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Le plaisir de se retrouver, enfin. Et de surcroît en présentiel ! Après une interminable période de doutes, ponctuée de soubresauts intempestifs d’une infection virale qui aura pollué la sphère économique. L’antenne icaunaise du réseau Entreprendre Bourgogne a donc savouré la moindre de ces minutes de liberté, dans le respect des mesures de protection. En délivrant à ses membres, des messages résolument portés vers l’optimisme…

APPOIGNY : Ce fut un bien fou pour le moral que ces retrouvailles concoctées après de si longs mois d’absence pour le réseau économique de Bourgogne Franche-Comté !

Hormis de sporadiques contacts purement virtuels dont la soirée des lauréats 2020, les membres de la structure n’ont guère eu l’opportunité de s’entretenir de manière physique au cours de ce dernier semestre.

Un manque relationnel évident pour le directeur général Arnaud GRAVEL qui n’avait pas hésité à rallier l’Yonne depuis Dijon pour présider cette animation conviviale accueillie dans les locaux des « Plaisirs des Mets ». L’une des unités de production que compte la société FESTINS de Bourgogne dans le département.

 

 

Le mot « présentiel » mis à l’honneur…

 

Il y fut rejoint par la coordinatrice territoriale, la toujours sémillante Sophie BERNARD. Celle-ci n’avait rien perdu de sa superbe en prenant des nouvelles de chacun de ses hôtes avant que ne débute réellement la soirée. Un rendez-vous placé sous le sceau de la convivialité et de la délivrance de messages positifs qui devaient booster le moral des troupes !

Codirigeante des FESTINS avec son époux Didier, Evelyne CHAPUIS prit la parole lors de la phase introductive de la manifestation. Evoquant dans le détail les règles sanitaires à respecter au moment du cocktail. Soit dit en passant, toujours aussi agréable à l’œil et appétissant au goût !

Ne négligeant pas une note d’humour, la cheffe d’entreprise avoua avoir ajouter de nouvelles locutions à son vocabulaire durant cette période de confinement en citant notamment ce mot de « présentiel » dont elle put apprécier tout le sens étymologique durant ces agapes.

 

 

Un nombre de comités d’engagement en pleine expansion…

 

De son côté, Arnaud GRAVEL rappela que les entrepreneurs avaient l’obligation de se réinventer pour mieux exister face à la crise. Son réseau dont il gère la destinée était à l’écoute des différentes attentes de ceux qui génèrent de l’activité et de l’emploi.

D’ailleurs, Sophie BERNARD précisa que cette année 2020 si particulière n’était pas aussi négative pour Entreprendre Bourgogne. Quinze lauréats, porteurs d’un équivalent de cent-cinquante emplois nouvellement créés ou préservés, ont rejoint la communauté.

Quant aux comités d’engagement (ils permettent d’instruire les dossiers des futures adhérents), leur nombre avait déjà dépassé celui de l’exercice antérieur : soit 26 séances de travail contre 24.

 

 

Les deux prochaines réunions auront lieu précisément le 14 octobre et le 03 novembre. Preuve que les experts économiques de ce réseau d’accompagnement de porteurs de projets régionaux ne chôment pas. Même pendant cette délicate époque !

A ce titre, parmi les nouveaux lauréats de la prochaine promotion, devraient figurer la société de Sens « NEED ROBOTICS », pilotée par l’ingénieux Ned CEKIC et l’enseigne « Monsieur Bricolage », devant assurer une nouvelle implantation à Migennes.

 

 

Un focus sur les PGE contractualisés dans la région BFC…

 

Parmi les futurs projets, signalons également le rapprochement avec « La Fabrique à Entreprendre », concept orignal porté par la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais. Avec lequel le réseau Entreprendre Bourgogne 89 devrait initier plusieurs séances « after work » afin de renforcer sa présence dans la partie septentrionale de notre territoire.

