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C’est vrai : la série de travaux enclenchés depuis le milieu de l’été dans la ville phare de l’Yonne frise parfois avec l’indigestion pour les usagers de la route et les riverains aux heures de pointe ! Mais, comme le précise l’adage, un tantinet humoristique : « on n’obtient pas d’omelette sans casser des œufs ! ». D’autant que la résultante se veut plutôt flatteuse à terme pour l’amélioration du cadre de vie. Alors, un seul conseil : armez-vous de patience et rongez votre frein !

 

AUXERRE : Au cas où personne ne l’aurait encore remarqué, la capitale de l’Yonne subit une sérieuse cure de jouvence qui se décline en chantiers en tout genre depuis plusieurs semaines ! Un remède curatif administré à dose non homéopathique facilitant in fine l’embellissement de la ville et par effet gigogne, le confort de vie de ses habitants.

Une ambition, certes louable, au plan stratégique et valorisation de l’urbanisme qui occasionne nonobstant quelques grincements de dents et autres poussées d’urticaire aux heures fatidiques de la circulation ! Vive les mobilités douces, en pareille circonstance !

Coordonnées par la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, la municipalité et le Département, ces travaux concernent la rénovation de l’éclairage public, avec le passage au LED et à la variation de l’éclairage, la création et l’aménagement de squares (Laïcité et Jules Guignier), la réfection des voiries (boulevards Davout et du 11 novembre, rue du 24 août, des Conches, Guynemer, avenue Haussmann…), la finalisation de la Coulée verte. Ce panel éclectique de chantiers par sa diversité se complète par la création d’une zone de maraîchage bio, rue du Colonel Rozanoff.

 

 

Réduire la consommation énergétique des sources lumineuses…

 

Pourtant, au-delà des nuisances évidentes que certaines réalisations occasionnent, il est surtout question d’économie et de rentabilité dans la justification de ces projets.

Ainsi, les travaux de l’éclairage public du centre-ville devraient induire 80 % d’économies à réaliser sur la facture d’électricité.

La Ville a décidé de remplacer son éclairage traditionnel (fort consommateur en énergie) par des ampoules LED, disposant d’un système de variation d’intensité selon les horaires. 50 % de diminution entre 20 et 22 heures ; 90 % observée entre 22 et 05 heures ; enfin 50 % de 05 à 06 heures. Au total, ce sont 1 108 luminaires qui vont être ainsi équipés de ces précieuses ampoules peu énergivores.

 

 

 

Coût de l’opération : une enveloppe de 690 000 euros. Les travaux devraient se terminer pour la fin novembre 2021. Cette mutation énergétique entre dans le cadre du plan de relance : 25 % du budget initial est donc pris en charge par l’Etat.

En outre, l’apport de cet éclairage fonctionnant avec des LED diminuera la pollution lumineuse, tout en améliorant la qualité de l’éclairement en harmonisant la température de ces supports électriques sur tout le centre-ville. Afin d’en limiter l’impact sur la faune. Voilà donc une approche typiquement développement durable qui se concrétise.

 

 

Une Coulée verte qui se voit doter de signalisations et de la fibre optique…

 

Quant au square Jules Guignier, il est sorti de terre entre septembre 2020 et le printemps dernier, en mai plus précisément, période de sa livraison. Comprenant des jeux de boules, une aire de pique-nique, des espaces où les adeptes du tennis de table peuvent pratiquer leur discipline, il bénéficie d’un potager partagé dont la gestion incombe aux habitants du quartier.

L’ensemble profite d’une station de pompage solaire qui a été conçue par la start-up auxerroise SAUREA. Que l’on ne présente plus tant au niveau de ses particularismes technologiques uniques en France que de ses velléités à exporter à l’international.

Une manne de 26 700 euros aura été consentie à la réalisation de cet ouvrage financé par la Ville.

Enfin, la fameuse Coulée verte, connue et fréquentée par bon nombre d’Auxerroises et Auxerrois, gagne en améliorations avec la création d’un chemin de quatre mètres de largeur, la pose de la fibre optique, de barrières de bois le long des voiries (470 mètres), une signalétique d’orientation, la présence de ralentisseurs, le balisage, etc. Toujours en cours, les travaux de cette boucle de 12 kilomètres devraient se clore en novembre.

