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C’est une immersion au plus profond de la psyché en proie à une tourmente inéluctable qui sera proposée le jeudi 11 avril au Théâtre d’Auxerre. Adaptée par la compagnie ANTRE DE REVES, l’œuvre du réalisateur suédois (« Face à face ») confirme la beauté diaphane et le talent fou de la comédienne, Emmanuelle BERCOT, mise en scène par Léonard MATTON…

AUXERRE : En 1976, le pygmalion de l’école cinématographique suédoise décrit dans son long métrage le parcours de Jenny, un médecin psychiatre au sommet de la réussite. Cette dernière sombre brutalement dans la dépression après une tentative de viol. Le réalisateur fait alors appel à son égérie habituelle, la sublime Liv ULMANN pour y incarner ce personnage torturé à l’écran.

En 2019, pour transcrire sur scène ce chef d’œuvre de l’univers bergmanien, Léonard MATTON porte son choix sur Emmanuelle BERCOT. L’actrice est d'une rare intensité de jeu. Elle a obtenu le prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes pour « Mon Roi de Maïwenn » en 2017.

À ses côtés, six acteurs se partagent la vingtaine de rôles du scénario original dans une mise en scène immersive qui plonge le public au cœur des tourments de l'âme.

À rebours de la position d'extériorité du spectateur de cinéma, Léonard MATTON révèle ce que le medium du théâtre peut apporter au scénario en faisant de la salle un espace d'observation, tel un amphithéâtre clinique.

La mise en scène réussit à jouer à plein de la convention théâtrale tout en augmentant les sensations de l'auditoire par la concentration du son spatialisé, de la lumière, de la scénographie.

Espace de jeu, espace mental, lieu de la résolution des conflits par excellence, le théâtre offre ici au chef-d'œuvre de BERGMAN un second souffle palpitant au gré d'un parcours extraordinaire qui tient le spectateur en haleine de bout en bout. Jusqu’au terme de la représentation...

 

Face à face

D’Ingmar BERGMAN par la compagnie A2R - Antre de Rêves

Avec Emmanuelle BERCOT

Théâtre d’Auxerre

Le jeudi 11 avril à 20 h 30

Grande salle


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Alors que les résultats de ce segment essentiel de l’économie française affichent un bilan positif au niveau national, enregistrant même une hausse de + 2,3 %, la situation dans le département de l’Yonne s’avère nettement plus décevante. Un amer constat qui est observé par le président de la Fédération des entrepreneurs et artisans du BTP de notre territoire, Xavier PAPIN. Etrange paradoxe que celui-ci où planent encore les doutes et incertitudes d’un département qui n’en est plus à un contraste près…

AUXERRE : Malgré l’amorce du décrochage autour du logement, 2018 intègre désormais la catégorie des bonnes années à marquer d’une pierre blanche pour le secteur du bâtiment en France.

Les carnets de commande de bon nombre de structures professionnelles ont pu flirter avec le beau fixe, entraînant de fait un volume d’affaires important pour ses multiples acteurs. Un phénomène qui a été observé au cours de ce premier trimestre 2019. Même, et il est de bon ton de le souligner, qu’en matière d’emploi, les statistiques sont bonnes. Avec trente mille postes créés au cours de ces douze derniers mois, dont 24 000 salariés et six mille intérimaires en équivalent emplois à temps plein.

Pourtant, le président de la FFB de l’Yonne, Xavier PAPIN ne savoure pas pleinement cet état de lieu à caractère positif. Considérant que derrière ces chiffres plutôt flatteurs pour la corporation, l’arbre cache la forêt.

Les difficultés de recrutement annihilent les bonnes volontés, celles de ces artisans entrepreneurs qui ont été dans l’obligation, faute de main d’œuvre qualifiée suffisante, de différer une partie de la production sur l’année 2019. Mais, ce qui avive sérieusement le sentiment d’inquiétude du sémillant responsable de l’organisation patronale, ce sont les perspectives à attendre de l’année en cours.

« 2019 devrait être marquée par un atterrissage de l’activité bâtiment, concède-t-il avec esprit de lucidité, provoquant une légère baisse de 0,5 % en volume. Dans l’absolu, le premier trimestre de l’année devrait globalement être stable par rapport à celui de 2018. Mais, c’est ensuite que les choses devraient se gâter quelque peu. Un retournement du marché devrait se faire ressentir au second semestre, engendrant inexorablement une baisse d’environ 1 % de l’activité en glissement annuel… ».

