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L’enseigne américaine a salué les initiatives de relance voulues par le gouvernement en faveur de la filière automobile. Grand bien lui en a pris ! L’effet rebond a été immédiat au lendemain de la sortie de crise chez les concessionnaires. Ce plan de relance s’arc-boute sur l’adoption des véhicules propres auprès des consommateurs. Un critère qui est loin de déplaire à la marque…

AUXERRE: La mobilité électrique et ses innombrables enjeux intègrent parfaitement la stratégie du constructeur d’Outre-Atlantique. Non seulement, ses dirigeants par la voix du président de la filiale France, Louis-Carl VIGNON, ont félicité le gouvernement à l’annonce de nouvelles initiatives favorables aux véhicules anti-carbone.

Mais, de plus, cette information offre de réelles perspectives de développement en matière de ventes pour le concepteur automobile car la majeure partie de sa gamme peut bénéficier de ces aides à l’achat.

Il est vrai que le fabricant propose désormais quatorze de ses modèles en version hybride. Ainsi, les nouvelles variantes des Fiesta, Focus, Puma et Kuga, déjà disponibles en concessions, sont éligibles à l’ensemble des aides gouvernementales.

 

 

 

Récemment, Olivier LANSIAUX, directeur Ford au sein du groupe AMPLITUDE, analysait les aspects positifs de ces mesures qui ont permis au concessionnaire de renouer de solides relations commerciales avec sa clientèle de particuliers, absente depuis plusieurs semaines en raison du confinement.

D’ailleurs, l’entité commerciale a confirmé par la voix de son représentant son intérêt et sa présence à l’organisation du futur colloque autour de la mobilité électrique prévu le 10 septembre à Auxerre, un évènementiel concocté par l’UIMM et le MEDEF de l’Yonne.

 

 


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Comprendre et investir autour des crypto-monnaies. Tel est le fil d’Ariane qui servira de trame conductrice aux cinq cogérants de la société MUGI le 23 juillet lors d’une conférence sur cet écosystème financier. Le rendez-vous fera aussi la part belle aux projets de la start-up 100 % made in Yonne soutenue par les grands faiseurs institutionnels de notre territoire…

AUXERRE : Vous souhaitez en connaître davantage sur ces phénomènes monétaires qui éclosent un peu partout à travers la planète depuis…1998 ? Ils ont pour nom les crypto-monnaies et les blockchains. Des locutions un tantinet hermétique pour le commun des mortels qui peuvent paraître pour certains décideurs économiques aux antipodes de leurs préoccupations journalières. Et pourtant !

L’émergence de ces écosystèmes est tangible et ne cesse de s’accroître. Les cinq cogérants de la jeune start-up icaunaise, MUGI, en donneront des preuves palpables lors d’une causerie, concoctée par leurs soins à l’hôtel Normandie, au soir du 23 juillet.

En présence d’un public qu’ils espèrent nombreux et participatifs, Mickaël CHAPOTIN, expert-comptable et responsable financier, Raphaël CHAPOTIN, expert en administration des réseaux et du développement, Maxime CHERY, entrepreneur dans le domaine du numérique et spécialiste de blockchain, Fanny VIAUT, gérante de la société COMMUNIK & VOUS, spécialiste de communication, réseaux sociaux et de marketing et Alexandre TEINTURIER, responsable d’études stratégiques en innovation et développement segmenteront le contenu de leurs interventions en deux temps forts.

Le premier concernera la pose de jalons pédagogiques auprès de l’assistance afin de présenter cet  univers spécifique avec transparence et soucis de vulgarisation. Le second s’articulera sur le projet d’investissement de la société MUGI, apparue dans le landerneau de l’entreprenariat à l’automne 2019.

La structure propose des solutions d’investissement clé en main dans ces actifs numériques.

 

 

Une levée de fonds et une infrastructure flambant neuve en 2020…

 

En prodiguant ses conseils auprès de prospects qui ne savent pas comment s’y prendre. La marque utilisée à ce titre pour ces opérations se nomme MELIS INVEST SAS. Son président n’est autre que Francis MOREAU, conseil en développement et l’un des créateurs de KUB, « Kick Up Business ».

Par le biais de cet organe qui privilégie la recherche d’investisseurs, ce dernier a pu mobiliser la présence de treize actionnaires autour de ce concept innovant.

MUGI a également connu une levée de fonds à hauteur de 250 000 euros au début de l’année. Des subsides qui lui auront permis de démarrer la première phase de son projet en cours de déploiement.

Bénéficiant de solides partenaires (la Région BFC, BPI France, l’AER, agence économique régionale, la French Touch mais également la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté et KUB), MUGI s’installera dans de flamboyants locaux construits sur une parcelle de deux mille mètres carrés à Toucy.

