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« Rendre la dignité à nos concitoyens locataires n’est ni un slogan ni un mot creux… ». Incontestablement, il possède le sens de la formule, le nouveau sous-préfet de Sens, Wassim KAMEL. Représentant l’Etat, lors de la signature du protocole de lutte contre l’habitat indigne du Grand Sénonais, le haut fonctionnaire de l’Yonne septentrionale a brossé un tableau bien réel d’une situation très dure qui concerne 7 % de la population de notre territoire…

 

SENS : Le chiffre mérite d’être cité. Il prend d’autant plus d’ampleur quand il sort de la bouche du sous-préfet de Sens, comme si son caractère officiel résonnait plus longtemps dans la magnifique salle de la Poterne, édifice qui accueille la cérémonie du jour. On a presque du mal à le croire mais il s’incruste au fond de nos tympans : 7 % de la population icaunaise vit aujourd’hui dans ce que l’on nomme trivialement des habitats insalubres.

Soit, un total de vingt mille logements ! Des chiffres que ne se privent pas de jeter en pâture et publiquement le nouveau référent départemental pour l’habitat indigne. Une nomination que le préfet de l’Yonne Pascal JAN a entérinée il y a peu avec son représentant.

Afin de mieux cerner la réalité de l’agglomération sénonaise, les services de l’Etat ont décidé de lancer une étude statistique s’appuyant sur les 27 communes que compte le Grand Sénonais pour y voir beaucoup plus clair sur ce dossier. Une enquête qui devrait livrer ses premiers résultats d’ici quelques semaines, selon Wassim KAMEL.

 

Soigner la cause du mal à sa source : l’habitat indigne

 

D’ailleurs, ce retour de la dignité aux concitoyens locataires en France est précisément l’un des axes de réflexion du nouveau ministre du Logement, Patrice VERGRIETE, qui a pris ses fonctions à la sortie de l’été. Son récent déplacement à Deauville lors du 119ème Congrès national du Conseil supérieur du Notariat lui aura permis de tâter le pouls du secteur. Il fera de même début décembre lors du Congrès national de la FNAIM à Paris pour être plus près des professionnels.

« La lutte contre l’habitat indigne est en fait une grande cause nationale, insiste M.KAMEL, au-delà des outils qui sont proposés, à l’instar de ce comité local de lutte contre l’habitat indigne – une véritable instance référentielle – cela permettra d’être mobilisable de manière très rapide et de trouver des solutions... ».

 

 

Sans en déflorer davantage avec des exemples à l’appui, le sous-préfet précisa que le gouvernement devrait décliner dès le début de 2024 de nouvelles propositions audacieuses afin de lutter contre ce fléau de l’insalubrité dans l’habitat.

Terreau de toutes les injustices, l’habitat indigne, il ne faut pas l’oublier, est à l’origine de nombreuses problématiques sociétales, conduisant à la violence, l’incivilité, l’irrespect. Des mots forts que Wassim KAMEL se devait de prononcer.

« Il nous faut soigner la cause même du mal, souligne le sous-préfet face à un auditoire d’élus communautaires à l’écoute.

 

 

Pas un écrit de plus mais un engagement fort !

 

Puis, il citera plusieurs dispositifs déjà mis en place pour juguler le phénomène comme le permis de louer (il est déjà en œuvre à Joigny) ou le permis de diviser.

« Aujourd’hui, ajoutera-t-il, ce n’est pas juste une signature au bas d’un papier. Ni un écrit de plus ! C’est un engagement commun (avec l’Agence Régionale de Santé, l’ADIL, le Département, l’Agglomération et l’Etat), un acte fort pour rendre sa dignité à ces locataires qui vivent dans des habitats indignes… ».

De la fierté, oui, Wassim KAMEL en a aussi exprimé à l’issue de cette convention de partenariat qui se préparait sur le Sénonais depuis 2018…

 

Thierry BRET

 

 


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Tout est dit dans la formule écrite sur le maillot. « Maintenant, on agit ». Plus de salamalecs à l’emporte-pièce, ni de tergiversations inutiles : il y a urgence en la matière ! Le regard déterminé de la sénatrice de l’Yonne en dit long, d’ailleurs, sur le sujet : volontaire, tenace, résolu. Le 25 novembre, lors de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, la parlementaire qui a succédé à son homologue Annick BILLON il y a un mois à la présidence de la Délégation nationale des Droits aux Femmes au Sénat avait décidé d’arborer les couleurs de la Fondation des Femmes. Pour briser un peu plus l’omerta autour de ce phénomène de société…

 

AUXERRE : On ne peut pas dire qu’elle prend la pose sur ce document photographique en y proposant son plus joli sourire, la sénatrice de l’Yonne ! Et pour cause ! L’heure est grave, sa visualisation par l’image, aussi. Et si rien n’est fait au niveau des consciences, c’est-à-dire les nôtres, et de la sensibilisation tous azimuts à distiller vers les citoyens, le nombre de victimes de violences conjugales risque d’exploser à l’avenir.

