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Organisés par les Fédérations départementales des caisses locales, les rendez-vous d’information et d’échanges, déclinés par l’assureur mutualiste, se déroulent chaque année en cette période du printemps. C’est ce mardi, dans l’enceinte d’AUXERREXPO, que l’exercice 2019 aura lieu. Il accueillera les sociétaires de l’Yonne. Outre la présence de l’économiste Christian SAINT-ETIENNE qui apportera lors d’une conférence sa vision et analyse des perspectives de la France avant les élections européennes, c’est le directeur général adjoint de l’un des leaders nationaux de l’assurance et de la prévoyance, Jean-Christophe REMAUD, qui brossera dans le détail l’actualité économique et institutionnelle de l’entreprise en rapport avec le département.

AUXERRE: Que ce soit lors de la conférence de presse ou au cours de la rencontre départementale qui s’en suivra, il sera beaucoup question de stratégie et d’engagements économiques pour illustrer l’action de l’assureur mutualiste sur son territoire.

Conformément à sa volonté intrinsèque d’en justifier les faits et les conséquences de manière annuelle, la direction départementale mais aussi régionale du groupe déroulera lors de cette soirée réservée à ses sociétaires tous les aspects explicatifs permettant de mieux appréhender le poids de cet ancrage territorial qui demeure le socle majeur de son intervention au quotidien.

En l’absence du directeur général de Paris Val-de-Loire, Eric GELPE, retenu sous d’autres cieux et d’autres obligations, c’est son adjoint, Jean-Christophe REMAUD, qui aura la tâche de conduire la table ronde, aux côtés du président de la Fédération départementale des caisses locales, Pascal MAUPOIS, et du directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT.

Un exercice complet où l’auditoire constatera chiffres à l’appui les bonnes performances enregistrées par le groupe au-delà de l’exercice 2018. Mais, de cela, nous aurons le temps d’en reparler !


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Basée sur des aspects collaboratifs, formant des écosystèmes renouvelables, l’économie symbiotique représente une alternative heureuse à la réalité économique traditionnelle. Elle permet de créer un nouveau paradigme où la place de l’humain se revendique à tout instant dans un environnement positif. Au cours de sa découverte du fabricant de mobilier en bois MOBIL WOOD, structure adepte de l’holacratie et novatrice en de nombreux domaines, la candidate de la liste « RENAISSANCE » a laissé de côté sa vision politique des choses pour redevenir l’ancienne étudiante de polytechnique (X) et de l’Ecole nationale du génie rural, des eaux et des forêts qu’elle a été jadis avant d’être nommée ingénieur…

CRAVANT : Diplômée d’un Master en économie obtenu à la prestigieuse université de Berkeley (Etats-Unis), l’Alsacienne Fabienne KELLER apprécie tout ce qui se rapporte de près ou de loin aux innovations technologiques et au savoir-faire inhérent aux entreprises. Durant son immersion lui permettant de découvrir l’univers atypique de cette entreprise icaunaise, elle n’aura donc pas été déçue !

La sénatrice du Bas-Rhin a endossé sa vêture d’ingénieur des ponts, des eaux et des forêts pour mieux appréhender les aspects pragmatiques et techniques de cette entité. MOBIL WOOD, comme chacun le sait, fait figure de précurseur et de pygmalion dans bon nombre de domaines entrepreneuriaux. A commencer par la manière dont la structure pratique le management ouvert et participatif.

Construire le modèle économique différemment…

D’autant que cette visite initiée sous le prisme de la campagne électorale des Européennes, aura donné l’opportunité au responsable de la société, Alexis NOLLET, de démontrer à un aéropage de personnalités politiques (le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et conseiller régional, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, la sénatrice Noëlle RAUSCENT, les candidats icaunais de la liste RENAISSANCE, Irène EULRIET et Pascal HENRIAT…) le bien-fondé de cette alternative économique.

Certes, le principe vertueux lié à la déclinaison de l’holacratie a évolué chez MOBIL WOOD. « On a pris les fondements de cette éthique, précise Alexis NOLLET, c’est-à-dire le management participatif avant de l’adapter à nos besoins de gouvernance… ».

