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Innovation pédagogique à tous les étages au sein de l’établissement à vocation agricole de l’Auxerrois ! L’apport de simulateurs de conduite d’engins devrait être un sérieux plus éducatif pour les élèves qui fréquentent la filière. D’autant que sept de ces appareils aux multiples options y seraient fonctionnels pour assurer une découverte des risques inhérents aux métiers, mêlant aspects ludiques et modernistes. Qui a dit que l’enseignement agricole n’était pas à la pointe de la technologie ?!

 

VENOY : C’est presque une révolution de palais au sein de l’institution agricole de l’Auxerrois. Appréhender toutes les subtilités techniques propres aux différents métiers de la filière par le prisme de la simulation électronique représente un sérieux avantage pour celles et ceux des apprenants qui s’y exercent.

Testés par plusieurs élèves, trop heureux de vivre cette expérience unique, les simulateurs de conduite d’engins offrent une kyrielle de possibilités, devenant une étude de cas grandeur nature où le conducteur doit savoir manier les manettes de ce pseudo engin virtuel avec dextérité et prudence.

Muni de diverses options (enjambeur, véhicule agricole, transport animalier, van, tractation d’une remorque…), l’appareil plaçait dans un contexte proche du réel ces jeunes gens encore inexpérimentés à la conduite qui souhaitaient en découdre avec lui, histoire de se mesurer aux vertus du digital !

 

Le volet sécuritaire examiné en priorité…

 

Naturellement, du fait du confort usuel de cet appareil issu du made in France, les apprentis conducteurs d’engins agricoles purent aborder le volet sécuritaire et la découverte des dangers existants à leur mauvaise maniabilité. Avec en filigrane, le souci de l’optimisation économique des engins, bien réels ceux-là, que ces jeunes apprenants seraient amenés à piloter ultérieurement lors d’exercices sur le terrain. En maîtriser avec plénitude les gestes serait un gage supplémentaire pour en éviter la casse ! Donc, les coûts inutiles à leur réparation !

Conscient de cette prodigieuse avancée pédagogique favorisant la confiance et l’engouement des élèves, le CFA La Brosse, associé au lycée et au CFPPA éponymes, envisagent très sérieusement de se doter de sept de ces appareils révolutionnaires, fortement usités dans le milieu des travaux publics et du bâtiment.

Grâce au concours du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté qui supporterait 80 % de l’achat, l’établissement disposerait d’un reste à charge plus que correct pour en financer l’octroi.

Une enveloppe budgétaire de 700 000 euros TTC serait nécessaire pour acquérir sept de ces simulateurs de dernier cri, gavés de multiples options. Il n’est pas exclu que d’autres partenaires économiques inféodés à la cause agricole participent au projet.

 

 

Une sélection entre deux prestataires basée sur le coût et les options…

 

Selon Hélène DECULTOT, directrice du CFA agricole, le choix entre les deux prestataires français (ACREOS et TENSTAR) n’est pas encore définitivement entériné.  L’heure est toujours à la phase des essais entre les deux concepts.

Si tout se déroule comme prévu dans le cahier des charges, ces simulateurs de conduite d’engins pourraient être opérationnels au printemps 2022.

Juste avant les futures portes ouvertes du site où ils deviendront les vedettes américaines de ce rendez-vous. Près de 450 élèves ainsi que des personnes en formation continue y auraient accès par la suite.

La décision définitive sera prise en septembre quant au prestataire retenu. Le coût ne sera pas le seul critère de sélection ; l’établissement aura une préférence pour le concept le plus éclectique en termes de possibilités d’options.

La filière de l’enseignement agricole s’inscrit désormais sous le sceau de la modernité avec l’apport de ces outils numériques. A l’instar du lycée viticole de Beaune qui dispose déjà de ce dispositif d’enseignement virtuel dans ses locaux.

 

Thierry BRET

 

 

 


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A ce jour, il ne manque que deux cents signatures. L’objectif de la pétition, mise en ligne sur « Change.org », est d’atteindre à minima la barre des mille cinq cents paraphes. Un chiffre symbolique, selon la plateforme, pour que les médias daignent s’emparer largement de l’affaire en la relayant le plus possible dans leurs colonnes. Un ultime recours, pour que les salariés de MBF Aluminium (Jura) puissent sauver leurs têtes après la liquidation judiciaire de leur entreprise ?

 

SAINT-CLAUDE (Jura) : Triste nouvelle qui s’est abattue sur les épaules des 270 salariés de la fonderie jurassienne, ce mardi 22 juin. Le tribunal de commerce de Dijon a rendu son verdict sur un dossier dont la décision semblait irrévocable : la liquidation de MBF Aluminium, fleuron de la sphère industrielle de la contrée franc-comtoise dans les grandes années.