 

 

Financés par la Ville (235 000 euros injectés pour la voirie, 65 000 euros destinés à la signalétique), ces aménagements ont bénéficié de la dotation de soutien à l’investissement local (DSIL) de l’ordre de 38 %.

Jeudi, accompagné de sa première adjointe Carole CRESSON GIRAUD, de Nordine BOUCHROU, délégué à l'urbanisme, aux travaux et à l'accessibilité et de Christophe BONNEFOND, délégué communautaire aux infrastructures, à l'urbanisme, à l'habitat, à l'aménagement et aux travaux ainsi que du directeur du patrimoine et aménagement de l’espace public, Laurent BORYCKI, le maire-président Crescent MARAULT a pu s’assurer de visu de l’avancée et de la finalisation de ces différents projets.

Des initiatives qui forcément en appelleront d’autres à l’avenir dans le cadre du copieux « Projet de Territoire », devant s’étaler de 2021 à 2031 sur l’Auxerrois. « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage… ». Un proverbe que les Auxerroises et Auxerrois devront connaître par cœur et s’appliquer à eux-mêmes pour bien appréhender l’actuelle décennie !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il ne pouvait rêver mieux, l’ex-responsable de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne. Evincé du fauteuil suprême de président de l’organisme consulaire en novembre 2012, au terme d’élections qui lui seront défavorables, l’éleveur de Leugny effectue un retentissant come-back sur le devant de la scène de la filière. En se parant de la vêture de conseiller départemental en charge des questions agricoles et environnementales. Un formidable pied de nez à l’adversité ?

 

AUXERRE : Intérieurement, c’est sûr, le binôme d’Isabelle FROMENT-MEURICE, doit savourer l’instant présent. Elu lors des dernières échéances départementales dans le canton de Cœur de Puisaye avec 62,35 % des suffrages au second tour (expédiant ainsi dans les limbes de l’oubli le tandem du Rassemblement national), Gilles ABRY (LR-UDI) retrouve la tribune officielle de la Chambre départementale d’Agriculture, pour sa traditionnelle session de rentrée en cette matinée du 09 septembre.

Il siège aux côtés du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, d’Arnaud DELESTRE, le président de l’institution agricole et de François AVEZ, le nouveau directeur qui vient de prendre ses fonctions en remplacement d’Hervé MIVIELLE.

Une estrade que le personnage connaît bien, assurément. D’autant qu’il l’a fréquenté sous un tout autre registre six années durant, entre 2006 et 2012. A l’époque, l’agriculteur-éleveur y tenait la baguette de chef d’orchestre de l’assemblée consulaire. On connaît la suite : les élections de novembre 2012 furent fatales à sa réélection.

« Même si je suis aujourd’hui un élu du Département, annonce-t-il en guise de préambule, je reste surtout un agriculteur… ».

 

 

« Les agriculteurs sont là pour travailler la terre et nous nourrir… »…

 

Le ton est donné. Professionnel dans l’âme, le représentant de la commission Agriculture, Environnement et Alimentation du Conseil départemental sera celui des élus qui suivra l’actualité et les activités de la filière. Cela tombe bien : au moment où celle-ci en a le plus besoin !

D’ailleurs, l’orateur du jour n’a pas attendu très longtemps avant de se rappeler à notre bon souvenir par l’expression de petites phrases où la langue de bois est totalement proscrite du discours.

Florilège : « Nous, autres, les agriculteurs sommes là pour travailler et nourrir les hommes, il ne faudrait pas que certains utopistes et extrémistes l’oublient en ne pensant sauver que quelques oiseaux… ».

Ou encore : « Entre le Conseil départemental et la Chambre d’Agriculture, il y a un manque de coordination sur certains sujets ! ». Et celle-ci : « Je pense que l’outil AGRILOCAL coûte dix fois plus cher à son fonctionnement qu’il ne rapporte en terme de chiffre d’affaires… ».