Pionnière en la matière sur le territoire de l’Yonne septentrionale, l’entreprise a fait depuis des émules, convertissant quelques patrons à revoir la ligne stratégique de leur management en adepte convaincu de l’entreprise libérée.

   

Habile, le mentor de MOBIL WOOD profitera de l’intérêt de ses visiteurs pour leur glisser qu’il serait judicieux de suivre de près ces évolutions à l’avenir.

Du grain à moudre pour Fabienne KELLER qui, visiblement très satisfaite de ce déplacement dans une entreprise aux méthodes futuristes du management,  aura pris attache, échange de coordonnées oblige, avec le dirigeant de la société.

 


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Dans sa réponse au discours sur l’Europe du président de la République française, la nouvelle chef de file de la CDU, Annegret KRAMP-KARRENBAUER a mentionné le transfert du Parlement européen de Strasbourg à Bruxelles. La question vient d’être posée au plus haut niveau. Si cette préconisation était adoptée, elle changerait la donne de la représentativité et de la fonctionnel d système européen. Sans omettre les économies réalisées…Il serait peut-être grand temps de s’intéresser de nouveau au socle de cette harmonisation européenne : le rouage franco-allemand… 

TRIBUNE : Un article d’Olivier MIRGUET, paru dans « La Tribune de l’Economie » du 09 mai dernier, met en évidence les courants favorables à ce transfert. Résumons son article : « En 2013, un rapport de l’écologiste allemand Gerald HAFNER, défavorable à Strasbourg, a été approuvé par 73 % des députés, soit les quatre cinquièmes des 750 élus.  Les députés pro-Bruxelles avancent aussi l’argument rationnel d’un travail plus efficace à proximité de la Commission européenne, les lignes aériennes internationales vers Strasbourg sont trop rares…».

Voyons les chiffres à présent, sur le coût réel du siège strasbourgeois du Parlement européen. Comme à leurs habitudes, les statistiques sont contradictoires. Selon la Cour des Comptes européenne, le coût serait estimé à 114 millions d’euros par an. Et selon l’association pro-strasbourgeoise AEJE, il s’élèverait à 50 millions d’euros. Encore faut-il savoir ce que l’on met dans ces millions. De toute façon, le Parlement européen nécessite un budget de fonctionnement, qu’il soit situé à Strasbourg, à Bruxelles ou à Pétaouchnok !

Bruxelles plutôt que Strasbourg : la logique des choses…

Bien entendu, les Alsaciens sont sur la défensive. En 2011, une étude a évalué les retombées touristiques des institutions européennes en Alsace à 637 millions d’euros. Ce n’est pas rien.

« Personne à part le quotidien régional « Les Dernières Nouvelles d’Alsace » ne s’offusque des attaques contre Strasbourg », regrette le député du Bas-Rhin, Thierry Michel (LREM) tandis qu’un autre député alsacien, Éric Straumann (LR), a pris l’initiative d’un rapport d’information sur l’action des autorités françaises pour l’attractivité de Strasbourg, siège européen. Une fois de plus, n’ayons aucune illusion mais rappelons aux Alsaciens ce vieux dicton : « Aide-toi, le ciel t’aidera ».

Néanmoins, que l’on soit pour son maintien à Strasbourg ou son transfert à Bruxelles, il faut reconnaître que ce n’est pas très logique de ne pas rassembler toutes les institutions européennes en un même lieu, de préférence à Bruxelles. Les députés européens gaspillent en effet beaucoup trop de temps et d’argent dans des déplacements chroniques et chronophages entre les deux métropoles.

Faut-il donc mener un combat d’arrière-garde pour maintenir le siège du Parlement européen à Strasbourg ? N’oublions jamais que tous ces combats ont été perdus d’avance. Donc, la seule réflexion qui se pose aujourd’hui est la suivante : « On ne détruit que ce que l’on remplace… ».

