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Faire du neuf avec du vieux. Ou presque. Chacun connaît la formule ! C’est celle qui est employée sans modération depuis bientôt un an par deux as de la réparation numérique, bénévoles au sein de la structure La RECYCLERIE à Toucy. Alain FALZONE et Claude RIOUSSET n’ont d’autres objectifs que d’apporter leurs pierres personnelles à la solidarité afin de faire des heureux. Celles et ceux qui seront les bénéficiaires de ces appareils disposant d’une seconde vie…

TOUCY : Rien ne se perd dans l’univers de l’électronique et du numérique. C’est en substance ce qui anime le quotidien de ces exégètes de la débrouillardise et du bricolage réalisé de mains de maître !

Ici, dans l’atelier qui est leur dévolu à la RECYCLERIE ou dans leur propre univers à domicile, Alain et Claude redonnent la vie à des appareils, pas trop anciens, mais ayant déjà quelques heures de fonctionnement au compteur.

Fruits de collectes réalisées auprès de particuliers, d’entreprises voire même des structures qui recueillent les déchets des équipements électriques et électroniques, ces ordinateurs usagés sont désossés, analysés, étudiés avant d’être remontés dans un état quasi neuf.

Parfois, se plaît à dire Alain FALZONE, « deux appareils sont nécessaires pour en recréer un seul en état de fonctionnement ! ».

Finalité de la manœuvre : distribuer gracieusement ces appareils réhabilités à celles et ceux qui en éprouvent le besoin. Notamment en cette dure période d’isolement imputable à la crise sanitaire : les enfants cloîtrés à la maison qui recherchent le matériel adéquat pour suivre leurs cours pédagogiques et les personnes âgées immobilisées chez elles ou en EHPAD.

Mais, attention, nos deux bricoleurs savent de quoi ils parlent lorsqu’ils démontent consciencieusement une unité centrale, une tablette ou un clavier. Claude RIOUSSET, l’un des membres du conseil d’administration de La RECYCLERIE (un projet soutenu à sa création par le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI), est un spécialiste de l’informatique. Il y a consacré quatre décennies de sa vie professionnelle.

 

 

Un manque criant de matériel à l’heure actuelle…

 

Techniquement, les deux réparateurs formatent le disque dur de l’appareil, installent des logiciels libres qui permettent la lecture de documents, de fichiers audio et vidéo ainsi qu’un navigateur Internet. Bref : l’essentiel pour un ordinateur qui peut ainsi reprendre du service !

Peu de matériel occupe le rayonnage des stocks vu le contexte actuel où les besoins sont importants.

« Depuis le début du confinement, explique Alain, nous avons effectué beaucoup de dépannage à distance pour plusieurs personnes âgées. Pour certaines d’entre elles, il est difficile de pouvoir imprimer ne serait-ce que l’attestation obligatoire les autorisant à sortir.

Manquant de matériel informatique, nos deux duettistes de l’altruisme 2.0 en appellent à la générosité d’autrui, des particuliers et des entreprises qui disposeraient d’appareils à recycler.   

Ils utilisent des logiciels libres de type LINUX, libre-office, vlc ainsi que PrimTux, la distribution de LINUX éducative à destination des écoles. On peut contacter ces deux Géo Trouvetou sur les références suivantes :

Alain FALZONE au 06.14.07.02.09. et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

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Cela s’agite dans les concessions automobiles européennes. Les préparatifs à une réouverture imminente s’amplifient malgré la persistance de la pandémie mais toujours dans le respect des règles de bonne conduite eu égard aux mesures de protection. C’est le cas en Belgique où le groupe BMW ouvrira dès le 04 mai certains services de son réseau de concessionnaires avant de pouvoir accueillir du public la semaine suivante…

BRUXELLES (Belgique) : Le communiqué de presse est parvenu sur les mails des rédactions de ce jour. La filiale belge du groupe BMW rouvrira progressivement les concessions de ses marques BMW et MINI d’ici quelques jours dans le plat pays. Une réouverture qui s’effectuera dans le respect d’une sécurité très stricte des gestes barrières et des mesures de protection.

Il est précisé également que la numérisation poussée du travail sera effective après la crise inhérente à la propagation du coronavirus.

A partir du 04 mai, le réseau belge mettra à disposition de sa clientèle certains de ses services. En espérant proposer la totalité de ceux-ci dès la semaine suivante.