La raison de ce revirement résiderait dans l’activité du logement neuf qui abandonnerait 4,5 % du marché tandis que le non résidentiel neuf compenserait pour partie ce mouvement de baisse, avec une hausse substantielle de l’activité de 3 % en volume.

Toutefois, le décrochage d’activité pourrait ne pas avoir de liens directs sur l’emploi. Environ 5 000 postes salariés et intérimaires en ETP devraient être créés en 2019.

Le cas très atypique de l’Yonne…

Xavier PAPIN ne sait plus à quels saints se vouer pour qualifier les résultats en désuétude du département bourguignon. Il est vrai que l’année écoulée a été particulièrement décevante pour les TPE/PME du bâtiment. Un état de fait qui se traduit à travers les données chiffrées. Fin octobre, et selon le principe de l’année glissante, pour le logement, principal vecteur de la croissance de l’activité de ces métiers, ce sont – 14,9 % de logements mis en chantier (623 versus 700) et – 30,2 % de logements autorisés (645 versus 880) qui ont ainsi été constatés. Un gouffre abyssal !

Mais, lorsqu’il évoque les résultats obtenus par le bâtiment non résidentiel neuf, le président de la FFB Yonne ne retrouve pas le sourire pour autant : - 38,9 % de surfaces de locaux mises en chantier et – 44,3 % de surface de locaux autorisés !

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Les perspectives autour de l’emploi ne font qu’aggraver la situation et ce sentiment d’impuissance. A titre d’exemple, au terme du deuxième trimestre 2018, les emplois salariés ont décru de 1,7 %. Seule note ensoleillée dans ce marasme perturbant, le recours à l’intérim en augmentation de 17 % en moyenne au cours des trois derniers mois à fin août 2018 aura permis de stabiliser cette déperdition si brutale des effectifs.

Convaincre les donneurs d’ordre locaux de privilégier les partenaires de la proximité

« Je constate, ajoute le président PAPIN, que cette baisse de l’offre dans notre département accentue l’hétérogénéité des situations rencontrées par les entreprises. Les plus importantes d’entre elles réalisent maintenant majoritairement des travaux hors du département de l’Yonne. Quant aux plus petites, elles travaillent presque exclusivement sur le territoire de proximité. Elles profitent de la commande privée ce qui leur octroie des carnets de commande bien remplis. Enfin, les entreprises que je qualifierai d’intermédiaires, celles qui comprennent entre dix et vingt salariés, souffrent de la diminution de la commande publique… ».

L’avenir de ces structures, notamment dans l’Yonne, passe par le travail de conviction auprès des donneurs d’ordre locaux. Qu’ils soient privés ou publics.

« Il s’agit de défendre les intérêts de nos entrepreneurs et à plus large échelle l’intérêt économique de notre territoire, conclut le président Xavier PAPIN, faire travailler et prospérer nos entreprises locales s’inscrit parmi ces priorités… ».

Un vaste chantier en perspective pour les acteurs de la Fédération départementale du bâtiment…


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Dix-neuf députés dont celui de la première circonscription de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE, évalueront au cours de ces six prochains mois l’impact réel de la loi du 07 août 2015, relative à la nouvelle organisation territoriale de la République. Ce texte législatif, devenu fameux, est connu sous le vocable de loi NOTRe. Objectif de cette démarche analytique : préparer un toilettage en profondeur d’un texte qui est loin de faire l’unanimité parmi les élus de proximité…

AUXERRE : Depuis le mois de mars, l’Assemblée nationale s’appuie sur une mission d’information pour évaluer les conséquences exactes de la loi NOTRe applicable dans notre pays au 07 août 2015.

Composée de dix-neuf élus, cet organe accueille dans ses rangs, le député Icaunais Guillaume LARRIVE (LR). Désireux de faire entendre la voix des maires de l’Yonne, le parlementaire s’est fendu il y a quelques jours d’une lettre, agrémentée d’un questionnaire afin de prendre le pouls des édiles nord-bourguignons.

Persuadé qu’il est indispensable de corriger le contenu de cette loi, Guillaume LARRIVE souhaite récolter le maximum de témoignages de la part des élus locaux. Comme voix d’expression, ces derniers disposent d’un questionnaire articulé autour d’une dizaine d’interrogations. Ils sont invités à retourner leurs commentaires auprès de la permanence de l’élu de l’Yonne.

Une dizaine de questions fondamentales sur les attentes des élus…

Le document répertorie des éléments pertinents sur la création de la « grande région » Bourgogne-Franche-Comté. Avec en toile de fond, son utilité précise pour les communes qui en dépendent.

