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Dès le 01er juillet 2022, tous les véhicules neufs seront équipés d’une boîte noire. Cet enregistreur de données sur route imposé par la réglementation européenne ne pourra en aucun cas être désactivé. Ce qui provoque une avalanche de commentaires de la part des automobilistes qui craignent d’être pistés. « Big brother » ou paranoïa complotiste ?

 

TRIBUNE : Dès l’année prochaine, tous les véhicules neufs vendus en Europe devront obligatoirement embarquer une puce électronique nichée dans un endroit inaccessible du propriétaire et impossible à désactiver.

Nombreux sont les automobilistes qui craignent que leurs conversations à bord de leurs autos ne soient enregistrées. Ils ont tout simplement peur d’être fliqués par les pouvoirs publics.

Si bien que, sur les réseaux sociaux, fleurissent les doutes et les craintes liés à ce dispositif : « Après le QR code des vaccins, la boîte noire des voitures, dictatures », « Aura-t-on le droit de choisir la couleur de sa boîte noire » ou encore « plus de contrôle, moins de liberté ».

Aux Etats-Unis, où toutes les autos neuves enregistrent différentes données depuis 2012, il y a eu cette même crainte du « Big brother is watching you » lors de sa mise en place.

 

 

Boîte noire : indemniser plus rapidement les victimes…

 

Que les automobilistes se rassurent : cette fameuse boîte noire enregistre beaucoup de paramètres mais ne se préoccupe ni du téléphone ni des discussions entre passagers. C’est d’ailleurs ce qui différencie ce boitier de celui que l'on retrouve dans les avions. L’idée de ce dispositif installé en 2022 dans nos autos sera uniquement de se concentrer sur les données cruciales relatives à la conduite.

En enregistrant de multiples informations, trente secondes avant et après l’accident, l’EDR n’a qu’un objectif : établir les responsabilités plus rapidement. L’article 6 énumère plus précisément les renseignements qui seront conservés : « la vitesse du véhicule, le freinage, la position et l'inclinaison du véhicule sur la route, l'état et le taux d'activation de tous ses systèmes de sécurité, le système eCall embarqué fondé sur le service 112, l'activation des freins et tout autre paramètre d'entrée pertinent des systèmes embarqués de sécurité active et d'évitement des accidents ».

 

 

Les données (anonymes) ne pourront être exploitées que par les forces de l’ordre. Autrement dit, l’assurance des conducteurs n’y aura pas accès. Les automobilistes peuvent donc se rassurer. Même si un flou persiste sur l’usage réel que des pouvoirs publics futurs et mal intentionnés peuvent faire de cette inestimable banque de données.

 

 

Réduire le nombre d’accidents sur les routes…

 

Aux Etats-Unis qui ont bien souvent une longueur d’avance sur les Européens, les statistiques montrent que depuis l’installation obligatoire de la boîte noire à bord des véhicules, les accidents ont chuté de 20 %.

Idem chez nos amis Italiens. Alors pourquoi cela n’aurait-il pas les mêmes effets positifs dans l’Hexagone ? Réponse dans un an. Une chose est sûre : si les assureurs ont moins d’accidents à indemniser, ils réaliseront des économies, ce qui fera logiquement baisser le tarif des assurances auto... 

De nombreux autres dispositifs déboulent grâce à ce système. La boîte noire ne sera pas seule. Elle sera accompagnée de systèmes d’aides à la conduite qui feront monter en gamme, en termes d’équipements, toutes les autos neuves.

Plus technologiques, plus chères à réparer, ces nouveautés, et surtout obligations, pourraient ainsi faire grimper les cotisations d’assurances auto, tout comme le prix des voitures neuves. 

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 

 


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Elle scrute avec grand intérêt la campagne annonciatrice des échéances départementales à venir (rappel des deux tours le 20 et le 27 juin), la FRTP de Bourgogne Franche-Comté ! Et pour cause ! Ces élections constituent un enjeu majeur pour l’ensemble de la filière des travaux publics. Question de pure logique : les Départements sont en effet les principaux donneurs d’ordre de la commande publique en France…

 

DIJON (Côte d’Or) : Que serait le milieu des travaux publics s’il ne bénéficiait pas de la manne concrète issue de la commande publique pour multiplier les chantiers ? Le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté Vincent MARTIN a tenu à le souligner par voie de communiqué de presse alors que se profilent les échéances électorales devant designer les futurs conseillers départementaux.

