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Il ne pouvait rêver mieux, l’ex-responsable de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne. Evincé du fauteuil suprême de président de l’organisme consulaire en novembre 2012, au terme d’élections qui lui seront défavorables, l’éleveur de Leugny effectue un retentissant come-back sur le devant de la scène de la filière. En se parant de la vêture de conseiller départemental en charge des questions agricoles et environnementales. Un formidable pied de nez à l’adversité ?

 

AUXERRE : Intérieurement, c’est sûr, le binôme d’Isabelle FROMENT-MEURICE, doit savourer l’instant présent. Elu lors des dernières échéances départementales dans le canton de Cœur de Puisaye avec 62,35 % des suffrages au second tour (expédiant ainsi dans les limbes de l’oubli le tandem du Rassemblement national), Gilles ABRY (LR-UDI) retrouve la tribune officielle de la Chambre départementale d’Agriculture, pour sa traditionnelle session de rentrée en cette matinée du 09 septembre.

Il siège aux côtés du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, d’Arnaud DELESTRE, le président de l’institution agricole et de François AVEZ, le nouveau directeur qui vient de prendre ses fonctions en remplacement d’Hervé MIVIELLE.

Une estrade que le personnage connaît bien, assurément. D’autant qu’il l’a fréquenté sous un tout autre registre six années durant, entre 2006 et 2012. A l’époque, l’agriculteur-éleveur y tenait la baguette de chef d’orchestre de l’assemblée consulaire. On connaît la suite : les élections de novembre 2012 furent fatales à sa réélection.

« Même si je suis aujourd’hui un élu du Département, annonce-t-il en guise de préambule, je reste surtout un agriculteur… ».

 

 

« Les agriculteurs sont là pour travailler la terre et nous nourrir… »…

 

Le ton est donné. Professionnel dans l’âme, le représentant de la commission Agriculture, Environnement et Alimentation du Conseil départemental sera celui des élus qui suivra l’actualité et les activités de la filière. Cela tombe bien : au moment où celle-ci en a le plus besoin !

D’ailleurs, l’orateur du jour n’a pas attendu très longtemps avant de se rappeler à notre bon souvenir par l’expression de petites phrases où la langue de bois est totalement proscrite du discours.

Florilège : « Nous, autres, les agriculteurs sommes là pour travailler et nourrir les hommes, il ne faudrait pas que certains utopistes et extrémistes l’oublient en ne pensant sauver que quelques oiseaux… ».

Ou encore : « Entre le Conseil départemental et la Chambre d’Agriculture, il y a un manque de coordination sur certains sujets ! ». Et celle-ci : « Je pense que l’outil AGRILOCAL coûte dix fois plus cher à son fonctionnement qu’il ne rapporte en terme de chiffre d’affaires… ».

Du sévère servi à l’état brut qui devrait bousculer quelque peu dans les chaumières !

Bref : on l’aura compris, Gilles ABRY n’a pas été élu au Département pour faire de la figuration. Surtout dès qu’il s’agit de défendre les intérêts et les droits de la filière agricole.

Former et anticiper intègrent son credo. Développer, l’esprit d’entreprise au sein de l’agriculture, aussi. « Nous allons travailler à de vrais projets d’avenir… ». Et peut-être, en toile de fond, essayer de résoudre la sempiternelle question de la pénurie de main d’œuvre qui plombe le travail dans les exploitations.

Se projetant vers l’avenir, l’élu spécialiste des questions agricoles évoque Paris et l’échéance olympique de 2024.

« Nous allons mettre une vraie action de communication afin de valoriser nos filières et notre campagne avant les Jeux… ». La proximité avec la capitale hexagonale ne peut qu’induire de réelles retombées économiques pour les filières de production.

Une chose est sûre : au terme de sa première prise de parole dans cette assemblée consulaire dont il connaît le moindre des rouages, Gilles ABRY entend bien ne pas flâner en route et entrer immédiatement dans le vif des sujets.

 

Thierry BRET

 

 


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Culture et tourisme dans la pratique ne peuvent faire que bon ménage, il va de soi. D’ailleurs, la vice-présidente du Département de l’Yonne, Isabelle FROMENT-MEURICE, ne s’y est point trompée au lendemain des échéances électorales. Elle avait esquissé le rapprochement naturel entre ces deux items, inséparables. L’élue prend donc les rênes de l’Agence de développement touristique et relais territorial de l’Yonne (ADTY). De la pure logique, en somme…

 

AUXERRE : Cela n’a pas fait un pli ! A l’unanimité, Isabelle FROMENT-MEURICE s’est installée dans le fauteuil présidentiel de l’Agence de développement touristique et relais territorial de l’Yonne, au terme de l’assemblée générale organisée à la Chambre de Métiers et de l’Artisanat ce lundi 06 septembre.

