilement compter sur d’autres pays qui sont déjà au taquet. L’Iran peut cependant augmenter sa production de un million de barils/jour et les Etats-Unis peuvent dépasser les 11,5 millions de barils/jour. Pour cela, il faut réaliser des investissements qui ne produiront leurs effets qu’en fin d’année 2022. De plus, il y a fort à parier que l’Iran en profitera pour exiger des assouplissements concernant sa production d’uranium enrichi…

A 120 dollars le baril, nous serons à plus de deux euros le litre d’essence. Contrairement à ce que dit le patron du MEDEF, les taxes à elles seules n'expliquent pas tout. Il y a une autre raison : c'est la valeur de l'euro face au dollar, plus faible aujourd'hui qu'il y a une dizaine d'années. L'euro a perdu environ 15 % de sa valeur face à la monnaie américaine. Cela pèse fortement sur la facture pétrolière de la France puisque nous payons toujours l'or noir en dollars. Peut-on jouer sur les taxes de l’Etat ?

La composition du prix du carburant est la suivante : pétrole brut (37,6 %), raffinage (6,1 %), transport et distribution (7,2 %), fiscalité (49,1 %). L’Etat prélève ainsi près de la moitié du prix de l’essence. Peut-il diminuer les taxes ? Oui en théorie car il l’a fait dans le passé, alors pourquoi pas de prévision de diminution substantielle ?

 

Comparatif véhicule à essence / voiture électrique…

 

Parlons du prix : toutes aides confondues (Etat, région), une Renault ZOE tout électrique de 110 CV peut passer de 32 000 euros à 18 000 euros. En comparaison,  une CLIO essence de 65 CV est facturée 17 500 euros. Avec une voiture électrique, le prix d'un plein électrique est en moyenne de deux euros pour cent kilomètres en profitant d'un système de charge à domicile. Soit environ 400 euros pour 20 000 kilomètres, c'est à dire 2 100 euros de moins que le véhicule thermique. Si vous rechargez votre voiture à la maison, vous pouvez également opter pour des contrats d'électricité adaptés à la recharge de voitures électriques, sous le mode d'alternance heures pleines-heures creuses, qui vous permettront de recharger au meilleur moment pour votre budget.

Il est recommandé de réaliser un entretien du véhicule électrique tous les 30 000 km, contre 15 à 20 000 pour les voitures thermiques. Selon l’étude de « Consumer Reports », sur la durée de vie totale d’un véhicule électrique, les économies moyennes s’élèveraient à un montant presque égal à 4 000 euros.

 

 

La durée de vie d'un moteur de voiture électrique moderne est estimée à plusieurs millions de kilomètres. Pour un usage dans la moyenne (soit 30 à 40 km par jour, ou 20 000 km par an), le moteur pourrait donc fonctionner parfaitement pendant plus de cinquante ans !

On le voit bien, non seulement l’acquisition d’une voiture électrique est rentable à court terme mais également à long terme.

On peut ajouter que RENAULT vend à la Russie presque autant qu’en France. La crise ukrainienne peut aussi déboucher sur une crise dans le secteur automobile.

 

 

L’Etat travaille-t-il à une stratégie consumériste ?

 

On peut se poser la question. Existe-t-il, du côté de l’Etat, une stratégie concernant un prix de l’essence le plus haut possible afin de booster les véhicules électriques? Pourquoi pas et ce serait non seulement bénéfique pour tout le monde et y compris pour l’écologie !

Les constructeurs automobiles pourraient de leur côté réaliser une étude approfondie : quelle zone de prix acceptable par le plus grand nombre de consommateurs, pour le prix d’une voiture électrique, en tenant compte de deux facteurs. Les aides possibles de l’Etat et le seuil de rentabilité d’une telle configuration ? Plus simplement, il faudrait vendre combien de voitures au minimum  et à quel prix maximum ?

