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Les médias ne parlent plus que de lui. Si le CSA avait souhaité lui donner une nouvelle notoriété en l’interdisant d’antenne sur CNEWS, il n’aurait pas fait mieux. Eric ZEMMOUR s’invite dans les débats de la présidentielle 2022. C’est un grand cultivé pour les uns et un simple natif du 93 (il est né à Montreuil-Sous/Bois) pour les autres. Pour lui, un vrai journaliste se doit de faire de la politique et d’être nécessairement partisan…

 

TRIBUNE : Commençons par Georges Clémenceau, fondateur de « l’Homme Libre » (devenu l’homme « enchaîné ») et qui baptisera lui-même le célèbre article de Zola sur l’affaire Dreyfus du nom de « J’accuse » !

Lorsque certains passent du journalisme à la vie politique, d’autres font le chemin inverse. Bon nombre de femmes et d’hommes politiques sont désormais chroniqueurs ou éditorialistes : Julien Dray sur LCI, Aurélie Filippetti sur RTL, Raquel Garrido sur C8, Henri Guaino sur Sud Radio, Axelle Lemaire sur France Culture ou Jean-Pierre Raffarin sur France 2.

Dans le même temps, Bruno Roger-Petit, chroniqueur politique, et notamment éditorialiste à « Challenges » prend un autre chemin en devenant porte-parole de l’Élysée.

La rédaction de l’hebdomadaire économique serait « soulagée de son départ » selon le témoignage de l’un de ses confrères recueilli par « Libération » daté du 30 août 2017. La société des journalistes du titre s’étant alarmée, en mars 2017 par voie de communiqué, de l’équilibre politique « gravement occulté par le nombre d’articles pro-Macron ou défavorables à ses adversaires sur le site internet de Challenges »

ZEMMOUR dénonce en permanence la tendance « gauchiste » des chaînes publiques (radio ou télé). Soit-dit en passant, on peut s’étonner des sommes démentielles versées par France Télévision à Rachid Arhab et Françoise Laborde pour leur permettre de quitter France Télévision et rejoindre le CSA. Un lien avec ZEMMOUR ? On peut s’interroger…

On peut parler aujourd’hui du phénomène ZEMMOUR. Il suffit qu’il soit l’invité d’une quelconque émission pour qu’aussitôt cette dernière pulvérise ses records d’audience. Il semble évident que les journalistes de CNEWS se comportent en soutien inconditionnel de leur collègue. De Christine Kelly à Pascal Praud, il ne se passe pas un jour sans que l’on parle de son dernier livre (il se vend comme des petits pains) ou de sa nouvelle polémique.

 

Un personnage qui dérange immanquablement...

 

Trublion venant jouer dans la cour des grands, Eric ZEMMOUR déstabilise la classe politique et le monde des journalistes par ses prises de position volontairement polémiques. La forme et le fond sont en cause : des accents de vérité sans tricherie. Il est sincère dans ses réponses, au dire des collègues de travail qui l’ont connu. Sur le fond, notre polémiste est toujours hors de la doxa ambiante et d’un discours convenu, politiquement correct.

Qu’on le veuille ou non, il imprime le tempo avec ses thèmes dans le débat public de la campagne présidentielle ! Il rythme la cadence par ses shows à la télé ou en dédicaces pour son livre. Il se prononce philosophiquement pour la peine de mort, pour la fermeture des frontières aux émigrés, sur les prénoms aux connotations trop « exotiques »…

Aussitôt, les médias demandent aux contradicteurs politiques de se positionner. Depuis deux ans, il dénonce les « faux alliés » de la France, comme l’Allemagne et les Etats-Unis. L’affaire des sous-marins australiens semble lui donner raison…

 

Le nihilisme fait le lit de tous les fanatismes…

 

 

Si tous ses opposants affirment que les Français sont très éloignés des préoccupations soulignées par Zemmour, on est en droit de s’interroger. En effet, si on additionne celles et ceux qui votent à droite (classique ou extrême droite), on se trouve devant une majorité de nos concitoyens, soulignant l’immigration parmi les problèmes dominants.

La gauche, PS, EELV, LFI, refuse d’admettre qu’elle n’a plus le leadership de la pensée et qu’elle est devenue minoritaire en France, comme dans de nombreux pays d’Europe.