Un constat jugé « inacceptable » pour celles et ceux qui y travaillent. Parfois en famille. L’information ne pouvait pas plus mal tomber, au plan calendaire, juste dans l’entre-deux tours des échéances régionales où l’emploi et le développement économique tiennent pourtant le haut du pavé des arguments politiques de la plupart des candidats.

Depuis mardi, une pétition de soutien a été mise en ligne. L’initiative émane des salariés de l’entreprise mais aussi de la population de Saint-Claude qui voit d’un très mauvais œil la possible fermeture de ce site industriel. Une catastrophe aux retombées économiques multiples et certaines pour la localité et son bassin qui n’ont pas besoin de cela.

 

Dépasser la barre des 1 500 signataires pour médiatiser le plus possible…

 

Dans les faits, en l’espace de quelques heures, le compteur de signatures de la plateforme « Change.org » qui accueille ladite pétition s’est emballé. A date, 1 294 personnes ont déjà apposé leurs griffes dans le rectangle spécifique à cette consultation de soutien populaire à la préservation d’une entreprise.

Il en faudrait deux cents de mieux, selon les spécialistes de l’intermédiaire numérique, afin de dépasser la barre des 1 500 signataires pour que les relais vers la presse régionale et nationale se fassent naturellement. Histoire de médiatiser sans relâche ce dossier dont bon nombre de représentants de la presse se sont déjà fait l’écho, y compris au niveau de l’Hexagone.

L’inadmissible de la décision tient en quelques arguments dans cette épineuse affaire. D’une part, parce que le pays ne peut se passer d’une industrie aussi stratégique que peut l’être la fonderie. A l’heure où bon nombre de politiques parlent de réindustrialiser la France après les pénuries flagrantes liées à l’absence manufacturière durant la pandémie de la COVID. Sans omettre notre dépendance à la production industrielle asiatique.

 

 

D’autre part, parce qu’un projet de reprise, soutenu par la Région, a bel et bien été proposé pour sortir de ce marasme pesant sur les 270 salariés que compte la structure, très inquiets pour leur avenir.   

Enfin, parce que des transferts suspects de fonds auraient eu lieu vers une holding britannique malgré une alerte faite auprès des services de l’Etat. Celle-ci est demeurée sans suite quant aux réactions.

 

 

Exiger la suspension immédiate du processus liquidateur…

 

Dès lors, les instigateurs de cette pétition digitalisée exigent la suspension sine die de ce processus liquidateur. La décision de justice peut être prise soit par le président de la Cour d’appel. Soit par le procureur de la République. Au nom de la responsabilité gouvernementale.

Parmi les explicatifs, ceux-ci ne manquent pas d’interpeller : « Le gouvernement a accordé plusieurs milliards d’euros à RENAULT tout en étant actionnaire de la société à 15 % pour l’empêcher de délocaliser sa production et ses approvisionnements. Or, cet argent pourrait servir à l’emploi et à la consolidation de la filière automobile en proie à de sérieuses difficultés en France… ».

Enfin, il est précisé que « les millions d’euros nécessaires pour relancer MBF Aluminium doivent être fournis par la Banque Publique d’Investissement (BPI) et du crédit bancaire pour consolider la proposition de reprise avancée par la Région ».

Apparue au sortir du second conflit mondial, MBF Aluminium, véritable institution industrielle dans le Jura, conçoit des carters de moteurs et pièces de boîte de vitesse pour le secteur automobile. La PME avait été placée en redressement judiciaire en novembre 2020, ne pouvant rembourser ses dettes. Le tribunal de commerce de Dijon a statué en refusant l’offre de reprise proposée par un entrepreneur français. Les premiers licenciements seront prononcés d’ici deux à trois semaines. Les salariés ont la ferme intention de déposer leur recours pour faire appel de la décision de liquidation de leur entreprise avant le 04 juillet. Ils s’en remettent, en attendant, au soutien populaire par le prisme de cette pétition…seule arme disponible pour faire entendre leurs voix.

 

Thierry BRET

 


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Sur le papier, le programme se veut éclectique. Voire plutôt copieux à ingurgiter. Mais, au sortir de ces cinq journées d’immersion, prévues du 28 juin au 02 juillet, parmi les technologies virtuelles de la communication, nul ne pourra désormais ignorer le poids des e-mailings dans la relation clientèle, l’importance de Facebook en qualité de réseau social indispensable ou la pertinence des outils de cyber sécurité pour contrecarrer les plans machiavéliques des indélicats. Bienvenue à la Semaine du NUMERIC par webinaires interposés !

 

DIJON (Côte d’Or) : Le contenu de l’évènement est alléchant. Celles et ceux des entrepreneurs qui ne maîtrisaient pas encore toutes les subtilités du numérique ne seront pas déçus par tant de possibilités informatives.

