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Avec l’adoption du Plan d’accélération de l’investissement régional voté le 09 octobre, la Bourgogne Franche-Comté souhaite optimiser le covoiturage afin de réduire le trafic des véhicules individuels sur nos axes de circulation. L’offre MOBIGO existe et favorise la mise en place effective de lignes régulières selon les flux de déplacement de leurs utilisateurs. Dilemme : que faire des véhicules personnels avant de rouler collectif ?

DIJON (Côte d’Or) : La conception de nouvelles aires de stationnement facilitant l’organisation du covoiturage devient une véritable nécessité sur notre territoire. C’est ce qui ressort du schéma des aires de covoiturage en Bourgogne Franche-Comté, un schéma ayant été adopté lors de la séance plénière du vendredi 09 octobre.

A ce jour, il n’existe que 97 parkings dans la contrée qui sont dédiés au développement de cette pratique. Celle qui permet à plusieurs automobilistes de rouler en version collective sur un trajet très précis.

Si le système de réservation s’avère opérationnel dans son approche pratico-pratique, que dire en revanche du nombre d’aires de stationnement qui demeure bien en-deçà de ce qu’il devrait être pour pouvoir booster de manière convenable ce dispositif enclin à favoriser l’énergie positive ?

Aujourd’hui, il est nécessaire d’implanter cent-deux sites d’accueil supplémentaires pour obtenir le chiffre de 199 aires de covoiturage. Nombre idéal, de surcroît, pour développer ce principe de mobilité environnementale sur notre territoire.

 

 

S’appuyant sur les services du Réseau Routier d’Intérêt Régional (RRIR), la Région prévoit de créer ces aires de stationnement manquantes sur la cartographie territoriale. Ce déploiement suppose la mobilisation d’une enveloppe de 5,6 millions d’euros de crédits.

En outre, le réseau actuel ne sera pas omis de quelques retouches complémentaires. Notamment pour l’adapter aux nouvelles formes de mobilité. Ainsi, l’installation de recharges destinées à alimenter les véhicules électriques s’impose. A l’instar de la création d’abris sécurisés pouvant accueillir des vélos sur les sites.

 


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Favoriser la reprise de l’activité et préserver la création d’emplois. C’est la réponse sans équivoque apportée par la Région Bourgogne Franche-Comté aux conséquences dommageables de la pandémie virale sur notre territoire. En adoptant un Plan d’accélération de l’investissement régional, l’organe institutionnel entend bien jouer un rôle majeur dans la gestion de cette crise sanitaire. Autour des trois thèmes que sont l’emploi, l’écologie et la solidarité…

DIJON (Côte d’Or) : C’est l’heure du deuxième acte pour la Région Bourgogne Franche-Comté pour relancer favorablement l’activité économique après la première initiative prise au début de la crise. Une réponse qui semble être appropriée à la situation actuelle, complexe et si délicate à appréhender pour des centaines d’entreprises en proie aux doutes et difficultés.    

Doté d’une enveloppe globale de 540 millions d’euros dont 435 millions d’euros de financement régional et d’un reliquat constitué de fonds européens, le Plan d’accélération de l’investissement régional a été adopté lors de la séance plénière ce vendredi 09 octobre dans l’hémicycle du boulevard de la Trémouille.

Après avoir injecté cent millions d’euros au printemps, le pouvoir exécutif de notre contrée démontre ainsi qu’il entend mobiliser tous les moyens financiers disponibles pour participer au rebond de l’économie. Dès à présent, puisque le plan est devenu effectif dès son adoption par les élus, et ce, jusqu’au terme de 2023.

Elaboré à l’issue d’un cycle de concertations avec les différentes filières économiques, les branches professionnelles et les partenaires institutionnels, ce plan traduit la volonté de la présidente Marie-Guite DUFAY de mettre tout en œuvre pour sortir de l’ornière le monde de l’entrepreneuriat de l’abîme.

 

 

Un plan devant générer 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises

 

« Proposer un plan à trois ans aux dimensions ambitieuses afin de soutenir l’activité économique en Bourgogne Franche-Comté est l’une des premières responsabilités de notre collectivité, devait-elle préciser lors de sa prise de parole introductive.

Ce plan s’inscrit dans la droite ligne de l’action nationale déclinée sous le vocable de « France Relance » et des actions mises en exergue au niveau européen.

Articulé en trois éléments (emploi, écologie, territoires et solidarité), l’outil qui devrait permettre de générer deux milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises régionales préconise cent-deux mesures spécifiques. Certaines d’entre elles à hauteur de 30 % existent déjà : leurs financements en seront élargis. Pour les autres, elles ne sont que le reflet de véritables nouveautés.

