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Doit-on être un responsable autoritaire pour que l’entreprise atteigne ses objectifs et tourne bien ? Ou faire montre de plus de pragmatisme participatif en développant l’esprit d’initiative et la concertation tous azimuts ? Autant d’interrogations qui devraient trouver leurs réponses lors du prochain rendez-vous du Club des Ressources humaines de la chambre consulaire de l’Yonne, proposé ce jeudi 12 mars à Auxerre…

AUXERRE : Ce n’est peut-être pas encore une sinécure mais agir en qualité de chef d’entreprise peut s’avérer très complexe dans notre société actuelle. Il est vrai que s’est développée au fil de ces dernières années une kyrielle de styles de management dont les plus courus portent autour de l’entreprise libérée.

Comment le patron de 2020 doit-il appréhender son rôle ? Doit-il faire preuve d’autoritarisme absolu ou déléguer davantage vers ses plus proches collaborateurs ?

Différents témoignages, et non des moindres, viendront étayer ces questions passionnantes en apportant leur lot de réponses appropriées.

 

 

Jeudi 12 mars, à 18 heures, la grande salle de réunion de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, à Auxerre, recevra ce débat qui s’avère ô combien passionnant dans le contexte économique actuel.

Un débat qui sera introduit par Jean-Pierre LANTERNIER, cheville ouvrière de ce club R.H. qui accueille depuis plusieurs saisons et à rythme régulier ce type d’initiatives intellectuelles et pratico-pratiques.

Sont prévus parmi les intervenants de cette session : Sonia MOUFFOK (PROXIMALIA), Emmanuel DUBOIS (ULMANN), Jean-Baptiste MILLIERE (ARMATIS), Yannick FINTONI (Bureau Vallée) et Jean-Claude DUVAL (PSAV).

Mesdames et messieurs les participants, à vos questions et suggestions !

 


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Notre pays déteste-t-il les entreprises qui la servent en faisant pourtant fonctionner tous les rouages économiques nécessaires à son essor et à son développement ? La question n’a rien d’incongrue dans le contexte actuel. Et elle mérite d’être enfin posée ! Elle émane de l’un des responsables de l’UIMM de l’Yonne, son président Jean-Dominique DAGREGORIO. Chef d’entreprise de son état, celui-ci aimerait que les décideurs économiques de l’Hexagone puissent enfin bénéficier des mêmes avantages que leurs concurrents européens pour jouer dans la cour internationale…

AUXERRE : Lucide et très réaliste dans ses analyses, le responsable de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie de l’Yonne. Le successeur de l’emblématique André BEX souhaiterait que les choses évoluent enfin dans ce pays.

Notamment dans la perception que l’Etat et d’autres zélotes des milieux administratifs peuvent se faire du monde entrepreneurial. Un milieu le plus souvent considéré comme un faire-valoir qui doit affronter un chemin parsemé d’embûches où les mines et les chausse-trappes du quotidien ne sont pas toujours posés par un ennemi venu de l’extérieur !

Pour le patron de la société NOGUES, qui a pris les rênes de l’un des principaux syndicats de la filière industrielle en juin dernier, « les entrepreneurs progressent aujourd’hui en terrain hostile, voire en position délicate par rapport à leurs homologues européens en 2020… ». Comme ce fut déjà le cas l’année dernière.

Au demeurant, s’engager sur la voie de l’entrepreneuriat aurait pu être jalonné de succès retentissants et de facilité pour y parvenir, avec l’appui des partenaires conventionnels. Oui mais voilà, il n’en est rien !

Jean-Dominique DAGREGORIO lâche la bride en appuyant l’index sur l’endroit où la douleur est sourde.

« Il est regrettable, précise-t-il, qu’une partie de la population semble hélas devoir définitivement considérer que l’intérêt général se construit par la somme d’intérêts particuliers… ».

 

 

 La motivation de l’entrepreneur est de créer de la richesse nationale…

 

 

Un amer constat qui l’amène à évoquer la voie de l’entrepreneuriat. Celle que des milliers de patrons vivent parfois isolés dans leur bulle au quotidien.