Des élections qui seront suivies à la loupe, sans aucun doute, par les acteurs économiques de la filière. Ces derniers savent que les enjeux sont d’importance pour l’avenir de leur territoire.

Principaux donneurs d’ordre de la commande publique dont l’accès n’est pas toujours aussi simple à la compréhension pour le commun des mortels, les conseils départementaux cumulent les compétences en aménagement routier et en déploiement de la fibre optique et du Très Haut Débit.

La filière, par le prisme de la FRTP, souhaite maintenir des liens étroits avec les élus de cette représentation institutionnelle.

 

 

« Nous sommes convaincus que la relance économique de nos territoires passe par une forte collaboration entre les Départements et les acteurs des travaux publics, constate le président MARTIN.

Chantre d’une relation qui s’équilibre au nom du vertueux principe du gagnant/gagnant, le responsable du syndicat professionnel en appelle à un engagement complémentaire où chacun travaillerait en symbiose sur les sujets de la mobilité, la formation, l’insertion et le retour à l’emploi.

Au cours de la crise qui s’évacue peu à peu des mémoires, la FRTP a pu compter sur le soutien sans faille de la plupart des conseils départementaux.

Certains ayant même décliné des plans de relance locaux afin de soutenir immédiatement l’activité économique et de maintenir les emplois du cru…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le clapotis de l’eau ne semble nullement gêner les orateurs. L’astre diurne illumine le quintette réuni à l’heure H, telle qu’elle a été convenue. Drôle d’endroit pour tenir une conférence de presse à vocation politique ! Les rives de l’Yonne se prêtent néanmoins à cet exercice qui ne souffre ni de mélancolie ni de morosité. Pourtant, l’un des cinq, l’ancien édile et conseiller départemental Robert BIDEAU n’est plus de la partie. Qu’importe ! Faisant fi de tous regrets, sa présence est un soutien inconditionnel aux quatre mousquetaires qui reprennent le relais !

 

GURGY : C’est bien le flambeau de l’actuelle majorité départementale dont il est question avec la présentation de ces quatre candidats qui s’attaquent à la conservation du canton d’Auxerre 2. Un secteur géographique qui avait vu la victoire nette et sans bavure de la doublette composée de Malika OUNES et de Robert BIDEAU au printemps 2015.

A l’époque, l’ancien maire de MONETEAU et la future présidente d’INIACTIVE 89 arboraient les couleurs d’une droite modérée, oscillant entre une UDI bon teint et un centre droit enclin à un futur ralliement présidentiel. Le tandem avait expédié d’un revers de main dans leurs pénates les porte-voix du Front national d’alors, Sylviane BOURGEOIS et Julien GUIBERT. Un large succès réunissant plus de 63,35 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 52,26 %.

Or, une question brûle sur toutes les lèvres aujourd’hui dans ce canton très prisé par les diverses candidatures : en sera-t-il de même lors de cette double échéance du 20 et 27 juin, associant les élections régionales ?

Des quatre patronymes d’il y a six ans, il n’en reste plus qu’un seul qui souhaite poursuivre son rôle majeur, voire victorieux, à l’issue de ces retrouvailles électives si importantes.

Il s’agit naturellement de la conseillère départementale sortante Malika OUNES. Cette dernière revendique et surfe aujourd’hui sur le bilan positif obtenu par Patrick GENDRAUD au terme de la mandature dont elle fut l’un des porte-voix les plus communicatifs. Avec en filigrane, la réduction d’une dette maîtrisée et surtout le retour à des velléités excédentaires qui permettent d’envisager l’avenir sous de meilleurs auspices, grâce de nouveaux investissements.

 

 

L’indéfectible soutien de Patrick GENDRAUD au nom de la droite, du centre et des indépendants…

 

Et, sur ce registre, la tour de contrôle du développement numérique du territoire icaunais a le regard qui s’illumine comme autant de diodes d’un ordinateur lorsqu’elle évoque son unique priorité à tenir : servir l’intérêt général.

Dès l’annonce sans surprise de sa candidature, une pluie de témoignages empathiques s’est abattue comme une giboulée de mars au-dessus de ses épaules.

Ceux des fidèles d’entre les fidèles, le saint des saints des suiveurs inféodés à son dynamisme et à sa verve qui n’a pas pour habitude d’être mâtinée de langue de bois ni de circonvolutions alambiquées !