La droite extrême se développe en Europe par des revendications communes. Utilisant un discours très populiste, les partis extrémistes dénoncent l’immigration, revendiquent la souveraineté de leur pays, conspuent l’Europe et parfois l’euro. Une composante autoritaire affirmée, particulièrement explicite sur le terrain de « la loi » et de « l’ordre » et qui prône un programme économique composite, faisant la synthèse du néo-libéralisme des années 80 et du protectionnisme des années 90. Pour couronner le tout, l’usage immodéré du discours « antisystème » de dénonciation des « élites venues d’en haut » prolifère.

 

 

Le problème, c’est que le refus d’écouter le peuple provoque la colère inextinguible de beaucoup. Xavier Bertrand, comme Eric Zemmour parle d’un risque de guerre civile en France. La gauche veut diaboliser ceux qui ne pensent pas comme elle. On noircit, on dénigre, on calomnie, on « hitlérise » les soi-disant mal pensants !

On a vu des affiches de Zemmour et du président Macron affublés d’une moustache, d’une mèche et d’une croix gammée ! Nier les évidences et caricaturer ignoblement ceux qui sont adulés par certains, c’est attiser les haines et les rancœurs. N’oublions pas que le nihilisme engendre le fanatisme !

 

« La France n’a pas dit son dernier mot »…

 

C’est le titre évocateur du dernier livre d’Eric Zemmour. Tout un programme pour une campagne électorale ?

Mais là où Le « Suicide français » était teinté d’un certain pessimisme fataliste, « La France n’a pas dit son dernier mot », ouvre sur un espoir : l’histoire n’est peut-être pas encore totalement écrite. Il existe encore – et Génération Z en est la preuve – des Français qui cherchent à sauvegarder ce qui a fait de la France un beau pays, fier de ses valeurs et de ses racines.

Avec la liberté de ton qui le caractérise, Eric Zemmour s’apprête ainsi à donner sa vision politique de ce qu’il faut faire pour contrer notre déclin. Ce dernier livre se présente ainsi à la fois comme « une autobiographie politique » où il évoque « l’évolution du pays », à la manière des « Choses vues » de Victor Hugo, et comme une réponse au « Suicide français » en posant finalement la question tant attendue : « comment s’en sortir ? ».

Avec cet opus, nous ne sommes pas très loin d’un début de programme électoral. Un livre qui pulvérise les records : 200 000 exemplaires imprimés, 100 000 programmés en réédition à cause de ruptures de stocks, nos « politiques » refusent de dire qu’ils le lisent !

Un(e) journaliste, sûrement un(e) intellectuel(le) de gauche, avoue l’avoir lu et trouver une faute d’orthographe ! Bravo, il ou  elle a pêché ce lourd péché (lire le livre pour comprendre ce clin d’œil…).

Un seul homme de gauche, vieux routier de la politique, le plus cultivé sans aucun doute, accepte le débat et la confrontation : Jean-Luc Mélenchon. Si depuis longtemps, on connaît les solutions préconisées pour le rétablissement de la légitimité nationale, Zemmour est toujours attendu sur les sujets économiques et financiers. Sur ces thèmes, le livre n’apporte toujours aucune réponse.

La liberté d’expression, gravée au marbre de la révolution, fait partie de notre culture mais semble de plus en plus altérée par les pouvoirs de la Vème République et particulièrement par le locataire de l’Elysée.

 

 

Des thèmes qui parlent forcément aux Français...

 

La France, la culture, le terrorisme, l’immigration, la délinquance, la souveraineté nationale, la justice, les juges…intègrent le catalogue de thèmes les plus marquants du futur candidat ( ?) Zemmour. Il est certain que pour avoir des arguments contraires, il faut une culture que beaucoup n’ont pas. Là va être son problème : se mettre à la portée de chacun, cultivé ou non, et la tentation de la manipulation est grande.

Depuis trente ans, Eric Zemmour n’est pas dans le politiquement correct, hors des pseudos évidences qui polluent les gogos des miasmes nauséabonds de la médiocrité.  On fracture, on divise la France en deux camps : les « pour » et les « contre ». Pour les chasseurs ou pas, pour les sapins de Noël ou pas, pour l’avortement ou pas…

Tous ceux qui souhaitent présenter notre pays comme une France de « gauche » et une France de « droite » se trompent lourdement ! La France, pays des Droits de l’Homme (lire aussi « Les Droits de la citoyenne » d’Olympe de Gouges), c’est aussi une culture judéo-chrétienne-romaine-grecque et issue des divinités celtes. Un pays religieux et spirituel.