De la pure logique, dans une société tournée de plus en plus vers l’individualisme et le repli sur soi. Un monde où l’incivisme, la colère et, parfois, la peur, sont devenus le moteur de la vie des couples ou de la famille…

Un chiffre, un seul doit capter toute notre attention. 244 300 ! C’est le nombre de victimes de ces violences faites aux femmes pour la seule année 2022, recensées par les forces de l’ordre. Une donnée arithmétique qui, bien évidemment, ne reflète pas vraiment la réalité de la problématique. Car, moult victimes n’osent pas porter plainte de peur de représailles physiques et musclées de la part de leur « cher et tendre »…

Le 25 novembre dernier, Dominique VERIEN a, selon, l’expression usuelle bien connue, décidé de « mouiller » le maillot contre ces violences conjugales. Tout simplement en portant celui de couleur mauve de la Fondation des Femmes et en se fendant d’un texte, au titre de sa nouvelle responsabilité, celle de présidente de la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes au Sénat, publié sous forme d’une tribune. Un texte que nous reproduisons dans ces colonnes en intégralité, ci-dessous. Pourquoi ? Parce que les consciences doivent favoriser le changement de comportement de ces hommes irresponsables et brutaux qui se livrent à l’impardonnable dans leur quotidien dont sont victimes les femmes, et parfois leurs enfants. Les rouer de coups…pour le seul plaisir de faire mal.

Parce que c’est en le lisant, que la sénatrice de l’Yonne retrouvera peut-être le sourire sur un prochain cliché…

 

 

Texte de Dominique VERIEN publié à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.

   

« 244 300. C’est le nombre de victimes de violences conjugales recensées par les forces de l’ordre en 2022. Un chiffre bien entendu sous-estimé puisque toutes les victimes ne portent pas plainte, mais qui est en augmentation par rapport aux années précédentes. Il faut y voir avant tout une libération de la parole, une prise de conscience de la société et une meilleure prise en charge des victimes.

C’est aussi le signe que nos efforts portent leurs fruits et contribuent à changer la situation. Je pense par exemple à l’Aide Universelle d’Urgence, issue du texte de notre collègue Valérie LETARD, qui permet à chaque victime de violence conjugale de se séparer de son conjoint violent sans avoir à subir un chantage financier. C’est aussi le Plan Rouge VIF, avec ses nombreuses mesures qui sont progressivement mises en place : les pôles spécialisés comme l'ordonnance de protection immédiate, par exemple. Ce sont aussi les Brigade de Protection des Familles et les Maisons de Protection de Familles qui montent en compétences et jouent un rôle de plus en plus important. Je tiens également à saluer l’annonce du Garde des Sceaux relative à la mise en place d’un financement pluriannuel pour les associations.

Bien entendu, le local n’est pas en reste, et je pense à tous ceux qui contribuent au quotidien à faire reculer les violences conjugales et à protéger les victimes. Ce sont nos associations, nos élus locaux, avec par exemple l’AMRF qui a mis en place les Élus Ruraux de l'Égalité, mais aussi nos gendarmes et policiers, nos médecins, nos magistrats… J’ai eu la chance de pouvoir les rencontrer et de constater que nos territoires fourmillent d'engagements et de belles initiatives, et je souhaite ici leur rendre un hommage appuyé.

Pour autant, ce serait une erreur de croire que le travail est fini et que le problème est réglé. Au contraire, il est indispensable d’intensifier nos efforts et de profiter de la dynamique actuelle pour renforcer notre action.

Sur la sensibilisation du grand public d’abord, c’est indispensable, pour que le plus grand nombre soit capable de détecter et signaler les violences conjugales. Sur la formation ensuite, et je pense ici aux professionnels de santé, aux policiers et gendarmes, à nos enseignants, aux agents des collectivités publiques… Ils ont souvent un contact privilégié avec la victime, si ce n’est le seul contact quand celle-ci est isolée.