 

 

La répartition entre les trois axes privilégiés est la suivante : 237 millions d’euros se destineront à l’écologie, 113,5 millions iront vers le volet pur économie et emploi. L’aide attribuée au pôle Territoires et Solidarité s’élèvera à 84,5 millions d’euros.

Précisons que ce plan d’accélération s’adosse au pacte régional en faveur de l’économie de proximité qui a vu le jour en juin dernier. Conçu avec le concours des intercommunalités, il se destine pour les artisans, les commerçants et les entreprises de moins de dix salariés, pour une enveloppe globale de 27 millions d’euros.

 

Une coloration écologique forte insufflée à ce plan…

 

Parmi les mesures qui ont été votées par la Région dans le cadre de ce plan de reconquête économique, environ la moitié (soit 47 sur 102) se rapporte directement à la transition écologique et énergétique. Dans le concret, une enveloppe de 70 millions d’euros est consacrée aux projets de rénovation énergétique. C’est-à-dire ceux qui ont des effets positifs pour le climat, l’emploi et le pouvoir d’achat des ménages.

L’angle pédagogique n’a pas été occulté de cette vision stratégique globale. La présidente Marie-Guite DUFAY désirait promouvoir la formation professionnelle avec l’adaptation des compétences aux besoins émergents : ce sera fait via une dimension sociale forte.

A ce titre, une charte, en cours de négociation avec les structures patronales et les syndicats, pourrait déboucher pour que ces aides régionales aux entreprises soient assorties de contreparties en matière de dialogue social et de sécurisation des emplois.

Face à « des situations que nous n’avions jamais connues […], nous avons su faire face, résister, créer,  collectivement, a tenu à rappeler la présidente. Nous avons aussi beaucoup appris. Aujourd’hui, il nous faut rester très dans l’humilité, attentifs et vigilants ». 

Face à la situation, la Région a décidé d’agir vite en prenant le taureau par les cornes. Une première enveloppe sera débloquée avant le 01er décembre 2020 avec vingt-cinq millions d’euros à la clé. Pas de doute, il n’y a plus une minute à perdre pour sauver le « soldat » économie de ce bourbier dans lequel il s’enlise…

Thierry BRET

 

 


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C'est à l'orée de la Puisaye-Forterre, près de Grandchamps que Julia REDON s’est installée avec son compagnon pour créer un lieu unique dans l'Yonne : « The Wild Spark ». Entourée de ses vingt-et-un chiens de traîneau obtenus à partir de trois races (Alaskan Malamute, Sibériens Shusky et Laika), elle propose depuis juillet 2019 des prestations originales destinées à toute la famille.

GRANDCHAMPS : Connaissez-vous la cani-rando ? Il s’agit d’une randonnée qui consiste à marcher dans la nature, tracté par un chien pendant deux heures. Une présentation des chiens s’effectue avant et après la balade. Pour les plus petits à partir d'un an et demi, ces derniers sont reliés à l'animal avec un sulki. Une petite charrette dans laquelle l'enfant est installé confortablement.

Il existe une autre possibilité pour se familiariser avec les chiens de traîneau : le cani-kart. Lors d’un baptême de 45 minutes, vous embarquez à bord d’un traîneau contenant trois places qui est tiré par une meute de chiens (de 12 à 14 animaux) dans la campagne avoisinante. Par respect pour eux, les balades ne se font pas au-dessus de 20 degrés. Mais, durant l’été, elles peuvent se concevoir en soirée selon les températures.

Si l’envie d'en savoir plus sur ces chiens au regard si particulier vous titille,  Julia propose une visite de son élevage avec la présentation des différentes races et leur spécificité. Elle y parle de leur alimentation et de leur reproduction dans laquelle elle est spécialisée avec deux à trois portées par an. Récemment, sept malamutes de trois semaines venaient prendre leur biberon pour aider leur nouvelle maman de deux ans et demi.

 

 

Massages et spas pour chiens parfaitement sociabilisés…

 

Parmi les projets à venir : citons une salle de sport canine. Elle sera conçue en plein air avec un libre accès pour venir pratiquer différents sports avec votre compagnon à quatre pattes : agility, weight pulling et fly ball.

Cette éducation sportive est adaptée à l'animal. Elle est inédite dans la région avec le projet d’un spa pour détendre l'animal après sa séance. Julia envisage également de se former au massage canin pour leur prodiguer encore plus de bien-être. Faire du sport permettra au chien de se défouler, de favoriser le lien entre le chien et le maître, voire d’aider le chien à être plus réceptif par la suite.

 

 

Durant le confinement, la propriétaire a installé deux enclos pour accueillir quatre chiens en pension canine. Elle envisage de construire deux nouveaux espaces supplémentaires. 