Dans sa quête prospectiviste, Guillaume LARRIVE veut savoir si les élus sont favorables au remplacement des actuels conseillers régionaux et conseillers départementaux par un seul élu, le conseiller territorial.

Un peu plus loin, le regard que peuvent porter les personnes interrogées sur la communauté d’agglomération ou la communauté de communes (sa taille, ses compétences, son mode de fonctionnement, ses ressources financières…) devrait lui fournir suffisamment de réponses afin d’en définir les axes d’amélioration.

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Car, c’est bien de cela qu’il s’agit au détour de ce sondage d’opinion auprès des maires de notre territoire. S’interrogeant sur la pertinence des communes nouvelles qui ont été créées depuis l’entrée en vigueur du texte, Guillaume LARRIVE aborde avec évidence le volet de la fiscalité et des dotations d’Etat. Surtout en incitant ses interlocuteurs à s’exprimer sur les changements qui leur semblent prioritaires.

Faut-il un statut spécifique de l’élu local ? Quels points doivent être améliorés en vue de faciliter l’exercice du mandat de maire ?

Le questionnaire du député Les Républicains déroule un certain nombre de problématiques tangibles que, par ailleurs, les élus ont fait mention lors des séances locales du Grand Débat.

Faire des propositions utiles aux territoires…

Enfin, dans cette collecte d’impressions pratico-pratiques, le membre de la Mission de l’Assemblée nationale conclut sa recherche par les relations avec les services de l’Etat (préfecture, sous-préfecture, trésorerie, services techniques, gendarmerie, police…) ainsi que les autres services publics qui peuvent s’apparenter à Pôle Emploi ou à la Caisse d’allocations familiales.

En 2015, Guillaume LARRIVE s’était prononcé contre ce texte de loi. Il se méfiait de l’instauration de très grandes régions, des regroupements de communes à marche forcée, des transferts de compétences obligatoires et de la remise en cause de la proximité.

« J’espère que la mission de l’Assemblée nationale pourra faire des propositions utiles à nos territoires, précise-t-il, en liaison avec les travaux du Sénat, afin que des corrections puissent être adoptées dès cet automne… ».

Un sentiment qu’il n’est pas le seul à partager dans la sphère des élus de proximité en attente de modifications…

 


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Quatre-vingt candidats ont confirmé leur présence pour participer au prochain « Job dating » concocté par la start-up WIZBII ce mardi 02 avril dans la capitale de l’Aube. Proposée en semi-nocturne entre 18h30 et 21h30, la formule mobilisera une dizaine d’entreprises du département, prêtes à recruter la perle rare. La manifestation bénéficie toujours de l’inconditionnel soutien du Crédit agricole de Champagne-Bourgogne…

TROYES (Aube) : Le printemps nous revient de manière très agréable et les jobs dating, co-organisés par la start-up WIZBII et le Crédit agricole de Champagne-Bourgogne en font de même !

Mardi en fin d’après-midi, l’emploi des jeunes figurera au centre des préoccupations de ces spécialistes du monde de l’entreprise et de l’économie dans l’Aube. Troyes accueillera l’animation placée sous le sceau de la convivialité et de l’échange.

L’évènement regroupera une dizaine d’entreprises locales. Aux dernières nouvelles, quatre-vingt candidats y étaient attendus. Ceux-ci pourront échanger de manière privilégiée, autour d’un buffet, sur les différents postes proposés, en alternance, en CDD et en CDI.

Ces rendez-vous réguliers offrent ainsi une très belle opportunité pour les jeunes de se faire remarquer sur le marché du travail. Afin d’y décrocher parfois son premier emploi !

Plus de 9 000 candidats audités en France…

Au cours des deux précédentes saisons, le Crédit agricole de Champagne-Bourgogne et WIZBII ont organisé quatre rendez-vous sur les villes d’Auxerre, de Dijon et de Troyes. Deux cent-cinquante candidats y ont participé pour rencontrer près d’une quarantaine d’entreprises. Mais, au plan national, les statistiques offrent une toute autre physionomie.

Plus de 130 manifestations ont été réalisés dans l’Hexagone, ce qui a engendré des contacts avec plus d’un millier de structures professionnelles. In fine, neuf mille prétendants, sélectionnés en amont, ont pu se positionner pour décrocher l’un des 2 400 postes à pourvoir.

Baptisée « Un premier stage, un premier job », l’initiative favorise le rapprochement de la jeune génération avec le monde de la vie active, qui leur est parfois très hermétique.

