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L’urgence. Car nul ne peut plus ignorer les actes odieux dont sont victimes au quotidien les femmes au tréfonds de leur contexte familial. Les chiffres transmis par la délégation ad hoc du ministère de l’Intérieur sont accablants de véracité en ce qui concerne les violences conjugales. Des chiffres qui ont sans doute ému les responsables de l’assureur mutualiste régional déjà positionné sur bon nombre d’opérations citoyennes par le passé…

AUXERRE : Rien que sur l’exercice 2019, ce sont plus de 170 personnes (173 précisément) qui ont payé de leur vie les relations délétères et conflictuelles existantes au sein de leur couple.

Soit une hausse de 16 % par rapport à l’année précédente. Et ce n’est malheureusement pas les périodes successives de confinement, imputables au coronavirus, qui auront modifié les tendances de cette situation insoutenable pour la gent féminine.

Quand les dix présidents des caisses locales de l’assureur mutualiste icaunais ont eu à réfléchir sur le bien-fondé d’une aide salvatrice à apporter à celles qui subissaient les violences physiques et morales de leurs partenaires, ils se sont montrés unanimes dans leur choix.

Primo, l’idée de construire ensemble, avec le concours des services de l’Etat et des associations spécialisées dans la protection des droits aux femmes, une action solidaire et responsable est devenue très vite une évidence.

Dès janvier, ces clés de voûte de l’organigramme représentatif de GROUPAMA sur notre territoire seront réunies, en présentiel ou à distance selon l’état des lieux sanitaire du moment, afin de définir les grandes lignes de cette future collaboration citoyenne.

Parmi les priorités à débattre : la définition d’un budget sur l’année 2021 allouée à cette opération et ses différentes affectations. Un séminaire leur sera aussi proposé pour mieux appréhender les problématiques d’aides au relogement dont ces femmes expriment le besoin en cas de rupture avec leur turbulent conjoint.

 

Un acte de générosité sous la forme d’un chèque…

 

Secundo, il y a peu, l’exécutif de l’assureur mutualiste sur notre département (Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses locales de l’Yonne et Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement) ont anticipé le futur de ces projets.

Faisant suite à des échanges constructifs avec le directeur de cabinet de la préfecture Tristan RIQUELME, ils ont procédé à un acte de générosité, sous la forme d’un don au profit des femmes victimes de ces violences conjugales.

Celles-ci, au nombre de vingt-trois, avaient été recommandées par deux organismes qui luttent contre ce fléau : l’ADAVIRS (Association d’aides aux victimes d’infractions et à la réinsertion sociale) et le CIDFF (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de l’Yonne).

D’un montant de 1 500 euros, ce geste salvateur a été officialisé en présence de Juliette ROME, déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité. Il a pour vocation d’améliorer le quotidien de ces personnes précaires.

Dans un registre similaire, GROUPAMA Paris Val-de-Loire qui n’en est pas à son coup d’essai dans ses actions en faveur de la citoyenneté et de l’altruisme (marche annuelle sensibilisant au dépistage du cancer du sein, opérations menées dans le cadre de l’Egalité des chances entre les femmes et les hommes dont Jacques BLA NCHOT est précisément le représentant départemental pour l’Yonne) devrait intervenir également en milieu scolaire (primaire et lycée) dès janvier autour de la prévention égalitaire entre les deux sexes.   

    

Thierry BRET

 


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Sa plume aiguisée et son talent d’observateur font naître chaque semaine dans nos colonnes bien des réflexions pertinentes et acerbes sur le devenir de notre société. Pour autant, le garçon possède d’autres cordes à son arc. Toujours scripturales, certes, mais sur un tout autre registre que celui de la presse. Son dernier ouvrage le prouve : Jean-Paul ALLOU est bien le meilleur antidépresseur qu’il est judicieux de consommer sans modération en cette période de confinements successifs !

AUXERRE : L’ouvrage se lit de la première à l’ultime page, par dedans, à partir de n’importe où, sans masque ou avec lui si tel est votre désir, devant le feu de bois d’une cheminée chuintante, au fond de son lit douillet ou dans le salon, près du sapin illuminé !