Monitrice d’équitation reconvertie dans cette activité canine après avoir passé le titre de « musher conducteur de chien de traîneau », Julie REDON a plus d’un tour dans sa besace. La dirigeante d’entreprise reçoit du public jusqu’au mois de novembre. On peut toujours profiter des activités sur simple réservation : https://www.thewildspark.fr/

Maryline GANDON

 


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C’est l’une des spécificités de la vénérable institution. S’assurer que l’accès aux soins des personnes en situation les plus précaires soit toujours facilité. Surtout en période de crise sanitaire aussi délicate qui vient impacter le bon fonctionnement de notre pays. En lien avec le tissu associatif local, la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie de l’Yonne multiplie les initiatives pour ne laisser personne au bord de la route…Explications.

AUXERRE : Drôle de période anniversaire que celle-là ! La soixante-quinzième célébration de la Sécurité sociale, l’une des sacro-saintes institutions les plus marquantes de notre histoire qui aura chamboulé l’existence de millions de nos compatriotes au fil de ces décennies.

Et pourtant, même si cette « vieille dame » de la protection individuelle en matière de santé et de soins a troqué son nom de baptême par un acronyme plus dans l’air du temps, ses interventions concrètes n’en sont pas moins toujours aussi prégnantes dans cette France du XXIème siècle.

Avec, actualité oblige, un Hexagone confronté à la pire des pandémies de ce siècle encore balbutiant qui n’est pas sans rappeler la terrible grippe espagnole ayant terrassé des millions d’êtres humains dans le premier quart du vingtième siècle.

Or, il y a nécessairement une similitude troublante quant à l’évocation de ce parallèle historique : les atermoiements d’une frange de la population face à la maladie, celle et ceux qui constituent cette caste désignée par le terme de public dit « fragilisé ».

C’est là que la locution « Sécurité sociale » reprend tous ses droits et ses principes salvateurs pour soutenir les oubliés de nos systèmes économiques, durs et impitoyables, qui régissent depuis des lustres notre société.

L’eau a eu beau s’écouler au fil de ces 75 ans, le combat mené par la Commission de l’Action Sanitaire et Sociale (CASS) de la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie demeure le même. Il s’agit d’accompagner et de soutenir du mieux possible ces publics en position de déshérence, parfois pire. Justement, en leur garantissant l’accès aux soins, la chose la plus vertueuse qu’il soit en ce bas monde avec la possibilité de se nourrir et de se loger dignement.

 

 

Capacité d’initiative et sens de l’innovation : le credo de la CPAM…

 

Fort de ce postulat sociétal, la CPAM n’a eu d’autres alternatives que de réagir en ce sens. Devenant force de proposition au passage grâce à cette spécificité que représente sa Commission de l’Action Sanitaire et Sociale.

L’aide se décline dans chaque caisse départementale de l’organisme ; une aide au financement de soins selon un barème fixé et régi par le règlement intérieur.

Pour en évoquer les contours dans l’Yonne : Marie-Jeanne LECLERC. Responsable de ladite commission, l’oratrice devait succéder aux propos liminaires du président de la CPAM de l’Yonne Bruno BLAUVAC, en brossant un tableau récapitulatif des différentes actions menées en cette période conjoncturelle si particulière.

Au bénéfice de celles et ceux de ces assurés sociaux ou ayant-droits affiliés à la caisse départementale qui rencontrent de sérieuses problématiques d’ordre financier du fait des risques maladie, maternité, accident du travail, maladie professionnelle, invalidité et décès.

 

 

Des aides pour quelle typologie de bénéficiaires ?

 

Qui sont ces publics fragilisés ? Marie-Jeanne LECLERC en donnera un bref aperçu, chiffres à l’appui, lors de sa prise de parole. Ce sont à 70 % des femmes. Elles vivent dans des foyers où il y a en moyenne 1,84 personne et 18 % sont des bénéficiaires de l’ancienne CMU-C, devenue depuis la Complémentaire Santé Solidaire. Socialement, la grande majorité de ce public précaire subsiste grâce à leur retraite, mais on dénombre aussi des salariés, des allocataires de minima sociaux, des étudiants et des travailleurs indépendants.

Précisément, cette dernière catégorie socio-professionnelle peut profiter pleinement des bénéfices offerts par les aides de la CPAM.

Le nombre de demandeurs à l’ASS s’élevait à 1 014 personnes au 01er janvier 2020. Deux-cent-soixante-deux d’entre elles ont essuyé un refus pour cause de dépassement des seuils de revenus.

Les aides sont accordées après l’étude de chaque demande auprès de la Caisse. Elles peuvent concerner le paiement d’une complémentaire santé, la convalescence, les soins d’optique, ceux qui concernent les dents, l’orthodontie, les appareillages auditifs, la pharmacie et les accessoires nécessaires, les frais pour des fournitures médicales non remboursables, le ticket modérateur en cas d’hospitalisation et de soins, les frais de transport pour suivre un traitement sans hospitalisation ou ceux inhérents à l’accompagnement d’un malade.