Ce qui se passe outre-Quiévrain représente un signe avant-coureur de la réouverture de l’ensemble des filiales européennes et mondiales du constructeur allemand.

Environ 80 % des points de vente au détail en Europe et 70 % de ceux qui opèrent une activité commerciale aux Etats-Unis sont actuellement fermés. Dans un certain nombre de pays, y compris l’Allemagne, les détaillants sont interdits par la loi de vendre des véhicules.

En France, les concessions du groupe sont temporairement fermées. Et le demeureront tant que le plan du gouvernement PHILIPPE ne sera pas dévoilé et adopté par le Parlement. Ce qui sera chose faite ce mardi 28 avril…

Pendant la pandémie actuelle de coronavirus, la protection des employés et la prise de responsabilité envers la société demeurent la priorité numéro un de BMW Group. Le résultat des ventes du premier trimestre a été éclipsé par l'impact mondial de COVID-19 et les effets de la fermeture temporaire d'un grand nombre de points de vente. Le Groupe BMW a livré au total 477 111 (‑20,6 %) véhicules premium BMW, MINI et Rolls-Royce à ses clients au cours des trois premiers mois de cette année.

 

 

Des mesures pour contenir la pandémie…

 

Le Groupe BMW a pris des mesures visant à contenir la propagation du COVID-19. L'entreprise fournit des véhicules aux établissements sociaux et de santé pour assurer la mobilité des aides et des travailleurs du secteur de la santé. Sur ses sites allemands et internationaux, le constructeur aide également les institutions sociales et publiques en faisant des dons de biens et de matériaux tels que des masques respiratoires et des désinfectants. La société travaille actuellement en étroite collaboration avec son réseau mondial de fournisseurs pour se procurer rapidement les masques respiratoires et autres équipements médicaux nécessaires. Il étudie également la possibilité de produire lui-même des masques médicaux.

 


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Pour ne pas trop subir les affres du confinement, il est primordial de sortir coûte que coûte de son isolement. En empruntant le chemin qui mène à la communication et en se remémorant des souvenirs les plus joyeux. C’est en substance la méthodologie et le message positif qu’adressent les auteurs du livre « Yvonne ne veut pas partir », Dominique COJAN et Jean-Eric FRAY, aux personnes âgées cloîtrées depuis un mois dans leur univers…

AUXERRE: Délicate, l’existence des personnes âgées se vit à l’heure actuelle avec son lot de difficultés au quotidien. Que ce soit à leur domicile ou dans une chambre d’un établissement de type EHPAD.

Quelques-unes d’entre elles ont toutefois la possibilité de s’extérioriser par le prisme de communications téléphoniques ou numériques. D’autres, plus familières aux modes d’expression offerts par le multimédia s’entretiennent avec régularité avec leur famille par Skype, Whatsapp ou Face Time. Mais, beaucoup n’ont pas cette chance.

Or, lors de ces instants privilégiés, les auteurs de l’ouvrage « Yvonne ne veut pas partir », livre qui a connu un succès notable la saison dernière en Bourgogne, distillent un conseil plein de bon sens.

Plutôt que de poser les sempiternelles questions d’usage (« tu vas bien ? », « tu dors bien ? », « tu manges bien ? », etc.) même si elles sont essentielles, ce moment de partage pourrait emprunter des chemins moins conventionnels pour se focaliser sur les souvenirs joyeux et agréables de ces personnes.

Histoire de créer un lien original permettant de faire oublier cette période d’isolement avec l’interlocuteur.

 

Qu’est-ce qui t’a rendu heureux dans la vie ?

 

Alors, il ne faut pas hésiter à garnir votre bagage de questionnements avec des formules plus utiles qui doivent être posées à l’instar de celles-ci : « qu’’est-ce qui t'a rendu heureux dans ta vie ? », « raconte-moi une anecdote joyeuse de ton enfance », « comment s'appelait tes copains et copines ? », « où allais-tu en vacances ? », « que prenais-tu à ton petit déjeuner ? », « que faisais-tu avec tes grands-parents ? »…

On s’en doute : la liste de ces interrogations est loin d’être exhaustive. Comme l’expliquent les auteurs de l’ouvrage réalisé à quatre mains, « ces questions ont le pouvoir de faire travailler la mémoire et d'emmener la personne âgée vers des souvenirs joyeux… ».