Deux intervenants apportèrent enfin leurs analyses personnelles sur la situation conjoncturelle. Tout d’abord, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ évoqua l’actualité économique (voir l’article à paraître).

Puis, le responsable départemental du centre d’affaires entreprises de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain, Jean-Philippe BEZIN s’attarda quelque peu sur le soutien bancaire auprès des entrepreneurs via les PGE. Les fameux prêts garantis par l’Etat.

Un chiffre retiendra l’attention de l’auditoire. Celui de 4 milliards d’euros de PGE qui ont été contractés dans notre contrée depuis le lancement de cette initiative nationale. 900 millions d’euros sont imputables à la seule charge de l’établissement mutualiste.

 

 


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Pas de surprises dans les annonces du préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de la conférence de presse qui s’est tenue ce samedi 03 octobre en matinée. L’Yonne se retrouve de nouveau en état d’alerte. Notamment dans deux de ses plus grandes agglomérations. C’est la strate initiale d’une échelle de valeurs qui en comptabilise quatre pour mieux appréhender le risque sanitaire encouru par la population avec la présence du coronavirus. Dès lundi, les principales voies pénétrantes d’Auxerre et de Sens ne pourront être fréquentées sans le port du masque. Il faudra donc s’y habituer…

AUXERRE : C’était couru d’avance. Tant les statistiques dévoilées par les services de l’Agence Régionale de Santé (ARS) s’orientaient depuis plusieurs semaines vers l’inéluctable. A l’instar de la situation observée dans d’autres départements de notre contrée : la Côte d’Or et le Doubs. L’Yonne est donc confrontée une fois encore à cette situation complexe de l’état d’alerte du fait de la propagation active de l’épidémie de la COVID-19.

Et ce n’est pas de gaieté de cœur, on s’en doute, que le représentant de l’Etat Henri PREVOST a dû faire l’annonce via un point presse de nouvelles mesures de protection pour tenter d’enrayer la chaîne de contamination. Deux villes inquiètent plus spécifiquement le haut fonctionnaire : celles d’Auxerre et de Sens. Aujourd’hui, la capitale de l’Yonne est sous haute surveillance. L’épidémie s’y développe plus qu’à la normale.

Après avis de l’ARS, le préfet n’avait d’autres alternatives que d’adopter très vite une ligne stratégique proportionnée au contexte ambiant. Celle-ci se décline en plusieurs items. Tous seront applicables dès le lundi 05 octobre, et ce, pour une quinzaine de jours.

 

Limiter les risques de circulation du virus pour éviter le pire…

 

Depuis le 01er octobre, le département septentrional de la Bourgogne Franche-Comté faisait l’objet de tous les intérêts auprès des services de l’Agence Régionale de Santé. Via deux indicateurs très significatifs : le taux d’incidence sur une population de cent mille âmes et le taux de positivité des personnes testées.

Communiqués par la déléguée départementale de l’ARS dans l’Yonne, Eve ROBERT, les chiffres ne bercent pas les analystes vers un optimisme béat. En un laps de temps très court, le taux d’incidence s’est situé à 64 nouveaux cas pour 100 000 habitants. Alors que le dépassement du seuil d’alerte est en principe atteint dès que l’on excède les 50 cas, comparativement à ce même critère de 100 000 habitants.

Du côté de la positivité des tests, les ratios ne sont guère florissants là-aussi. A ce jour, le taux est de 7 % alors qu’il devrait se situer en deçà de 5 % pour que notre territoire demeure en vert.

Dans le concret, quatorze personnes ont été admises ces jours-ci dans les centres hospitaliers d’Auxerre et de Sens. Deux d’entre elles ont été affectées en réanimation. Rappelons que l’Yonne ne recense que dix-huit lits dans ce service, devenu le point névralgique de la lutte contre cette épidémie virale.

 

 

Des contrôles plus préventifs que répressifs des forces de l’ordre…

 

Face aux problématiques inhérentes à ce service et afin d’en maîtriser le plus possible les conséquences au niveau des tensions, Henri PREVOST a préféré abattre de son jeu la carte de l’anticipation. En prenant par arrêtés un certain nombre de dispositifs qui se mettront en place à la sortie du week-end. 