« Il est de plus en plus insupportable de devoir chaque jour prendre le départ d’une compétition, le plus souvent internationale, où les concurrents s’engagent sur la grille de départ à bord d’engins allégés ; quand nous-autres concourront avec des sacoches lestées de plomb qui prennent la forme de surabondance de taxes, de règles, de normes, mais aussi de grèves, de blocages de ports, de trains qui ne circulent pas, etc. ».

C’était sans compter sur la propagation virulente et alarmiste du coronavirus qui, depuis quelques semaines, rajoute une ligne supplémentaire à cette litanie de mauvaises nouvelles.

Toutefois, le chef de file de l’UIMM du territoire icaunais croit toujours aux valeurs de l’entrepreneuriat : «  La motivation des entrepreneurs est avant tout de faire fonctionner nos entreprises, de les développer, de créer de la richesse avec des femmes et des hommes qui s’engagent avec nous dans une relation contractuelle saine, sincère et apaisée… ».

 

 

Mais, alors, pourquoi ce pays, cette France adore tant détester ces entreprises qui demeurent le terreau de sa réussite et de son rayonnement aux quatre coins de la planète ?!

« C’est à croire qu’elle adore se détester elle-même, subodore Jean-Dominique DAGREGORIO…

Quant au contrat de travail, autre sujet d’actualité, il devrait voir l’aboutissement des travaux et négociations menant à l’émergence d’une nouvelle convention collective de la métallurgie. Et ce, dès cette année, selon lui.

Une nouvelle norme sociale qui serait ensuite déployée dans toutes les entreprises au nom de la modernité, de l’harmonisation, de la sécurité juridique.

S’interrogeant sur le capital humain qu’il est juge indispensable de préserver et de maintenir dans les entreprises, le président de l’UIMM opte pour l’intégration d’apprentis et l’accueil de stagiaires en reconversion en matière de formation. Observant que les solutions de recrutement à court terme n’existent pas. Parce que les chiffres du chômage demeurent encore trop élevés en France. Et surtout parce que cette population de demandeurs d’emploi ne possède pas les qualifications professionnelles requises pour pouvoir intégrer les structures industrielles qui en ont pourtant un besoin immédiat.

 

 

Le maintien du Pôle Formation 58/89 au plus haut niveau reste intact…

 

Tout comme leurs confrères qui sont implantés dans le périmètre de grandes métropoles, les industriels de l’Yonne méritent de pouvoir disposer des mêmes ressources et équipements de proximité, en matière d’outils au service de la formation professionnelle et de l’apprentissage. Un point très important que relève ensuite l’industriel de l’Yonne dans son entretien.

Or, dans notre territoire, le Pôle Formation 58/89 souffre des conséquences imputables à cette loi dite « pour la liberté de choisir son avenir professionnel ».

Loin de constituer un réel progrès, Jean-Dominique DAGREGORIO dénonce ce texte qui « commence par réduire les ressources dévolues à l’apprentissage et diminue de manière importante la capacité des entreprises à former leurs salariés ».

Et d’illustrer ses dires en citant l’exemple des entreprises accueillant plus de cinquante collaborateurs qui ne bénéficient plus désormais de la moindre prise en charge financière ; alors qu’elles continuent à devoir verser ce qui devient purement et simplement une taxe sur la formation !

Le porte-étendard de l’UIMM ne manquera pas de tacler sans ambages le financement des contrats d’apprentissage. A l’exemple de celui qui concerne la formation des ingénieurs qui, en passant de 12 000 à 8 500 euros par an et par apprenant, réduit de 30 % la capacité financière disponible pour former cette matière grise indispensable aux entreprises du futur.

Comment peut-on alors parler de progrès au vu de telles aberrations, s’insurge-t-il ? La réponse pour que les choses se modifient radicalement déboule sous le sceau de l’évidence : il est grand temps de favoriser la mise en place des conditions optimales au développement économique, gage de richesse et d’emplois, en France comme dans le département pour le bienfait de sa population.

Et la tête de file de l’UIMM de citer la convention « Territoire d’Industrie », auxiliaire indispensable pour espérer être éligible aux subsides financiers qui l’accompagne (l’Yonne n’a manifestement toujours pas paraphé ce concept applaudi pourtant des deux mains dans moult régions de l’Hexagone) et en s’adressant en filigrane aux acteurs du monde politique, pour qu’ils fassent enfin table rase de leurs « petites divergences à deux sous », pour que tous s’entendent sur ce qui constitue l’essentiel pour les industriels : un développement économique tous azimuts !