Publié il y a quelques semaines, ce livre se définit tel le parfait antidote à la morosité ambiante, à la sinistrose galopante qui a envahi tel un lichen putride toutes les surfaces de notre âme et de notre corps, renvoyant cette existence qui ne se résume plus que d’ordinaire à cette litanie insupportable, auto, boulot, dodo, à sa triste réalité !

S’inspirer du règne animal pour en tirer des maximes profitables à notre condition humaine est le tour de passe-passe insolite et étonnant dans lequel se sont embarqués les deux co-auteurs de l’ouvrage.

France C. et Jean-Paul ALLOU, que les lecteurs de Presse Evasion, connaissent bien à la lecture de tribunes hebdomadaires qui ne manquent jamais de nous titiller les neurones. Et surtout nous permettre de nous interroger sur le sens profond de ce barnum planétaire où nous nous mouvons au quotidien.

Alors, quand ils décident de concert d’effleurer l’histoire et la culture de ces proverbes qui enjolivent parfois nos discours, c’est une vraie bouffée d’oxygène intellectuelle qu’ils soumettent à notre sagacité.

Une large parenthèse sur les procès d’animaux depuis le Moyen-Age à nos jours, nous offre l’heureuse opportunité de mieux comprendre le fonctionnement de l’humain autour de faits bien réels qui prêtent à sourire, voire à s’esclaffer. Cela va de l’excommunication d’un cochon au XIIème siècle jusqu’à la guillotine réservée à un malheureux perroquet qui osait crier « Vive le roi ! » en 1789. Sale temps pour le volatile !

 

Des bouquets de sourires et un feu d’artifice de bons mots en gerbes de fous rires !

 

Disons-le tout de go, « Animalement Vôtre » se découvre avec finesse et élégance. L’ouvrage ne sera jamais tiré à des millions d’exemplaires sauf si la Sécurité sociale en annonce le remboursement pour ses facultés antidépressives et joyeuses sur l’esprit humain !

A mettre entre toutes les mains, il traduit la belle complicité existante entre ces deux auteurs inclassables, iconoclastes mais tout aussi sages, loin des sentiers battus et qui refusent la dictature de la norme ! Leur humour est potache, décapant à souhait, et nous plonge le plus souvent dans les facéties de notre enfance.

On peut classer ce livre parmi les recueils de dictons, de proverbes et de citations à caractère animalier, agrémentés de jeux de mots et de commentaires tantôt caustiques, parfois aux limites du grivois et souvent aux antipodes du conventionnel ! 

Après deux romans autobiographiques, huit recueils de poésie et la chanson des fêtes du centenaire de la statue de la Liberté (« Liberté » chez Polygram), Jean-Paul ALLOU a su façonner sa prose en la mettant au service de l’humour.

Les illustrations de cet opus sont assurées par France C., écrivaine, artiste peintre, qui a illustré précédemment tous les recueils de poésie de Jean-Paul. Ce nouvel exercice où l’animal règne en maître puisqu’il en est la source d’inspiration organique lui offre la possibilité de démontrer son art et son talent.

Ses illustrations confèrent au livre la cohérence du texte et révèlent le parfum suranné de la légèreté des mots.

 

Un humour potache à partager sans modération au pied du sapin !

 

A la question, comment cette idée de livre a pu germer en vous ? L’auteur et confrère répond avec la complicité de sa proche collaboratrice, de la manière suivante : « Parfois nous joutons sur la foi, la politque, l’économie,…et autres réflexions du genre  « ne pas confondre l’homme et l’acte »… On fait de la philosophie à deux sesterces ! L’un de nous s’est écrié, on peut faire un peu de monnaie avec un bouquin écrit à deux mains ! L’autre répondit « ne vend pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ». L’idée d’un ouvrage sur les proverbes mettant en scènes des animaux venait de naître… Avec la volonté de faire sourire et de donner l’envie de rire : attention, ça peut être très pénible une itération de proverbes… De toute façon, on a bien ri en écrivant ce livre et nous espérons partager notre bonne humeur. Comme le disait Coluche : « ce n’est pas parce qu’on est payé quand plus il faut qu’on s’emm… ! »

On ne peut résister devant cet humour contagieux de vous livrer un extrait de ce recueil : « Que dit un quiscale en passant au dessus d’un four à pizzas : cuit,cuit,cuit… ! Définition de quiscale. C’est un oiseau d’Amérique centrale ressemblant au corbeau. Afin que toutes les lettres de l’alphabet soient représentées, nous avons inventé ce dicton qui fera date dans la folle histoire du monde : quiscale un entonnoir sur la tête, psy sur le divan. Lacan Diraton.»