Un fauteuil qui était suspendu à une nouvelle désignation d’une présidence depuis la non-réélection d’Anne JERUSALEM, aux échéances départementales de juin dernier.

A ce titre, la nouvelle figure incarnant la promotion du tourisme et le rayonnement de la culture sur notre territoire n’a pas tari d’éloges et de remerciements son prédécesseur. L’élue du Tonnerrois avait, en effet, largement rempli ses missions dans le cadre du Schéma touristique départemental qui courait de 2017 à 2021.

Certes, la crise sanitaire a perturbé quelque peu une partie de ce schéma directionnel. Désormais, la nouvelle présidente réfléchit à l’ossature de ce nouveau projet, prenant en compte les cinq prochaines années à venir en y englobant 2024, synonyme de Jeux Olympiques à Paris. Et de ses effets gigognes sur le département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté qui aura un rôle à jouer dans le cadre de la mission Yonne 2024.

Investie, pugnace, communicante : Isabelle FROMENT-MEURICE n’a éprouvé aucune difficulté à obtenir les suffrages du conseil d’administration de la structure.

Cette figure de proue de la majorité départementale pourra s’appuyer sur une équipe où siègeront trois vice-présidents dont la référence incontournable de l’histoire et du patrimoine dans l’Yonne, Bernard BROUSSE, président de l’Office de tourisme de Sens et du Sénonais, en charge des OT&SI.

 

 

En savoir plus :

 

Composition du bureau de l’agence Yonne Tourisme :

Bernard BROUSSE, vice-président des OT & SI ; Patrick HENRY, vice-président en charge des labels ; Yann COUSIN, vice-président en charge des prestataires commercialisés ; Béatrice KERFA, secrétaire général ; Anne DELMOTTE, secrétaire générale adjoint ; Jean-Pierre VAURY, trésorier ; Patrice HENNEQUIN, trésorier adjoint.

 

Thierry BRET

 

 


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Richesse locale permettant à chacun d’avoir à proximité de son domicile une activité qui contribue à son bien-être, la vie associative était à l’honneur ce samedi 04 septembre dans la commune. Grâce à un forum plaçant sous le feu des projecteurs les activités de vingt-deux structures dynamiques…

 

CHEVANNES : Primordiales à la cohésion sociale et au bien-vivre dans la commune, les associations ? Sans doute ! Celles de cette localité périphérique d’Auxerre ont eu l’opportunité de se retrouver samedi 04 septembre pour proposer une découverte aux nouveaux habitants (et pourquoi pas aux plus anciens) de leurs réelles potentialités en matière d’activités.

Organisé de manière biennale, ce forum spécifique accueillait dans la salle polyvalente du village une kyrielle de structures symbolisant le dynamisme de cette bourgade forte de ses 2 300 âmes.

 

 

Modélisme, VTT, kick-boxing, football, tennis, gymnastique, théâtre, école de musique, Club de l’amitié, pratique de la samba ou de la danse (DK Dance) côtoyaient des références de la vie associative moins conventionnelles mais aussi importantes que peuvent l’être l’ADMR, les sapeurs-pompiers ou la FNACA.

On notait la présence du Fonds de sauvegarde du patrimoine (la commune a consenti des budgets importants à la réhabilitation de monuments chargés d’histoire) ou de la paroisse.

 

 

Pas de baisse des subventions malgré la morosité budgétaire…

 

Lors de sa prise de parole, Dominique CHAMBENOIT, premier élu, saluait leurs initiatives diverses et variées déclinées tout au long de la saison.

« Les associations méritent d’être mises à l’honneur en leur permettant d’aller à la rencontre de leurs futurs adhérents… ».

Pour l’élu, cela ne fait pas l’ombre d’un doute : l’importance des associations n’est plus à démontrer. Elles sont à ranger parmi les principaux supports de la vie citoyenne.

Porteur de bonnes nouvelles, Dominique CHAMBENOIT a profité de son allocution inaugurale pour annoncer que l’équipe municipale avait décidé de ne pas baisser les subventions accordées à ces entités, malgré la morosité ambiante, synonyme de restrictions budgétaires à tout crin.