Sur l’éducation ensuite, l’école a un rôle à jouer. Je sais la charge qui repose déjà sur les enseignants, mais il est indispensable que les jeunes générations soient sensibilisées au plus tôt à ces questions, ne serait-ce que pour les protéger car les enfants qui assistent à ces scènes de violence au domicile familial sont aussi des victimes, quand bien même ils ne subissent pas directement les coups.

Enfin, si prévenir la violence est indispensable, il faut aussi pouvoir la guérir. C’est le sens de la proposition de loi que je déposerai dans les prochaines semaines pour une meilleure prise en charge des psycho-traumatismes. C’est indispensable pour la reconstruction des victimes et pour, là aussi, éviter que dans certains cas, elles ne deviennent auteurs.

Vous l’aurez compris, si la situation s’améliore, nous devons poursuivre nos efforts. Nous le devons aux victimes, qui chaque jour vivent dans la violence et l’horreur, à toutes celles qui se sont senties seules, quelques fois salies ou non-entendues. Par notre action, nous pouvons leur redonner un peu d’espérance. Vous pouvez compter sur mon engagement… ».

 

Thierry BRET

 


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On se frotte les mains de plaisir parmi les membres du jury. Trop heureux de se retrouver en pareille circonstance. Qu’importe qu’il ait fallu se lever tôt, un samedi matin et braver les premiers frimas de l’hiver sur la route, afin de gagner la pièce qui fera office, au sein du lycée des métiers Vauban, de lieu de dégustation à grande échelle des 263 échantillons proposés. Les 63 testeurs sont bel et bien là et pas un ne manque à l’appel de la fameuse manifestation, organisée par le BIVB : le 31ème Concours des Vins du Grand Auxerrois.

 

AUXERRE : Un tantinet silencieuse dès sa mise en route où il fallait être fin prêt à stimuler les cinq sens, la séance de dégustation proposée dans le cadre de la trente-et-unième édition du Concours des Vins du Grand Auxerrois aura tôt fait d’être bruyante, chaleureuse et conviviale au fil du temps qui s’égrenait gentiment ce samedi matin !

Et surtout, elle était parsemée avec les commentaires avisés et enthousiastes, voire très déconcertants à propos de certaines productions, émis par les soixante-trois jurés qui avaient la lourde tâche de sélectionner la quintessence des crus dégustés dans leur verre à pied.

 

Redonner de la vie et de la jeunesse à ce concours…

 

Blancs, rouges, aligotés, crémants : les membres du jury, assemblés par tables de quatre, n’allaient donc pas chômé et resté oisifs très longtemps en regardant la sobre décoration de la salle qui les accueillait.

Lors de son préambule explicatif, la viticultrice Elodie CHALMEAU  – cette dernière évoqua non sans émotion le souvenir de l’ancien président des Caves de BAILLY LAPIERRE David GRIFFE disparu ces jours-ci -, fit l’éloge du lycée des métiers Vauban qui recevait cette année la manifestation. Un lieu empli de symboles où l’accord mets et vin se cultive au naturel de façon pédagogique.

Une édition un peu particulière qui a multiplié les nouveautés avec la présence de cinq viticultrices co-organisatrices de l’évènement, aux côtés du Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne (BIVB) spécialiste de la logistique et intendance. Ce qui fera dire à la jeune femme : « on a voulu redonner un peu plus de vie à ce concours, en renouvelant également les jurés – plus de la moitié participaient en effet pour la première fois à ce rendez-vous -, voire en les rajeunissant… ».

 

 

Promouvoir les vins du Grand Auxerrois du côté de Paris et de Lyon

 

D’ailleurs, dès qu’elles en auront le temps, les porte-étendards des vins du Grand Auxerrois présentes dans la salle ne manqueront pas de distiller leurs belles paroles promotionnelles, sans doute dès 2024, du côté de la capitale métropolitaine ou à Lyon, berceau de la gastronomie, pour y vanter les crus de ce terroir dont elles nous ont fait les honneurs.

« Les vins de l’Yonne ne sont guère connus dans l’ancienne capitale des Gaules, devait-elle ajouter, il faut remédier à cela ! ».

Puis, vint le temps où les responsables de table prirent les choses en main – de surcroît les nombreuses bouteilles devant se succéder les unes après les autres afin que leur contenu passe sous les fourches caudines de la critique gustative ! – où chacun y alla de ses réactions, ressentis et surtout notations !

Une première joute devant servir à sélectionner les trois meilleurs échantillons présentés par table. Autant dire, un travail de connaisseur et d’esthète pour certains, voire de découverte pour les néophytes.