Dans ce « fan-club », on y retrouve, quoi de plus naturel en somme, la moitié masculine de l’ancien binôme qui l’a porté sur le perchoir de l’hémicycle départemental, en sa qualité de vice-présidente en charge du numérique : Robert BIDEAU.

Retiré définitivement de la vie politique, l’ancien édile de MONETEAU qui a claqué la porte sans crier gare du conseil municipal le mois dernier ? En tout cas, son influence demeure très prégnante. Cela se voit. A l’identique de son bilan dont beaucoup se revendiquent aujourd’hui…

 

 

 

 

 

 

On ne peut effacer indubitablement vingt-cinq années de vie publique (municipalité et département confondus) en deux coups de cuillère à pot ! Même l’adversaire d’hier, Patrick PICARD, rallié à sa cause désormais, vit comme un état de grâce ce privilège de marcher dans les pas de l’auguste personnage, omnipotent de ce canton.

Autre figure politique qui cautionne l’existence de ce binôme, bénéficiant de son « indéfectible soutien et son appui total » : le président de l’exécutif départemental en personne !

Patrick GENDRAUD considère en effet ses deux représentants ainsi que leurs suppléants, la trentenaire Emilie LAFORGE, nouvellement élue à Branches en charge des cheminements doux à l’Agglo de l’Auxerrois, et Emmanuel CHANUT, édile de Perrigny depuis 2014, comme membres à part entière de la majorité départementale droite, centre et indépendants. Un choix qui s’est fait au nez et à la barbe du binôme pourtant estampillé divers droite qui est piloté par Arminda GUIBLAIN et Magloire SIOPATHIS !

Ce quitus accordé par le président de la vénérable institution ressemble à s’y méprendre à un cadeau déposé dans la corbeille de la mariée pour ce nouveau couple politique constitué de deux personnages à tempérament.

 

Des axes prioritaires dont la santé, le numérique et la mobilité…

 

Sans ambages, du côté des ralliements à leur cause, le député de la deuxième circonscription, et ancien homme fort du Département, André VILLIERS, ajoute une couche de Ripolin supplémentaire sur le binôme d’Auxerre 2. « Une liste qui est la plus représentative à ses yeux… ».

Mais, le plus étonnant de ces soutiens VIP émane du milieu sportif. A commencer par l’inénarrable ancien entraîneur de l’AJ Auxerre, le toujours charismatique Guy ROUX. Entre deux séances de dédicaces servant à la promotion de son ultime opus (« Confidences »), l’homme au bonnet bleu transforme le pénalty en faveur de la pasionaria de la fibre optique, de l’économie sociale et solidaire. Un but à zéro, la balle dans le rond central avant de réengager la partie !

Enfin, avant de se lancer dans son long raid cyclotouriste qui le mènera d’ici peu au pied de l’une des plus grandes tours de la planète à Dubaï, Abderrazzack EL BADAOUI s’est fendu, lui aussi, de son message honorifique. Il a salué une vieille amitié qui perdure avec Malika OUNES, une relation qui s’est bonifiée depuis vingt ans, empreinte d’humanisme et d’altruisme…

 

 

 

Bref, tous ces compliments s’amoncellent façon « Très Haut Débit » pour celle des candidates qui désire porter un intérêt tout particulier au monde associatif, clé de voûte de la cohésion sociale d’un territoire.

De son côté, l’ancien vice-président du SDEY (Syndicat départemental des Energies de l’Yonne) Patrick PICARD entend bien jouer lui aussi les notes harmonieuses de sa partition.

Pour se faire, l’ex-premier adjoint de MONETEAU décline son engagement dans cette campagne autour de trois axiomes prioritaires : la lutte contre la désertification sanitaire, à son paroxysme avec les effets de la COVID, favoriser le contournement sud de la ville d’Auxerre sans omettre d’évoquer la nécessaire déviation septentrionale de la même agglomération et enfin un fort accompagnement des communes dans la réalisation de leurs projets.

