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Après avoir proposé différentes offres aux jeunes en 2020, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne décide de leur apporter davantage. « YOUZFUL » est une plateforme mettant en relation les jeunes avec les entreprises et les professionnels qui ont besoin de recruter. Un concept pour le moins efficace !

 

DIJON (Côte d’Or) : Le Crédit Agricole est la première banque des jeunes mais également l’un des premiers employeurs privés du territoire français. Depuis quelques semaines, la plateforme « YOUZFUL » est opérationnelle afin d’aider la jeune génération dans sa quête de travail.

Cent pour cent digital, l’outil numérique vient en aide à celles et ceux qui subissent de plein fouet la crise sanitaire de la COVID-19 quant à leurs études ou leur avenir professionnel. Avec celui-ci, l’intérêt est d’accompagner les étudiants à trouver un emploi, un stage, une orientation qui leur correspond.

De plus, le Crédit Agricole les accompagne dans la gestion de leurs budgets et le financement de leurs études... Cerise sur le gâteau : la plateforme est ouverte aux non-clients du groupe bancaire.

Côté chiffres, « YOUZFUL » équivaut à 700 000 offres en ligne disponibles sur l’ensemble du territoire. Pour obtenir l’accès à toutes ces opportunités, la banque travaille en étroite collaboration avec six partenaires : IFCAM, Je Suis Entrepreneur, Hello Charly, L’Apprenti, Pôle Emploi et L’Etudiant.

Pour se rapprocher des entreprises, la plateforme propose aux jeunes de s’inscrire à des évènements qui se déroulent dans leur région. Là, ils peuvent y rencontrer des  employeurs qui pourraient potentiellement les recruter.

La plateforme gère des salons virtuels en partenariat avec L’Étudiant qui ont lieu en ligne jusqu’en mai 2021. L’entreprise Hello Charly permet d’obtenir un coach d’orientation « 100 % personnalisé ». Ces partenaires apportent tous un accompagnement pour tout type d’étudiants avec le parcours qu’ils souhaitent.

 

Un avantage indéniable pour les entreprises…

 

YOUZFUL facilite le recrutement des entreprises en leur donnant plus de visibilité sur le vivier de ressources humaines. Différents types de contrats sont disponibles tel que l’alternance, les CDD ou les CDI.

Ce sont plus de 300 000 offres qui ont été ainsi proposées par Pôle Emploi et d’autres professionnels depuis janvier. A l’avenir, les offres disponibles sur la plateforme seront alimentées par les entreprises elles-mêmes.

Dans sa quête salvatrice auprès des jeunes, le Crédit Agricole a également recruté 115 personnes en 2020. Ils étaient âgés de moins de 26 ans. Ces derniers mois, c’est environ 70 jeunes qui ont été pris en stage et intégrés au sein de l’établissement bancaire. C’est aussi plus de 250 jeunes diplômés qui devraient rejoindre l’entreprise en 2021.

 

En savoir plus :

https://www.youzful-by-ca.fr

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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Coupler les Assises de l’Energie au traditionnel Salon de l’Eclairage public et de l’Innovation en les réunissant à la même date est une hypothèse de plus en plus pertinente pour le président du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY. D’autant que le rendez-vous initial prévu le 03 juin devant accueillir le second évènement est désormais passé à la trappe, crise sanitaire oblige…

 

AUXERRE : Les prémices d’une sortie de crise s’échafaudent dans les têtes bien pensantes de nos gouvernants. Mais cela n’empêche nullement le lot continu de reports d’événementiels de persister dans les agendas.

Annoncé en date du 03 juin prochain, le Salon de l’Eclairage Public et de l’Innovation intègre une fois de plus la case des pertes et profits. Du moins pour un temps qui serait provisoire car la manifestation pourrait refaire surface dès l’automne, d’après les récentes déclarations du président du SDEY (Syndicat départemental des Energies de l’Yonne), Jean-Noël LOURY.

Le contexte sanitaire est encore bien trop malléable pour que la structure organisatrice de cet évènement ouvert aux élus et représentants des collectivités prenne des risques.

L’évènementiel qui avait réuni la bagatelle de plus de 350 participants l’année dernière (il était l’une des rares manifestations d’envergure à avoir été maintenue sur le parvis de la salle des fêtes des Joinchères à Venoy) devrait être décalé en octobre. La date n’est pas encore arrêtée.

