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A l’heure où la campagne pour les élections municipales bat son plein, il nous semble important de rappeler le rôle de l’économie de proximité, et plus particulièrement de l’artisanat, dans la vie économique et sociale de nos territoires. Quelles soient urbaines ou rurales, nos communes ne sauraient se passer de leurs artisans…

TRIBUNE : L’artisanat est l’un des rares acteurs économiques à être présent sur chaque ville et chaque village de notre région. Quand nos concitoyens regrettent, à juste titre, la délocalisation des services publics et la déshumanisation des relations, les artisans demeurent dans de nombreux cas les derniers liens de proximité pour la population locale.

Il est vital que les candidats, et plus tard ceux qui seront aux responsabilités, se donnent les moyens de favoriser le développement de l’artisanat sur leur commune.

Qu’elle soit installée en zone rurale ou dans un quartier urbain, une entreprise artisanale trace autour d’elle un cercle vertueux. Elle propose des services et des produits à la population locale. Elle permet à des jeunes d’apprendre un métier grâce à l’apprentissage. Elle offre des perspectives d’emplois non délocalisables. Elle tisse du lien entre les habitants pour qui le commerce local demeure parfois l’unique lieu de rencontre sur la commune.

Encore faut-il que les communes soient en capacité de conserver leur tissu artisanal local et qu’elles mettent en œuvre des politiques pour favoriser l’implantation de nouvelles entreprises. Ces initiatives sont complexes et nécessitent à la fois une connaissance pointue de l’environnement économique local et une expertise dans l’accompagnement des entreprises.

 

 

Les promesses doivent être suivies d’actions…

 

Pour les aider dans la définition de leur politique économique, les Chambres de Métiers et de l’Artisanat mettent à la disposition des candidats et des futures équipes municipales un Livre Blanc qui recense des actions couronnées de succès à travers toute la France.

Ce recueil démontre que les partenariats entre les communes, plus largement avec les EPCI et le Conseil Régional, et les chambres consulaires conduisent à des résultats concrets et bénéfiques pour les territoires.

Les initiatives sont multiples : favoriser la transition écologique des entreprises, diagnostiquer les besoins d’un territoire, aider à l’installation de nouvelles activités, permettre la transmission des entreprises, redynamiser un centre-ville, inciter les habitants à consommer local, accompagner les entreprises locales dans l’accès à la commande publique… une soixantaine d’exemples sont présentés. De quoi nourrir de nombreux projets pour nos communes.

Nous en sommes convaincus, l’artisanat ne sera pas oublié dans les promesses des candidats. Mais, plus important encore, il faut que ces promesses soient suivies d’actions une fois que les équipes seront en place.

Les 56 000 entreprises artisanales de Bourgogne Franche-Comté, leurs 4 400 apprentis, leurs 87 000 salariés sont une chance pour notre région. A vous, à nous de leur donner les moyens d’exprimer la pleine mesure de leur talent !

 

Emmanuel POYEN et Jean-François LEMAITRE

 


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La présence d'un rucher au sein d’une entreprise est loin d’être inconcevable en soi. Le phénomène qui n’a rien de modal s’amplifie d’ailleurs en France depuis plusieurs années. Et lorsque l’on dispose de onze hectares de terrain, où la nature a presque repris ses droits, il est facile d’y intégrer des colonies d’abeilles à son environnement ! L’unité de production sénonaise de la filiale du géant de la chimie, BASF, a sollicité des spécialistes de l’apiculture pour réussir cette implantation. Une manière intelligente et coordonnée de réaliser des choses favorables à la sauvegarde et à la préservation de la nature…

SENS : Un poids lourd de l’industrie chimique qui agit en faveur de la protection de l’environnement ? Ce n’est pas un pléonasme. Mais, bel et bien la réalité parfaitement maîtrisée au sein de la filiale de la société allemande, BASF, le groupe CHEMETALL.

Sur les quatorze sites implantés dans l’Hexagone, onze d’entre eux sont déjà engagés dans cette démarche environnementale très louable. Nouvellement en poste à Sens, Patrick GRUBERT, directeur de l’unité de production de l’Yonne, ne pouvait rester indifférent à ce message fort, véhiculé au sein du groupe.

Ni se soustraire à suivre les traces déjà bien profondes marquées sur le terrain local par son prédécesseur, M. FOUCAUD. Ici, dans cet espace pourtant à risques et classé SEVESO, la biodiversité tient sa place.

Il suffit pour s’en persuader de se promener aux abords des bâtiments industriels et de contempler avec surprise une nature verdoyante où s’ébattent des représentants de la faune sauvage. A commencer par les oiseaux et les ragondins ! Ils vivent en nombre aux abords de la petite rivière qui coule parmi ses parcelles de terre en friche.