Un autre dossier domine les préoccupations de cette équipe : le développement de l’aérodrome d’Auxerre Branches via l’essor de l’aviation d’affaires tout en préservant et en défendant l’environnement. Sans que le moindre végétal ne soit abattu in fine. Cet item crucial dans des perspectives favorables à l’économie fera l’objet d’un article à paraître prochainement dans nos colonnes…

D’ici là, les héritiers légitimes de Robert BIDEAU vont tenter de convaincre leur électorat pour que se poursuive au quotidien après le 27 juin le travail prospectif entamé initialement par ce dernier…

 

Thierry BRET

 

 


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750 euros nets par mois. Une misère pour les bénéficiaires de ce maigre salaire. C’est pourtant celui des AESH. Un acronyme usité par l’Education nationale. Il signifie « Accompagnants d’élèves en situation de handicap ». Tout un programme qui, s’il est vertueux sur le papier, n’en demeure pas moins le combat acharné de celles qui l’exercent. En grève, ces femmes à la limite de l’exploitation revendiquent le droit à un vrai statut, une hausse significative de leurs revenus et surtout l’abandon des PIAL qui ont dégradé leur existence…

 

AUXERRE : Elles n’osent pas prendre la parole sans doute par excès de timidité. Mais, leur colère bouillonne à fleur de peau. Cela se ressent comme un fil d’Ariane bien visible durant le cercle qu’elles forment face à la préfecture.

Le regard triste, le vague à l’âme, elles écoutent en serrant les poings les représentants de l’intersyndicale (Force Ouvrière, FSU, Sud et CGT) égrener le lot de revendications. A leurs yeux, ô combien légitime.

Comment, en ce premier quart du vingt-et-unième siècle, celui dit du progrès social, de la haute technologie et du libéralisme à haute dose peut-on décemment subvenir à ses besoins au quotidien dans un tel contexte sociétal avec dans sa besace un piteux salaire de 750 euros nets par mois ?!

Une aberration à peine croyable mais qui est pourtant celle vécue par ces personnels de l’Education nationale, les fameux « AESH ». De vertueux employés à la reconnaissance aussi nulle que peut l’être la valeur de leurs revenus !

C’est pour ses multiples raisons que ces femmes sont descendues dans la rue et occupent, de manière symbolique, la place de la préfecture. Pour montrer aux Auxerrois, comme aux Sénonais le matin même, qu’elles existent en ce jeudi 03 juin!

Pour se sentir plus fortes aux côtés de celles et ceux qui les soutiennent dans leur long combat qui, au bout de plusieurs mois de revendications, n’a pas l’air d’aboutir, à leur grand dam.

 

 

 

 

L’arrêt immédiat des PIAL : l’une des revendications primordiales…

 

 

Mobilisés au plan national le 08 avril dernier, les AESH battent de nouveau le pavé deux mois plus tard avec une pugnacité identique et une unique obsession : faire que les choses avancent et changent !

En matière d’évolution, des progrès restent à faire. Revalorisation très nette des salaires, reconnaissance professionnelle avec l’émergence d’un réel statut de fonctionnaire d’Etat qui les protège et surtout passer sous les fourches caudines ce maudit PIAL qui les perturbe de façon considérable. PIAL, signifiant les Pôles inclusifs d’accompagnement localisé.

Un sabir obscur de technocrate, noyé dans un énième acronyme, pourtant au centre de toutes les polémiques actuelles en France, mis en exergue depuis l’automne 2019 et qui ne contente personne.

Ce PIAL se définit dans le concret de la manière suivante : ce sont des aides mutualisées à répartir entre plusieurs élèves sur un territoire géographique de plus en plus étendu.

Conséquence pour les AESH, elles doivent dédoubler d’efforts sur un espace territorial de plus en plus important, tout en réduisant le nombre d’heures de présence humaine auprès de celles et ceux qui en ont le plus besoin : les enfants victimes de handicap !

 

 

Une délégation reçue par la directrice de cabinet de la préfecture…

 

Non seulement, le personnel de l’Education nationale (enseignants compris) s’insurge contre de telles pratiques rétrogrades mais les parents d’élèves, ceux étant concernés par le suivi de leur enfant handicapé, montent au créneau avec des cris d’orfraie pour que cesse enfin ce scandale. Celui des oubliés du handicap !

Cette flexibilité à tout crin viserait presque à disloquer les fondements de l’Education nationale, selon certains syndicats.

« On veut une société humaine, à l’écoute de son prochain, confie le secrétaire départemental de la FSU 89, Philippe WANTE, les AESH sont méprisés par l’Education nationale. Personne ne doit rester insensible à cette mobilisation organisée au nom de l’enfance handicapée… ».

Ce sont aujourd’hui près de 110 000 personnes, soit 10 % des agents de l’Education nationale, qui vivent cette terrible et inextricable situation dans le pays. Dont on ne voit pas la fin.