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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L’évènement revêt de la plus haute importance pour l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie. Première organisation professionnelle fédérant les acteurs des cafés, hôtels, restaurants et établissements de nuit de France, la structure a pour mission régalienne la défense et la promotion des indépendants qui peinent aujourd’hui à trouver chaussure à leur pied en matière de recrutement. A l’amorce de la nouvelle saison, il y a urgence ! C’est l’objectif du futur webinaire, proposé le 28 février.

 

AUXERRE : Le premier syndicat patronal du secteur CHRD (Cafés, hôtels, restaurants, discothèques) met les bouchées doubles en cette fin de saison hivernale. Chaque minute compte pour se préparer du mieux possible à l’accueil des consommateurs. Dilemme : il va falloir gérer la sacro-sainte épreuve des recrutements, synonymes de bonne fonctionnalité des établissements et de son corollaire, le chiffre d’affaires.

Une difficulté qui n’a fait qu’empirer après les deux années noires, occasionnées par la crise sanitaire. La filière a perdu près de 140 000 emplois ! Impensable ! Condamnant les chefs d’entreprise à se retrousser les manches, à ne plus dormir la nuit à cause des risques de « burn-out », voire à mettre la clé sous le paillasson. 

Se rapprochant de Pôle Emploi, avec lequel elle a noué un solide partenariat durant cette période complexe, l’antenne départementale de l’UMIH de l’Yonne proposera le 28 février un webinaire. Objectif de cette initiative numérique : expliciter le fonctionnement de la plateforme de recrutement de l’établissement public en charge de l’emploi dans l’Hexagone. Un outil, baptisé « Maintenant », y sera largement présenté.

« Ces initiatives existent et sont probantes, confie Corinne ROGUIER, secrétaire générale de l’UMIH 89, elles ont été mises à disposition du grand public par Pôle Emploi mais ne sont pas encore suffisamment connues. C’est la priorité de cet exercice qui se déroulera durant une heure… ».

 

 

Une rémunération minimum supérieure à 5 % du SMIC…

 

Au-delà de l’aspect technologique de ce support et de son approche opérationnelle, le webinaire détaillera également les aides aux recrutements et à l’embauche.

D’autant que de nombreux postes sont à pourvoir avec la venue de la belle saison. Et que les candidats potentiels ne doivent plus être rebutés par une image obsolète des métiers de la filière.

A ce titre, la nouvelle grille salariale, venant d’être négociée, entrera en vigueur au niveau national au premier avril. Le 16 décembre à l’occasion de la seconde réunion paritaire de négociations sociales sur la grille des salaires, le collège patronal, composé des quatre organisations (GNC, GNI, SNRTC et UMIH), a proposé une rémunération minimum supérieure à 5 % du SMIC dès le premier niveau.

Cette grille se traduit par une augmentation moyenne de 16,33 % par rapport à la grille actuelle.

Une progression qualifiée d’historique pour la branche corporatiste au terme de ces négociations. Ce coup de pouce significatif devrait susciter davantage de vocations dans la filière. Surtout qu’en parallèle, les syndicats dont la CFDT travaille à l’amélioration des conditions de travail des salariés du secteur, considéré souvent comme pénible.

 

Redorer le blason d’une filière, porteuse d’emplois…

 

Les organisations patronales ont fait savoir qu’elles ont bien l’intention de traiter le sujet. Elles ont proposé un calendrier social sur le premier semestre 2022 afin de continuer les discussions portant sur l’attractivité de la branche.

Seront abordés lors de ces échanges constructifs les problématiques liées au travail le week-end mais le travail le jour dominical. Des pistes de réflexion autour du treizième mois ne sont pas à exclure de ces entretiens.

« Tout cela va dans le bon sens, a confirmé le président de l’UMIH de l’Yonne, Eric MOUTARD, il est temps de redorer le blason de notre profession et de pouvoir embaucher ! ».

 

 

En savoir plus :

L’UMIH 89 et Pôle Emploi 89 organisent un webinaire ce lundi 28 février à 15 heures,

Le jour J, il faudra cliquer sur le lien ci-après : https://cutt.ly/EPhlO3d

 

Thierry BRET

 

 


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