Les travaux se finaliseront durant cet été. Avant un probable emménagement prévu à l’automne prochain, sans doute en octobre…

 

En savoir plus :

Conférence les crypto-monnaies : comprendre et investir

Le jeudi 23 juillet 2020 de 19h00 à 20h30

Hôtel Normandie à Auxerre

41 Boulevard Vauban

Renseignements auprès du 06.85.14.84.19 et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 


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Une fois n’est pas coutume, le Conseil départemental de l’Yonne vivra la prochaine de ces séances plénières en mode décentralisation. L’exécutif tiendra sa session ce vendredi 03 juillet à la salle des Jonchères dans la commune de VENOY. Vu le contexte sanitaire, c’est à huis-clos que se déroulera ce futur rendez-vous…

AUXERRE : Compte tenu de la situation sanitaire, les élus du Conseil départemental de l’Yonne se retrouveront en présentiel vendredi matin, non pas dans l’hémicycle habituel à Auxerre mais à la salle des fêtes de VENOY.

La séance de travail accueillie dans le fief de l’un des vice-présidents de la vénérable institution, Christophe BONNEFOND, se déroulera à huis-clos. Mais, sa retransmission diffusée en direct sur la page Facebook du Département permettra aux suiveurs de cet exercice d’en apprécier toutes les subtilités orales.

A l’ordre du jour de ces retrouvailles estivales, les décisions modificatives à mettre en œuvre pour adapter le budget aux conséquences immédiates de la COVID-19. La présentation du rapport d’activités des services de l’Etat sera également proposée.

L’après-midi sera placé sous le signe du travail pour les élus de l’Yonne. Ils se réuniront dans le cadre de leurs commissions permanentes…

 

En savoir plus :

 

Une session du Conseil départemental à suivre sur la référence suivante :

 https://www.facebook.com/FildelYonne/live/

 


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La clinique de Sens figure désormais parmi les pionniers français en matière de désinfection par ultraviolets robotisée. L’UVD Robot a fait son entrée dans l’établissement le mercredi 10 juin pour une journée complète de test proposée par la société NEED ROBOTICS. Le savoir-faire danois arrive en France…

SENS : L’UVD Robot (ou robot de décontamination par UV-C) est né d’une collaboration entre l’hôpital universitaire d’Odense et le système de santé du Danemark en vue de réduire les infections, un projet mené de 2014 à 2017. Depuis le début de sa commercialisation en 2016, plus de cent-dix pays l’on adopté. Il est importé en France depuis avril 2020 via la société AKED. Aujourd’hui, on en compte onze, un développement accéléré par le contexte de crise sanitaire.

Créée le 01er janvier 2020, la start-up sénonaise NEED ROBOTICS, experte en solutions robotisées, endosse le rôle d’ambassadeur du projet auprès de la clinique, proposant un packaging qui inclut divers services (formation, programmation, intégration, maintenance, etc.).

Son fondateur, Ned CEKIC, espère néanmoins toucher d’autres lieux à haut potentiel de risques de contamination ; les domaines d’application de cette solution étant nombreux (industrie, laboratoires de recherche, établissements recevant du public, etc.).

 

Quand la technologie se met au service de la santé publique

 

Les ultraviolets de catégorie C sont d’ordinaire émis par le soleil. Mais la quasi-totalité de ces rayonnements, dangereux pour humains et animaux, est absorbée au cours d’une réaction photochimique avec l’ozone. Ces rayons n’atteignent pas la terre.

De fait, cette énergie est synthétisée et exploitée avec précaution depuis plusieurs années, notamment par les Etats-Unis. Elle éradique bactéries et virus à 99,99 %. Les dernières études scientifiques sur les UV et de nombreux essais ont confirmé leur efficacité dans la lutte contre les épidémies dont celle du SRAS CoV-2, et ont servi de base à la conception de l’UVD Robot.

 

 

Comment fonctionne l’UVD Robot ?

 

Ce robot de 1,71 mètre de haut et de 140 kilos fonctionne de manière autonome grâce à un système de programmation. Il est composé, entre autres, d’une carte réseau et d’un port USB qui permet de le connecter à un ordinateur.

Le robot doit scanner chaque pièce en 3D. Il faut ensuite programmer tous ses positionnements puis enregistrer l’ensemble. Une phase de test est lancée pour que tout soit calibré correctement et validé. L’appareil est ensuite prêt à l’utilisation, avec pilotage à distance grâce à une tablette. Le traitement est d’une durée moyenne de dix minutes et couvre l’ensemble de la pièce grâce à son rayonnement de 360 degrés.

 

 

 

 

Une nécessité pour la clinique de porter la désinfection à son maximum

 

En tant qu’établissement de soins, la clinique est déjà bien armée en termes de protocoles et procédures d’hygiène. Cependant, l’épidémie de SRAS l’a amenée à renforcer toutes ces mesures barrières et à repenser, plus globalement, l’organisation médico-économique de la structure.

Pour l’heure, elle se réjouit d’avoir pu tester ce matériel, notamment dans les blocs opératoires.

Une « expérience inédite et exceptionnelle » selon la directrice, Grazyna HADAMIK. L’utilisation de l’UVD Robot offre une « meilleure gestion du temps pour nos équipes », « une alternative qui nous paraît, par excellence, adaptée à cet environnement de santé », a-t-elle ajouté.

