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Parce qu’il est indispensable de développer l’interactivité avec son environnement extérieur, la société de l’Yonne, pilotée par l’ingénieux entrepreneur auxerrois Antoine GODARD, spécialiste dans l’étude, la conception, la réalisation et l’installation d’espaces aquatiques, propose une nouvelle variante de tables sensorielles au design plus épuré et d’une grande simplicité d’utilisation, lancée depuis peu sur le marché. Fonctionnalité de l’ensemble : attiser l’éveil des personnes autistes ou celles atteintes d’un handicap…

AUXERRE : Société entrepreneuriale de l’Yonne, membre d’un réseau déjà implanté à l’origine au Canada, ESPACE d’EAU développe une nouvelle gamme de produits à destination des établissements publics et privés accueillant des personnes âgées, ou en situation de handicap moteur et cérébral.

Concept unique en France, issu de l’un de ses axes d’activité importants, la table sensorielle aquatique se destine plus spécifiquement aux personnes à mobilité réduite, voire aux autistes, ayant besoin de se mouvoir et de se repérer dans un environnement spécifique. Grâce au travail approfondi réalisé autour de certains sens comme le toucher, l’ouïe ou la vue.

Une version de la nouvelle table installée en Bretagne…

La troisième génération de ces tables qui interpellent de plus en plus les professionnels de santé et des milieux sanitaires offre une grande simplicité d’usage pour ses destinataires. Le but étant de posséder davantage d’interactivité à son contact et d’optimiser de fait le sens de l’éveil des patients.

Plusieurs spécialistes et équipementiers en mobilier sanitaire, à l’instar du groupe MANUTAN Collectivités (anciennement CAMIF Collectivités), se disent intéressés par la démarche créative de l’entrepreneur nord-bourguignon. Le dernier spécimen de la famille a été réalisé en partenariat avec NOKINOMO, un cabinet d'architecte spécialisé dans des projets très spécifiques. Il vient par ailleurs d’être installé dans un centre adapté à l’accueil d’autistes dans le Morbihan à Lorient.

D’autres établissements devraient suivre le même chemin tant les retours d’expérience accréditent déjà le côté avantageux pour ses utilisateurs.

Créée en avril 2010, la SARL d’Auxerre possède bien d’autres atouts dans son jeu, en modelant et en assemblant de la manière la plus réussie le verre silicate, le verre acrylique, l’inox, l’eau et la lumière.

Des chantiers à l’audace absolue pour ce touche-à-tout de génie…

Proposant un travail exclusivement sur mesure à un panel de partenaires à 98 % professionnels, ESPACE d’EAU compte parmi ses références grands comptes des géants de la grande distribution tels que le groupe CARREFOUR mais aussi des établissements bancaires (HSBC), des cabinets d’avocats à Paris et même la famille princière d’Arabie Saoudite !

Seul aux commandes de son outil de production, et ne comptabilisant plus le nombre d’heures effectuées de façon hebdomadaire (plus d’une centaine !), Antoine GODARD conçoit, fabrique et installe des murs d’eau ou des murs de bulles ayant comme finalité d’embellir un site à vocation professionnelle. Un important cabinet d’avocats de la capitale a investi une coquette somme d'argent à la conception d’un mur végétal, assorti à la présence d’un petit ruisseau, encastré dans sa salle de signature. Plus près de nous, au printemps, ESPACE d’EAU a équipé un bâtiment administratif pour HSBC d’un énorme mur d’eau placé au-dessus d’un parking sous-terrain, avenue Kléber à Paris. Coût du projet : 80 000 euros !

Les exemples de la sorte se multiplient avec une appétence particulière du jeune homme pour les chantiers les plus audacieux, et de plus en plus éloignés de sa base arrière : Andorre (conception en 2018 d’un agencement d’un casino), Espagne, Maroc, Belgique (avec en projet l’installation d’un système aquatique dans un nouvel hôtel 4 étoiles), Suisse où les dossiers abondent…notamment celui où il interviendra dans une clinique privée.