La dernière phrase de l’article de « La Tribune de l’Economie » est en cela très significative : « Aucun plan B n’a été prévu pour une éventuelle réaffectation de l’hémicycle qui appartient au Parlement ». Voilà la question essentielle, voilà sur quoi nous devons nous pencher.

Or, l’Europe est en panne. Quel a été l’un des moteurs de l’Europe ? Ce que l’on a appelé le couple franco-allemand. Qui mieux que l’Alsace et les Alsaciens sont à même d’incarner cette quintessence de l’Europe ? Le
musicologue Jacques MERLET a défini un jour Jean-Sébastien BACH comme étant la symbiose parfaite de ce qui fait l’Europe : l’italianité et la germanité, l’italianité dans laquelle s’inscrit la France et la moitié de l’Europe et la germanité qui a irrigué l’autre moitié.

L'inévitable relance du couple franco-allemand…

Il s’agit donc, sans tarder, d’étudier toutes les possibilités qu’offre Strasbourg après le départ du Parlement européen pour attirer des institutions. Mais aussi, des organismes publics et privés et, surtout, des industries franco-allemandes. Et faire de ce bâtiment un phare culturel et économique, indispensable à la magnificence de l’Europe.

Tel Jean MONNET qui a su convaincre Italiens, Néerlandais, Belges, Luxembourgeois, Allemands et Français afin de créer la CECA, voyons comment l’on peut apporter dès lors une dynamique novatrice à Strasbourg sur des projets culturels et industriels franco-allemands.

Annet KRAMP-KARRENBAUER : nous vous prenons au mot ! Vous voulez transférer le siège du Parlement européen à Bruxelles. Emmanuel MACRON, nous vous prenons également au mot ! Vous voulez relancer l’Europe. Eh bien montrez-nous comment et ensemble, dans la lignée similaire d’un de GAULLE et d’un ADENAUER, d’un KOHL et d’un MITTERAND, comment pouvez-vous concrètement insuffler une ère innovante et pérenne à ce couple franco-allemand en déshérence depuis plusieurs années. Et par là-même conforter la construction européenne.

Dans ce cas, si le succès était au rendez-vous, nous autres, Allemands et Français, Strasbourgeois et Alsaciens, « marcherions » à vos côtés…

Emmanuel RACINE


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Préconisée par la Région Bourgogne Franche-Comté, la technologie « R Cube » permet de couvrir de manière optimale nos huit départements grâce à l’Internet de très haut débit. Afin de mieux en expliquer les enjeux, l’organisme institutionnel décline des réunions publiques d’information. La Puisaye-Forterre faisait l’objet de deux d’entre elles ces jours-ci…

TOUCY: La solution de très haut débit permettant de booster les connexions du multimédia nécessite quelques explications de texte. Surtout dans les zones rurales qui sont encore très loin de bénéficier à bon escient de tous ses avantages.

Aussi, n’était-il point étonnant de pouvoir assister à deux rencontres informatives assurées par la Direction de l’aménagement du Territoire et Numérique les 09 et 10 mai à Ouanne et Charny Orée de Puisaye la semaine dernière, pour en appréhender les contours spécifiques.

Se situant aux alentours de 30 euros pour 30 Mbits/s, l’offre grand public mise à la disposition des habitants devait être longuement expliquée. En effet, la Région souhaite par cette technologie apporter un accès Internet de qualité aux territoires ruraux qui en sont dépourvus.

Le principe de fonctionnement du réseau repose sur la mise en place d’antennes émettrices installées sur des pylônes ou tout autre support assez haut, de type château d’eau.

Les abonnés sont alors équipés d’une antenne extérieure qui est installée sur le toit de leur habitation ou de leur entreprise. 

Correctement orientée vers l’émetteur le plus proche, cette antenne permet d’optimiser la qualité du signal transmis et d’améliorer ainsi le débit disponible.

Maître d’ouvrage de cette infrastructure, l’entité régionale assume financièrement les charges d’exploitation et les coûts d’installation. Dans l’absolu, elle a mobilisé trois fournisseurs d’accès Internet (FAI) nationaux, afin de proposer un service de type « Triple Play » au grand public (Internet, téléphone et télévision).