De l’humour au premier degré tel que pouvaient l’imaginer et le transcrire avec subtilité des sommités dans le genre tels Pierre DAC ou Pierre DESPROGES.

Après tout, un adage précise que « le rire vaut bien un bon bifteck », alors en cette période de tristesse absolue et de réveillons à se tirer une balle dans la tête afin de respecter les mesures sanitaires , il n’y a qu’un seul remède : se procurer au plus vite « Animalement Vôtre » et en faire sa saine lecture avant les douze coups de minuit !

 

En savoir plus :

« Animalement Vôtre » de France C. et Jean-Paul ALLOU

Editions EDILIVRE

Sur les plateformes numériques,

25 euros

 

Thierry BRET

 


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Le défi est de taille. Presque surréaliste par l’ampleur de sa configuration. Il en aurait rebuté plus d’un qui se serait déjà contenté de baisser les bras juste à l’idée de le faire. Oui, mais voilà : la directrice de publication du magazine « vitamines » en ingurgite suffisamment à forte dose pour conserver la foi en son « bébé ». Imposer sa revue dans tous les kiosques de l’Hexagone, ce qui n’est pas un rêve pieu. Et en cette période de Noël, on peut toujours croire en son destin quand on sait forcer les choses …

AUXERRE : Il lui en faut de la détermination et du tempérament chaque jour que Dieu crée. Et pas qu’à simple dose homéopathique pour tenir le choc ! Concevoir une nouvelle arborescence à son magazine arts de vivre qui gonfle de volume par rapport à sa version originelle (aujourd’hui 84 pages) nécessite beaucoup d’énergie et de la praticité. De cela, Isabelle COSEMANS n’en manque pas : elle en a à revendre !

Mais, diffuser sous la forme d’une immense phase test son dernier opus, intégralement relooké, auprès de 1 700 points de distribution répartis sur dix-sept départements du secteur Centre-Est ne s’appréhende pas tous les jours ! On la sent fébrile, impatiente de connaître les résultats des premières ventes et excitée par cette toute nouvelle aventure. Qui ne le serait pas en vérité !

 

Une nouvelle mouture diffusée en kiosque depuis un mois…

 

Le média du bien-être et de la détente made in Yonne s’offre donc une cure de jouvence salvatrice trois ans après la publication de son numéro initial. Avec un sérieux changement de cap et de stratégie à son actif.

Exit le support gratuit qui ornementait les devantures vitrées des commerces des cœurs de ville et s’étalaient sur les rayonnages publicitaires ou dans les salles d’attente, place à un tout autre challenge.

D’envergure national, celui-là, qui pourrait augurer de belles perspectives en cas de réussite. Celui de figurer parmi la liste pléthorique de cette presse spécialisée qui fait l’apologie de la détente, des arts de vivre, du bien-être et des loisirs. Des ouvrages pas uniquement destinés à satisfaire le lectorat féminin, on s’en doute…

Certes, la conjoncture liée à la crise sanitaire ne pouvait pas plus mal tomber pour rendre complexe la période de lancement de ce magazine. La fête prévue initialement par la responsable du titre afin d’en officialiser la sortie aura donc tourné court. Un couac indépendant de sa bonne volonté qui lui reste en travers de la gorge avec un brin de désolation dans le regard, en attendant des jours meilleurs.

 

 

Nonobstant, l’édition de ces exemplaires matriciels a pu être réalisée dans les délais impartis par CHEVILLON Imprimeur.

Accueilli en kiosque depuis un mois, avec le concours de la société de distribution MLP, le magazine « bonne mine » est tout de même entré dans la cour des grands. Aux côtés des majors de la presse parisienne spécialisée dans ces thématiques ludiques qui permettent d’éclairer à coups de projecteurs pratico-pratiques et de visuels très alléchants les lecteurs en quête d’inspiration sur la décoration, la mode, le logement, la gastronomie, la santé, le bien-être, l’enfance ou le tourisme. Des cibles de réflexion que reprend à son compte « Co’Coon Magazine » dans sa grille de lecture.