 

Un super jury pour décerner les médailles !

 

Parmi les commentaires entendus : « la robe est limpide et jaune pâle », « il y a de la rondeur dans celui-là ! », « trop expressif et nerveux à mon goût ! », « on ne sent que l’alcool et pas assez le fruit au nez », « les bulles sont bien formées et éclatantes », à réserver lors de la dégustation des effervescents, « le boisé est trop prononcé au palais », etc.

Il restait ensuite, dans un second temps, et à la charge du super jury composé de professionnels de la chose vineuse, courtiers, cavistes ou journalistes, de ne retenir que le saint des saints de ces nectars présentés, l’ultime tiercé qui allait donner les podiums permettant d’attribuer in fine les cinquante-sept médailles, d’or, d’argent et de bronze. Un verdict que les propriétaires des soixante-et-un domaines viticoles ont attendu avec beaucoup d’impatience ! Il fut dévoilé au moment du repas, servi dans la salle de restaurant de Vauban.

 

 

Les résultats :

Bourgogne aligoté 2022

Or. Clotilde DAVENNE, Vieilles vignes
Argent. Domaine GIRAUDON
Bronze. Domaine C.et F. GUEGUEN, La Vigne de Marie-Louise

Bourgogne blanc 2022

Or. Pascal BOUCHARD SAS, cuvée Saint-Pierre
Argent. Maison SIMONNET FEBVRE
Bronze. Domaine du Château du Val de Mercy

Bourgogne rouge 2022

Or. Domaine Denis et Isabelle POMMIER
Argent. Maison HENRY
Bronze. Domaine MARSOIF, Fût de Chêne

Bourgogne rosé 2022

Or. Domaine Yann BOISSENET, pinot gris
Argent. Domaine MOUSSU, bourgogne coulanges
Bronze. Domaine RIGOULAT, bourgogne coulanges

Crémant de Bourgogne

Or. Caves BAILLY LAPIERRE, réserve blanc brut
Argent. Caves BAILLY LAPIERRE Baigoule rosé extra dry
Bronze. Caves BAILLY LAPIERRE, Ravizotte extra brut

Bourgogne chitry blanc 2022

Or. Domaine THIBAUT
Argent. Domaine KRANTZ
Bronze. Domaine Edmond CHALMEAU & Fils, Vieille Vigne d’Aimé

Bourgogne chitry rouge 2022

Or. Domaine Edmond CHALMEAU & Fils, Les trameures
Argent. Maison HENRY
Bronze. Domaine Elodie CHALMEAU

Bourgogne côtes d'auxerre blanc 2022

Or. Domaine JL & JC BERSAN, Cuvée Mouillepain
Argent. Domaine PETITJEAN
Bronze. SARL Les Malandes

 

 

Bourgogne côtes d'auxerre rouge 2022

Or. Domaine MADELIN Petit, Dessus Bon Boire
Argent. Domaine JL & JC BERSAN, cuvée Louis Bersan
Bronze. Domaine VERRET

Saint-bris 2022

Or. Caves BAILLY LAPIERRE
Argent. Sarl Les Malandes
Bronze. Domaine PL & JF BERSAN  Fyé Gris

Bourgogne coulanges blanc 2022

Or. Domaine du Petit Moule
Argent. Domaine du Clos du Roi, Charly
Bronze. Domaine MOUSSU

Bourgogne coulanges rouge 2022

Or. Domaine LEMOULE
Argent. Domaine SAGOS
Bronze. Domaine MOUSSU

Bourgogne tonnerre 2022

Or. Domaine MARSOIF, Cuvée Marguerite
Argent. Domaine Alain MATHIAS
Bronze. Domaine MARSOIF

Bourgogne épineuil 2022

Or. Domaine GRUHIER, L’âme des Dannots
Argent. Domaine Alain MATHIAS, Côte de Grisey
Bronze. Domaine GRUHIER, Côte de Grisey

Vézelay 2022

Or. Vignerons de la Colline Eternelle
Argent. Maison SIMONNET FEBVRE, bio
Bronze. Vignerons de la Colline Eternelle, Côme Guérin

Irancy 2021

Or. Earl Les Beaux Monts, Les Beaux Monts
Argent. Clotilde DAVENNE
Bronze. Domaine Edmond CHALMEAU & Fils, Eugénie

Irancy 2022

Or. Domaine Jean COLLET et & Fils
Argent. Domaine JL & JC BERSAN, cuvée Louis Bersan
Bronze. Domaine Denis et Isabelle POMMIER