Une expérience à peine croyable en Arabie Saoudite !

Mais, la destination la plus originale avec laquelle Antoine GODARD a dû composée lors de fréquents séjours à l’étranger, c’est l’Arabie Saoudite. Choisi par une filière internationale du groupe de BTP OGER,l’entrepreneur d’Auxerre a réalisé sur place un aménagement de très grande importance pour l’un des membres de la famille royale.

Occupant une position privilégiée sur ce marché de niche où ne se concurrencent que cinq sociétés en France, le dirigeant de la SARL de l’Yonne profite de l’éclectisme de ses contrats pour laisser libre cours à une imagination fertile, côté créativité.

Parmi les milieux professionnels où son entreprise est le plus souvent sollicitée : le secteur médical, le tissu de l’agro-alimentaire, l’automobile, l’hôtellerie et la restauration, mais aussi les spas, les salons de coiffure (le groupe YSEAL dont le siège est implanté dans l’Yonne), des cabinets d’esthétisme, l’artisanat. Des agences de communication s’octroient aussi ses services inestimables afin d’habiller de grands salons internationaux : le SIRAH, le Mondial de l'Automobile, le Salon aéronautique du Bourget, le Mondial de la piscine et le fameux " Maison et Objet "…


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L’organisme de tutelle des professionnels de l’agriculture a organisé une journée de travail vécue sur le terrain afin de leur faire découvrir ou redécouvrir, grâce aux conseils prodigués par un expert de Haute-Marne, les bienfaits salvateurs du semis direct et ceux de l’agriculture de conservation. Ce fut aussi l’occasion pour le nouvel embauché, Louis GABAUD, conseiller en productions végétales, et animateur de ce nouveau groupe, d’expliquer les pratiques évolutives de cette agriculture résolument environnementale et économe…

 

LIGNY LE CHATEL : Alors que les discussions allaient bon train en préambule de cette journée de travail sur les nuisances occasionnées par la prolifération accrue des corbeaux et des corneilles au-dessus des champs (des espèces considérées par ailleurs comme nuisibles), la cinquantaine d’agriculteurs (céréaliers et éleveurs) invités à cette manifestation devaient se montrer très attentifs aux propos parfois techniques tenus autour de ce double thème, consacré aux semis directs et à l’agriculture de conservation.

Dans la pratique, deux sous-groupes se constitueront au terme de la première journée de mise en route de ce programme didactique qui appellera d’autres rencontres. L’un proposera un cycle complet aux côtés des experts et spécialistes de la question ; l’autre se focalisera plutôt, pour celles et ceux des professionnels ayant déjà quelques connaissances, à des visites approfondies parmi les plaines où le retour d’expérimentation s’effectuera via l’analyse des parcelles servant aux essais.

Comme devait l’expliciter Antonio PERREIRA, technicien expert de la Chambre d’agriculture de Haute-Marne, l’agriculture de conservation des sols et le développement des couverts végétaux (les fameux semis directs) facilitent la reconstitution des agrosystèmes, indispensables à la recherche de la performance des sols.

Mais, avant de parvenir à l’excellence de ces résultats, il s’agira pour le professionnel de faire face à un certain nombre de difficultés notoires, à commencer par la répartition équitable de la paille sur les sols cultivables. Chose peu aisée manifestement avec l’utilisation de machines ayant des grandeurs de coupe très disparates les unes des autres.

Haro contre les campagnols, mais présence bénéfique des vers de terre…

Nonobstant ce point de vue technique, le véritable ennemi, désigné par l’expert de Franche-Comté, n’est autre que le campagnol, petit rongeur extrêmement prolifique qui double sa population tous les deux mois et occasionne de sérieux dégâts parmi les plantations. La seule alternative à cette pullulation de l’espèce se présente sous la forme du travail des sols. Mais, en prenant certaines précautions afin de favoriser la fertilité du terrain. Il est nécessaire de développer l’élevage des précieux vers de terre, auxiliaires indirects de la réussite du développement de ces agrosystèmes si vertueux et bénéfiques à l’optimisation des sols.