Concoctée du 28 juin au 02 juillet par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté, la Semaine du NUMERIC, déclinée par une série de webinaires, captera très certainement les intérêts. Notamment ceux des artisans qui en sont prioritairement la cible.

Ainsi, ces derniers pourront s’inscrire à loisir sur ces différentes plateformes informatives qui les inviteront à découvrir le paiement digital, les outils spécifiques aux professionnels de l’artisanat, le e-mailing et ses vertus relationnelles, les réseaux sociaux, Facebook et Instagram ou encore les outils protecteurs de cyber sécurité.

 

 

Cerise sur le gâteau : il y aura même un rendez-vous tout particulier auprès des artisans de l’automobile et de la moto. Ainsi qu’un focus apporté aux appels d’offres.

Bref, on peut retrouver l’intégralité de la programmation avant de s’inscrire à ces nombreux rendez-vous virtuels sur www.artisanat-bfc.fr/numeric.

Une semaine d’infos à consommer sans modération !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Multipliant depuis plusieurs années récompenses et intérêt des médias, l’entreprise familiale auxerroise est en quête de partenaires pour se développer afin de viser un marché plus large. Inventeurs d’un moteur transformant directement l’énergie solaire en énergie mécanique, Gilles COTY et son épouse, Isabelle GALLET-COTY, codirigent la start-up depuis cinq ans, s’appliquant à en maintenir ses valeurs, mêlant l’éthique à l’innovation.

 

AUXERRE : Il y avait comme un parfum d’Afrique ce lundi après-midi, du côté de la rue des Mignottes à Auxerre, où est installé le show-room de SAUREA. Sous un soleil de plomb, une pompe à eau semblait respirer, au rythme du moteur assisté par des panneaux solaires, tandis qu’un peu plus loin, un brumisateur offrait ses gouttelettes salvatrices au visiteur…

Le continent africain fait d’ailleurs partie du cœur de cible de l’entreprise, notamment au travers d’ONG comme « Electricité Sans Frontières » au Burkina Faso. La motorisation d’un système de pompage manuel déjà en place ne nécessite pas de maintenance, rendant d’autant plus facile son utilisation. Pas d’électronique embarquée ni besoin de batteries, diminuant d’autant les risques de panne et augmentant ainsi la durée de vie de l’installation.

Un simple moteur de 130 watts mécaniques remplace le travail quotidien dévolu comme trop souvent en pays émergent, à des femmes ou des enfants. Un système de pompage comme celui présenté, permet dans les villages les plus reculés, d’aller chercher de l’eau à 8 mètres de profondeur, voire jusqu’à 20 mètres, via un système de rallonges avec un débit de l’ordre de 14 litres par minute.

Une réponse appropriée aux besoins des cultures vivrières et des habitants qui ont, bien avant nous, pris conscience du caractère sacré du précieux liquide et de la nécessité absolue à ne pas le gaspiller. A l’image de ce lycée burkinabé, explique Gilles COTY, où grâce au système de motorisation installé, le volume d’eau pompé chaque jour suffit aux besoins des 60 élèves pour les douches et la cuisine, leur assurant un peu de maraîchage et même la possibilité de revendre l’excédent d’eau disponible !

 

 

La montée en puissance grâce à la levée de fonds…

 

Aujourd’hui, l’entreprise auxerroise part à la conquête de nouveaux marchés en lançant une levée de fonds auprès d’investisseurs privés. Le champ des possibles est ouvert. Les domaines d’application sont nombreux, sur tous les continents : de l’agriculture (brumisation et aération des stabules, séchage des foins, approvisionnement en eau), à l’aquaculture pour l’oxygénation des bassins d’élevage, en passant par les collectivités (aération des bâtiments, brumisation urbaine, irrigation des espaces verts…).

Avec pour seul plafond, la puissance des moteurs, aujourd’hui limitée à 250 Watts mécaniques. Le premier moteur solaire autonome existant au monde, peut aussi intéresser le mix énergétique national, à l’image du système installé pour l’irrigation d’un jardin communautaire à Auxerre, ou l’aménagement d’une maison autonome. L’un des objectifs visés par la levée de fonds est de monter en puissance pour augmenter le nombre de moteurs fabriqués, de manière à en abaisser le coût final, notamment à destination des pays en voie de développement.

A ce jour, une vingtaine de kits ont déjà été installés. Le début du chemin, explique dans un sourire Isabelle GALLET-COTY : « mais pour continuer la route, il nous faut des financements, il nous faut nous développer et il nous faut des commandes ! ».