 


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On y verrait presque comme en plein jour ! Depuis la semaine dernière, la localité septentrionale de l’Yonne a officialisé son éclairage public flambant neuf. Il possède la particularité d’être fonctionnel grâce à des luminaires LED connectés. Adieu l’ancien éclairage qui était devenu trop vétuste. Et vive le nouveau matériel, obtenu avec le soutien financier et l’aide technique du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne…

CHAMPIGNY : Les villageois ne peuvent que se satisfaire du nouvel éclairage public qui fonctionne à merveille et ce, depuis quelque temps. La localité du nord de l’Yonne a rénové l’ensemble de son parc public, considéré comme obsolète, en optant pour des luminaires LED connectés.

Ce sont 380 luminaires qui ont été ainsi installés avec le précieux concours du SDEY, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne.

Son président, Jean-Noël LOURY, a pu procéder la semaine dernière à l’inauguration officielle de cette amélioration indéniable pour la visibilité des habitants de la commune, dont le maire n’est autre que Michel GUILLON-COTTARD.

Côté travaux, l’investissement s’élève à 280 000 euros TTC dont 145 000 euros à la charge de la collectivité. Un budget, certes, conséquent qui est cependant vite compensé par les économies réalisées sur ce poste capital dans la vie quotidienne locale.

 

 

Jean-Noël LOURY aura énoncé quelques bonnes vérités lors de la phase inaugurale de cette installation, notamment sur la faible consommation des leds (50 % de moins qu’une ampoule traditionnelle).

Le SDEY prend à sa charge l’entretien et l’assistance de ces luminaires modernes durant une période de cinq années ; ce qui n’est pour déplaire aux élus qui souscrivent sans rechigner à la rénovation de leur éclairage.

Dans l’Yonne, près de 80 localités disposent d’un éclairage public à base de leds dont quarante-deux sont opérationnels via un système connecté qui permet d’assurer une gestion affinée et précise du besoin de lumière.

 

 


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La transaction avec « Spirit of Bike » s’est soldée sur une note très positive le 28 janvier dernier. Une opportunité commerciale qui s’avère in fine très intéressante pour la société concessionnaire dirigée par Antoine SABRIE. En ajoutant l’offre des deux roues à sa gamme de produits déjà éclectiques (BMW et Mini), le groupe PANEL reprend à sa charge la promotion et la vente d’engins à l’estampille du constructeur allemand. Presque un retour au bercail pour les puissantes cylindrées…

AUXERRE : Les travaux d’aménagement ne sont pas encore tout à fait terminés. Mais, qu’importe ! Le nouveau show-room spécifique à la commercialisation des motos de la marque BMW est d’ores et déjà opérationnel depuis une quinzaine de jours.

Suffisamment pour que les férus de ces fameuses bécanes de très belle facture soient informés en bonne et due forme de la nouvelle aubaine qui existe désormais dans le landerneau auxerrois !

Le corner spécifique à l’accueil de ces nouvelles venues dans le hall du concessionnaire attire son lot de curieux et d’aficionados. Il est vrai qu’une vingtaine de machines trônent comme il se doit dans cet environnement mis en exergue par une scénographie intelligente.

 

 

A la baguette de ce nouveau point de vente intégré dans de l’existant : Thomas LOUBIER. Pur produit du groupe PANEL, ce passionné de deux roues a profité de l’opportunité qui se présentait à lui pour changer de registre au niveau plan de carrière, passant de l’automobile où il exerçait jusque-là à Melun à la moto.

 

 

Quatre personnes pour composer une équipe de choc…

 

C’est lui, désormais, qui pilotera l’ensemble de cette structure novatrice en qualité de chef des ventes. Trois autres personnes, dont le réceptionnaire vendeur accessoires, Franck JOLY, ainsi que deux mécaniciens complèteront ce team flambant neuf dans le paysage.

C’est sous la raison sociale de BMW Motorrad que PANEL MOTOS interviendra dorénavant sur ce segment qui semble très prometteur au niveau des résultats. Et stratégiquement très astucieux pour le groupe qui proposera des engins neufs mais aussi ceux issus du marché de l’occasion.