« Le poids de vers de terre est un excellent indicateur de la biologie d’un terrain et de sa santé positive, commenta l’expert, il est impératif de préserver cette vie biologique mais cela demande de nombreuses compétences. Car, le système de production doit nourrir tout ce système. Sans le respect de ce processus, ce sera un échec cuisant… ».

Remplacer l’acier par des racines et le fuel par la photosynthèse…

Multipliant les exemples, Antonio PERREIRA s’incriminera contre les effets dévastateurs d’un travail réalisé trop en profondeur dans les sols. Celui-ci doit être appréhendé de manière superficielle avec l’appui du couvert végétal. Même s’il restera toujours à traiter la gestion des mauvaises herbes avec l’aide de produits chimiques tant qu’ils seront autorisés par l’Europe, la rotation des cultures ou la présence des couverts végétaux, pouvant les réduire à néant.

« Aujourd’hui, devait déplorer le représentant de la Chambre d’agriculture de Haute-Marne, 70 % de la destruction des vers de terre est imputable à un travail de sol trop profond induisant l’usage abusif des outils mécanisés… ».

Un autre attrait de l’agriculture de conservation et du développement des couverts végétaux reste le stockage du carbone et de l’azote dans les sols. Un enjeu environnemental essentiel à l’heure du développement durable tous azimuts.

La Politique agricole commune (PAC) européenne encourage l’essor de la pratique des couverts végétaux puisqu’elle s’inscrit dans la démarche des surfaces d’intérêt écologique (SIE). Les textes officiels sont formels : tout agriculteur doit dorénavant posséder  5 % de ses terres en SIE.

« La philosophie de ce concept se veut simple, devait conclure Antonio PERREIRA au terme de son intervention, il est nécessaire désormais de remplacer l’acier et l’abondance d’engins mécaniques par des racines et le fuel trop polluant par l’usage de la photosynthèse. Cela générera aussi de sérieuses économies en matière de consommation énergétique avec la diminution du fuel dépensé au quotidien dans les cultures… ».


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Quelques semaines après sa mise en route au 01er juillet, l’industriel de Sens bénéficie avec le doublement de son laboratoire d’essais d’une aire de travail idoine pour tester les performances et la fiabilité de ses nouveaux ballons d’eau chaude sanitaire. Des opérations qui peuvent se concevoir désormais de manière simultanée avec l’octroi de températures stabilisées. Un vrai confort pour le bureau d’étude et les techniciens de la PME qui développent une gamme de produits innovants…

 

SENS : Une enveloppe d’1,2 million d’euros a été consentie cette année par la direction de l’entreprise pour assurer l’extension de ce laboratoire d’essais indispensable à sa bonne fonctionnalité. Leader national sur le segment du ballon d’eau chaude sanitaire en France, CHAROT, structure industrielle emblématique de l’Yonne qui vient de célébrer avec faste et convivialité son 85ème anniversaire d’existence, prouve aux observateurs économiques que la « vielle dame » peut poursuivre sa cure de jouvence salvatrice mâtinée de modernisme et de projets toujours aussi ambitieux sans soucis notoires.

Côté emploi, quatre nouveaux collaborateurs viennent de rejoindre le team solidaire de cette entreprise qui se créé d’excellentes perspectives de développement à l’aune de 2018 au niveau de son volume d’’affaires. Un technicien supplémentaire est venu se greffer au bureau d’étude. Celui qui conçoit et assure la faisabilité des diverses gammes de ballon. Trois opérateurs experts en soudure ont complété cette recrudescence d’effectif en cette période automnale. Mais, avec un sursaut potentiel et attendu inhérent à la filière cuves en 2018, il se pourrait que le curseur des embauches progresse encore avec l’arrivée de 5 à 6 nouvelles personnes. In fine, le solde déjà important des cent cinquante salariés serait alors dépassé. Rappelons que CHAROT a réalisé en 2016 un chiffre d’affaires de plus de 25 millions d’euros, soit une hausse de 5 % par rapport à l’exercice antérieur. Consolidant au passage ses excellents résultats obtenus en 2016.