Du sévère servi à l’état brut qui devrait bousculer quelque peu dans les chaumières !

Bref : on l’aura compris, Gilles ABRY n’a pas été élu au Département pour faire de la figuration. Surtout dès qu’il s’agit de défendre les intérêts et les droits de la filière agricole.

Former et anticiper intègrent son credo. Développer, l’esprit d’entreprise au sein de l’agriculture, aussi. « Nous allons travailler à de vrais projets d’avenir… ». Et peut-être, en toile de fond, essayer de résoudre la sempiternelle question de la pénurie de main d’œuvre qui plombe le travail dans les exploitations.

Se projetant vers l’avenir, l’élu spécialiste des questions agricoles évoque Paris et l’échéance olympique de 2024.

« Nous allons mettre une vraie action de communication afin de valoriser nos filières et notre campagne avant les Jeux… ». La proximité avec la capitale hexagonale ne peut qu’induire de réelles retombées économiques pour les filières de production.

Une chose est sûre : au terme de sa première prise de parole dans cette assemblée consulaire dont il connaît le moindre des rouages, Gilles ABRY entend bien ne pas flâner en route et entrer immédiatement dans le vif des sujets.

 

Thierry BRET

 

 


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La patience est une vertu qui s’acquiert face à l’adversité ! Les organisateurs de ce salon entièrement consacré à la découverte de véhicules électriques et hybrides en savent quelque chose ! Reporté par deux fois du fait de la pandémie de coronavirus, l’évènement sera enfin accueilli ce samedi 11 septembre sur l’esplanade du parc des expositions d’Auxerre…

 

AUXERRE : Seize constructeurs différents, une demi-douzaine de concessionnaires du cru et trente-six véhicules présentés à découvrir avant de les tester : cette première édition du MOOV’E devrait permettre aux férus d’automobile d’y trouver leur compte lors de cette journée, placée sous le prisme de la transition énergétique côté mobilité.

Accueillie sur le parvis du parc des expositions AUXERREXPO, la manifestation aura connu quelques soubresauts conjoncturels avant de prendre date de manière formelle. La faute à pas de chance, effectivement ! Puisque par deux fois, ce rendez-vous initié par Centre France Evènement et commercialisé par la branche publicitaire du groupe de presse, aura connu les affres de confinements successifs.

Prévu initialement en octobre dernier, ce salon n’aura pu aller au terme de son compte à rebours originel, rattrapé comme la majeure partie des évènementiels programmés à l’automne 2020 par ce fichu virus.

 

 

 

Faisant montre d’abnégation, les organisateurs ont ensuite décidé de reconduire l’initiative durant le joli de mai. Un cauchemar, en définitive, avec là aussi une seconde annulation, imputable aux mêmes causes : la COVID 19 !

Cette fois-ci, le rendez-vous proposé avec le public de l’Yonne sera le bon ! Même si le 11 septembre rappelle toujours de désagréables pensées.

Qu’à cela ne tienne, cette journée d’animations et de convivialité favorisera les échanges avec les professionnels présents sur le site.

Informations, explications, séances d’essai, comparatifs : tout sera permis ou presque durant cette animation devant se dérouler dans un esprit bon enfant. L’entrée sera libre. A contrario, les visiteurs devront se munir de leur pass sanitaire pour pénétrer sur le lieu de l’exposition.

 

En savoir plus :

Les concessionnaires représentant les marques Mitsubishi, Ford, Volvo, Opel, Renault, Dacia, Volkswagen, Audi, Skoda, MG, Nissan, Mazda, Hyundai, Fiat, Citroën et DS seront présents sur ce premier salon concocté par Centre France Evènement.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le geste se situe bien au-delà des symboles. Ceux de l’altruisme, de la générosité, de cette solidarité sans borne qui caractérise le plus souvent le bien-fondé d’un club service. Douze mille euros. Ni plus, pas moins. Une somme rondelette dont bénéficie désormais le service hématologie du Centre Hospitalier Universitaire de Dijon. Une obole conséquente, affectée à la recherche et à l’espérance. Celles des malades qui entrevoient la guérison au bout du tunnel…

 

DIJON (Côte d’Or) : Apporter son concours à une œuvre sociale, c’est la résultante d’une action menée tambour battant sur le terrain, ensemble et dans un esprit collectif, pour essayer de glaner les sommes nécessaires à sa réalisation.