 

Une stratégie économique dûment réfléchi avec un club d’investisseurs

 

Affichant un prix de vente établi à 5,90 euros, le média devrait progressivement être implanté dans le reste de la France sans doute au printemps. Toutefois, la prudence reste de mise compte tenu du délicat contexte actuel.

Epaulée dans le choix de ses orientations stratégiques par le club d’investisseurs KUB, Isabelle COSEMANS cherche à lever des fonds pour rendre viable son produit, ouvert aux abonnements et à la publicité.

Sa présence sur la plateforme numérique ULULE lui offre aussi une tangente visible du côté de l’économie participative via le crowndfunding.

La responsable de la SASU PEP’S Communication qui porte le projet espère publier six numéros à l’année, en sollicitant une équipe de chroniqueurs s’exprimant sans standard et avec légèreté d’esprit dans les formes scripturales pour alimenter les différentes rubriques tendance. Un petit noyau dur, constitué d’autoentrepreneurs, apporte sa plus-value à la conception graphique et visuelle du support.

Vingt-trois numéros de ce magazine édités à 16 000 exemplaires étaient parus lors de la première tranche de vie de ce média au plan départemental qui avait vu le jour en 2017. Combien le seront à la suite de cette nouvelle aventure réalisée à l’échelle de l’Hexagone ? Le plus grand nombre, souhaite l’entrepreneuse icaunaise…

 

Thierry BRET

 


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Le mécène François SCHNEIDER sera-t-il le nouveau messie de l’emploi et de l’attractivité culturo-touristique sur le territoire de l’Yonne dans les années à venir ? Tout contribue à le croire, si l’ambitieux concept rattaché au futur du domaine de Pontigny se concrétisait dans sa globalité. Cédé par la Région pour 1,8 million d’euros, ce haut-lieu cistercien est promis à un bel avenir. A condition, toutefois, de réunir les fonds et capitaux nécessaires en vue de sa profonde mutation économique…

AUXERRE : Comme cadeau de Noël fait à l’Yonne, il y a pire ! Mais, à quelques jours de la fête de la Nativité, beaucoup aimeraient y croire à l’écoute du panégyrique idyllique qui a été fait à propos de l’un des bastions patrimoniaux de notre territoire : le domaine de l’abbaye de Pontigny.

Jusque-là propriété exclusive de l’appareil institutionnel régional depuis 2003, cet espace aux origines séculaires et hautement spirituel sommeillait quelque peu dans une douce béatitude.

Or, il devrait en être tout autrement après sa cession entérinée le 11 décembre lors de l’assemblée plénière du vénérable organisme. Un choix qui a été validé à une très large majorité par les élus proches de la présidente socialiste Marie-Guite DUFAY. Son opposition s’abstenant ou votant contre à de rares exceptions…

Mis en vente selon la propre volonté du Conseil régional, le domaine de la fameuse abbaye cistercienne, l’une des plus importantes structures érigées à la gloire des adeptes de la règle de Saint-Benoît en France, a donc trouvé acquéreur. Soit la Fondation éponyme du mécène et industriel François SCHNEIDER. Un féru de l’art contemporain et des arts de vivre qui dispose déjà d’un univers conceptuel favorable à l’accueil d’artistes et à leur libre expression du côté de l’Alsace, à Wattwiller précisément dans le Haut-Rhin.

C’est là que le fondateur de la société « Grandes Sources de Wattwiller » a imaginé un projet encore plus abouti qu’il souhaite décliner en partie sur le site cistercien icaunais. Du moins, dans son approche culturelle et touristique.

Dans cet environnement propice à la méditation et à la saine oisiveté, l’homme d’affaires français qui possède des attaches dans l’Yonne souhaite revitaliser les lieux. Un espace, excusez du peu, de 9,5 hectares de terrain comprenant cinq mille mètres carrés de bâtiments à l’architecture cistercienne.