D’ailleurs, ces échanges positifs  sont souvent porteurs de découverte pour celles et ceux qui les posent. Se concentrer sur les seuls moments de joie en éradiquant tous les éléments qui évoquent la tristesse agit positivement sur la santé.

Une astuce à tester auprès de nos aînés sans modération !

 

 


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Dans un courrier qui leur a été adressé par le président de la structure associative d’Auxerre, Claude ROUSSEAU-ANDRE, les parlementaires de l’Yonne, à savoir les sénatrices Dominique VERIEN et Noëlle RAUSCENT, ainsi que leurs homologues siégeant au Palais Bourbon, les députés Guillaume LARRIVE et André VILLIERS, ont été alerté sur les réels dangers en terme de liberté publique qu’il y aurait à voter en faveur de l’application de suivi de contacts « StopCovid ». Voici l’intégralité de cette missive…

TRIBUNE : En principe, le 28 avril à l’Assemblée nationale, vous serez appelé à un débat suivi d’un vote sur l’éventuelle mise en œuvre de l’application de suivi de contacts « StopCovid », destinée à lutter contre la pandémie Covid-19 et présentée comme une application de déconfinement. Installée sur les smartphones, cette application serait capable d’alerter son propriétaire s’il a « croisé », dans les jours qui précèdent, une personne atteinte de la maladie afin qu’elle prenne les précautions d’usage pour d’arrêter la propagation de la maladie. Un service d’attribution de pseudonymes permettrait à « StopCovid » de ne pas révéler l’identité de la personne infectée croisée, et le Bluetooth ne permettrait pas la géolocalisation.

Annoncée comme conforme, notamment aux principes du Règlement général sur la protection des données (RGPD), elle respecterait la vie privée dans la mesure où l’anonymat des alertes serait garanti, et où l’utilisation du Bluetooth ne permettrait pas de géolocaliser les personnes. Elle ne serait installée que sur la base du volontariat. Présentée comme étant d’une grande simplicité, « StopCovid » comporte pourtant de nombreux paramètres qui posent problème, qu’ils soient d’ordre technologiques, médicaux, scientifiques ou éthiques.

Si le Bluetooth ne permet pas de géolocaliser les personnes, il ne permet pas non plus d’évaluer avec précision la distance entre celles-ci, ni même de détecter si elles étaient séparées par un plexiglas, une vitre ou un mur. Comme il permet d’accéder aux données du téléphone, y compris contre la volonté de son propriétaire, son activation est généralement déconseillée et doit donc être volontaire mais il peut être désactivé par certaines fonctions du téléphone, comme la lecture de sa messagerie ou autre, ce qui rendra « StopCovid » inopérant.

 

Vers un signalement de « faux positifs »…

 

Entre les deux principaux systèmes opérationnels sur les smartphones, (IoS pour les Iphones d’Apple et Android de Google pour la plupart des autres marques), les connexions Bluetooth passent mal. C’est pourquoi les deux entreprises proposent exceptionnellement un protocole de communication entre leurs deux systèmes, protocole dont on peut craindre qu’il permette aux deux « géants » d’avoir accès à quelques données du téléphone.

C’est aussi la raison pour laquelle le secrétaire d’Etat au numérique a demandé à Apple de modifier cette désactivation du Bluetooth par défaut, allant ainsi à l’encontre des principes du RGPD alors qu’il devrait en être l’un des garants. Par ailleurs quelles que soient les promesses d’anonymat, il n’est techniquement pas possible de le garantir. Même si l’on nous affirme qu’un serveur central qui distribuerait des pseudonymes sera « honnête et sécurisé ».

Les connaissances sur les modes de transmission du virus sont encore incertaines, et comme le Bluetooth ne permet pas de mesurer la distance entre les personnes ni la durée du « contact », les alertes de l’application pourraient signaler de nombreux « faux positifs ».

D’un autre côté, se déclarer atteint du Covid-19 (ou être déclaré par une autorité non encore définie) nécessite d’avoir été testé. Or, les tests manquent et sont pratiqués avec parcimonie. Par ailleurs, selon les projections mathématiques, il serait nécessaire pour que « StopCovid » soit efficace qu’au moins 60 % de la population l’installe, or même dans un Etat comme Singapour, pourtant donné en exemple, moins de 20 % de la population a installé l’application équivalente (et le confinement a dû être rétabli).