Or, il est vrai qu’au vu de la configuration imputable à la pandémie de coronavirus, les opérations déclinées vers le grand public et leur sensibilisation à cette fameuse œuvre sociale se sont réduites à peau de chagrin depuis déjà une très longue période. Pas de soirée de gala officielle pourvoyeuse de gains appréciables ! Exit les habituelles manifestations populaires qui permettent de récolter des fonds indispensables au remplissage de la caisse dédiée ! Oubliées les animations ludiques qui nourrissent les bas de laine utiles lorsqu’ils sont redistribués à bon escient.

Bref : en un mot comme en cent, ce fut Waterloo morne plaine pour la plupart des clubs service qui interviennent sur l’Hexagone au nom du sacro-saint principe vertueux de l’entraide et de la solidarité. Un paradoxe alors que dans le même temps, et au vu de la conjoncture sanitaire et sociale, les besoins n’ont jamais été aussi importants.

 

 

Concrètement, comment ont-ils fait les membres du KIWANIS Club d’Auxerre en remettant un chèque de 12 000 euros au service hématologie du CHU de Dijon ? Ils ont tout bonnement puisé parmi leurs réserves. Certes,  celles-ci ne sont pas insondables. Mais, elles traduisent de l’efficience d’une structure associative qui a su, besogneuse, au fil des ans conserver une poire pour la soif et se garder de tout écart financier démesuré durant cette interminable période d’atermoiement.

Car mine de rien, il faut les posséder ces fameux douze mille euros dans sa cagnotte. D’autant que les clubs service, par coutume et éthique, ne bénéficient d’aucune subvention aux origines municipales…

Bien sûr : 12 000 euros dans la corbeille d’un centre hospitalier de l’envergure de celui de la capitale des ducs de Bourgogne ne représente qu’une modeste goutte d’eau dans un vaste océan à traverser avec son esquif pris dans les tourments de la tempête. Mais, c’est avec les petites rivières que l’ont fait les grands fleuves qui s’écoulent ensuite vers l’immensité de zones aquatiques navigables.

 

 

 

Tous les dons sont les bienvenus pour faire progresser la recherche…

 

 

Le geste du KIWANIS Club d’Auxerre n’a rien d’anodin. Surtout pas aux yeux du responsable du service concerné, le docteur CAILLOT. Car, le nerf de la guerre dans ce combat implacable contre ces maladies demeure…l’argent. Pour accroître les potentialités et les progrès de la recherche. Pour améliorer la qualité de vie des personnes traitées au quotidien dans cet immense complexe que représente le CHU. « Un don tel que vous le faites aujourd’hui nous est tout à fait bénéfique, ajouta le praticien, nous allons promouvoir ainsi nos recherches dans tous les compartiments de l’hématologie maligne… ».

Chiffres à l’appui, le spécialiste lâchera quelques données statistiques pour étayer ses propos. Des chiffres chargés d’optimisme afin de réinstaurer la confiance auprès de celles et de ceux qui souffrent. Parfois dans la solitude et en silence.

 

 

 

« En 1981, renchérit le thérapeute, il y avait moins de 5 % des personnes qui guérissaient de leucémies aigües. Aujourd’hui, la fourchette de guérison se situe entre 40 et 80 % selon les cas… ».

Des sommes astronomiques sont englouties dans la recherche, chaque année. Mais, ces investissements ne sont pas vains. Ils se traduisent par des succès progressifs sur l’adversité. Des victoires réelles, là où les causes semblaient perdues d’avance.

« Tous les dons sont donc les bienvenus, devait conclure avec optimisme le docteur CAILLOT au terme de sa prise de parole.

 

 

Près de 2 millions d’euros de dons reversés chaque année par le KIWANIS…

 

A l’initiative de ce don, Didier PHILIPON. Lui-même concerné par la pathologie.