Bourgogne blanc 2021

Or. Domaine des Coeuriots
Argent. Domaine HOUBLIN VERNIN, bourgogne coulanges
Bronze. Domaine JH & Guilhem GOISOT, bourgogne côtes d’auxerre Le Court Vit

Bourgogne rouge 2021

Or. Domaine HOUBLIN VERNIN, bourgogne coulanges cuvée prestige
Argent. Domaine JL & JC BERSAN, bourgogne côtes d’Auxerre, cuvée Louis Bersan
Bronze. Domaine CLEMENT, Harmonie

   

Thierry BRET

 


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Il y a toujours d’agréables surprises lors du traditionnel Concours des Vins du Grand Auxerrois, accueilli dans les salles de  réception du lycée des métiers Vauban à Auxerre, cette année. D’excellentes dans les verres, parmi l’importante quantité d’échantillons de crus à déguster (263) mais aussi des plus désagréables en bouche et au nez sur certaines productions à la sélectivité un peu hasardeuses ! En revanche, la présence de Blanche LOISEAU, émérite cheffe de « Loiseau du Temps », marraine de l’évènement, fut une bénédiction !

 

AUXERRE : Elle a de l’humour à revendre, la fille de l’inoubliable Bernard ! « Etre marraine d’un concours d’une filière professionnelle – la viticulture – qui est un métier d’hommes n’est pas pour me déplaire… ».

Rires et applaudissements parmi l’assistance, à peine prononcés ces quelques mots. Banco ! La petite phrase introductive de la restauratrice, aux commandes côté cuisine du nouvel établissement à l’estampille de l’enseigne LOISEAU et cogéré avec sa sœur, Bérangère, en Bourgogne Franche-Comté (« Loiseau du Temps », inauguré au printemps dernier à Besançon) ne passera donc pas inaperçue. Elle aura eu le mérite de donner le « la » de l’énième Concours des Vins du Grand Auxerrois, concocté par le BIVB (Bureau interprofessionnel des Vins de Bourgogne) ce week-end à Auxerre. Un rendez-vous que n’aurait manqué sous aucun prétexte les aficionados de ces manifestations sympathiques mais très sérieuses où il s’agit de sélectionner que les meilleurs des productions vineuses présentées.

 

 

Une amatrice avertie mais pas une œnologue !

 

C’est en maîtresse de cérémonie que la viticultrice de Chitry, Elodie CHALMEAU, ouvrira le bal de cette manifestation gustative matinale en accueillant la marraine de l’édition 2023, une Blanche LOISEAU qui reconnaîtra avec humilité de « ne pas être une œnologue de métier mais une amatrice avertie » !

Satisfaite de participer à ce rendez-vous où furent goûter une multitude de vins de belle facture dans leur ensemble, Blanche LOISEAU reçut un accueil très chaleureux de la part des membres du jury – ils étaient soixante-trois personnes aux origines diverses et variées, entre amateurs et professionnels -, avant qu’elle ne soit intronisée parmi la Confrérie des 3 Ceps dans les règles de l’art du folklore bourguignon.

La fille cadette du regretté Bernard LOISEAU gardera un bon souvenir de cette journée, avant de repartir vers Besançon où depuis le 21 avril dernier, elle régale derrière ses fourneaux les épicuriens de la place, avec des produits typiques de son terroir de prédilection, la Bourgogne Franche-Comté.

 

Thierry BRET

 

 

 


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La guerre déclenchée le 07 octobre 2023 par le Hamas contre Israël n’est que le dernier épisode sanglant d’un siècle d’affrontements dans la région. Après la défaite de l’empire ottoman, la Société des Nations (ancêtre de l’Organisation des Nations unies, ONU) confie en 1920 au Royaume-Uni un mandat sur la Palestine. Londres devient « gestionnaire » du territoire avec pour objectif de placer le pays dans des conditions politiques, administratives et économiques qui permettront l’établissement d’un foyer national juif et le développement d’institutions d’autogouvernement. On connaît la suite…

 

TRIBUNE: La résolution 181 votée par l’Assemblée générale de l’ONU, le 29 novembre 1947, prévoyait une séparation de la Palestine en trois parties : un état juif, un état arabe et une zone sous contrôle international qui inclut Jérusalem et sa proche banlieue. Cette résolution sera rejetée par la totalité des arabes de Palestine et des pays voisins. Sans attendre la mise en œuvre hypothétique du partage de la Palestine, prévue par les Britanniques pour le 01er octobre 1948, David BEN GOURION, alors futur premier ministre de l’Etat hébreu, déclare l’indépendance d’Israël au dernier jour du mandat britannique, le 14 mai 1948 à Tel-Aviv.