 

 

 

La « terre » comme déclinaison symbolique après celle de l’eau…

 

Alors que la partie adverse, c’est-à-dire la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre,  prétendait aussi acheter ce bien en proposant une cagnotte de 300 000 euros supplémentaires, c’est bel et bien l’offre de la fondation qui obtint gain de cause in fine le jour du vote auprès des élus de la majorité régionale.

Sans doute que l’idée de créer une école destinée à l’apprentissage de futurs prêtres ne reçut pas les mêmes échos favorables auprès des élus par rapport au deuxième concept à la dimension économique et environnementale évidente.

Toujours est-il que le mécène François SCHNEIDER, profitant d’une pseudo-conférence de presse pour dévoiler les grandes lignes de ce mirifique projet face aux acteurs du territoire, fera de ce domaine un centre d’art où se grefferont un complexe hôtelier haut de gamme, un restaurant à vocation gastronomique, un espace culturel mettant un sérieux coup de projecteur sur l’histoire du vignoble de Chablis et les origines du site (avec un musée dans la besace). Plusieurs salles de conférences équipées pour accueillir séminaires et autres colloques complèteront cet ensemble stratégique.

Bref, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour comprendre que le dossier de la Fondation SCHNEIDER qui nécessite des investissements importants (on avance déjà le chiffre de dix millions d’euros pour commencer), devrait être pourvoyeur de nombreux emplois à terme (on en recense déjà près de 70 dans la projection définitive du projet à trois ans), d’une forte attractivité culturelle, patrimoniale et touristique qui rayonnera bien au-delà des frontières bourguignonnes.   

 

        

La « terre » en sera son leitmotiv identitaire, décliné à toutes les sauces et selon les variantes choisies (éco-citoyenneté, productions agricoles locales, produits artisanaux commercialisés dans la boutique sur place…) à l’instar de celui de l’eau, symbole caractéristique du site de Wattwiller où coule cette substance naturelle qui permet d’étancher la soif de milliers de consommateurs.

François SCHNEIDER poursuivra-t-il sur ce raisonnement logique qui lui verrait un jour concevoir des infrastructures du même acabit se rapportant aux deux derniers éléments de cette référence à la cosmogonie (le feu et l’air) ?

Nul ne le sait, pour l’heure, évidemment !

Son ambition est, en revanche, de propulser le domaine de Pontigny sur une toute autre orbite qu’elle ne l’est à l’heure actuelle. Faisant converger sur place des artistes, des créateurs, des talents, le public (avec une jauge impressionnante qui oscille entre 100 000 visiteurs dès le lancement de ce complexe en 2023 à quatre fois plus de personnes moins de cinq années plus tard !), des partenaires issus des collectivités et surtout des investisseurs !

 

Un prévisionnel orienté autour de l’équilibre à cinq ans…

 

On l’aura compris le nerf de la guerre de ce projet aux ambitions alléchantes demeure l’argent. Le mécène n’en manque pas, visiblement. Mais, il sollicitera aussi les investisseurs locaux en ouvrant le capital de la future société qui portera le projet. Des subventions seront demandées aux partenaires territoriaux. On imagine allègrement qu’il sera nécessaire de disposer de plusieurs millions d’euros d’investissements à étaler dans le temps selon les chantiers à mettre en route pour atteindre le point d’équilibre prévu à cinq ans.

Quant au capital humain, François SCHNEIDER s’est entouré d’une équipe de choc pour piloter ce navire qui n’a rien d’un frêle esquif perdu dans la mer des Sargasses.

Le « capitaine au long cours » porteur du projet se nomme Bruno SCHOCH. Président du directoire de la société UNIBEL SA (structure de l’agro-alimentaire cotée à Paris), il a exercé ses multiples talents de manager dans le groupe fromager BEL.

C’est aussi une jeune femme, diplômée de Sup de Co Paris, Amandine SIMPHAL qui à 32 ans devient directrice du projet. Le troisième joker de François SCHNEIDER se nomme Jérôme GALLOT, un ancien de la Cour des Comptes qui gérera les relations avec les pouvoirs publics.