L’amélioration constante de l’outil de production…

D’ailleurs, Pascal CHAROT, le toujours sémillant responsable de l’entité familiale, table sur des perspectives très encourageantes pour les prochains mois à venir. La barre stratégique à atteindre concerne les 30 millions d’euros de chiffre d’affaires en optimisant l’activité. D’où cet investissement consacré au doublement de la capacité de traitement du laboratoire d’essais, qui occupe l’une des zones de production principales du site sénonais. Une envolée providentielle, tout à fait réalisable, qui se traduirait par une augmentation du nombre de collaborateurs en incorporant une vingtaine d’opérateurs de plus…

La récente acquisition d’une grenailleuse (300 000 euros de budget) sert précisément à répondre à l’ensemble de ces besoins. Installée en début de chaîne, la machine améliore considérablement les flux de traitement des ballons d’eau chaude sanitaire. Son action repose sur une optimisation du travail des fonds et de la partie tôlerie de ces produits.

Le dernier né de la gamme des ballons gaz à condensation…

Le lancement d’une nouvelle gamme de ballon gaz à condensation devrait permettre à CHAROT de trouver sa place sur ce marché extrêmement convoité par la concurrence, en phase avec les politiques de transition énergétique du moment. Le dernier né de la gamme s’adresse d’une part aux collectivités mais aussi au marché tertiaire. Sa sortie a eu pour effet de renforcer la présence de CHAROT dans bon nombre de domaines.

Avec son avènement, l’industriel de l’Yonne gonfle de manière tangible un catalogue de produits, déjà conséquent, lui assurant un leadership naturel sur les possibilités offertes par ces systèmes fonctionnant avec le gaz, l’électricité ou le solaire. Bref : de quoi légitimer un avenir radieux et tranquille pour un groupe à forte potentialité…


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Officialisée le 09 janvier, la SAS de GRON décline auprès des professionnels de l’industrie et du BTP mais aussi de la clientèle de particuliers des prestations de nettoyage insolites par la méthode de l’aérogommage. Une technique aux origines américaines qui utilise du sable pour polir les pièces traitées sans les abîmer. Les perspectives d’évolution sont réelles. Notamment auprès de la filière viticole qui, grâce à l’entretien récurrent de cuves et d’engins, pourrait s’avérer un marché fructueux à l’avenir…

 

GRON : Quitter la fonction publique n’est pas chose courante. Pourtant, Christine PICAUD l’a fait ! Prenant son courage à deux mains, et désireuse de relever un nouveau challenge : celui de l’entrepreneuriat. Paysagiste de métier et experte en travail manuel, la dirigeante de BTS AEROGOMMAGE (Bio Tech Sablage) n’a pu contenir plus longtemps cette envie jugée irrationnelle par certains de reprendre sa destinée à son compte. Il y a deux ans, n’y tenant plus, elle a découvert les principes vertueux (et efficaces) d’un processus made in Etats-Unis que lui proposait à usage personnel une société du Jura.

« Je souhaitai réaliser des travaux de décapage sur les portes d’une grange, concède-t-elle, j’ai été immédiatement conquise par ce système de nettoyage que l’entreprise exploitait : l’aérogommage… ».