 

 

Convaincu que le bénévolat et ses principes vertueux possédaient encore de beaux jours, le maire invita ensuite l’assistance, certes un peu éparse en cette fin de matinée, à rejoindre le cocktail.

On notera la présence de la conseillère départementale, Delphine BILLON, venue en famille, venir encourager les associations dont celle de son époux, responsable du kick-boxing. Quant à l’élue auxerroise, Dominique MARY, c’est en amie du monde associatif et en qualité de présidente de Passerelle, qu’elle participait à ces retrouvailles concoctées dans un esprit bon enfant…

 

Thierry BRET

 

 


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La ville de Sens se retrouve indirectement confrontée à la hausse des prix des matières premières. Mais en dépit de quelques déconvenues, elle a pu mettre en œuvre une bonne partie de ses projets de rénovation estivaux. Les élus ont présenté un bilan des travaux réalisés cet été dans et aux abords des écoles pour un montant total de 309 802,97 euros, quelque peu inférieur, de fait, au budget prévisionnel…

 

SENS : Après un ralentissement forcé pendant la crise sanitaire, l’investissement dans la réfection du patrimoine de la ville commence à retrouver un rythme normal.

« On est vigilant à ce que toutes les écoles puissent bénéficier de rénovations-travaux. Surtout on s’assure que les petites choses, qui ne sont pas forcément très chères mais qui sont indispensables, par exemple un petit endroit pour les vélos, vérifier que les fenêtres s’ouvrent bien et sont sécurisées, un nid de guêpe à enlever, ont été vérifiées avant la rentrée. Il y a eu vraiment un travail minutieux de la part des services pour que toutes ces petites anomalies puissent être réparées avant la reprise des élèves » déclare Paul-Antoine de CARVILLE, premier adjoint au maire chargé de l'Urbanisme, des grands projets structurants et de la gestion patrimoniale.

De nombreuses installations nécessitaient une rénovation, parfois importante comme le remplacement du Système de Sécurité Incendie (SSI) de l’école Gaston Marnot (28 562 euros). Le service Espaces Verts a réalisé en régie, le nettoyage (5 733 euros) et la révision des jeux (1 228,50 euros) pour l’ensemble des écoles.

L’une des plus grosses enveloppes est dédiée au désamiantage et la pose d’un sol souple dans les salles de classe et un bureau du groupe scolaire Aristide Briand, soit un montant de 82 186,44 euros.

Autre gros chantier : la réfection des faux plafonds, installation de placo acoustique, électricité, plomberie et peinture en salle élémentaire et mixte du restaurant scolaire Maxime Courtis. Des travaux qui ont duré environ six semaines et coûté au total 60 028,17 euros.

 

 

La hausse des matières premières freine la mise en œuvre des projets de rénovation...

 

Des chantiers, notamment la réfection des sanitaires de l’école élémentaire Paul Bert et de l’école maternelle Cours Tarbé, n’ont pas pu être réalisés. Entre une absence de candidature aux appels d’offres et des prix exorbitants, la mairie de Sens s’est vue contrainte de les reporter à l’été 2022.

« Parfois, on n’était à trois fois le prix initial. Du coup, c’est impossible de prendre raisonnablement ces tarifs-là. Même d’un point de vue marché public, c’est dangereux parce que c’est anormalement haut. C’est lié au fait que, certes, il y a l’augmentation des matériaux » explique Paul-Antoine de CARVILLE.

Accablées par la crise sanitaire depuis de nombreux mois, les entreprises en ont-elles profité pour gonfler leurs tarifs comme le soupçonne également l’élu ?

Difficile de s’avancer sur ce point. Mais ce qui est certain, c’est que les entreprises du bâtiment et des travaux publics assistent à une hausse inédite du coût des matériaux et des matières premières. Le prix du bois a doublé, tout comme celui du PVC, et l’acier a augmenté de 60 à 70 %.

La Fédération Française du Bâtiment estime d’ailleurs que 15 % des entreprises ont peiné à continuer au moins un chantier durant cet été.

En cause, une pénurie de matières premières à l’échelle mondiale en raison de la reprise des activités de la Chine et des Etats-Unis qui a entraîné une forte demande. Certaines tensions entre des pays, notamment les Etats-Unis et le Canada, auraient limité les exportations de certaines matières premières comme le bois ou l’acier.