Des mesures qu’il explique dans le seul but de se protéger mutuellement et de ne pas exposer les plus fragiles de nos concitoyens à des risques éventuels.    

Le port du masque se retrouve ainsi en première ligne de ce plan de campagne pour gagner la bataille. La préfecture le rend obligatoire dès le 05 octobre sur l’ensemble des marchés (couverts et extérieurs) et aux abords des établissements scolaires du second degré (collèges, lycées, centres de formation par apprentissage…). Sans qu’il n’y ait réellement de périmètre indiqué pour son usage. Les gares routières s’ajoutent à cette liste.  

Mais, s’il ne fallait retenir qu’une seule décision dans cette panoplie de mesures, ce serait celle-là : l’adoption du port du masque dans les rues principales des cœurs de ville d’Auxerre et de Sens.

 

 

 

Le résident de l’hôtel de la préfecture a pris soin en amont de contacter les deux édiles de ces villes, Crescent MARAULT et Marie-Louise FORT pour établir la liste des rues impactées par ce dispositif. Il s’agit de voies d’accès pénétrantes, choisies délibérément pour leur cohérence et la densité de leurs fréquentations.

Le masque y sera obligatoire entre neuf et vingt-et-une heure chaque jour de la semaine, même le week-end. A Auxerre, les rues du Pont, celle du Temple, la place des Cordeliers ou la rue de Paris sont concernées. A Sens, le quartier des Champs-Plaisants ou encore les accès qui mènent de la gare SNCF au cœur de ville bénéficieront de ces mêmes mesures.

La surveillance sera assurée par des contrôles réguliers des forces de l’ordre qui feront preuve d’une relative souplesse avant de verbaliser les récidivistes. Le but n’étant pas de mettre une amende de manière systématique aux contrevenants. Mais, d’encourager aux gestes qui sauvent selon Henri PREVOST.

La difficulté pour les piétons sera de se souvenir des rues où il est nécessaire de porter le masque ou non. D’autant qu’aucune signalétique ne viendra mentionner si l’on est dans une rue autorisée à circuler librement.

Une cartographie détaillée indiquant les itinéraires précis a été réalisée pour les deux agglomérations icaunaises.

 

 

Ne pas développer de clusters familiaux…

 

Quant aux évènementiels d’origine familiale, ils se situent dans l’œil du cyclone des nouvelles directives préfectorales. Conséquence, dès le 05 octobre, les rassemblements festifs de plus de trente personnes dans les établissements accueillant du public sont proscrits jusqu’à nouvel ordre. Cela concerne les mariages mais aussi les anniversaires et les baptêmes. A contrario, les associations ont toujours la faculté de se retrouver pour une réunion statutaire de type assemblée générale.

Les rassemblements festifs chez les particuliers ne peuvent subir de contrôles, il va de soi. Le préfet en appelle à la vigilance accrue et à la responsabilité de chacun si de tels évènements devaient se tenir.

C’est un nouveau coup dur pour les professionnels des métiers de bouche, en particulier les traiteurs qui souffrent déjà de la conjoncture. Henri PREVOST a rappelé que ces entrepreneurs pouvaient bénéficier des mesures nationales mises en œuvre dans le cadre du plan de soutien.

L’exemple des vide-greniers (on le sait, ils font florès dans le département) a été également abordé. Partant du postulat qu’il est très difficile de faire respecter les gestes barrières durant ces animations, le préfet de l’Yonne en a décidé l’interdiction sine die.

 

 

 

La sphère sportive est aussi concernée par l’application de ces nouveaux arrêtés préfectoraux. Ainsi à l’AJA, les autorisations ponctuelles d’accueil de public de plus de cinq mille personnes sont remises en cause dès samedi. Le club de Francis GRAILLE qui livrera bataille ce soir contre l’Athlétic Club d’Ajaccio verra sa jauge de spectateurs qui plafonnait jusque-là à sept mille places revenir à cinq mille supporters.