 

 

La direction communication évoque une inauguration officielle du concept à la mi-avril. Cela n’empêchera pas l’équipe de Thomas LOUBIER de se projeter sur le premier rendez-vous important du calendrier, les 04 et 05 avril : le Salon des deux roues à Troyes. Si celui-ci n’est pas remis en cause par la contagion virale du moment…

 

 

 

 


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L’an passé, à la suite du mouvement des « Gilets Jaunes », une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat, dite « Prime MACRON », exonérée de charges sociales et d'impôt sur le revenu, dans la limite de 1 000 euros, avait été instituée. Le versement de cette prime facultative avait connu un véritable succès auprès notamment des petites entreprises.

TRIBUNE : La loi de Financement de la Sécurité sociale pour 2020 a reconduit le principe de cette prime exceptionnelle. Le succès de cette nouvelle prime « pouvoir d’achat » sera-t-il lui aussi reconduit cette année ? Les premiers constats que nous faisons semblent montrer le contraire. Pourquoi ?

Probablement parce qu’une condition supplémentaire a été posée : désormais, la prime « Pouvoir d’achat » est conditionnée à la mise en œuvre d’un accord d’intéressement.

Rappelons le mécanisme de cette prime : les employeurs de droit privé et les salariés sont concernés par le versement de la prime. La prime doit être attribuée à l'ensemble des salariés ou à ceux dont la rémunération est inférieure à un plafond défini par accord collectif ou décision unilatérale de l’employeur (DUE). L’ensemble de ces bénéficiaires doit être lié à l’entreprise par un contrat de travail à la date de versement de la prime.

 

Quelles en sont les conditions de versement ?

 

Pour bénéficier de l'exonération, l'employeur doit mettre en œuvre un accord d'intéressement. À titre dérogatoire, les accords conclus entre le 01er janvier 2020 et le 30 juin 2020 peuvent l'être pour une durée minimale d'un an (au lieu de trois ans).

Selon le texte initial de la Loi, seules sont dispensées de l'exigence d'avoir un accord d'intéressement, les fondations et associations à but non lucratif reconnues d'utilité publique autorisées à recevoir des dons ouvrant droit à une réduction d'impôt.

 

 

Quant aux modalités de mise en place, elles sont les suivantes : le montant de la prime, le plafond permettant de limiter le champ des bénéficiaires (facultatif) et la modulation de son niveau entre les bénéficiaires (facultatif), doivent être prévus, au choix de l’employeur, par un accord d'entreprise ou de groupe ou par Décision Unique de l’Employeur (DUE).

 

Limites des exonérations de charges fiscales et sociales

 

La prime est exonérée de toutes les charges sociales (y compris CSG/CRDS) et de l’impôt sur le revenu, dans la limite de 1 000 euros, uniquement pour les salariés, dont la rémunération perçue au cours des douze mois précédant son versement, est inférieure à trois fois la valeur annuelle du SMIC sur la base de la durée légale du travail.

Le versement de la prime ne doit pas se substituer à des éléments de rémunération déjà existants dans l’entreprise (primes contractuelles ou conventionnelles, usages, etc.).

La prime doit être versée avant le 30 juin 2020. Il semble bien que ce soit la contrainte supplémentaire posée par le législateur d’obliger à la conclusion conjointe d’un accord d’intéressement qui soit le réel frein au développement de cette mesure.

Les chefs d’entreprise y voient une contrainte, une lourdeur administrative, voire se demandent où est le piège ? Et finalement, ils ne font rien.

L’Administration aurait-elle entendu ces réserves ? En partie seulement : dans une instruction du 15 février 2020, elle vient d’étendre à toutes les associations d’intérêt général (et non seulement aux seules associations d’utilité publique – catégorie particulière d’associations bien peu présente dans l’Yonne)  la dispense de négocier un accord d’intéressement pour pouvoir verser cette prime exceptionnelle.

Le résultat n’a pas été long à se faire sentir : nos clients associations nous interrogent à nouveau pour la mise en place de la prime.

Si le législateur souhaite effectivement généraliser ce coup de pouce au pouvoir d’achat, plébiscité par les salariés et les employeurs, l’enseignement est simple à tirer : qu’il fasse simple !

 

Lionel LEBLANC

 

Un article réalisé avec le partenariat de la Chambre Professionnelle des Experts-comptables et Commissaires aux comptes de l’Yonne

 


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