De là, un fil ténu s’est développé dans son esprit : créer sa propre structure professionnelle autour de cette technique si novatrice. Avec l’aide précieuse du réseau Entreprendre Bourgogne, Christine conçoit l’ébauche de son projet, qui donnera naissance à BTS AEROGOMMAGE. Deux autres personnes de son environnement familial l’a rejoignent dans cette aventure humaine, riche en charge émotionnelle : Jérôme PICAUD et Jean-Christophe COUSSON. Une mise de fonds de 5 000 euros constitue le capital initial de la SAS, lui permettant de débuter son activité dès janvier 2017…

Création d’une embauche au premier juillet…

Ancien maçon de profession, un premier collaborateur intègre la structure au démarrage de la période estivale. Un choix nécessaire pour la dirigeante de la société qui a vu son carnet de commandes se gonfler de semaine en semaine. Consacrant un budget de 10 000 euros à l’achat de deux « aérogommeuses » auprès de l’industriel AREONOV (Jura) qui conçoit ces appareils, BTS AEROGOMMAGE augmente sa présence sur les chantiers. Ici le décapage d’un portail. Là des statuaires à rafraîchir afin de leur rendre une apparence quasi virginale. Face à ces enjeux, le parc machine devrait croître ces prochains mois ainsi que le nombre de nouveaux salariés.

« L’objectif est de créer plusieurs postes pour répondre à la croissance accrue de nos activités, explique Christine PICAUD, d’ici trois ans, je souhaite développer des points de vente supplémentaires sur les territoires limitrophes de l’Yonne que sont la Seine et Marne, le Loiret et l’Aube, car il y existe de réelles potentialités de développement… ».

Une technique très performante et économique…

Une prochaine démonstration de son savoir-faire, prévue le 16 novembre aux membres de l’Association des Entrepreneurs du Tonnerrois, facilitera davantage l’implantation de la TPE dans sa zone de chalandise légitime. Christine PICAUD envisage, en parallèle, de concevoir une fédération nationale qui regrouperait les entreprises ayant obtenu le label de référence.

Ce certificat ne concerne aujourd’hui que 26 structures en France. Celles dont les abrasifs utilisés sont naturels comme le sable ou les coquilles de fruits pour nettoyer et entretenir toute sorte de surface : plastique, PVC, bois, inox, acier...

« L’avantage de ce procédé est très économique, ajoute la chef d’entreprise, un mode de nettoyage traditionnel suppose l’emploi de 250 à 300 k/h de sablage. Dans le cas de l’aérogommage, entre 25 et 35 k/h de sable suffisent à partir de 0,5 bar de pression… ».

Heureuse d’avoir introduit ce concept novateur dans l’Yonne, Christine PICAUD avoue avec fierté qu’elle ne regrette nullement son vécu de fonctionnaire. « Gérer cette entreprise m’a permis de posséder une autre perception de la vie… »…


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Le Centre interprofessionnel de formation par alternance des apprentis de l’Yonne est devenu depuis l’inauguration de ses nouveaux modules pédagogiques le 18 octobre à Auxerre l’un des établissements français les plus performants et originaux à bien des égards. Soutenu par le poids lourd planétaire de la cosmétique, « L’OREAL », via le salon de coiffure « Emotion » unique en France, et déclinant par l’intermédiaire du spécialiste de la haute technologie, IDXPROD, la première boutique virtuelle « CLIC STORE », une aide digitale à la vente, le CIFA de l’Yonne mise sur la quintessence de la formation en intégrant modernisme et innovation à tous les étages…  

 

AUXERRE : Parce que la pratique de l’apprentissage et de l’alternance le valait bien, le CIFA de l’Yonne, établissement soutenu financièrement par la Région Bourgogne Franche-Comté et l’ensemble des acteurs institutionnels du département, n’a pas hésité à prendre un virage à 360° dans sa stratégie de développement. Ce chemin qui le propulse désormais vers la voie noble de l’éducation a su contourner moult obstacles et péripéties pour se diriger uniquement vers ce désir louable de modernité. Un modernisme que le président Michel TONNELIER, expliquera lors de son discours inaugural, prélude à de nombreuses arguties justifiant les choix de l’équipe actuelle.