On appartient à l’histoire des héros, des escrocs, des résistants et des collabos, depuis Clovis, les Capétiens, Danton et Robespierre, Napoléon, de Gaulle…  Les Girondins de la Révolution, plus fanatiques que les Montagnards, plus bourgeois et modérés appellent des révoltes et des contestations politiques dignes de nos clivages. L’Orléanisme du XIXème siècle, classé à gauche s’oppose aux Légitimistes qui rêvent du retour de la royauté. Ce qui était à gauche se retrouve souvent à droite. Les libéraux sont catalogués à droite tandis que Benjamin Constant, homme politique né en 1763, fait figure de gauchiste !

Nous sommes un peuple riche de notre Histoire, turbulent, insoumis et parfois révolté, incapable de tempérance…C’est tout notre charme !

Alors rêvons un peu : j’imagine un square ou une place publique, avec pour décors deux belles sculptures. Celle de Napoléon et celle d’une grande résistante, Joséphine Baker. On pourrait juste l’entendre fredonner : « J’ai deux Zemmour ! »…

 

Jean-Paul ALLOU 

 

 

 

 


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L’enjeu est de taille. Posséder ces cinq prochaines années la primauté représentative au sein de l’une des instances incontournables du paysage corporatiste de France : la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Fédérant plus de quarante organisations et syndicats professionnels dont les poids lourds que sont la FFB, le CNPA, la CPME ou la FEP, la liste, conduite par Baptiste CLERIN, entend révolutionner les codes opératoires de l’exécutif consulaire. Au nom du sacro-saint principe du changement…

 

AUXERRE : « Le changement, c’est maintenant ! ». On a tous en mémoire ce fameux slogan politique qui accompagna la campagne du candidat François HOLLANDE à l’aune de sa gloire présidentielle. Faisant fi de toutes considérations politiciennes, l’annonce marketing fait recette !  

Mais là, dans le cas présent, le phrasé est quelque peu différent : « Il est temps de changer ! ». Un message bref, incisif, voire inéluctable qu’il serait de bon ton d’envisager sérieusement, selon ses instigateurs qui se veulent  impératifs dans la formule.

 

 

 

Oui mais voilà. Pour y parvenir, nulle autre alternative que celle de se soumettre à l’approbation majoritaire des suffrages : ceux exprimés par les artisans qui participeront aux élections des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, édition 2021, comme tous les cinq ans !

Partant d’un postulat liminaire se voulant interrogatif sur l’implication exacte des actuels élus de l’organe consulaire lors de ce mandat, la liste « Fiers d’être artisans » ne souhaite plus endosser le statut de simple faire valoir de l’opposition. Mieux ! Ses candidats se sentent pousser des ailes qui pourraient les amener à la victoire finale, au terme de ce scrutin qui va se clore le 14 octobre.

 

 

Une liste dont la profession de foi repose sur l’engagement…

 

« Construire ensemble la maison des artisans » équivaut à un autre leitmotiv qui aiguise assurément les passions et nourris les certitudes. Qu’il s’agisse de la conquête de la région où il semblerait estimable que cinq départements sur huit aient à l’heure actuelle les préférences de cette liste ou stricto sensu sur chaque territoire départemental, les 306 candidats entendent bien porter haut leurs couleurs, identifiées par une volonté inexorable, celle de l’engagement.

Au cours de la présentation de sa composante icaunaise, en conférence de presse un évènement organisé au siège de la Fédération départementale du Bâtiment, plusieurs ténors du syndicalisme patronal de l’artisanat devaient se succéder à la tribune pour rappeler les réels enjeux de ce scrutin pas si anodin que cela.

Une prise parole explicative qui permit tour à tour à Eric MOUTARD (UMIH 89), Eric FOUCHER (CNPA), Didier MICHEL (FFB), Bruno JEANDOT (CFBCT) ou encore Olivier TRICON (CPME) de fourbir leurs armes mobilisatrices auprès de leurs partisans, venus assister ensuite à une rencontre animée par la double tête liste (région et département) menant la bataille, Baptiste CLERIN.

 

 

Le volet humain, axe prioritaire d’une campagne mobilisatrice…

 

Six engagements principaux servent de fil d’Ariane à cette campagne pour contrer les arguments de l’autre liste, « La Voix des Artisans », présentée entre autres par l’U2P, la CAPEB, la CGAD ou le CNAMS.