Et faire d’une histoire familiale, initiée par son beau-père Alain COTY, une saga dont on entendra longtemps, très longtemps, parler…

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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A l’invitation de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne, les candidats aux régionales ont été conviés à une rencontre explicative, se rapportant à l’un des volets essentiels de leurs programmes : l’économie. Quoi de plus naturel en somme que d’exposer les axes prioritaires de cet item face aux chefs d’entreprise, premiers concernés par lesdites mesures ! Sauf que sur les sept listes invitées à cet exercice oratoire, quatre s’étaient faites porter pâles ! Inquiétant quand toutes évoquent  l’attractivité du territoire !

 

AUXERRE : Un succès, cette rencontre informelle entre les représentants du conseil d’administration de la CPME de l’Yonne et les acteurs du monde politique, prétendants conquérir les sièges de l’hémicycle régional ?

Oui à plusieurs titres ! D’une part, pour l’originalité de la démarche, déclinée au plan de l’Hexagone, par toutes les délégations départementales de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises qui souhaitaient faire plus ample connaissance avec la liste pléthorique de candidats à ces échéances en découvrant le fondement de leurs programmes économiques.

D’autre part, pour évaluer avec exactitude et à sa juste valeur ce que représente réellement le poids de l’économie et de ses perspectives au-delà d’une simple profession de foi adressée dans chaque foyer sous pli postal.

Au vu de l’avalanche de déclinaisons négatives à cette requête, au demeurant parfaitement bien fondée pour tout électeur qui se respecte, on pourrait y ajouter un troisième aspect. Fondamental !

Découvrir la réelle appétence accordée par certains candidats à cette dimension économique et entrepreneuriale qui reste, et de très loin, le socle même de notre société et de son fonctionnement à bien des égards.

Que serait en effet la culture, l’aménagement du territoire, la vie sociétale et sociale, le développement du numérique et des technologies, la notion de l’enseignement, de l’orientation et de la formation, le tourisme et les arts de vivre, sans cette valeur intrinsèque de l’économie et de son corollaire primordial, l’emploi !

 

 

Trois réponses positives sur les sept listes en présence : pas sérieux s’abstenir !

 

Visiblement, et nonobstant ce qui est imprimé sur une rudimentaire feuille de papier A4, certaines de ces candidatures visant à accéder au pouvoir exécutif régional au soir du 27 juin (l’organe institutionnel possède seul la compétence économique territoriale avec les EPCI sur les départements) ont dû oublier de leur pensum de campagne qu’ils devaient aller obligatoirement à la rencontre de ces entrepreneuses et entrepreneurs qui justifient à eux seuls leurs engagements !

Comment peut-on expliquer alors que sur les sept listes concourant à cette échéance électorale capitale pour les six prochaines années de la mandature régionale, quatre se soient abstenues de répondre aux représentants de la CPME de l’Yonne ? Est-ce ainsi qu’ils traitent les acteurs de l’économie, ceux qui portent à bout de bras tous les rouages financiers de la société ? Et nourrissent et font vivre leurs futurs administrés ?

Même si l’exercice ne comportait pas d’apparences officielles, il s’agissait d’un échange basique entre les membres du conseil d’administration de la CPME affûtés de questions et les porte-voix desdits programmes politiques.

 

 

 

A ce petit jeu-là, on ne peut que saluer au nom de leur honnêteté intellectuelle et de leurs devoirs politiques les représentants des listes soucieuses de tâter le pouls d’une caste en proie à de sérieuses difficultés du fait de la crise sanitaire. C’est-à-dire les ambassadeurs icaunais de Marie-Guite DUFAY, de Denis THURIOT et de Gilles PLATRET !

Quid des autres engagés s’étant abstenus de toute présence ? Ils n’ont pas daigné répondre à l’invitation lancée par la CPME, tout simplement ! Un manque de civisme et de politesse…

Une pilule, sans doute amère à avaler pour les électeurs de la filière professionnelle qui auront pu disserter à loisir avec celles et ceux de leurs intervenants ayant exposé leur vision économique à six ans. Avec en mémoire, le vieil adage qui précise que les absents ont toujours tort !

 

 

En savoir plus :

Les débatteurs de cette rencontre avec la CPME

Nicolas SORET pour la liste de Marie-Guite DUFAY,

Muriel VERGES-CAULLET et Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI pour la liste de Denis THURIOT,

Jean-Marie SERMIER, Nadia CHOUBARD et Dorothée MOREAU pour la liste de Gilles PLATRET.

 

NB : Après la publication de l'article, les représentants d'Europe Ecologie Les Verts se sont manifestés à notre rédaction, faisant savoir qu'ils n'avaient pas été invités par la CPME pour prendre part à cette réunion consacrée à l'économie. Une thématique qui les passionne puisque leur tête de liste aux régionales, Stéphanie MODDE, avait pris part le 26 mai dernier à un débat organisé à Dijon par le MEDEF de Côte d'Or. Rendons à César ce qui leur appartient ! 

Thierry BRET

 

 

 


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