Outre le fondateur de la fondation, on trouvera également dans ce staff aux cinq têtes pensantes une figure connue et reconnue de l’univers entrepreneurial de l’Yonne, l’Auxerrois Michel PISANI, ancien président de la Maison de l’Entreprise et administrateur de l’agence Yonne Equipement. Un quintuor prêt à en découvre pour accomplir un rêve : redonner ses lettres de noblesse à ce site séculaire et intemporel...

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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Le mot d’ordre est simple pour la collectivité icaunaise : réussir la transition énergétique de ses territoires. Comment ? En s’engageant dans un projet hydrogène vert aux côtés de partenaires indéfectibles tels que la filiale du groupe EDF, HYNAMICS et le réseau de transport TRANSDEV. C’est le constructeur SAFRA, localisé à Albi, qui finalisera ce choix stratégique en équipant la communauté de l’Auxerrois des cinq premiers exemplaires de son nouveau bus à hydrogène, le Businova H2.

AUXERRE : Sa conception traduit le savoir-faire du made in France. Y compris sa pile combustible de 30 kW, conçue par une structure dont les capitaux sont détenus à parts égales entre FAURECIA et MICHELIN.

Fabriqué dans les ateliers du constructeur albigeois SAFRA, le Businova H2 a pour ambition de révolutionner le transport collectif. S’inscrivant de plain-pied dans la stratégie de transition énergétique voulue par la gouvernance.

Reprenant des caractéristiques similaires à la version électrique à batteries, ce modèle dont les commandes initiales faites par l’Agglo de l’Auxerrois datent de décembre 2019 propose une motorisation de 250 kW et un pack batteries de 132 kW, associés à une pile combustible de 30 kW fournie par la PME française SYMBIO.

Cette dernière a pour ambition de se hisser au premier rang mondial de la mobilité hydrogène en produisant des systèmes spécifiques destinés aux véhicules légers ainsi que les bus et les poids lourds.

 

L’hydrogène, source d’énergie non polluante ni sujette aux nuisances sonores…

 

Doté de réservoirs capables de stocker jusqu’à trente kilos d’hydrogène à 350 bars de pression, le Businova H2 qui sera exploité par TRANSDEV Auxerrois, principalement sur la ligne 1 du réseau Léo, possède une autonomie lui permettant de parcourir 350 kilomètres. Le modèle a reçu les agréments officiels émanant de la CATP, la Centrale d’achat des transports publics.

Pour alimenter ces bus de nouvelle génération, la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois a donc choisi de produire localement le précieux combustible, c’est-à-dire de l’hydrogène. Mais, attention, pas n’importe lequel ! Celui-ci sera certifié vert.

 

 

Obtenu par l’électrolyse de l’eau, l’hydrogène est une source énergétique très concentrée qui ne rejette in fine que de la substance aquatique. D’autre part, il n’est pas à l’origine de nuisance sonore particulière.

Autant de bonnes raisons qui ont su motiver les choix de la collectivité territoriale afin d’assurer la transition énergétique de son réseau de transport collectif et sa flotte de véhicules.

 

 

Un écosystème favorable à l’essor des activités économiques…

 

Derrière le renouvellement du parc de bus, d’autres débouchés s’intègrent déjà à ce projet ambitieux. La production du gaz représente l’une d’entre elles.

Ainsi, l’une des filiales du groupe EDF, HYNAMICS, installera une station de production par électrolyse de l’eau à proximité immédiate du dépôt de bus de l’exploitant des lignes, TRANSDEV sur une ancienne friche industrielle.

Conçu avec le concours de la société de projet d’HYNAMICS (CP3), ce centre de production bénéficiera des équipements de sécurité requis.

Opérationnel à l’automne 2021, il favorisera l’alimentation des cinq bus de nouvelle génération gérés par TRANSDEV ainsi que des véhicules utilitaires légers.

Mais, le réel enjeu de cette station qui a reçu le soutien de l’ADEME et du programme européen JIVE 2, sera de renforcer son caractère multimodal au niveau de ses futurs utilisateurs : poids lourds, ferroviaire, fluvial et industriel.    

A cette fin, une soixantaine de chefs d’entreprise de l’Auxerrois ont été réunis début décembre afin de disserter sur les usages potentiels qui pourraient être déployés avec cette installation sur le bassin économique.

 

Thierry BRET

 


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