L’identité artisanale est l’une d’entre elles. De même le soutien aux valeurs de l’entreprise en rapprochant les élus du territoire à ceux de l’artisanat.

« Nous voulons un représentant des chambres de métiers au sein des commissions économiques des communautés de communes et d’agglomération… ».

On s’étonne d’ailleurs que cela ne soit toujours pas le cas tant les 250 métiers de la filière artisanale jouent un rôle moteur dans l’attractivité économique de proximité.

Nouer des liens avec l’Education nationale, histoire de promouvoir ces métiers auprès des plus jeunes, s’inscrit aussi par ricochet dans la logique des choses.

Mais, le programme « Fiers d’être artisans » n’est pas à court d’idées. Ni de déclinaisons.

 

 

L’accompagnement à la transformation économique intègre ses priorités. En créant un site Internet et une plateforme qui regrouperaient les offres de stages proposées dès la classe de troisième.

En insistant lourdement sur les contrats d’apprentissage et les lieux de formation qui sont proposés en région. Et, cerise sur le gâteau, grâce à la création et à l’animation d’une vitrine marchande qui serait orientée à 100 % sur l’artisanat. Dont il serait grand temps de rendre ses lettres de noblesse !

Au-delà de ce soutien et de cette valorisation indispensable à la filière, l’éventail de propositions de la liste souhaite par-dessus tout simplifier l’existence au quotidien des professionnels. Tant au plan administratif que législatif dès qu’un nouveau texte de loi entre en application.

Mais, le volet humain reste le point d’orgue de cette candidature. Renforcer les liens entre les artisans et l’organe consulaire est un item ainsi martelé sans cesse par les présentateurs de la liste.

« Nous voulons au moins un contact annuel personnalisé avec chaque artisan… ». Sans omettre la représentativité de la corporation vers l’extérieur. Via des foires et salons. Via des évènementiels et des rendez-vous ouvert au public offrant davantage de visibilité à la première entreprise de l’Hexagone : l’artisanat.

 

Thierry BRET

 

 


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Investir en faveur de l’éducation et miser sur le devenir de la jeune génération : tel est le credo de l’institution départementale avant la rentrée scolaire qui frappera ses trois coups ce mercredi. Dans un exercice oratoire dont il est coutumier à pareille époque, le Conseil départemental par la voix de son président, Patrick GENDRAUD, a brossé dans le détail les grandes lignes de son projet 2021/2022…

 

AUXERRE: L’avenir de la jeunesse et la pérennité de son éducation scolaire ? Ce n’est pas un leurre au Conseil départemental de l’Yonne ! Rien que pour cette nouvelle saison qui s’amorce à grand pas, c’est un budget destiné à la réalisation de travaux et pour le fonctionnement des établissements de trente-trois millions d’euros qui a été inscrit sur les lignes budgétaires du vénérable organisme ! Une enveloppe en hausse, il va de soi, votée à la quasi-unanimité.

Côté réfections, réaménagements et adaptations en tout genre, le Département a sensiblement augmenté sa manne financière, accordée à ce poste clé pour valider une pédagogie probante qui doit s’exercer dans un cadre propice, moderne et accueillant.

Quinze millions d’euros en lieu et place de la petite dizaine de millions d’euros qui étaient jusque-là consentis d’ordinaire les années antérieures. D’ailleurs, ce n’est qu’un début.

 

 

 

La progressivité de cette enveloppe vitale à l’enseignement du second degré ne devrait pas se cantonner à la seule saison nouvelle qui nous incombe. Une moyenne de 20 millions d’euros de budget destinés aux travaux de rénovation de la trentaine de collèges sous la coupe du Département serait allouée à l’avenir.

Une logique implacable pour le président de l’exécutif. Celui-ci veille à l’optimisation qualitative de l’accueil des 14 043 collégiens, répartis parmi les différents établissements publics implantés sur le territoire et la constante modernisation de ces derniers. Rappelons que les deux mille élèves fréquentant le privé intègrent également ce choix politique.

L’aide au fonctionnement entre groupes scolaires issus du public et du privé s’effectue de la manière suivante : 4,5 millions d’euros sont ainsi attribués aux établissements publics, tandis que ceux à l’estampille du privé perçoivent plus d’1,6 million d’euros.