 

 

 

 

Le particularisme de ce report pourrait être la tenue en simultanée des Assises de l’Energie, autre moment fort du calendrier évènementiel du SDEY.

Partant du simple postulat que la cible demeure la même (les collectivités via leurs élus et leurs techniciens interpellés par la transition environnementale et les économies d’énergie), le président Jean-Noël LOURY placerait cette année 2021 sous le sceau de la mutualisation en offrant à ce public les deux animations à une date unique.

Un concept « du deux en un » qui apparaît presque comme une évidence et qui ne demande qu’à être testé en grandeur nature à l’automne !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Le déploiement de la fibre dans le paysage auxerrois se poursuit. Après Villefargeau la semaine dernière, c’était au tour de Quenne ce jeudi 15 avril de rejoindre le club très prisé des communes équipées du Très Haut Débit. L’opérateur historique ORANGE a installé une armoire optique au cœur du village. Ce sont ainsi 82 % des 265 logements de la commune qui peuvent aujourd’hui souscrire à une offre auprès de leur fournisseur d’accès Internet de leur choix.

QUENNE : Le vieux rêve d’Alphonse ALLAIS de transposer les villes à la campagne est-il en passe de se réaliser… ? L’arrivée de la fibre optique en milieu rural dans le cadre du plan France Très Haut Débit pourrait pour le moins, y contribuer fortement.

Et ce ne sont pas les maires des dix-neuf communes de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois qui s’en plaindront, à l’image de Francis HEURLEY premier édile de Quenne qui attendait cela avec une certaine impatience : « La commune restera rurale, au calme et on y tient. Nous sommes une sorte de quartier résidentiel dans la ruralité, avec des habitants qui se sont échappés des villes pour venir chez nous et aujourd’hui, être connectés, cela répond à une forte demande de mes administrés… ». Remerciant au passage sa collègue de Monéteau, Arminda GUIBLAIN, pour l’aide précieuse apportée.

 

 

Favoriser les « petits poucets » en connectant davantage…

 

Cette armoire de connexion inaugurée ce 15 avril porte à 118 le nombre d’installations dans l’agglomération auxerroise, pour plus de 32 600 foyers éligibles, sur les 39 216 recensés sur le territoire. Un maillage qui est prévu s’achever fin 2022 et représente un « véritable projet industriel » selon Véronique MORLIGHEM, délégué régionale d’ORANGE en Bourgogne, bien consciente des attentes impérieuses de la population : « Les besoins ont été amplifiés par le confinement, d’autant que l’on multiplie les outils de communication. En 2022, la moyenne devrait atteindre douze objets connectés par foyer, d’où une explosion de débits et de besoins exponentiels… ».

Pour sa part, Francis HEURLEY ne veut pas en rester là : « 82 % c’est bien, mais peu par rapport à de plus grandes communes dépassant les 95 % de connectés. Les petits poucets, il faut les favoriser ! ».

 

Dominique BERNERD

 


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Un SOS vient d’être lancé par le CNPA pour préserver la pérennité des stations-service en France ! Onze mille de ces structures répertoriées dans l’Hexagone doivent très rapidement répondre au contexte du moment : celui de l’essor des véhicules électriques et du déclin des ventes de carburants. En ajustant leur stratégie !

 

PARIS : Elles n’ont pas d’autres alternatives que de s’adapter à la réalité des enjeux environnementaux, les stations-service de France et de Navarre. Sous peine de mettre la clé sous le paillasson et de déposer le bilan pour celles et ceux de leurs gérants qui en assument la gestion.

Les onze mille stations-service françaises doivent faire face très rapidement à la constante progression des ventes des véhicules électriques qui induit la diminution radicale des ventes de carburants.

D’ici une quinzaine d’années, peut-être moins selon les spécialistes, la moitié de ces points vitaux de toute une économie (on pense volontiers aux zones rurales) auront disparu du paysage si elles ne s’acclimatent pas aux nouveaux enjeux de la société.

Dans le domaine de l’implantation de bornes de recharge électrique, la grande distribution et les réseaux d’autoroute semblent être prêts à relever le défi. En installant ces points d’alimentation nécessaires au développement des véhicules électriques.