C’est ici que seront installés dans quelques jours les ruchers. Dans un endroit retiré de la vie industrielle et à l’abri des regards de la présence humaine. L’enjeu est important pour Patrick GRUBERT qui ne le trouve absolument pas chronophage.  

Autour de cet espace, des jachères fleuries faciliteront l’implantation des colonies d’abeilles en faisant office de réservoir nourricier. Il est souhaitable que les insectes pollinisateurs disposent d’un territoire où la nourriture soit abondante. C’est là qu’entre en jeu l’apiculteur qui aidera au développement de ces colonies. En fonction de ses analyses, il apportera le complément alimentaire nécessaire aux besoins vitaux des abeilles.

 

 

 

Une présence insolite de la faune sauvage et de plantes sur le site…

 

Construit en 1930, ce site industriel assure une production annuelle de 30 000 tonnes par an. Des produits à la toxicité lourde qui servent au traitement de surface (lessivage, dégraissage, protection anticorrosion…) et sont utilisés auprès des groupes industriels de l’automobile, de l’aéronautique, de l’industrie métallurgique.

Il n’empêche que la prolifération de martin-pêcheur, de poissons dans le ru qui s’écoule en arrosant les joncs et les plantes aquatiques, offre un contraste étonnant. Il existe bel et bien un biotope à préserver dans ce lieu qui aurait pu paraître hostile sur le papier.

 

 

 

 

Le programme d’implantation des ruches débutera en avril. C’est l’association des apiculteurs de l’Yonne qui en assurera la manœuvre technique. En respectant le cahier des charges de la responsable du projet biodiversité au sein de CHEMETALL France, Sandrine LEBLOND.

Cette dernière possède l’expérience requise et un véritable recul analytique sur le sujet. Le groupe industriel a déjà exploité le filon sur l’un de ses sites à Clermont de l’Oise où une production de 150 kg de miel a été obtenue en 2018 sur une zone de  43 hectares, bondée de cervidés et d’animaux de la faune sauvage.

 

 

 

 

Un mariage entre industrie et nature plausible…

 

Déployé en mai 2011 à l’échelle hexagonale, ce programme d’optimisation de la biodiversité sert de référence à la filiale française de BASF. Rappelons que le poids lourd de la chimie internationale possède trois cents unités industrielles et emploie plus de 110 000 collaborateurs !

Cet ancrage vers le développement durable aura fait l’objet d’une signature de convention partenariale dans le cadre du concept « ACT FOUR NATURE » par le président de BASF France en personne, Thierry HERNING.

Près de soixante-dix entreprises et une vingtaine de structures partenaires y réfléchissent avec assiduité à la sauvegarde de l’environnement. A l’aide de fiches techniques, chacun des projets est consciencieusement étudié. A l’instar de la faune, de la flore, des insectes qui occupent ces zones.

En 2019, alors que soixante-et-une personnes étaient impliquées sur les projets environnementaux développés par les onze sites de CHEMETALL, 176 heures de formation furent données et 26 actions de communication avec la présence de onze partenaires extérieurs furent réalisées.

Aujourd’hui, ces observateurs atypiques de la nature ont dénombré 172 espèces végétales répertoriées sur les onze sites à l’étude, et comptabilisées des nichées d’oiseaux et d’hirondelles.

Comme quoi, le mariage entre le monde industriel et la nature se révèle tout à fait plausible grâce à de telles initiatives.

 

Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.

 

 

 


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Un communiqué émanant du bureau de l’antenne icaunaise du MoDem explique la franche poussée de fièvre que vit depuis quarante-huit heures le parti centriste à Auxerre. A quelques jours du premier tour des municipales, il traduit l’opposition, farouche, qui existe entre le président du mouvement des démocrates, Pascal HENRIAT, et certains membres de l’appareil exécutif. Avec en toile de fond, un mot qui revient en force tel un dénominateur commun : celui de la démission !

AUXERRE : Le ton monte au sein du Mouvement des Démocrates de l’Yonne. A une encablure du premier round officiel offert par les élections municipales le 15 mars, il semblerait que le ring où doit s’affronter par bulletins de vote les oppositions se soit déplacé ailleurs. Précisément au sein de la formation politique incarnée dans l’Hexagone par François BAYROU.

Il est clair qu’à la simple lecture du communiqué de presse adressé par le bureau du MoDem de l’Yonne dimanche en fin de journée aux rédactions, le torchon brûle entre le président de l’organe associatif politique, Pascal HENRIAT, et une frange contestataire de son bureau.