L’exode et les expulsions d’arabes palestiniens ont commencé avec les violences fin 1947. Elles s’intensifient avec l’entrée en guerre d’armées arabes (essentiellement égyptienne, jordanienne, syrienne, libanaise et irakienne) par le nord, l’est et le sud. Ces attaques sont repoussées et se soldent par la conquête par l’Etat hébreu d’un vaste territoire, bien plus étendu que celui proposé dans la partition de l’ONU. Pour les arabes palestiniens, c’est la « Naqba » (que l’on peut traduire par « la catastrophe », en français) qui scelle l’exil forcé de 600 000 à 800 000 d’entre eux.

 

Une guerre de six jours qui va rebattre les cartes au Moyen-Orient…

 

La guerre des Six Jours éclate le 05 juin 1967. Israël attaque l’Egypte en raison du blocus de ses navires en mer Rouge, considéré comme un « acte de guerre en violation du droit international ». Après un succès militaire rapide au Sinaï, Israël contre-attaque en Jordanie, puis en Cisjordanie et enfin en Syrie sur le plateau du Golan.

En six jours, Israël occupe toute la péninsule du Sinaï et rétablit la circulation de ses navires par le détroit de Tiran en mer Rouge, mais étend aussi son occupation sur la bande de Gaza, la Cisjordanie, le plateau du Golan et Jérusalem-Est. La guerre provoque un deuxième exode estimé par l’ONU à près de 500 000 Palestiniens. 1973 : la guerre du Kippour. Après des mois de tensions, essentiellement côté égyptien du fait de l’occupation israélienne du Sinaï, l’Egypte et la Syrie cherchent à envahir l’Etat hébreu par le sud et par le nord. L’Egypte reprend le canal de Suez mais ne s’approche pas de la frontière sud d’Israël.  Dans sa contre-offensive et avant le cessez-le-feu, Israël reprend une partie du canal et parvient à encercler une partie de l’armée égyptienne. Dans le Golan occupé par l’armée israélienne depuis 1967, les forces syriennes percent d’abord les défenses avant d’être refoulées ; la contre-attaque de Tsahal sur le territoire syrien s’arrête à 40 km de Damas.

 

 

Cette guerre facilitera le lancement de pourparlers de paix entre l’Egypte et Israël, sous l’égide du président américain Jimmy CARTER à Camp David (Maryland) : la paix est signée le 26 mars 1979. Le Sinaï est rendu aux Egyptiens en échange d’une reconnaissance mutuelle et de relations diplomatiques apaisées.

Une partie des accords conclus concernant le sort de Gaza et de la Cisjordanie reste lettre morte. Les accords de Camp David furent signés le 17 septembre 1978 par le président égyptien Anouar el-SADATE et le Premier ministre israélien Menahem BEGIN, sous la médiation du président des États-Unis, Jimmy CARTER.

 

 

Le cuisant échec des négociations de Camp David II

 

Le président américain Bill CLINTON, le Premier ministre israélien Ehud BARAK et le dirigeant palestinien Yasser ARAFAT se retrouveront ensuite à Camp David, en juillet 2000. Les négociations ont échoué. Yasser ARAFAT et tous les courants de l’Autorité considèrent cette rencontre non préparée, comme un piège tendu aux Palestiniens, voire un complot.

La première Intifada (mouvement d’opposition populaire contre l’armée israélienne) éclate le 09 décembre 1987 à Jabalia, camp de réfugiés palestiniens de la Bande de Gaza, avant de s’étendre à l’ensemble de la Cisjordanie. Cette période est marquée par des émeutes violentes de la jeunesse, avec des jets de pierres sur l’armée israélienne, mais aussi d’attentats contre la population israélienne.

En septembre 2000, la visite controversée de l’ancien ministre israélien, hostile au processus de paix, Ariel SHARON à Jérusalem sur l’esplanade des Mosquées, déclenche des émeutes palestiniennes dans les territoires occupés. Cette seconde Intifada s’intensifie avec une vague d’attentats-suicides commis par le Hamas et le Jihad islamiste aux centres des villes israéliens. Un nouveau chapitre sanglant, s’ouvre alors…

Fin de la partie deux.

 

Paul GUILLON

 

 


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