Pour être tout à fait complet sur ce lot de nouvelles dispositions à venir, précisons que les autorisations d’ouverture tardive dans les bars ont été suspendues sur l’ensemble du territoire. Les débits de boisson devront cesser toutes leurs activités à une heure du matin en semaine. Un léger répit, jusqu’à deux heures, leur est accordé le week-end…

Quant à un retour au confinement pur et dur comme cela fut le cas au printemps, il n’est même pas hypothétique de l’envisager pour le préfet de l’Yonne, bien décidé à contenir la seconde vague de l’épidémie le plus longtemps possible.

 

 


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Sept ans de réduction par rapport au schéma prévisionnel initial ! Un état des lieux peu commun à observer d’ordinaire. Ce sont pourtant les habitants de notre territoire qui seront les premiers bénéficiaires de cette stratégie volontariste impulsée par le Département et ses partenaires. Le déploiement de la fibre entre dans une nouvelle phase avec ce coup de booster providentiel. Désormais, l’Yonne vire en tête dans l’essor des projets numériques en Bourgogne Franche-Comté…

AUXERRE : Un petit pas pour l’Yonne, un bond énorme pour ses habitants dans leurs usages quotidiens de la technologie numérique ! Tel en a décidé le Conseil départemental dans ses orientations stratégiques.

C’est aussi un sérieux coup de balais sur les idées préconçues qui place dorénavant notre territoire parmi les tout premiers de la région à entrevoir la fibre optique à sa porte. Et ce, dans un delta temporel tout à fait convenable, puisque ramené à trois ans !

D’ici 2023, au lieu de 2030 comme il avait été arrêté initialement, le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté sera équipé à 100 % par cette technologie indispensable à son attractivité.

Un choix qu’ont défendu le président de la vénérable institution Patrick GENDRAUD, épaulé en ce sens par sa vice-présidente en charge du développement numérique, Malika OUNES.

Tous deux ont eu tout le loisir de procéder à un point d’étape concernant le déploiement de la fibre optique lors d’une conférence de presse. Celle-ci intervenait à l’issue de la rencontre que les deux élus départementaux avaient organisé en présence des seize présidents des communautés de communes réunis dans l’hémicycle de la Pyramide, mais aussi des partenaires liés au bon déroulement de ce projet.

 

 

 

Plus de 225 000 prises pour connecter le territoire…

 

Dans les faits, plus de 225 000 prises facilitant la connexion des particuliers, collectivités et entreprises à la fibre optique seront déployées d’ici 2023 pour couvrir l’ensemble de notre territoire. De quoi réjouir les représentants des EPCI qui repartirent de cette séance informative avec un kit de communication sous le bras, comprenant une cartographie détaillée du projet de déploiement et un guide didactique, bien ficelé sur sa forme et son contenu. Ces opuscules édités à 1 500 exemplaires font ainsi toute la lumière sur ce déploiement.

On y apprend que la fibre optique sera déployée via trois projets complémentaires : le réseau d’initiative publique porté par la SPL Bourgogne Franche-Comté Numérique avec l’intervention de la société CIRCET débutée en 2018, la délégation de service public (DSP) attribuée à YCONIK, la filiale du donneur d’ordre ALTITUDE Infra et la zone d’appel à manifestation d’intention d’investissement (AMII) où l’opérateur ORANGE initie sur ses propres deniers cette prise en charge du déploiement dans les agglomérations d’Auxerre et de Sens (soit 20 % des prises).

 

 

 

Dans le même temps, le Conseil départemental de l’Yonne, qualifié de « chef d’orchestre » de cette mise en symphonie numérique par Malika OUNES, développera des solutions alternatives temporaires avant que le raccordement à la fibre ne soit opérationnel.