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Des offres d’emploi réelles à pourvoir aux multi horizons…

Lors de ce nouveau rendez-vous aubois, plusieurs secteurs de  l’économie seront représentés. L’hôtellerie/restauration est en quête de maîtres d’hôtel et de serveurs ; le textile recherche des comptables, des développeurs et des modélistes. La grande distribution ne sera pas avare en propositions. Chefs de rayon, adjoints responsables ou techniciens de sécurité seront autant d’opportunités de carrière pour les jeunes diplômés.

Le système plaît aux entreprises. 83 % de celles qui ont déjà participé à cet évènement entament un processus de recrutement à l’issue. Du côté des jeunes pousses, 71 % d’entre elles considèrent qu’elles ont trouvé le dispositif utile dans leur quête à l’emploi.

Renseignements : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser./ 06.69.67.10.87.

 


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Conduits par le président départemental de leur formation politique, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, une dizaine de représentants du mouvement AGIR 89 ont eu l’heureuse opportunité de pouvoir s’immiscer au plus près des arcanes du Parlement européen en milieu de semaine. Ce fut un voyage express à Strasbourg sur une journée, non dénuée d’intérêt pour ces élus de l’Yonne. Sur place, ils ont été accueillis par la députée européenne Tokia SAIFI, vice-présidente de la commission du commerce international. Instructif…

STRASBOURG (Bas-Rhin) : Salle H -1 1. Localisé parmi le dédale de bureaux ergonomiques permettant la tenue de micro conférences, l’espace d’accueil réservé à AGIR 89 aura permis au petit groupe en immersion au sein du Parlement européen de se faire une réelle opinion de cet incroyable organisme qui nous régente.

A la veille ou presque (le 26 mai) de futures échéances électorales, déjà jugées comme capitales pour l’avenir du Vieux Continent, plusieurs élus de la jeune formation, issue des Républicains, désiraient en connaître les rouages tactiques et surtout les lignes maîtresses au niveau de ses fonctionnements.

Car si les Européennes qui nous reviennent tous les cinq n’ont jamais passionné les foules en France, au plan électoraliste, il n’en est pas toujours de même dans d’autres contrées. Notamment auprès des peuples des nouveaux états membres qui ont une autre estime de ces rendez-vous quinquennaux, synonymes de dotations et de subventions financières en tout genre.

Une découverte dans cet antre du fédéralisme entre les 28 états membres (même si l’un d’entre eux, la Grande-Bretagne tergiverse depuis quant à ses modalités de divorce avec une sortie de plus en plus chaotique !) s’impose.

Une guide à la référence européenne aiguisée : Tokia SAIFI…

C’est sans doute avec cet état d’esprit, empli de curiosité, que Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président départemental de l’Yonne de la formation politique initiée par le ministre de la Culture Franck RIESTER il y a quelques mois, a souhaité la mise en place de ce déplacement dans les hautes sphères européennes.

D’autres personnes de son mouvement s’y sont ralliées avec plaisir. Et peu importe la distance, et les kilomètres à parcourir dès potron-minet, pourvu qu’il y ait l’ivresse devant un cénacle de députés, bataillant ferme autour d’un texte portant sur la réforme du transport routier.

Le groupe d’élus de l’Yonne a eu également l’opportunité de pouvoir échanger avec l’une des figures emblématique de cette assemblée européenne, la députée Tokia SAIFI, présente depuis 18 ans sur les bancs de cet hémicycle qui accueille 751 représentants.

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L’ancienne Secrétaire d’Etat en charge du développement durable dans les trois gouvernements de Jean-Pierre RAFFARIN siège parmi les représentants du PPE (Parti Populaire Européen) et les Démocrates-Chrétiens. Toutefois, elle lâchera à ses interlocuteurs très attentifs à ses propos liminaires sur le mode de fonctionnement de l’institution qu’elle ne repartirait pas pour un nouveau mandat en 2019.

« Je continuerai à faire de la politique en France en étant très attachée aux grands principes européens, conclut la vice-présidente de la Commission du commerce international à Strasbourg.

Avant que ne débute réellement la campagne des Européennes 2019, les élus Icaunais de la « droite constructive », tels qu’ils se définissent depuis novembre 2017, ont voulu en apprendre davantage sur cette instance parlementaire et ses modes opératoires. Histoire de mieux se forger une opinion qu’ils ne manqueront pas de distiller autour d’eux au plus près de leurs ouailles…


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