 

 

Un ticket repas au prix modéré de 3,82 euros…

 

Une autre caractéristique de cette stratégie favorable à l’épanouissement des élèves prend forme avec la restauration. 1,6 million de repas ont été distribués au cours de l’exercice précédent dans les restaurants scolaires de notre territoire. Sachant que dix mille élèves bénéficient de la demi-pension. Quant au prix du ticket journalier, il n’est que de 3,82 euros à la charge des familles alors que le coût de revient s’élève à 8 euros.

Mais, comme devait le rappeler le président GENDRAUD face à la presse ce mardi en milieu de matinée, « il n’y a pas que l’aspect financier de la restauration qui nous interpelle, la qualité des repas que nous devons servir à nos enfants reste primordiale… ».

Et de citer la relation avec les producteurs du cru en phase de développement, identifiée par la plateforme AGRILOCALE. Un outil qualitatif se situant tout à fait dans l’esprit du bien mangé, cher à l’esprit de l’ancien maire de Chablis, pour nourrir les jeunes ouailles de l’enseignement.

« Nous sommes une collectivité de proximité, justifie le président de l’organe départemental, donc à ce titre, il faut en tirer les avantages… ».

Au-delà du simple contenu au fond de l’assiette, le bien mangé puise ses bienfaits dans la volonté de décliner des actions purement éducatives.

 

 

Cent mille euros par an consacrés au volet du numérique…

 

C’est d’ailleurs le fruit d’un partenariat entre la Région, le rectorat et le Département qui est à l’origine de la mise en exergue de l’ENT, l’environnement numérique de travail. Conséquence : une ligne budgétaire de 100 000 euros est dédiée annuellement à l’essor de ces technologies au sein des collèges de l’Yonne. Des sites devant être raccordés à la fibre optique qui ne cesse son déploiement.

Exprimant sa reconnaissance envers les 315 agents départementaux qui exercent leurs activités au service de l’éducation, Patrick GENDRAUD leur tire son chapeau, selon la formule consacrée.

« Ces travailleurs de l’ombre ont droit à la lumière, devait-il ajouter avant que ne soit projetée une courte vidéo conçue par le service communication traduisant le travail de ce personnel ô combien capital.

Avant de clore son intervention, Patrick GENDRAUD mit l’accent sur la réalisation de quelques opérations majeures sur 2020/201 dont la livraison du nouveau gymnase au collège Albert-Camus à Auxerre (1,8 million d’euros) ; le programme d’amélioration thermique de deux bâtiments et projet de modernisation de la demi-pension au collège des Champs-Plaisants à Sens (une enveloppe de 2,4 millions d’euros pour un chantier qui débutera en 2022) ; la restructuration du collège Restif de la Bretonne à Pont-sur-Yonne en 2023 (du petit lait pour le premier vice-président et maire de la localité Grégory DORTE attentif aux propos) ; l’inauguration prochaine de la demi-pension du collège de Villeneuve-la-Guyard pour 3 millions d’euros ; celle du collège d’Avallon pour 6,5 millions d’euros ; les travaux énergétiques du collège Châteaubriand de Villeneuve-sur-Yonne (2,5 millions d’euros), etc.

Autant d’éléments tangibles démontrant que le Conseil départemental de l’Yonne a vraiment fait de l’avenir de la jeunesse et de la pérennité de son éducation l’une de ses principales priorités.

 

Thierry BRET

 

 


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Les épisodes de confinements successifs ne trouvaient déjà pas grâce à ses yeux. Tant dans la Nièvre, territoire où il officie en qualité de secrétaire départemental que dans le reste de la contrée régionale où il s’emploie à prêcher la bonne parole comme chargé de mission. Mais face à la récente loi sanitaire, le leader de DLF s’offusque avec vigueur, appelant à résister…

 

DIJON (Côte d’Or) : Souverainiste jusqu’aux bouts des ongles, Pascal LEPETIT est l’homme de tous les combats. Ceux qui ébranlent les libertés individuelles et menacent le camp des patriotes et des républicains.

Figure emblématique régionale de Debout La France, le parti politique porté par Nicolas DUPONT-AIGNANT, le Nivernais d’adoption s’implique au fil de ses investissements initiés depuis 2018 au travers de luttes qu’ils considèrent justes et utiles dans l’intérêt de la France. Comme ce fut le cas contre l’implantation à outrance des éoliennes dans son département. Ou plus proche de nous du refus de voir les périodes de confinements se succéder sans relâche sur le territoire régional.