Plusieurs opportunités existent avec le new deal numérique défendu bec et ongles par le secrétaire d’Etat en charge de ce dossier, Cédric O, ou les préconisations apportées par le procédé « R Cube ».

De là à évoquer l’arrivée imminente de la 5G dans l’Yonne, il n’y a qu’un petit pas que la vice-présidente du Département a su franchir allègrement en mettant l’eau à la bouche des observateurs puisque cette dernière multiplie les contacts avec Paris pour en débattre.

 

 


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Le président de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne a profité de son temps de parole qui lui était imparti lors d’une séance de travail où était présente l’élue régionale Marie-Guite DUFAY pour brosser un état des lieux de la filière. Celle-ci vit un contexte qualifié de « catastrophique »…

SENS : Aux côtés des représentants de la filière industrielle, à l’instar d’Hervé de ROMEMONT, dirigeant des Moulins DUMEE et responsable du concept « Territoires d’Industrie » sur le département, et de ses collègues des chambres consulaires, le président de la Chambre départementale d’agriculture Arnaud DELESTRE a eu l’opportunité de faire entendre sa voix, et par ricochet celle de la filière agricole, lors d’une réunion de travail organisée en prologue de la signature du partenariat avec le Grand-Sénonais ce mardi (Plan de relance par les EPCI).

Une intervention succincte mais ô combien nécessaire en marge des problématiques observées par les commerçants et l’artisanat, pour rappeler dans quelle situation se meut aujourd’hui le monde agricole, en proie aux pires des difficultés économiques.

La sécheresse aura une fois de plus joué un bien vilain tour cet été aux céréaliers qui ne savent plus à quels saints se vouer pour optimiser leurs maigres récoltes, chétives au beau milieu des champs.

Le changement climatique est loin d’être un leurre comme certains pourraient encore le penser. Il suffit d’écouter les propos alarmistes du président de la chambre consulaire de l’Yonne pour comprendre qu’il y a urgence à prendre le sujet à bras le corps.

Un message qui a été reçu cinq sur cinq par la présidente de la Région qui n’a eu de cesse de rappeler, notamment, le besoin de consommer différemment en privilégiant les circuits courts de la distribution, qui favorisent les petits producteurs locaux au niveau du maraîchage.

 


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Les 112 EPCI de Bourgogne Franche-Comté sont concernés par la signature de cette convention qui se veut une initiative unique en France sous cette configuration méthodique. Celle du Grand-Sénonais a choisi d’apposer son paraphe sur ce pacte destiné à soutenir et à accompagner les acteurs économiques issus des très petites entreprises. Soit 60 % du tissu professionnel de notre territoire…

SENS : A l’amorce de cet automne, les structures institutionnelles se préparaient à vivre avec impatience le rebond économique, tant attendu. La logique, en somme, après de longues périodes de doutes, inhérentes à deux mois de confinement total. Toutefois, c’était mal connaître les soubresauts pernicieux de cette épidémie pour le moins insolite et imprévisible qui ne cesse de jouer au yo-yo avec les humains.

L’Hexagone vit de nouveau avec les affres de l’urgence. Son gouvernement tente de parer au plus pressé pour soutenir et accompagner les professionnels issus des très petites entreprises (TPE).

Exaspérés par le contexte, ces derniers éprouvent le plus grand mal à retrouver un second souffle, salvateur et vital. Tant au niveau de leur trésorerie que pour leur carnet de commandes qui s’amenuise comme peau de chagrin dans certaines filières.  

 

Des aides financières pertinentes et efficaces…

 

Aussi, fort de ce postulat, la Région Bourgogne Franche-Comté multiplie depuis plusieurs semaines la signature de conventions de partenariat avec les EPCI.

A l’instar de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais, soixante-douzième entité communautaire sur les cent-douze répertoriées dans notre contrée, à apposer sa précieuse griffe au bas des documents officiels.