Quatre autres opérateurs nationaux ou régionaux ont également été sélectionnés pour proposer un service à destination des professionnels, soit des possibilités d’exploitation comprises entre 10 Mbit/s à 100 Mbit/s.


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Intégrer parmi ses effectifs des techniciens de haute volée ressemble souvent à une sinécure pour la plupart des entreprises du sérail industriel. Le milieu du matériel viticole ne déroge malheureusement pas à cette règle. Elle représente une source d’inquiétude croissante pour les services de ressources humaines, à la peine pour trouver des compétences. Groupe emblématique de par sa structuration et son influence régionale, ALABEURTHE a su prendre le taureau par les cornes, au niveau de l’anticipation, pour résoudre ces problématiques. La société s’appuie sur une politique de formation efficiente afin de sensibiliser les jeunes publics vers cette filière professionnelle…

CHABLIS : Préparer de manière optimale des techniciens qualifiés au rythme de la saisonnalité qui prévaut dans le monde de la viticulture nécessite une période d’incubation de trois ans. Telle est l’équation à laquelle a été confronté le distributeur de matériel agri-viticole de la Bourgogne septentrionale.

Présent sur une vaste zone de chalandise qui s’étale sur quatre départements (Cher, Côte d’Or, Nièvre et Yonne), ALABEURTHE ne lésine jamais à accueillir de nouvelles pousses parmi ses différentes structures.

Favorable au développement d’une relation saine et pragmatique entre le monde de l’enseignement et l’univers de l’entreprenariat, la direction du groupe, pilotée par Gilles MEHL, a choisi de jouer à fond la carte de cette complémentarité intelligente.

Partant du postulat que les métiers de la maintenance se faisaient rares et chers sur le marché, le groupe a optimisé cette stratégie collaborative en se rapprochant de l’un des établissements pédagogiques de la région qui prépare aux métiers de la viticulture et à ses dérivés : l’EPLEFPA de Mâcon.

Un équilibre parfait et constructif entre enseignement et entreprise…

Une approche conceptuelle appréciable puisque sur la seule année 2018, ALABEURTHE a accueilli une quinzaine d’apprentis au sein de ses services. Positionnée sur la revente de matériels destinés à la viticulture pour 70 % de son chiffre d’affaires – le reliquat correspondant à l’autre secteur privilégié, celui des espaces verts -, l’entité devrait initier avec la complicité bienveillante de la direction du centre de formation de Saône-et-Loire de nouveaux cycles de formation à l’automne.

Il s’agirait notamment d’un cursus de type BTS catégorie TSMA, portant sur les spécificités du monde viticole. Grâce à cette création, l’établissement de Mâcon deviendrait le seul centre pédagogique de l’Hexagone à pouvoir la décliner à ses élèves. Son démarrage est effectif dès septembre.

Face à ces récurrentes questions de recrutement, le groupe de l’Yonne n’en consacre pas moins un budget conséquent à la formation continue de ses collaborateurs.

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Une ligne budgétaire de 100 000 euros est ainsi accordée à ce poste chaque année. Soit, dans les faits, plus de 1 700 heures de remise à niveau qui ont été dispensées en 2018 à plus d’une centaine de salariés et cadres.

L’art de l’anticipation face à la robotisation…

En outre, la robotisation de certains métiers de la filière accélère ce processus formatif. Aujourd’hui, ALABEURTHE prend le soin d’anticiper cette révolution technologique qui se profile sur le marché d’ici deux à trois ans.

La complexité des postes et leur diversification obligent le groupe à répondre présent dans sa quête de collaborateurs au potentiel affirmé. Notamment sur des postes de mécaniciens, électromécaniciens, chaudronniers, techniciens en service après-vente ou magasiniers vendeur.

Une stratégie applicable aussi sur le domaine de la motoculture, l’autre versant de l’activité de cette entreprise aux quarante millions d’euros de chiffre d’affaires…


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