 

Exiger une nouvelle élection et choisir un autre président…

 

La raison est, on ne peut plus claire : ledit organe décisionnel ne peut plus cautionner la dérive de son président en chair. Ainsi, peut-on lire :

« Retrouver le président du MoDem Pascal HENRIAT dans une liste soutenue par Les Républicains, dirigé dans le département par Guillaume LARRIVE, sans l’accord de son bureau et voir maintenant que cette même liste où il est en troisième position est soutenue par Debout La France, le parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN, n’est pas en adéquation avec les valeurs du mouvement démocrate… ».

Un peu plus loin, l’un des signataires de ce texte à charge contre Pascal HENRIAT précise que « les membres du bureau départemental n’ont jamais été concerté par la démarche prise par leur président ».

Et d’ajouter : « son refus de s’expliquer nous pousse aujourd’hui à demander officiellement la démission de Pascal HENRIAT qui bafoue la vision humaniste d’une Europe unie… ».

La conclusion de ce document n’offre pas d’autre alternative pour le bureau du parti en proie à une déchirure interne que de procéder à de nouvelles élections afin d’élire un nouveau représentant à sa tête, plus en accord avec les valeurs du mouvement.

Interrogé à la suite de la diffusion de ce texte via les réseaux sociaux, la réaction du premier intéressé ne s’est pas fait attendre !

Pascal HENRIAT, jamais avare de bons mots, dénonce la « fourberie » de certaines personnes du bureau alors que beaucoup de ses membres n’avaient pas été contactés au préalable par les instigateurs de ce courrier.

Rappelant qu’il avait été nommé chef de file du MoDem pour Auxerre pour discuter et négocier avec les candidats en lice aux municipales, Pascal HENRIAT avait fait le choix en janvier dernier de rejoindre la liste d’ouverture portée par Crescent MARAULT. Avec l’absolution de son président national : François BAYROU.

 

 

 

Une situation complexe dans bon nombre de villes en France…

 

Puis, ciblant volontiers Laurent DEVELLE (ce dernier est l’un des colistiers de la liste conduite par Guy FEREZ « Un Nouvel équilibre »), le leader départemental du MoDem précise de son côté qu’il n’avait été informé de ce choix.

Il est vrai que les orientations stratégiques du MoDem, d’une ville à l’autre dans l’Hexagone, ne sont pas régies sous le sceau de l’uniformisation et l’harmonie.

Et Pascal HENRIAT d’énumérer le soutien du parti centriste au maire sortant de Bordeaux qui est LR, voire celui de la même obédience idéologique du Touquet qui se bat contre les candidats de La République en Marche. Dans le fief d’Emmanuel MACRON, paradoxe !

Bref, difficile de s’y retrouver dans ce kaléidoscope nébuleux sur les choix politiques et stratégiques !

« Parlons du député Guillaume LARRIVE, ajoute un Pascal HENRIAT détendu, ce dernier qui est membre du bureau politique des Républicains apporte son soutien aux maires de Nice et de Toulouse alors que ces derniers sont investis pat LREM ! Or, je n’ai pas entendu Laurent DEVELLE protester contre ces investitures aux candidats soutenus au plan national par l’élu de l’Yonne. Existerait-il deux poids, deux mesures ?! ».

Le mot démission revient sous le feu des projecteurs. Pascal HENRIAT a lui-même demandé, il y a un mois, le retrait de Laurent DEVELLE pour cause de double appartenance anormale.

« Ce monsieur cumule des responsabilités importantes au sein du MoDem et de La République en Marche dont il est coordonnateur pour Auxerre, alors que cela est formellement interdit… ».

Serein face à ce qu’il qualifie d’un « peu d’affolement » dans le camp de Laurent DEVELLE, le chef de file du Modem n’accorde que peu de crédits à ces « petites manœuvres politiques » visant à le déstabiliser.

« Vous savez, conclut-il, dimanche prochain, les électeurs voteront en leur âme et conscience pour une liste d’ouverture du centre droit ou une liste LREM/PS menée par Guy FEREZ et ses dix-neuf années de mandature en tant que maire… C’est cela le plus important à mes yeux, pas les gesticulations de Laurent DEVELLE à qui on fait jouer le rôle du petit toutou charger de mordiller les mollets ! ».

Quoi qu’il en soit, la cohésion au sein du MoDem départemental méritera que l’on s’y intéresse de plus près après ces élections…

 

 


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Ce n’est pas de gaité de cœur que la présidente de l’agence de développement touristique, Yonne Tourisme, a annoncé à l’assistance présente lors de l’assemblée générale la décision entérinée quelques minutes auparavant par son conseil d’administration. La mort dans l’âme mais respectueuse des préconisations gouvernementales propres à la sécurité de chacun face à la propagation du coronavirus, Anne JERUSALEM a dû se contraindre à tirer un trait définitif sur la seconde édition de la prometteuse manifestation populaire…

JULLY : Question légitime que chacune des personnes participantes à l’assemblée générale de l’agence Yonne Tourisme se posait avant l’ouverture de la session : la FAMILY WEEK serait-elle maintenue cette année ?