Aujourd’hui, à l’instar de ses coreligionnaires de DLF, il s’érige comme un rempart tenace face à la position du Conseil constitutionnel qui a validé le texte de loi sanitaire le 05 août dernier. Un accessit institutionnel qui a favorisé l’application du finalement très controversé, pass sanitaire.

« Avec cette validation, explique-t-il, c’est un régime de ségrégation qui se met en place pour celles et ceux qui refusent de se soumettre à des choix sanitaires discutables, inefficaces, parfois risqués. Pour les autres, volontaires ou contraints, un QR code leur sera demandé. Y compris pour boire un café en terrasse. Il leur faudra se mettre à jour régulièrement au gré des exigences à venir : avant une troisième injection qui se profile pour la rentrée, voire d'autres qui suivront après… ».

 

 

Soutenir les professionnels qui n’appliqueront pas cette contrainte…

 

Le mot d’ordre est simple dans la bouche de cet ancien formateur, originaire de la région parisienne. La résistance !

« Plus que jamais, elle s’impose à deux niveaux. Active pour celles et ceux qui le souhaitent ou qui le peuvent, en manifestant pacifiquement, dans le calme, en adhérant et en militant pour un parti politique qui combat cette infamie, en mobilisant et en votant en avril prochain pour l'élection présidentielle ; passive pour tous, en soutenant les professionnels qui ne respecteront pas l'instauration de ce « Pass ».

Et de poursuivre un peu plus loin dans ses propos que l’intéressé se tient à disposition des personnels de santé et de celles et ceux qui le souhaitent pour bénéficier de conseils.

« L'esprit français a du génie, nous saurons où aller, explique-t-il, être à l’écoute des personnels de santé est fondamental… ».

 

 

Avant de brocarder les syndicats qui, selon lui, n’auraient pas joué leur rôle de défense des salariés… 

Arborant la fameuse croix de Lorraine, symbole du gaullisme flamboyant, lors de manifestations contestant le pass sanitaire, Pascal LEPETIT cite volontiers les paroles du Général pour résumer la situation. C’est-à-dire une mobilisation à la résistance.

« Soyons fermes, purs et fidèles : au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n'ont pas cédé… ».

Un appel du 18 juin dans sa version strictement sanitaire ?

 

Thierry BRET

 


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Nouvelle scénographie et déjà les signes d’un futur succès pour le complexe touristique de Côte d’Or ? Après la découverte des lieux par une cohorte de journalistes dont la plupart provenaient de la capitale, ce sont désormais les touristes de l’Hexagone et de la région qui investissent ce site retraçant les péripéties de la fameuse bataille livrée entre Romains et Gaulois…

 

ALISE-SAINTE-REINE (Côte d’Or) : En avant-première, les représentants de la presse spécialisée étaient venus nombreux pour s’imprégner de l’endroit, dévoilant en exclusivité sa nouvelle exposition permanente.

Une franche réussite pour les organisateurs puisque l’effectif de ce groupe d’influenceurs consacrant sa journée sur ces lieux à vocation touristique flirtait allègrement avec le chiffre quatre-vingt !

 

 

Cela se déroulait fin juin.

Quelques jours plus tard, et après plusieurs mois de fermeture imputables à la crise sanitaire, le MuséoParc d’Alésia accueillait ses premiers visiteurs.

Force est de constater que depuis, le hall d’entrée circulaire donnant accès à la nouvelle exposition ne désemplit pas !

 

 

 

Les premières tendances confirment la bonne impression…

 

 

Une tendance significative a été relevée le week-end dernier, les 10 et 11 juillet. Le complexe a enregistré une fréquentation record de 1 300 visiteurs en un  laps de temps très court. Effaçant ainsi des tablettes le précédent pic de visites, observé depuis 2012 !

Certes, le protocole sanitaire (port du masque et gestes barrières) est respecté à la lettre. Mais, selon les responsables du site, « les sourires même dissimulés derrière le masque et les yeux ébahis d’un public de tout âge ne trompent pas… ».

 

 

Ludique, interactive, originale, éducative… : la scénographie newlook séduit le public qui n’en demandait pas tant pour s’évader en ces lieux chargés d’histoire et d’aventures.

Certes, il est encore trop tôt pour pouvoir en juger. Mais, une chose est sûre, le MuséoParc d’Alésia devrait figurer en bonne position dans les destinations touristiques préférées de nos compatriotes cet été.

D’ailleurs, nous vous en proposerons très vite une immersion détaillée, devant inciter à vous y rendre sans tarder !

 

Thierry BRET

 

 

 


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