Cependant, selon la plupart des économistes comme Philippe CHALMIN, président fondateur de l’Institut de recherches européen sur les marchés des matières premières CyclOpe, ce phénomène d’inflation ne devrait pas s’inscrire dans la durée.

 

Floriane BOIVIN

 


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Ce n’est encore qu’une adolescente. Pourtant, elle a su faire fi des préoccupations habituelles des jeunes filles de son âge. La tête et l’esprit déjà bien accrochés dans les nuages. Voire au-dessus, dans le ciel. Pour mieux tutoyer les étoiles ? Peut-être ! Selya LEGENDRE ne vit aujourd’hui que pour sa passion : le vol aérien que la demoiselle vient de découvrir en solo à 16 ans, exécutant sa première sortie. En rêvant du summum : intégrer l’armée de l’air et devenir pilote de chasse…

 

AUXERRE : Il aura suffi d’un simple baptême de l’air pour enclencher au plus profond de son ADN une véritable mutation passionnelle. La fillette venait à peine de souffler les dix bougies de son gâteau d’anniversaire. Elle n’aurait pu imaginer à cet âge aussi juvénile que l’aérodrome de Branches deviendrait un jour son terrain de jeu préféré. Merci, maman et papa !

Aujourd’hui, avec la bénédiction urbi et orbi de son instructeur, Thibault ROUSSEAU, de l’Aéro-Club d’Auxerre, la jeune fille a entrevu le pallier initial qui l’amènera peut-être un jour à transformer le rêve à la réalité. Vivre professionnellement sa passion du pilotage dans le cockpit d’un aéroplane !

Mais, attention, que l’on ne s’y méprenne pas sur les intentions de cette pilote chevronnée en herbe : le but ultime ne sera réellement atteint que lorsqu’elle vivra d’intenses sensations en encaissant Mach 3 à bord d’un Mirage 2000 de l’armée de l’air tricolore !

« J’adore l’aviation, confie-t-elle, je veux en faire mon métier plus tard en devenant pilote de chasse… ».

 

Un sentiment de liberté et une autre vision sur le monde…

 

Alors que tant d’autres de ses camarades envisagent d’embrasser la carrière de coiffeuse ou d’infirmière, Selya se projette vers une toute autre dimension. Sa rentrée, elle l’effectue en première générale au lycée La Brosse. Curieux : un établissement d’enseignement agricole pour la future licenciée de la Patrouille de France ?! Ce n’est pas incompatible puisque le site l’accueille dans une série S, à composante scientifique.

Mais qu’éprouve vraiment la jeune demoiselle lorsqu’elle évolue à bord de son avion ?

« Quand on est dans les airs, explique-t-elle, plus rien n’est pareil. Je ressens une sensation de liberté, une autre vision du monde… ».

Mais, avant de se lancer seule dans cette aventure à effrayer tous les parents qui absorbent des anxiolytiques lorsqu’ils choient d’un peu trop près leur progéniture, cette émule de « l’As des As » a dû endurer bon nombre de chausse-trappes et de leçons complexes pour y parvenir.

« Il faut posséder le BIA (Brevet d’initiation aéronautique), commente-t-elle, soit la partie théorie de l’apprentissage additionnée à un certain nombre d’heures de vol… ».

A minima : 45 heures. Toutefois, il n’y a pas d’âge rédhibitoire pour commencer à voler de ses propres ailes. Du moment que l’apprenti pilote puisse atteindre les palonniers !

 

 

Le parachutisme, prochain défi de la jeune fille !

 

Sa première expérience, seule derrière les manettes, Selya l’a vécue il y a peu dans le ciel d’Auxerre. Des instants inoubliables qui resteront à jamais gravés dans ses neurones.

« Ce qui est le plus stressant dans ces conditions, ajoute-t-elle goguenarde, c’est que personne ne peut rattraper la moindre erreur à l’atterrissage ! ».

Un sentiment d’excitation extrême qui fait monter l’adrénaline dans les tours !

Pas étonnant que les géniteurs des adolescents aventuriers se repaissent continuellement de médocs anti-stress !

Prochaine étape dans ce besoin quasi viral de vivre des sensations fortes dans les airs : un saut en parachute à accomplir le 26 septembre prochain.

Avec, comme tuteur, l’un des maîtres de la spécialité en France et à l’international : le vice-champion du monde Paul GRISONI en personne qui vient de réaliser son 22 000ème saut cet été ! 

 

Thierry BRET

 

 


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