Parmi les grandes nouveautés de 2020, la Commission a décidé de moduler son règlement intérieur afin d’y incorporer deux additifs supplémentaires : l’augmentation du montant de l’aide aux frais d’obsèques (l’aide est portée à 1 200 euros, soit 40 % d’une facture moyenne pour une cérémonie organisée sur notre territoire). Le second point se rapporte à la téléassistance.

L’idée d’une prise en charge de la cotisation mensuelle a été retenue par le Conseil de la Caisse Primaire sous certaines conditions : à savoir la condition de prescription médicale et après déduction des autres aides de type APA et organismes complémentaires.

 

 

Des conventions de partenariat avec le tissu associatif local…

 

La CPAM dans un souci de déploiement de sa stratégie de communication et de développement de ses actions s’est également rapprochée du tissu associatif, un excellent vecteur pour cibler les publics fragilisés.

Aujourd’hui, un certain nombre de conventions de partenariat lie l’organisme à plusieurs structures associatives reconnues d’utilité publique à l’instar des Restau du Cœur, du Secours Populaire, du Secours Catholique, etc.

Vingt-trois d’entre elles sont opérationnelles et génèrent près de 43 000 euros d’aides.

Ce financement s’intègre dans le Fonds d’Action Sanitaire et Social qui donne lieu à un appel à projets chaque année. Cela concerne en priorité des associations qui se positionnent sur le domaine de la prévention de la santé et du social. Signe des temps, mais aussi volonté de ratisser plus large en matière de cibles : neuf associations seulement étaient signataires de tels accords l’année dernière pour un montant de 12 900 euros.

 


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L’information a été dévoilée par le fondateur de la fameuse collection touristique Philippe GLOAGUEN, en personne, lors du lancement du guide consacré à l’oenotourisme en Bourgogne et dans le Jura. Le territoire du Morvan se verra doté de son propre guide à la célèbre estampille, et ce dès l’année prochaine…

Saint-Nicolas-les-Cîteaux : « Je ne suis pas sûr qu’il soit encore nécessaire de faire la promotion de la Bourgogne et de son territoire ! ». La phrase a été prononcée en conclusion de la prise de parole de Philippe GLOAGUEN, lors de la cérémonie de lancement du nouvel opus publié aux éditions Hachette, sous le prisme du Routard le 23 septembre dernier à l’abbaye de Cîteaux.

Et pourtant, l’un des territoires de cette contrée que nous chérissons tant fera encore la une de l’actualité livresque, catégorie tourisme aventureux aux bonnes adresses savamment sélectionnées, dès la saison prochaine.

Après la publication de différents ouvrages sur la Bourgogne du Sud à bicyclette, les canaux de Bourgogne ou encore celui exclusivement dédié à celui du Nivernais, 2021 nous permettra de voir s’agrandir la collection de ces guides si précieux et bien ficelés, contenant leur multitude de belles références gastronomique, vinicoles et humaines, avec le Morvan.

Un choix logique pour le cofondateur, directeur de collection et auteur Philippe GLOAGUEN qui a pu découvrir l’existence de la région bourguignonne en 1966 lors de la projection de « La Grande Vadrouille », film mythique au demeurant, sur l’un des écrans cinématographiques de l’Hexagone !

Partant du postulat que les Français ne connaissaient pas forcément le pays où ils vivaient, le chef d’entreprise a développé une collection d’ouvrages propre aux particularismes de nos régions et territoires. En parallèle des opus réalisés vers des destinations plus exotiques, aux quatre coins de la planète.

 

La Bourgogne, région qui attire les convergences des touristes français et étrangers...

 

Réédité chaque année avec beaucoup de succès, le guide générique présentant la Bourgogne dans son ensemble demeure l’une des meilleures ventes de la collection. Prouvant l’appétence des touristes français et étrangers (américains, britanniques, allemands…) envers cette contrée.

Territoire un peu moins connu du fait de son éloignement des grands axes de circulation, mais au demeurant toujours dans son jus au niveau de l’authenticité et le cadre champêtre, le Morvan sera donc la prochaine cible des journalistes/rédacteurs du guide. Sachant qu’un ouvrage nécessite plusieurs mois de préparatifs en amont et de séquences informatives vécues sur le terrain.

Celui qui ne boit que du bourgogne depuis dix ans nous a déjà mis l’eau à la bouche en annonçant la nouvelle de ce choix éditorial qui n’est que justice pour ce Morvan, soutenu par le Conseil départemental de l’Yonne, entre autres, à sa promotion grâce à son fameux Parc naturel.

On a déjà hâte de le compulser pour découvrir entre 350 et 400 bonnes adresses à ne pas manquer !

 


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