 

De la discrimination envers les populations les plus concernées…

 

Le choix d’utiliser les smartphones est un facteur de discrimination qui mettra toute une partie de la population à l’écart. En effet seulement 44 % des « plus de 70 ans » possèdent un téléphone portable tandis qu’au moins 14 % des Français ne sont pas à l’aise avec les manipulations comme l’activation du Bluetooth ou l’installation d’une application. Pourtant, ce sont souvent les populations considérées comme les plus « à risques ».

Les problèmes techniques relevés pourraient, a contrario, mettre en danger les individus trop confiants dans l’application qui ne pourra pas signaler qu’un malade qu’ils n’ont jamais croisé a touché la poignée de porte de leur boutique préférée. L’installation de « StopCovid » sur la base du volontariat traduirait le consentement des individus, mais le caractère libre et éclairé de celui-ci n’est pas avéré. En effet la pression sociale et patronale, l’éventuel refus d’accès à certains services, la stigmatisation des « réfractaires » risque d’obliger un grand nombre de personnes à l’installer.

Enfin la solution technologique que l’on vous propose de voter pour mettre fin à la pandémie porte en elle le risque d’une habituation à une surveillance généralisée, banalisée et pérenne. La fin de la pandémie étant tout à fait incertaine, la suppression de l’application, que l’on nous promet à la fin de la crise sanitaire, risque de ne jamais intervenir, d’autant plus qu’elle pourrait bien servir pour prévenir d’autres risques à venir.

Les risques d’atteinte au respect de la vie privée et au secret médical, les risques de surveillance généralisée au regard d’une efficacité tout à fait incertaine conduisent la Ligue des droits de l’Homme (LDH) à vous demander instamment de vous opposer au projet « StopCovid ». Vous comprendrez que cette démarche soit rendue publique…

Claude ROUSSEAU-ANDRE

 


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C’est une constatation flagrante depuis plusieurs semaines : il y a une recrudescence d’intérêt de la part des entrepreneurs pour la communication digitale. Alors qu’en période de crise, le premier budget impacté durablement est celui de la communication, il s’avère qu’il n’en est rien aujourd’hui. Du moins pour tout ce qui a attrait à l’outil technologique qui permet de transmettre les informations sur les réseaux sociaux…

AUXERRE : C’est ce que vit au quotidien l’agence de communication « COMMUNIK & VOUS » depuis plus d’un mois déjà. Les quatre personnes embarquées dans cette aventure professionnelle au sein de cette structure ont fort à faire pour répondre aux besoins en cascade des TPE/PME de notre territoire.

Toutes n’ont qu’une seule envie : faire savoir qu’elles existent encore par la voie des réseaux sociaux.

Connexions via Facebook, vers Instagram ou sur Twitter se multiplient. A l’instar des grandes métropoles de l’Hexagone, l’Yonne n’est pas en reste pour alimenter ces puissants réseaux devenus au fil des ans de véritables influenceurs. Tant au niveau de l’opinion et des débats d’idées que de la consommation et du développement des affaires.

Qu’il s’agisse de Cédric, informaticien de profil, Marina experte dans l’art du graphisme et de la valeur ajoutée apportée aux outils papier ou Cyrielle, spécialiste en community management, tous ont à cœur d’apporter leur savoir-faire à leur chef d’entreprise qui pilote ce navire avec maestria, Fanny VIAUT.

 

Gérer l’urgence des entrepreneurs qui veulent être présents sur la toile…

 

L’équipe, même en état de confinement, n’aborde pas la crise sanitaire en dilettante. Il faut gérer l’urgence des besoins. En particulier l’animation des réseaux sociaux de la clientèle qui profite de l’outil pour communiquer à loisir vers sa cible.

Aspect positif : l’agence de communication auxerroise a même pu développer son portefeuille avec l’apport de nouveaux clients durant cette période complexe. Mais, revers de la médaille : le flux d’activité restreint sur d’autres postes n’a pas permis d’honorer toutes les priorités évènementielles des entreprises ayant dû annuler leurs opérations au cours de ce printemps.

L’amorce de la reprise du 11 mai incite donc les entreprises à multiplier les messages vers les réseaux sociaux. Créant un vent d’optimisme, certes encore mesuré, dans le microcosme entrepreneurial de l’Yonne…

 


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