Les locaux sont actuellement nettoyés au moyen de la vapeur. Les ultraviolets, une technique également respectueuse de l’environnement, viendraient compléter ce procédé.

L’objectif premier est évidemment de sécuriser davantage les lieux à la fois pour le personnel et les usagers. Une nouvelle qui réjouit Jacqueline VANHELMONT (UDAF) et Hélène PAJOT (UNAFAM), représentantes des usagers, qui estiment que la clinique est « toujours autant tournée vers le patient ».

 

La clinique va-t-elle acquérir l’UVD Robot ?

 

Le groupe C2S, dont elle fait partie depuis 2016 est plutôt partisan de l’innovation en général et s’est montré favorable au projet.

Toutefois, cette solution a un coût d’autant qu’il en faudrait un par étage. Un seul appareil coute entre 100 000 et 120 000 euros à l’achat et une centaine d’euros par jour en location, soit environ 4 000 euros par mois.

Ned CEKIC se dit touché par la volonté de la clinique de créer un pôle d’excellence dans ce domaine et prêt à faire un véritable effort. Il souhaite vivement que les négociations aboutissent.

 

Floriane BOIVIN

 


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L’enjeu est de taille. Judicieux au sortir de la crise sanitaire qui nous a frappées. La valorisation des circuits courts représente l’une des pistes utiles pour aider les agriculteurs à s’extraire de l’ornière dans laquelle ils sont embourbés. Du fait du climat délétère persistant où la consommation en a pris un sérieux coup via ces différents modes de distribution. En créant une plateforme spécifique aux produits locaux, la Chambre d’agriculture redonne de l’impulsion et des espoirs à toute une filière…

AUXERRE: L’outil figurait dans les tuyaux depuis fort longtemps. Attentive à ce qui se passait sur d’autres territoires de notre contrée (Saône-et-Loire, Côte d’Or…), la chambre consulaire de l’Yonne ne pouvait manquer de s’adosser tôt ou tard à l’initiative.

Toutefois, la crise sanitaire aux contours si dramatiques est passée par là. Bousculant tout sur son passage et déstabilisant en profondeur les habitudes consuméristes de nos concitoyens. Elle aura eu la vertu d’accélérer le processus.

Car, la fermeture en cascade des marchés aura mis en lumière la véritable souffrance des petits producteurs locaux. De celles et ceux qui pratiquent le maraîchage avec amour et passion pour nourrir autrui à l’aide de fruits et de légumes à la fraîcheur avérée.

« Il fallait une réponse claire, pragmatique et immédiate à apporter aux consommateurs, explique Arnaud DELESTRE, le président de la Chambre départementale d’agriculture. La seule solution était de leur offrir des repères informatifs fiables leur permettant de s’approvisionner localement en découvrant les producteurs du cru… ».

Promouvoir la vente directe fut donc la genèse de cette réflexion qui donna naissance à la plateforme, « J’veux du local 89 ». L’expérience existait ailleurs, notamment en Saône-et-Loire, précurseur d’un concept qui a fait des émules dans trente-trois départements de l’Hexagone.

Il y a un an, avec le concours du Conseil départemental, l’organe consulaire du territoire le plus méridional de Bourgogne portait sur les fonts baptismaux ce support numérique. Gratuit et éclectique dans ses choix de présentation, il s’est mis progressivement en place dans le reste de la région. La Nièvre et le Jura devraient l’adopter d’ici peu.

 

 

Une charte d’engagement en guise de sérieux et de traçabilité…

 

Se calquant sur ce modèle, la Chambre départementale d’agriculture a fait de même pour l’Yonne. Développant un concept, inauguré il y a quelques semaines, qui ravit depuis l’ensemble de ses utilisateurs.

« On a créé des liens avec les autres partenaires institutionnels, explique Arnaud DELESTRE, la Chambre de Commerce et d’Industrie et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat étaient en effet très intéressées par son usage… ».

Outre le référencement des producteurs locaux en fruits et légumes, d’autres corporations à l’instar des restaurateurs, traiteurs, bouchers, charcutiers, boulangers, meuniers, etc. seront répertoriées dans les semaines à venir.

Classées par catégories, les informations accessibles sur portables et tablettes offrent aujourd’hui une cartographie détaillée de l’ensemble de ces préconisations judicieuses, en y ajoutant les horaires d’ouverture, les lieux et coordonnées exacts, les liens sur Internet.

Côté objectivité, une charte d’engagement lie les professionnels inscrits au référent informatif. Elle garantit la qualité intrinsèque de la démarche et des produits authentifiés comme tels, étant issus des circuits courts.

On le sait 260 agriculteurs se sont déjà positionnés dans l’Yonne sur le principe de la vente directe. Un chiffre qu’il est bon d’augmenter si on y inclut les viticulteurs eux-aussi concernés par la démarche promotionnelle de la Chambre consulaire et de ses partenaires.

Quant au budget, il s’est élevé à 7 000 euros pour réaliser ce support soutenu financièrement par le Département. Une somme qui ne fut pas rédhibitoire à sa conception.

 


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