De quoi se compose exactement ce pacte unique entre la Région et ces intercommunalités qui possèdent tout comme la référence exécutive régionale les compétences économiques ? D’aides financières qui se veulent pertinentes, accessibles, simples et efficaces !

 

Banque Populaire

 

Aussi, accueillie par la présidente de l’Agglomération du Grand-Sénonais et édile de Sens, Marie-Louise FORT, dans la salle du conseil de l’hôtel de ville, la présidente de la Région, au lendemain d’une conférence des régions vécue à Matignon avec le Premier ministre, eut tout le loisir d’expliciter face à un parterre représentatif de décideurs économiques dans les moindres détails les mesures de ce dispositif novateur.

Des aides en direction des artisans et commerçants, de celles et ceux qui forment l’ossature prégnante de cette économie dite de proximité qui souffre aujourd’hui en silence. Loin des projecteurs des médias. Pourtant, insistera lourdement l’élue régionale, « ces TPE représentent 60 % des entreprises de notre territoire ».

Une richesse professionnelle que l’on ne peut exclure des plans de relance qui s’esquissent à répétition depuis plusieurs semaines…

 

 

Deux outils sur lesquels les TPE peuvent s’appuyer…

 

Marie-Guite DUFAY n’est donc pas venue les mains vides à la rencontre des EPCI signataires de ce pacte conçu sous le sceau de la confiance. Qualifié d’unique en France sous cette configuration par l’élu régional en charge de l’économie, Jean-Claude LAGRANGE, ce dispositif décline deux possibilités d’intervention dont peuvent bénéficier les entrepreneurs dans le besoin : un fonds d’avance remboursable sur sept ans destiné au renforcement de la trésorerie et surtout les aides consenties d’ordinaire par la Région (Fonds régional des Territoires) qui peuvent être gérées directement par les EPCI elles-mêmes dans le cadre de la loi grâce à une délégation spécifique.

Une approche innovante pour se montrer plus réactif et plus agile que d’habitude puisque les EPCI, en contact direct avec le terrain, sont à même de mieux identifier et cerner les attentes des entreprises exerçant sur leur zone géographique.

Ce qui aurait été impensable il y a un an encore du fait du millefeuille administratif de la sphère institutionnelle a donc volé en éclat pour faire éclore un partenariat unique qui s’appuie sur son opérationnalité.  

« La crise nous a précipités dans les bras l’un et de l’autre, commente avec un zeste d’humour la présidente de la Région, et c’est tant mieux ! Il nous faut jouer collectif et groupé entre le pouvoir régional et les 112 EPCI qui à terme seront tous signataires de ce pacte constructif… ».

 

Prôner la carte de l’investissement, nerf de la guerre pour les entreprises…

 

Cela suffira-t-il pour autant pour que la machine économique retrouve le chemin de la prospérité ?

Marie-Guite DUFAY a sa petite idée sur la question : « Il faut inventer de nouvelles façons de s’adresser aux consommateurs et ne pas hésiter à abattre la carte de l’investissement en moyens numériques, en équipements, en méthodes de communication, pour y parvenir… ».

La force de frappe de ces conventions réside aussi, au-delà des moyens financiers mis en œuvre par la Région (six euros par habitant dont quatre abondent les aides directes du fonds régional et deux intègrent le fonds d’avance remboursable), dans les partenariats avec la Banque des Territoires ou les chambres consulaires.

Chambres de Métiers et de l’Artisanat, de Commerce et d’Industrie et d’Agriculture sont partie prenantes dans cet applicatif qui devrait très vite porter ses fruits, selon Jean-Claude LAGRANGE.

Précisons, que dans l’Yonne, INITIACTIVE 89 assurera la coordination de ce dispositif.

Dès le 04 juillet, la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais avait opté favorablement pour ce projet via un scrutin qui validait l’abondement de deux euros par habitant pour alimenter le dispositif. Mettant ainsi en orbite le premier étage de cette fusée qui devrait faire mouche en atteignant sa cible : les responsables des très petites entreprises…

 

 

 


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