Devant se dérouler sur les journées du 28 et 29 mars, la seconde édition de cette grande fête familiale populaire n’aura finalement pas lieu aux dates convenues.

La prolifération des cas de coronavirus à l’échelle de l’Hexagone (près de 130 cas recensés pour l’heure en Bourgogne Franche-Comté) aura eu raison, et ce de manière indicible, du rendez-vous festif printanier que s’apprêtait à organiser les équipes de la vénérable institution et ses partenaires dont le Conseil départemental.

Réuni en début d’après-midi, ce lundi 09 mars sur l’agréable site architectural du château de Jully dans le Tonnerrois, le conseil d’administration de l’organisme a pris soin de ne pas donner suite à la manifestation. Au grand dam de celles et ceux qui se faisaient un malin plaisir d’y prendre part.

 

 

 

A commencer par le président de La Grange de Beauvais, lieu d’accueil de l’évènement à VENOUSE. Dépité, Patrick HENRY devait faire grise mine à l’annonce de cette information néfaste, tombant comme une sentence funeste sur cette joviale manifestation.

D’autant que manifestement, et au vu de son exigence et sa structuration, elle ne pourra être reportée à une autre date de l’année. Les aficionados de cette célébration festive devront donc s’armer de patience et attendre désormais le printemps 2021 pour retrouver la future édition.

Côté budget, celui requis initialement autour de la manifestation pour sa phase logistique et communication nécessitait 15 000 euros. Si une partie de cette enveloppe a déjà été consommée en présence publicitaire, la réactivité des responsables de l’agence Yonne Tourisme aura permis de limiter toutefois la casse financière.

Les panneaux d’affichage réservés à ces effets d’annonce seront maintenus. Ils contiendront un tout autre message sur leur support : le choix de l’item est multiple car l’agence de développement touristique est plutôt prolixe en matière d’information.

 

 


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Le programme développé par le candidat de la droite et du centre aux échéances municipales auxerroises est ainsi jugé réaliste et cohérent tant sur le logement que sur la sécurité, la mobilité, le développement économique ou le cœur de ville. Des arguments qui confortent les choix du secrétaire départemental du parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN, Pascal BLAISE, a apporté son soutien à la liste « Auxerre au Cœur » conduite par Crescent  MARAULT…

AUXERRE : Parmi les 350 personnes présentes lors du récent meeting du porte-étendard de la droite et du centre dans la capitale de l’Yonne, les suiveurs de la politique départementale auront pu aisément identifier le représentant de Debout La France 89, Pascal BLAISE. Pur anachronisme de circonstance ou choix délibérément stratégique ?

Quelques heures avant cette réunion de campagne, un communiqué de presse de la formation de la droite souverainiste clarifiait les choses. Dans cet écrit, le secrétaire départemental de DLF 89 apportait son soutien à la liste « Auxerre au Cœur » conduite par Crescent MARAULT. A l’instar de toutes les autres listes de la droite républicaine déclarées dans l’Yonne…

« Constatant le déclin permanent de la ville tant au niveau économique que démographique après 37 ans de mandats municipaux du maire sortant, précisait le communiqué, nous ne pouvons qu’accréditer et soutenir les propositions faites par le candidat à la tête de la liste « Auxerre au Cœur »… ».

Ce choix a été entériné lors de la tenue de l’assemblée générale départementale de la formation. Un soutien qui s’élargit à l’ensemble des listes républicaines qui se présentent dans l’Yonne. Debout La France 89 ne présentant pas de liste à son identité sur notre territoire…

Au-delà de cette prise de décision, le mouvement de Nicolas DUPONT-AIGNAN se satisfait du refus argumenté par le Conseil d’Etat de classifier ce parti en un représentant d’extrême-droite comme l’avait stipulée en amont une circulaire émanant du ministre de l’Intérieur, Christophe CASTANER.

Fort de cela, et sans aucun doute en vertu du fameux principe de la loi du Talion (dent pour dent, œil pour œil !), Debout La France a invité l’ensemble de ses électeurs de l’Hexagone à sanctionner toutes les listes municipales positionnées, parrainées et soutenues par La République en Marche lors de ces échéances municipales.

Dans le sérail politique, on appelle cela un prêté pour un rendu !

 

 


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