 

 

 

 

Le dossier a été naturellement porté à la connaissance du principal intéressé, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER. Pour quelle suite ?

De même, localement, la directrice de cabinet de la préfecture Marion AOUSTIN-ROTH a pu s’entretenir durant une cinquantaine de minutes en milieu de matinée ce jeudi 03 juin  avec une délégation de l’intersyndicale qui lui a fait part de ses revendications.

« Nous avons espoir d’être enfin entendu glisse un brin optimiste Philippe WANTE, qui place aussi le recrutement immédiat de personnels AESH parmi les grandes priorités afin de répondre aux nombreuses demandes des parents dans le désarroi.

Au-delà de l’écoute et des palabres, il serait grand temps, désormais, que viennent le temps de l’action et celui des actes concrets à graver dans le marbre…

 

Thierry BRET

 

 


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Elle connaît le territoire de l’Yonne comme le fond de la poche de l’imperméable qu’elle porte ce jour-là, Véronique MORLIGHEM ! Il est vrai que la déléguée régionale d’ORANGE en Bourgogne Franche-Comté n’est pas avare en déplacements. Profitant de l’inauguration de la énième armoire accueillant la fibre optique, le porte-voix de l’opérateur s’est rendu dans l’Auxerrois afin de constater que le déploiement de ce moyen de communication progresse à grands pas…

 

BLEIGNY-LE-CARREAU : 118 armoires accueillant les fils multicolores de la fibre optique (selon la diversité des entreprises proposant les services de ce mode de communication) ont déjà été installées sur le bassin de l’Auxerrois.

Est-ce à dire que la responsable régionale du groupe ORANGE, qui en facilite l’accès direct sur le terrain, aurait participé à chacune des inaugurations officielles aux côtés des autorités ? Si tel était le cas, les kilomètres affichés au compteur de son véhicule qui lui permet de voyager entre le siège de Côte d’Or et le département septentrional de Bourgogne seraient proprement vertigineux !

 

 

 

Plus sérieusement, cela traduit que la patronne de l’opérateur de télécommunication veille de très près à la bonne fonctionnalité des réalisations. Comme elle le pratique à chaque rendez-vous, accompagnée de deux de ses partenaires institutionnels en charge du développement du numérique, soit au plan départemental, Malika OUNES, soit au plan de l’agglomération de l’Auxerrois, Arminda GUIBLAIN, Véronique MORLIGHEM a donc profité de cette antépénultième visite accordée à l’Yonne pour faire le point de la situation.

Un contexte qu’elle qualifie de positif, non loin de la face émergée de l’iceberg fibre optique, c’est-à-dire ladite armoire métallique, unique représentation visuelle palpable aux yeux du commun des mortels à propos de ce sujet.

ORANGE, devait-elle rappeler, déploie à l’heure actuelle la fibre optique sur ses propres deniers dans une vingtaine de localités de cette agglomération auxerroise. Tout ceci sous le sceau du plan France Très Haut Débit.

 

 

 

 

96 % des logements de localité de l’Auxerrois peuvent souscrire une offre…

 

L’opérateur installateur de ces armoires ne chôme pas. Circulation de la COVID ou pas, d’ailleurs ! 600 000 logements de notre contrée régionale disposent déjà des connexions idoines, les reliant au monde à la vitesse de l’éclair. Sur le bassin auxerrois, ce chiffre équivaut à plus de 33 000 logements. Soit 84 % du parc potentiel de foyers à raccorder.

A Bleigny-le-Carreau, environ 96 % des 160 logements que compte la bourgade dirigée par Frédéric PETIT, peuvent désormais souscrire à une offre auprès du fournisseur d’accès Internet de leur choix.

Dans l’absolu, il ne reste plus que cinq habitations à équiper ; autant dire une broutille qui devrait être rapidement comblée.

 

 

 

Au-delà de ces armoires, ORANGE poursuit l’installation des points de branchement. Ce sont des petits boitiers qui sont indispensables pour faciliter le raccordement des logements à la fibre. L’opérateur en appelle à la mobilisation des bailleurs, des particuliers, des syndics à accepter la pose de ces points de branchement sur leur façade ou à l’intérieur des bâtiments à raccorder.

Rappelons que le terme de ce déploiement est prévu fin 2022. Conformément aux engagements pris par l’Etat pour réduire la fracture numérique et offrir l’accès aux moyens de communication modernes à chacun des Français.

 

Thierry BRET

 

 


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