« Je suis soigné depuis de nombreuses années dans ce service, explique-t-il, je ne peux que souligner la rigueur et le professionnalisme de ces soignants qui nous accompagnent… ».

Membre historique du KIWANIS Club d’Auxerre, l’entrepreneur auxerrois porte l’opération au sein de sa structure associative, bénéficiant du soutien de ses adhérents, dont Jean-François FINANCE, l’actuel président en tête.

Réaffirmant sa fierté de remettre ledit chèque au CHU, ce dernier a souligné l’adhésion totale du club et de ses membres à ce projet. Une action qui correspond pleinement au credo de l’association : « Servir les enfants du monde ». Même si les petits n’étaient guère concernés par les soins prodigués dans l’établissement de Côte d’Or, le docteur CAILLOT précisa que bon nombre d’adolescents et de jeunes adultes fréquentaient son service.

Lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, Claude GUILLLEMOT rappela les contours de sa fonction, assimilable à celle d’un président de région. Il retraça un succinct historique du club service depuis ses origines centenaire aux Etats-Unis jusqu’à son implantation en France au début des années 60 (Metz fut la première ville française à accueillir un club en 1965).

 

 

Mouvement international rassemblant plus de 600 000 membres, le KIWANIS (nous construisons dans sa traduction littérale de ce terme de l’amérindien) comprend 230 clubs dans l’Hexagone pour environ 4 000 représentants.

S’en suivit une brève intervention de Joseph MATICOT, ancien gouverneur (président) national aujourd’hui à la tête du club satellite de Dijon. Ce dernier énuméra les actions majeures du mouvement ; des opérations internationales ayant une réelle portée médiatique comme le Tour des France des Jeunes, les baptêmes de l’air, Vaincre la mucoviscidose, les Colosses aux pieds d’argile.

L’une des actions, toujours d’actualité, ELIMINATE concerne l’éradication du tétanos néo-natal, pathologie lourde qui sévit dans les pays émergents. Précisons que le KIWANIS hexagonal dispose de sa propre fondation, rattachée à la Fondation de France. Chaque année, le mouvement composé de « personnes ordinaires pour des actions extraordinaires » comme il se définit verse près de deux millions d’euros aux œuvres sociales dont il est un généreux soutien.

En charge des PME, des start-up, de la recherche et des transferts technologiques, Marie-Hélène JUILLARD-RANDRIAN, vice-présidente de Dijon Métropole, exprimera toute sa satisfaction à être présente au moment de cette remise de chèque, porteuse d’espoir…Elle n’était pas la seule, visiblement…

 

Thierry BRET

 

 


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Le départ de ce monstre sacré de la comédie et du théâtre a inspiré notre chroniqueur Jean-Paul ALLOU. Il lui rend hommage de la plus belle façon, en couchant des mots dans un style poétique. Un au-revoir à l’artiste qui vivra toujours dans nos pensées à travers ses 80 films et pièces de théâtre…

 

TRIBUNE: Les mots nous manquent à tous

Un homme heureux est mort

Icône des trente glorieuses

Et de la France heureuse

Il traverse l’histoire

Du cinéma français

Adulé du public

Des succès populaires

Des films et des cascades

Qui le font rejeter

Des intellos pisse-froid

Des bobos, des gauchistes

D’une intelligentsia

Si loin du cœur des hommes

Honnis des médiocres

Jaloux de son talent

Il va clouer le bec

A tous ces spécialistes

De la pensée unique

Magistral come-back

Avec « Kean » au théâtre

A la fin de l’envoi

Il touche tous les cœurs

 

 

 

 

Une gouaille féconde

Rejoint le paradis

Des anges et des artistes

Bébel, c’est un sourire

Et l’ami de chacun

L’amant inespéré

Le fils, le père, le gendre

Celui qu’on voudrait être

« Le Magnifique » n’est plus

On peut imaginer

Un cercueil pendu

Sous un hélicoptère

Et une main s’agite

Pour nous dire : au revoir…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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