 

 

Or, beaucoup de petites stations-service indépendantes ne se positionnent pas sur ce même créneau. Conséquence à cette configuration funeste : vingt mille emplois sont désormais dans la balance et pourraient être remis en question dans un avenir proche.

Au niveau syndical, le CNPA (Conseil national des professions de l’automobile) plaide en faveur d’un fonds de modernisation permettant d’accompagner les structures dans leur transition énergétique. Un fonds de solidarité sera également accessible à un grand nombre de ces structures, sous certaines conditions définies par l’Etat. Il faut agir très vite car il y a réellement péril en la demeure sur ce secteur d’activité qui ne fait pas les manchettes des médias...

 

Thierry BRET et Jean-Paul ALLOU

 

 


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C’est fait ! L’industriel ALSTOM a bel et bien reçu le bordereau de ladite commande émanant de SNCF Voyageurs ce mercredi 07 avril. Une transaction qui a été réalisée pour le compte des quatre grandes régions concernées par ce projet dont la Bourgogne Franche-Comté. Soit un total de douze machines bi-mode électrique et hydrogène. Trois d’entre elles seront affectées à notre territoire. Leurs coûts ? 52 millions d’euros…

 

DIJON (Côte d’Or) : Les douze premiers trains alimentés en énergie électrique et à hydrogène, auxquels il faut ajouter deux rames optionnelles, ont été achetés pour la coquette somme de 190 millions d’euros à ALSTOM ce mercredi 07 avril par SNCF Voyageurs.

Ils l’ont été pour le compte de quatre régions de l’Hexagone. Elles seront les premières à expérimenter ce mode de locomotion novateur sur leur territoire.

Il s’agit de l’Auvergne-Rhône-Alpes, du Grand-Est et de l’Occitanie sans omettre évidement la Bourgogne Franche-Comté.

Cette dernière contrée déploiera trois de ces trains, issus de la gamme Coradia Polyvalent H2, sur ses lignes. Ils circuleront en effet entre Auxerre et Laroche-Migennes. Ils intègreront le premier écosystème régional en France à inclure le train. Un site qui sera basé à Auxerre.

Pour mémoire, la Région Bourgogne Franche-Comté via sa présidente Marie-Guite DUFAY a soutenu l’initiative dès le début. Ce qui correspond à une nouvelle étape dans le déploiement de l’hydrogène en faveur de solutions de mobilité bas carbone.

 

La mutation vers la mobilité hydrogène a commencé dans la région…

 

« Source d'énergie et solution de stockage, l'hydrogène, et notamment l'hydrogène vert, est un moyen non seulement de lutter contre les effets du réchauffement climatique, mais aussi de dynamiser l'emploi, l'attractivité et la croissance de notre région, devait-elle déclarer à l’annonce de cet achat. Pionnière dans cette technologie stratégique, la région a su fédérer les talents et les compétences de la Bourgogne et de la Franche-Comté dans sa mutation vers l'hydrogène… ».

Composé de quatre voitures, ce train newlook, long de 72 mètres, peut accueillir 218 places assises. Il offre des performances et un confort similaires à la plus classique version bi-mode électrique et diesel.  

 

 

Cette commande de trains à hydrogène est la résultante de deux années d'efforts conjoints des différents acteurs du projet. Le train Coradia Polyvalent répond aux exigences de la diversité du réseau ferroviaire français.

Il dispose d'une autonomie pouvant aller jusqu'à 600 kilomètres sur des tronçons de voies non électrifiées.

 

Les bogies sont réalisés au Creusot, les moteurs dans le Doubs…

 

Près de 400 trains Coradia Polyvalent bi-mode électrique-thermique et tout électrique ont été commandés par les régions françaises depuis 2011.

Leur développement assure plus de 2 000 emplois en France pour ALSTOM et ses fournisseurs.

Six des quinze sites industriels implantés en France sont impliqués dans le projet : Reichshoffen (Bas-Rhin) pour la conception et l'assemblage, Ornans (Doubs) pour les moteurs, Le Creusot (Saône-et-Loire) pour les bogies, Tarbes (Hautes-Pyrénées) pour les chaînes de traction et le développement de la propulsion à hydrogène, Villeurbanne (Rhône) pour l'électronique embarquée et Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) pour la conception.

 

Thierry BRET

 


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