Créé en 1975, le CIFA de l’Yonne aura accueilli plus de 21 000 élèves, devant se former dans les filières de l’hôtellerie/restauration, de la coiffure et de l’esthétisme, de la mécanique, de la gestion et du commerce, des métiers de bouche. Obtenant au passage des taux de réussite de bon aloi : 80 % de jeunes diplômés à l’issu de leur séjour et 85 % d’intégration dans la vie active au bout de six mis avec un emploi dans sa besace.

Cap vers la modernité et les hautes technologies !

Proposant une charte pédagogique basée sur les principes de l’excellence (organisationnelle, logistique, matérielle, humaine, civique, éducative et même vestimentaire), le centre de formation d’Auxerre dirigé par Marcel FONTBONNE n’a pas ergoté lorsqu’il aura fallu faire des choix sur son adaptabilité au monde moderne. En particulier, celui des nouveautés technologiques.

Premier temps fort : le rapprochement avec les équipes marketing de L’OREAL. De ces contacts fructueux naîtra le concept du salon « Emotion », dont l’établissement icaunais peut se targuer aujourd’hui de posséder l’unique fleuron en France. Il permet aux jeunes filles de découvrir le métier de la coiffure dans des conditions optimales.

Seconde étape : la rencontre providentielle avec l’entrepreneur d’Auxerre, Yannick DAVOUSE. Le responsable de la société IDXPROD élabore un projet exceptionnel ayant pour nom de baptême : « CLIC STORE ». Cette boutique virtuelle de vente entraîne à l’aide d’un programme à haute technicité les jeunes gens en quête de savoir vers des pérégrinations ludiques et éducatives insolites mais ô combien réalistes, immergeant les apprenants au cœur de commerces, certes fictifs, mais occupant l’espace d’images murales saisissantes.

A cela, on pourrait ajouter le nouvel équipement du pôle mécanique avec l’acquisition d’un banc d’équilibrage et une maquette de climatisation en 3 D, soutenue par l’ANFA (Association nationale pour la formation automobile) ; la présence d’une cave de maturation pour affiner la viande à la manière d’un Jean DENAUX, le célèbre boucher de Sens spécialiste de ce procédé ou encore l’antre chaleureux de la boulangerie/pâtisserie décliné sous l’appellation appétissante : « Mille Feuilles N’Co »…

Un budget de 88 millions d’euros émanant de la Région

Au-delà des considérations pédagogiques, le volet modernisation des infrastructures n’aura pas été oublié pour autant avec la création du City Stade (complexe de sport où peuvent se défouler les jeunes gens entre leurs cours théoriques et pratiques), la réhabilitation du foyer et de l’internat (450 000 euros de budget), etc.

Le CIFA de l’Yonne accueille chaque année plus de mille adolescents en quête d’un avenir meilleur. Plus d’une centaine d’adultes y suivent également des cours dans le cadre de cycles de formation continue. Tous profitent à l’unisson de cet environnement qui aura aussi émerveillé les élus, les représentants des corps institutionnels et les entrepreneurs conviés à cette manifestation.

A l’instar de Murielle CAULLET-VERGES, représentant la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, qui devait procéder sous le feu nourri des flashs photographiques à la découpe du ruban officiel. Elle devait évoquer le rôle primordial joué par la Région au service de l’apprentissage avec une enveloppe budgétaire de 88 millions d’euros allouée aux besoins des 18 880 apprentis qui fréquentent annuellement les 53 centres de formation.  

Petit clin d’œil du hasard, qui fut relevé par l’élue régionale : le CIFA de l’Yonne inaugurait ses nouveaux locaux au moment même où se déroulaient bien loin de là, à Abou Dhabi, les finales des olympiades des métiers auxquelles participait une délégation bourguignonne. Un signe du destin pour les jeunes pousses du CIFA d’Auxerre ?


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